Lettres à l'éditrice
Lettres de novembre
Où trouver des informations sur les changements dans les villes ?
Cher Bulletin : J'aimerais que vous informiez plus tôt les lecteurs de ce qui se passe au Conseil municipal. Il m'arrive de circuler en voiture et de voir qu'un bâtiment va être démoli ou qu'un nouveau complexe va être construit. J'en prends connaissance dans le journal, mais trop tard pour faire quoi que ce soit. Pourquoi ne pouvez-vous pas publier plus d'informations et plus tôt ? Je ne me déplace pas en voiture pour savoir ce qui se passe, et j'ai l'impression que vous aviez l'habitude de publier des informations un mois avant les plans de la ville. Je sais que vous faites figurer en première page une note indiquant qu'il faut consulter le site web de la ville pour les avis de modification des règlements. Est-ce que c'est ce que je suis censé faire ? Aller sur le site web de la ville tout le temps ?
J'apprécierais d'avoir plus d'informations à l'avance, merci.
(Trad. : BA)
Lorrie-Ann Wilno
Gatineau
Les aînés au Le District s'activent dans l'esprit des fêtes
Les personnes âgées de la région d'Aylmer continuent d'aider leurs voisins et de contribuer à l'esprit des fêtes de fin d'année. Non seulement ils collectent de la nourriture pour la banque alimentaire d'Aylmer, mais ils créent également des objets d'art faits maison, parfaits pour les cadeaux de fin d'année. Par exemple, le samedi 23 novembre, une foire artisanale de Noël sera ouverte au public à la résidence pour personnes âgées Le District, sur le boulevard Lucerne. Les personnes âgées y exposeront et vendront leurs créations. Venez rencontrer vos voisins et participez aux fêtes de fin d'année.
(Trad.: BA)
Marie Trappitt,
Aylmer
Archéo-Pontiac - Celebrating Archaeology in the Pontiac
The Friends of Chats Falls will be holding an event to celebrate the successes of our 2024 Public Archeological Digs, where we will present the discoveries made to the involved partners (Financial Partners, Organizers, Participants and Local Residents).
The event will take place on Friday, November 29, 2024 between 9:30 am and 11 am at the Quyon Community Center, adjacent to the ferry. The celebratory morning will allow guests to enjoy a presentation of findings, hear testimonials, see artifacts and mingle with other attendees while enjoying refreshments.
We are very happy to share the success of this activity and the discoveries made on the Pointe à l’Indienne near Quyon. The artifacts uncovered during this dig will allow the archeologists to corroborate their theories about the use of the site and its inhabitants. This type of community event is important to generate interest among local residents and create opportunities for them to become more engaged in discovering the riches of their local area.
The purpose of the event is to bring all those involved together to show everyone how their collaboration and participation contributed to the success of the Archéo-Pontiac project!
Editor’s note: Are you involved with a local association? Community organization or residents’ association? Email today for a free spot in the paper! info@bulletinaylmer.com
435 Vanier: plusieurs craintes des résidents du secteur
Notre quartier a commencé à se développer au milieu des années 90. À l'époque, la rue des Attikameks ne sortait pas sur le chemin Vanier et selon l'information reçu, elle ne devait jamais déboucher. Avec la construction de la garderie et du Tim Hortons, la rue des Attikameks a été ouverte sur le chemin Vanier. La petite vie paisible de quartier a commencé tranquillement à être perturbé. Avec les développements immobiliers et commerciaux au nord des Allumetières, la circulation n'a fait que s'accroître sur Vanier. Les voitures empruntaient de plus en plus la rue des Attikameks comme transit entre McConnell et Vanier. Avec les problèmes de circulation qui s'alourdissaient, la ville a installé des feux de circulation à l'intersection Vannier/McConnell. Les conducteurs de plus en plus impatients ne voulant pas attendre au feu a résulté une fois de plus à augmenter le volume de voiture sur la rue des Attikameks.
À part la mise en place de balises et bollard, qui sont enlevés de novembre à avril, aucune autre mesure d'atténuation de la vitesse a été mise en place par la ville. Les conducteurs pressés, qui empruntent des Attikameks comme raccourci, mettent quotidiennement nos vies en danger. Plusieurs jeunes prennent l'autobus en bordure de cette rue et ceux au secondaire marchent le long des Attikameks pour prendre l'autobus sur Vanier ou McConnell. À part le trottoir d'un coté de la rue, il n'y a aucune traverse pour piéton et seulement un arrêt sur une intersection à trois sens au coin Attikameks et Petite Nation, où les voitures tournes vites et sans ralentir.
Pendant les heures de pointes, plus de 20 voitures par minute peuvent défiler sur des Attikameks. Les voitures roulent à plus de 60 km/h et parfois près de 100 km/h. Lorsque nous voulons de sortir des rues adjacentes ou des entrées donnant sur des Attikameks, la circulation constante rend difficile de le faire de façon sécuritaire et les voitures accélèrent et nous klaxonnent pour nous empêcher de nous engager.
Il n'est pas rare de nous faire suivre à une distance dangereuse et de se faire dépasser dangereusement par la gauche sur des Attikameks, parce que nous respectons la limite. Les gens qui habitent sur des Attikameks doivent garder leurs fenêtres fermées afin de ne pas se faire déranger par le bruit constant de la circulation. Pourtant, cette rue n'est pas une rue collectrice, mais simplement une petite rue de quartier, dans un petit quartier comptant 6 rues. Nous avons fait maintes requêtes au 311, contacter notre conseillère et pourtant aucune amélioration n'a été apportée.
Les balises et bollards ont été ajouté en 2020 et des relevés de vitesse ont été pris à ce moment, en plein covid lorsque tout le monde était enfermé à la maison. Les relevés ont été jugé satisfaisant et personne n'a pensé qu'il serait important d'en refaire en lien avec l'ajout d'un immeuble de 251 logements et avec le retour au travail en personne des fonctionnaires.
De plus, la circulation sur Vanier étant si problématique, nous habitons à moins d'un kilomètre d'une épicerie, mais plusieurs choisissent d'aller à Ottawa ou ailleurs à Aylmer, pour éviter cette intersection qui peut prendre plus de 15 minutes à traverser.
Vanier ne comporte qu'un trottoir qui doit être partagé par les cyclistes et piétons. Il n'y a aucune piste cyclable le long de Vanier entre McConnell et Des Allumetières. L'intersection au coin de Vanier et Allumetières est dangereuse, car les conducteurs refusent souvent d'arrêter aux traverses de piétons aux rampes d'accès et continuent souvent de circuler sur les feux rouges par impatience. Il n'y a aucun abri d'autobus pour le transport en commun et l'arrêt d'autobus sur le côté ouest de Vanier est loin des intersections, donc les gens coupent à pied au milieu de la circulation pour se rendre à l'arrêt.
Les études présentées lors de la soirée d'information du promoteur pouvaient dater jusqu'à 2011 et la plupart de 2022, donc ne reflétant pas la réalité, comme tous les fonctionnaires étaient toujours en télé travail.
Selon la situation actuelle et sans amélioration des infrastructures, le projet du 435 Vanier ne semble aucunement refléter plusieurs des critères de la ville, et ce sur plusieurs aspects:
- Favoriser la mobilité active et de faciliter l’accès efficace et sécuritaire au transport collectif
- Proximité des écoles (déjà à pleine capacité et les élèves devront être transporté en autobus)
- Assurer l’uniformité visuelle dans l‘ensemble du projet dont l'architecture d’un bâtiment rappelle les traits dominants de son milieu d’insertion (secteur résidentielle n'ayant aucun immeuble résidentiel ou commercial de plus de 2 étages)
Tous ces facteurs réunis, permettent de comprendre la forte opposition des citoyens du secteur Aylmer/Plateau et particulièrement des résidents de notre quartier, face à ce projet. Si l'abandon total de ce projet n'est pas possible, nous nous attendons dû moins que la ville prenne ses responsabilités envers leurs citoyens et de mettre le projet sur pause, le temps de refaire des études qui reflète la situation actuelle, de consulter ses citoyens et d'améliorer les infrastructures routières et piétonnes avant de permettre au projet d'aller de l'avant.
Sophie DesMarais
Quartier Petite Nation/Domaine Champlain
Message pour la Ville de Gatineau au sujet du projet résidentiel au 435 Vanier
Pour donner suite au courriel que je vous ai envoyé le 15 octobre dernier et dans la foulée de la consultation du 12 novembre avec le promoteur du projet de 251 logements à l'angle de Vanier/des Allumettières et à laquelle je ne pourrai assister, j'aimerais soulever quelques points à l'intention des élus et du Service d'urbanisme de la Ville de Gatineau.
- Je suggère qu'un moratoire de dix ans sur toute construction à Aylmer, et plus précisément dans le secteur Vanier/des Allumettières, soit IMMÉDIATEMENT décrété. Cela donnera la chance à la Ville d'effectuer le rattrapage nécessaire et longtemps attendu en matière d'infrastructures. Dix années ne seront pas de trop pour s'acquitter de cette lourde tâche!
- Que l'on mettre en place une initiative pouvant s'apparenter à un plan particulier d'urbanisme (PPU) tel qu'il existe en ce moment dans le Vieux-Hull et qui sera déployé prochainement pour le Vieux-Aylmer. Le secteur Vanier/des Allumettières est un secteur névralgique qui demande une planification de longue haleine avant de poursuivre tout développement ou expansion. Il ne devrait plus avoir de « surprise dans notre quartier » comme une tour de 15 étages qui ne s'harmonise nullement avec les architectures existantes.
- Que ce « PPU » se penche sur des éléments qui affectent la qualité de vie des citoyens, comme la création de zones d'ombre importantes en raison de la hauteur des édifices, des impacts sur le volume de circulation et sur le stationnement ainsi que le manque de transport structurant qui ne sera pas réglé avant la venue du tramway qui ne se concrétisera pas, soyons réalistes, avant au moins une quinzaine d'années.
- Que tout projet de développement après la fin du moratoire soit conçu et construit « à échelle humaine » pour s'harmoniser avec les résidences du quartier avoisinant.
Le projet de 435 Chemin Vanier doit donc être immédiatement retiré.
Marion Barfurth
Gatineau
Lettres d'octobre
50e anniversaire Cercle des fermières d'Aylmer
Nous allons avoir un évènement qui aura lieu le 19 octobre, un 5 à7, avec nos membres et d'autres invités pour fêter nos 50 ans d'existence à Aylmer.
Le Cercle fait partie d'une association féminine au Québec qui contribuent à l'amélioration des conditions de vie de la femme et de la famille. Elle a aussi la mission de préservation et la transmission du patrimoine culturel et artisanal à Aylmer.
CFQ Aylmer
STO et problèmes de transport en commun
Hier, j'ai passé plus de 30 minutes dans le centre-ville (Albert/Slater) à attendre la ligne 55 ou 59 pour rentrer chez moi. J'ai continué à suivre l'application Transit et à chaque fois ces lignes étaient annulées et un nouvel horaire apparaissait. Bien sûr, quand le bus arrivait, il était plein à ce moment-là. Et ce n'est pas la première fois que cela se produit. Alors la STOs et le gouvernement ne savez pas pourquoi nous prenons la voiture pour aller travailler si nous ne pouvons pas compter sur le système de transport public !
Tatiana Lermontov
Aylmer
L’importance de l’information locale
Je tiens à vous féliciter pour l’édition-choc du Bulletin cette semaine qui illustre bien l’importance des articles et de l’information locale pour notre communauté.
Comme on le dit si bien en anglais « A picture paints a thousand words ». L’utilisation d’espaces blancs démontrent avec force le vide laissé par l’absence d’articles.
J’espère que cette campagne fera prendre conscience aux gens du rôle important que jouent les journaux locaux.
Christine Gandy
Aylmer
Parcs et sentiers pour chiens
Je vous écris parce que je suis très très triste afin de la décision prise par forêt boucher de n’accepter plus les chiens dans la plus parte des sentiers. J'ai adoré parcourir les sentiers avec mon chien et maintenant je ne peux plus le faire. Oui, vous avez encore un sentier pour les chiens mais ce n’est pas suffisant. Et oui, je sais qu’il y a le parc sans laisse à la côte d’à la forêt. Mais l’expérience de randonnée dans la forêt c’est une expérience complètement pour moi et mon chien.
Si le problème était que personnes ont marché aux sentiers avec leur chiens sans laisse, je pense que la fondation forêt boucher aurais pu adresser le problème en appliquant le règlement déjà en vigueur pour les personnes qui laissent leurs chiens sans laisse. Vous n'étiez pas obligé d'aller aussi loin dans les règles.
Une des raisons pour laquelle je suis déménagé à ce coin à Aylmer est que la forêt boucher avaient des sentiers pour moi et mon chien. Le parc de Gatineau est déjà très strict avec des règles chiennes sans laisse, et je suis très déçu que la forêt boucher à suive la même direction. Maintient, si je veux faire une bonne randonnée avec mon chien, je dois diriger plus de 30 minutes au Bruce Pit ou Conroy Pit en Ontario.
Ne punissez pas les chiens, punissez leurs propriétaires qui ne respectent pas les règles équitables.
Jacob Miller
Résident passionné de Aylmer
Lettres de septembre
NOTRE COMMUNAUTÉ SOLIDAIRE DERRIÈRE AYLMER ARMS:
Suite à l'incendie qui a gravement endommagé les appartements Aylmer Arms, soyons solidaires.
Dans la nuit du 29 au 30 juin dernier l'immeuble Aylmer Arms, qui abrite 101 logements abordables pour des personnes de 55 ans et plus à faible revenu, a été gravement endommagé par un incendie. Une trentaine de résidents sont présentement relocalisés temporairement. La fumée, la suie et l’eau ont laissé des traces dans l’entièreté de l’immeuble. Nous avons mobilisé nos ressources depuis le sinistre afin de garantir la sécurité des résidents et de minimiser les dommages.
La reconstruction et la décontamination des logements représentent des défis financiers considérables étant donné qu'un grand nombre de résidents n'étaient pas assurés.
Les appartements Aylmer Arms ne bénéficient d'aucunes subventions gouvernementales. Le loyer moyen est de 700$/mois, incluant le chauffage, l'éclairage et des meubles de base (frigo et cuisinière).
Nous vous sollicitons aujourd'hui car nous dépendons de votre soutien financier immédiat. Nous estimons que le coût des travaux nécessaires pour les non-assurés s'élèveront à environ 350 000$. Cette somme servira à réaliser les travaux de décontamination, ainsi que la disposition et l'entreposage des biens pendant les travaux.
Nous allons tout faire pour permettre aux résidents des appartements Aylmer Arms de retrouver leur logement, leurs amis, leur routine et surtout, leur communauté.
Démontrons notre solidarité aux Appartements Aylmer Arms et à leurs résidents.
Votre générosité est grandement appréciée.
Nombre record de médecins qui quittent le système public québécois
J’ai écouté une entrevue par rapport au nombre record de médecins qui quittent le système public québécois.
C'est déjà scandaleux qu'au Québec des centaines de milliers sont sans médecin de famille dans notre système public et ce depuis de longues années. La situation est particulièrement grave à Gatineau. Or, on dit que nous perdons de plus en plus de médecins au profit des cliniques privées. On voit que des patients se sentent même contraints de suivre leur médecin au privé et alors doivent payer des frais exorbitants. Pire, des cliniques fixeraient leurs frais selon l'âge des patients - dans un cas rapporté – 4,000$ pour un patient de 80 ans !! Après avoir contribué à la société Québécoise pendant si longtemps, nos ainés font face à de l'âgisme honteux et sans bornes. Est-ce le genre de société qu'on veut au Québec comme disait un médecin ? On ne veut pas se retrouver comme aux Etats-Unis.
Et pourquoi l'exode vers le privé? Pourtant, les médecins au public reçoivent un salaire brut de $369,000. C'est plus que le salaire de $304,000 en Ontario (chiffres de 2021). Donc pourquoi la pénurie de médecins ici? Écrire au ministre de la Santé n`a donné lieu à aucune réponse.
P. Trottier
Aylmer
Un éditorial rafraîchissant
Je voudrais remercier Didier Périès pour son éditorial du 28 août. Il est tellement rafraîchissant d'entendre la vérité de la part d'un « journal » local au lieu du battage médiatique auquel nous sommes habituellement soumis par les médias locaux. (Trad.: BA)
Paul Guibord
Aylmer
Courses de rue à Aylmer
Je pense que nous pouvons renommer certaines rues d'Aylmer en « Luskville Dragstrip », c'est-à-dire le boulevard Wilfrid Lavigne. Jamais aucun signe de la police pour attraper les nombreux coureurs de dragsters qui font de la vitesse compétitive et qui passent quotidiennement devant la zone scolaire.....et je veux dire toute la course de dragsters. (Trad.: BA)
Pat Aylmer
Aylmer
Fatigué des pourboires
Chers petits commerçants d'Aylmer : Sachez qu'il est très fatigant d'être toujours invité à donner un pourboire. Partout en ville, on me demande régulièrement de donner un pourboire alors que le service rendu est très faible. Oui, j'achète des choses en ville. Mais dois-je payer 20, voire 30 % de plus que le prix du café à emporter que je prends au comptoir ? Je mets moi-même le sucre et la crème dans le café, je nettoie derrière moi, et on me demande encore de payer un supplément ! Je n'avais pas réalisé que les montants des pourboires sont calculés sur le prix de l'addition après les taxes ! APRÈS TAXE ! Qu'est-ce qui se passe ?
S'il vous plaît, nous devons trouver une solution équitable. Propriétaires d'entreprises, si vous ne pouvez pas payer suffisamment votre personnel, augmentez les prix, mais arrêtez de demander au public de payer tous ces pourboires supplémentaires alors qu'il n'a rien en retour.
Nom retenu sur demande
Gatineau
A propos des autos super bruyantes sur le boulevard Wilfrid-Lavigne, à Aylmer
(Bulletin d’Aylmer, Tashi Farmilo, 11 septembre 2024, p. 8)
Oui, il y a définitivement un problème de bruit causé par des autos qui ont été modifiées expressément pour faire du bruit. Les conducteurs de ces autos aiment parader bruyamment - et parfois faire la course – entre autre sur le tronçon de Wilfrid-Lavigne près du poste de pompiers, le plus souvent tôt les beaux soirs de fins de semaine, et parfois le matin ou jusqu’à passé minuit. Mais, ce sont des exceptions, peut-être 15-20 autos modifiées (et quelques motos aussi). En général, même si le trafic est assez considérable sur Wilfrid-Lavigne, entre Principale et des Allumettières, le bruit est relativement faible (rarement de klaxons, même les pompiers évitent, quand ils le peuvent, de mettre la sirène! Il faut les en féliciter). Ce sont ces chauffards qui sont nuisibles, même parfois dangereux, et que la police devrait pénaliser. Mais, existe-t-il une limite factuelle de décibels qu’il est interdit de dépasser en vertu du Code criminel, et qui est mesurable? Et comment faire pour pincer les contrevenants? En postant une auto patrouille anonyme, tout près, pendant les périodes mentionnées? Ou avec des photo-radars sensibles au son, peut-être? Ou encore, via des vidéos prises par les résidents et remises à la police? Je crois qu’il serait de mise que le conseil municipal se penche sur la question pendant que le nombre de ces chauffards - encore adolescents malgré leur âge - est relativement limité.
D’autre part, je comprends mal la référence de Tashi Farmilo (Bulletin d’Aylmer, 11 septembre 2024, p. 8) à l’effet qu’il n’y a eu aucune plainte faite à la police pour ces bruits, entre 2021 et 2024 « despite the outcry from residents ». Est-ce à dire qu’il n’y a pas eu de plaintes spécifiques au bruit, faites à la police? Que les résidents ne se plaignent du bruit qu’entre eux, sur Facebook? Or, outre l’aspect méfait sous le Code criminel, le bruit excessif et inutile est une forme réelle de pollution et doit être réprimée, particulièrement dans nos zones très résidentielles. Il faut donc le rapporter à la police et aux autres autorités aussi souvent que nécessaire.
André L.
Aylmer
Copies
- aux conseillers municipaux Steven Boivin, du district 1 (Aylmer), et Gilles Chagnon, du district 2, (Lucerne) vu que le boulevard Wilfrid-Lavigne constitue la ligne de partage entre ces districts.
- à la responsable des communications et relations avec la communauté, au service de police, Mariane Leduc
Vrai ou faux?
Le vinaigrier produit le vinaigre…
Faux !!!
Le sumac vinaigrier, communément appelé vinaigrier, n’a aucun rapport avec le vinaigre. Il s’agit d’un grand arbuste indigène qui a un peu l’allure d’une plante tropicale exotique.
Omniprésent dans la forêt Deschênes, il est facilement reconnaissable grâce à ses longues feuilles qui rappellent celles d’un palmier.
Le vinaigrier est aussi remarquable par sa fructification. Ses fleurs attirent les insectes pollinisateurs et produisent des masses denses de fruits rouges et veloutés de formes coniques. Ces derniers deviennent brun rougeâtre à l’automne et persistent une bonne partie de l’hiver au grand bonheur des oiseaux qui s’en nourrissent.
À l’automne, son feuillage luxuriant se pare de flamboyantes teintes de rouge et d’orange, ce qui contribue grandement à l’éblouissant coloris automnal de nos forêts !
IMPACTS SOCIOÉCONOMIQUES
La Forêt Boucher célèbre son mois dédié à la nature et au bien-être avec une série d'activités exclusives
La Fondation Forêt Boucher est heureuse d’annoncer une série d'événements et d'activités pour célébrer le Mois de la Forêt Boucher, une initiative visant à connecter la communauté à la nature à travers des expériences uniques et enrichissantes. Tout au long du mois d'octobre, la Forêt Boucher sera l’hôte de plusieurs activités pour tous les âges et tous les goûts, mettant en valeur la beauté et l'importance de notre forêt locale.
Au programme:
- Des séances de théâtre avec Dérives Urbaines : Les 12-13 octobre et 19-20 octobre, l'entrée Samuel Edey sera le théâtre de représentations en plein air, de 11h à 12h et de 13h à 14h. Ce spectacle interactif invite les participants à découvrir l’histoire et l’environnement de la forêt à travers une mise en scène captivante.
- Des sorties avec Relais Plein Air – Mode inclusif : Les 5 et 6 octobre, une sortie en mode inclusif sera organisée en collaboration avec Relais Plein Air pour encourager une participation active de tous. Cette aventure promet d’être enrichissante, avec un parcours adapté pour que tout le monde puisse en profiter pleinement.
- Une conférence à l’abri : Le 26 octobre, de 9h30 à 11h00, venez assister à la conférence "Les Forêts : des alliées essentielles à votre bien-être" à l’abri. Cet événement gratuit est l’occasion d’en apprendre plus sur les bienfaits de la nature sur la santé mentale et physique, avec des experts dans le domaine.
- Une sortie avec le club de mycologues : Le 27 octobre, plongez dans le monde fascinant des champignons avec une sortie guidée par le club de mycologues. Cette excursion est idéale pour tous les amateurs de nature et de biologie.
- Des séances de yoga en forêt : Deux séances de yoga en pleine nature seront proposées les mardis 1 et 8 octobre à 17h00. Prenez le temps de vous ressourcer dans un cadre apaisant, tout en profitant des bienfaits du yoga au cœur de la forêt.
Inscription et participation :
Les activités sont gratuites, mais certaines nécessitent une inscription préalable en raison du nombre de places limitées. Pour plus d’informations et pour vous inscrire, visitez notre site web ou suivez-nous sur les réseaux sociaux.
À propos de la Fondation Forêt Boucher
La Fondation Forêt Boucher œuvre à la protection et à la mise en valeur de la Forêt Boucher, un espace naturel exceptionnel situé à Gatineau. Nous offrons à la communauté l’opportunité de découvrir et de profiter de cet environnement unique à travers des activités éducatives, récréatives et artistiques.
Lettres de août
Randonnée découverte de la forêt Deschênes
Le dimanche 11 août vous êtes cordialement invités à notre randonnée découverte de la forêt Deschênes qui s’inscrit dans le cadre du Programme d’activités estivales de la ville de Gatineau. Nous vous ferons découvrir sa riche biodiversité, son histoire et les aspects géographiques de son territoire. C’est une magnifique occasion de mieux vous faire apprécier notre forêt et vous faire découvrir les espèces emblématiques qui l’habitent.
C’est un rendez-vous le 11 août de 9 h 30 à 11 h en face du 100, chemin Fraser, secteur Aylmer.
Au plaisir de vous y voir!
L'éditorial sur la haine, un rappel opportun
Lily, vous avez écrit un éditorial émouvant, magnifique et qui donne à réfléchir dans l'édition du 17 juillet du Bulletin de Gatineau. Je viens de le lire et je le transmettrai à d'autres personnes pour qu'elles le lisent sur le site web.
André Pinard
Aylmer, Gatineau
Message de Devcore : L'échec du processus d'immigration transforme les rêves de sécurité et de stabilité en une lutte pour la survie, souvent aboutissant dans nos rues !
"Hier, nous avons vu les premiers bus partir, soit pour Niagara ou Windsor, conduisant les demandeurs d'asile vers un avenir incertain. C'était déchirant à voir. Cela ressemble à un rendez-vous manqué pour les secteurs privé et public de collaborer et d'améliorer, voire de révolutionner, le processus d'immigration actuel et déficient. Le Centre Dev était un incubateur d'idées innovantes, et sa fermeture abrupte représente une perte significative pour tous."
Le 3 juillet, le Centre Dev, dédié à fournir un soutien complet et à intégrer les demandeurs d'asile, bourdonnait d’activité et de nouveaux départs. Cependant, ce qui a commencé comme une journée ordinaire a pris un tournant inattendu avec un seul appel téléphonique. Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) nous a informés que le contrat ne serait pas renouvelé. Bien que nous ayons toujours compris que le Centre Dev était une solution temporaire établie pendant la COVID—et renouvelée en raison de la pénurie de logements—nous avons été surpris par cette décision, étant donné que la pénurie de logements demeure aussi sévère que jamais.
Cette nouvelle inattendue était particulièrement choquante, étant donné que notre solution intégrée a été saluée par de nombreuses personnalités politiques, des fonctionnaires, des pairs de l'industrie, et la très respectée Agence des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR). Tous avaient un point commun : ils se demandaient pourquoi plusieurs centres de ce type n'étaient pas reproduits dans le monde entier.
Depuis août 2022, le Centre Dev a été un centre d'excellence en transition et apprentissage pour les demandeurs d'asile. En plus de fournir un hébergement et des besoins de base, il a offert une approche personnalisée pour aider les demandeurs d'asile tout au long du processus d'immigration, les dotant des outils nécessaires pour réussir.
Stratégiquement situé à Cornwall, entre Ottawa et Montréal et près d'un poste frontalier américain, le Centre Dev est l'un des plus grands centres de l'Est du Canada. Avec 535 chambres, des cuisines commerciales et 70 000 pieds carrés d'espace de réunion et de classe, cette installation a joué un rôle crucial dans les urgences gouvernementales et les évacuations à grande échelle pendant des décennies.
Aujourd'hui, alors que le Canada fait face à une augmentation significative des demandeurs d'asile au milieu de ressources limitées, du changement climatique et de tensions géopolitiques, le Centre Dev était, est, et restera une force pivot pour atténuer les crises humanitaires.
Notre approche structurée garantissait que les individus étaient accueillis dans leur langue maternelle et bénéficiaient des soins essentiels dès leur arrivée. Nos agents dévoués évaluaient le statut d'immigration de chaque personne et développaient des plans personnalisés pour répondre à leurs besoins spécifiques, facilitant un processus d'intégration plus fluide. Ce modèle aurait pu être reproduit dans tout le Canada, fournissant une solution complète pour les demandeurs d'asile à l'échelle nationale. L'efficacité de notre solution résidait dans une étroite collaboration avec la communauté et les parties prenantes environnantes, des partenariats qui nous permettaient de fournir de meilleurs services :
- Éducation : En partenariat avec l'école TR Leger et le Upper Canada District School Board, le Centre Dev offrait des classes gratuites pour les enfants et les adultes. Les enfants développaient les compétences nécessaires pour s'intégrer dans le système scolaire canadien, tandis que les adultes acquéraient des outils essentiels pour réussir à commencer une nouvelle vie au Canada. Tous apprenaient l'anglais et le français, ainsi que le rôle des femmes dans la société canadienne, leur fournissant une compréhension complète de leur nouvel environnement.
- Soins de santé : Nous avons construit une clinique interne, investissant plus d'un million de dollars pour fournir un processus d'évaluation complet, soulageant la pression sur le système de santé déjà surchargé. Cela comprenait la participation du Dr Max della Zazzera, un médecin expérimenté d'Ottawa offrant des examens médicaux d'immigration. Fluent en anglais, français et italien, il est entièrement dévoué à la médecine de l'immigration.
- Programmes de formation : Nous avons commencé à offrir un cours spécial pour accélérer la formation et la certification des travailleurs de soutien personnel (PSW). À ce jour, 23 personnes ont obtenu leur diplôme de ce programme.
Notre modèle, qui incluait un loyer gratuit (1 $), les services publics et l'entretien des locaux pour nos partenaires, était unique et sans égal. Ces efforts de collaboration garantissaient que chaque personne franchissant notre seuil recevait un soutien chaleureux et une attention personnalisée, essentiels pour réussir à commencer une nouvelle vie au Canada.
J'ai une question : Si le Centre Dev offrait de tels avantages réels, pourquoi le fermer tout en gardant d'autres hôtels offrant un service minimum ouverts ? Le Centre Dev est le seul centre de l'Est du Canada capable d'accueillir jusqu'à 1 000 personnes, ce qui pourrait offrir des économies d'échelle se traduisant directement par des coûts inférieurs par personne et une plus grande efficacité.
Bien que nous acceptions et respections la décision du gouvernement, nous percevons un écart entre leurs politiques proposées et les réalités actuelles sur le terrain. Nous sommes sincèrement préoccupés par l'avenir de l'immigration dans notre pays. L'histoire a montré que lorsque l'immigration n'est pas gérée efficacement, cela peut conduire à une augmentation de l'itinérance, un autre problème pressant qui afflige nos villes. Cette situation devient une double perte au lieu de ce qu'elle devrait être—un avantage pour tout le monde.
En 2024, il n'est pas acceptable que nos refuges pour personnes vulnérables soient pleins et que les travailleurs de première ligne supportent la pression d'un système manquant de ressources ou de créativité pour mieux les soutenir. La solution ne réside pas dans de grands hôtels urbains ou des installations municipales comme les arénas ou les centres communautaires, où les individus sont laissés à eux-mêmes pour naviguer dans le processus complexe d'immigration et s'intégrer dans la vie canadienne sans un soutien adéquat.
Je ne suis pas sûr que la ville, les entrepreneurs et la communauté dans son ensemble réalisent l'impact de cette décision sur l'écosystème global et la croissance future et la prospérité de Cornwall et de sa région. Le 31 juillet sera une date importante pour de nombreuses personnes, car plus de 70 employés du Centre Dev seront licenciés, sans parler de l'impact que la fermeture du centre aura sur jusqu'à 200 emplois indirects.
La mission d'une ville est de prendre soin de ses citoyens, de promouvoir le développement économique et de préserver les emplois. Malheureusement, la ville a fait très peu d'efforts dans ces domaines jusqu'à présent. Près de 50 % (225 personnes) des demandeurs d'asile travaillaient activement à Cornwall, soit à temps plein, soit à temps partiel. Maintenant, la plupart d'entre eux, n'ayant pas sécurisé de logement, devront partir dans les prochains bus, perturbant leur vie et la main-d'œuvre locale.
Nous sommes très fiers de ce que nous avons accompli au cours des deux dernières années. Nous avons aidé et guidé des centaines de personnes et de familles à travers ce processus d'immigration complexe et avons enrichi le Canada grâce à une main-d'œuvre qualifiée dans des secteurs où les pénuries de main-d'œuvre sont critiques.
Depuis le début, nous avons été là pour aider. Nous acceptons et respectons la décision de mettre fin au contrat, mais nous ne cesserons jamais de défendre notre solution, qui a prouvé son efficacité même sans être pleinement utilisée. Nous restons prêts à offrir notre expertise et notre soutien partout et à tout moment. Je crois en la résilience et au potentiel de notre pays, et je suis convaincu qu'ensemble, nous pouvons construire un avenir meilleur pour tous.
Jean-Pierre Poulin
Président, Centre Dev
Mise à jour de la Popote roulante d'Aylmer
La Popote roulante d'Aylmer fête ses 40 ans cette année. Fondé en 1984 par des anciens combattants, pour des anciens combattants, il est devenu un programme très nécessaire dans la communauté d'Aylmer. Nos aînés, les personnes qui ont temporairement besoin d'aide pour les repas et les personnes confinées à la maison bénéficient grandement de repas préparés à la maison et de la visite d'un visage amical avec qui discuter pendant quelques minutes, plusieurs fois par semaine. Cela peut faire toute la différence dans la vie de quelqu'un. Cela peut réduire la solitude.
La popote roulante d'Aylmer a désormais un nouveau domicile. Elle a fonctionné pendant des années dans l'église St. Mark's, puis a déménagé à la Légion d'Aylmer. Ces locaux n'étant plus adaptés, nous avons dû déménager, mais nous n'avons pas cessé nos activités, au contraire, nos services sont plus nécessaires que jamais.
Pour célébrer notre 40e année d'existence, nous organiserons une collecte de fonds le 19 octobre. Buffet chaud et froid, vente aux enchères silencieuse et soirée dansante avec "Heart and Soul". Les billets seront mis en vente très prochainement et l'événement est ouvert à tous. Gardez un œil sur notre page Facebook à : Popote Roulante Aylmer.
Vous pouvez obtenir plus d'information sur l'admissibilité au programme de la popote roulante d'Aylmer en composant le 819-664-2529, en laissant votre nom et votre numéro de téléphone et quelqu'un vous rappellera.
Nous vous remercions de votre soutien,
Mary-Ann Latimer
Présidente de la Popote roulante d'Aylmer
Québec solidaire demande à la CAQ d'augmenter à 242$ le supplément pour les fournitures scolaires
Alors que la rentrée scolaire coûte plus cher que jamais aux parents, Ruba Ghazal, la responsable solidaire en matière d'éducation, demande à la CAQ d'aider les familles à faire face à l'inflation en faisant passer le supplément pour l'achat de fournitures scolaires de 121$ à 242$.
« Avoir un sac à dos rempli, c'est un outil essentiel pour apprendre à l'école, ce n'est pas un luxe. L'école publique, c'est supposé être gratuit au Québec, pour donner des chances égales à tous les enfants. C'est la responsabilité du gouvernement de faire en sorte qu'aucun parent n'ait à choisir entre payer le loyer ou acheter les fournitures scolaires de son enfant », a déclaré Mme Ghazal.
Le gouvernement du Québec offre annuellement 121$ aux parents, alors que le coût de la liste des fournitures pour un élève du secondaire coûte en moyenne plus du double, soit 260$, sans compter les manuels et les cahiers pouvant à eux seuls coûter plus de 150$ par élève. Québec solidaire demande au gouvernement d'aider les parents à absorber les coûts supplémentaires en leur envoyant un second chèque de 121$, dès la rentrée. Cette mesure coûterait 140 M$ et toucherait 1,65 million d'enfants au Québec.
« Avec l'inflation et la quantité de fournitures scolaires qu'on demande aux parents d'acheter pour leurs enfants, l'aide gouvernementale n'est tout simplement pas suffisante. Les parents doivent plus que jamais payer cher pour les crayons, les duo-tangs, mais aussi souvent un nouveau sac d'école ou une nouvelle boîte à lunch pour leurs enfants! », a déclaré Mme Ghazal.
En guise de comparaison, le gouvernement français offre aux parents un montant minimal de 398 euros (601$) pour amortir les coûts liés à l'achat de fournitures scolaires.
Victor Wong Seen-Bage,
Attaché de presse, Aile parlementaire de Québec solidaire
Montreal
Réduction des services de collecte des matières résiduelles
Comme d'autres citoyen.nes, je suis frustrée et consternée par la réduction des services.
Soyons clairs.
Auparavant, les citoyen.nes pouvaient faire ramasser leurs matières résiduelles 52 fois par année. Cela a changé au début de l'été et maintenant ces matières ne seront ramassées par les services municipaux que 3 à 4 fois par an. La Ville demande à ses citoyens d'acheter un bac pour 100 à 200 $ pour un ramassage partiel sur une base hebdomadaire (mais cela ne permet pas de ramasser la plupart des matières). Dans mon cas, il faudrait environ 3 mois supplémentaires pour tout éliminer. Ce qui signifie toujours moins de services qu'auparavant.
La Ville a réduit les services qu'elle offrait aux citoyens en matière de matières résiduelles. Elle nous demande de nous « adapter » à ces coupures de services en dépensant de l'argent pour des bacs à ordures ou du temps pour apporter nos matières à un écocentre (si nous avons un véhicule pour le faire, sinon pas de chance).
C'est inacceptable, tout comme le fait que nos élus nous ignorent et n'écoutent tout simplement pas les conséquences négatives de ces coupures sur notre vie quotidienne. C'est ce que j'ai vécu avec mon conseil municipal qui n'a pas été en mesure de me proposer des solutions viables et qui s'est contenté de défendre les suppressions des services.
J'encourage le conseil municipal à réexaminer et à réviser ces réductions de services effectuées sur le dos de ses citoyens.
Charmain Levy
Gatineau
Lettres de juillet
Gens d'Aylmer, exprimez-vous à vos représentants
Suite à la lettre d'opinion positive de Mme Morin dans le bulletin d'Aylmer qui écrivait : ''Quelle chance inouïe pour la population d'Aylmer que l'hôpital se trouve à proximité''. Premièrement, merci à Mme Morin pour son positivisme.
Néanmoins, le centre Asticou reste passablement éloigné de l'ouest de Gatineau. Son accès n'est pas nettement plus facile que l'ancien site envisagé ; à moins qu'une sortie spécifique ne soit aménagée sur la promenade du parc (peu possible). Le déplacement de l 'emplacement du futur hôpital du site près du Casino au site Asticou ne réduira le temps de transport que de 2 minutes (1 km) sur 23 minutes en partance du centre-ville d’Aylmer (hors-pointe).
Discutant de déplacement : qu’attendent nos représentants de l’ouest de Gatineau pour demander et obtenir une sortie à partir de la 5 direction sud pour la 50 ouest ?
Pour votre information, notre Ville a prévu 3 séances de consultation sur la participation citoyenne la semaine prochaine, une à Buckingham, une au secteur Gatineau et une dans le secteur Hull. Trouvez l’erreur ! La représentante de la Ville interrogée sur l'absence de séance à Aylmer a simplement répondu que les citoyens de Gatineau pouvaient se rendre à n’importe quel site…
A quand, une piscine extérieure à Aylmer ?
Un rappel à tous: bientôt plus de 40% de la population de Gatineau vivra à l'ouest du parc de la Gatineau, il faut prévoir notre Ville et agir en conséquence.
Exprimez-vous à vos représentants (maire, députés, conseillers municipaux, associations de quartier, 3-1-1) et non pas seulement sur les réseaux sociaux.
Boris Lamontagne
Aylmer
Surprise pour les résidents: résidus verts laissés partout
La semaine du 1er juillet s'est avérée révélatrice et surprenante pour des résidents du secteur Wychwood notamment: plusieurs sacs de résidus verts laissés en bordure des rues, des témoins malheureux de la nouvelle politique de Gatineau sur les collectes de matières résiduelles. Car des sacs de papier remplis de résidus verts, on n'en veut pas sauf à certains moments précis au printemps et à l'automne. En plus, on limite le nombre de sacs à ces moments.
Ce n’est pas comme si nos arbres si précieux arrêtent de pousser parce que la ville a décidé de limiter les collectes de feuilles et petites branches qui tombent à des moments inopportuns sans parler de nos autres résidus verts de jardin! On nous dit qu'on peut acheter un gros bac vert si pas de place dans le bac brun. Seulement 120$ chez un fournisseur je remarque! Je trouve cela inacceptable. Par ailleurs, on a déjà trois bacs qui se bousculent pour de la place dans notre pauvre garage! Aussi, ce n'est pas une option pour des tas de résidents d`Aylmer d'avoir à apporter leurs résidus à l'écocentre de Gatineau. Bravo à Gatineau de nous compliquer la vie!
Il faudrait revoir cette nouvelle politique tout au moins afin de permettre la collecte de sacs de papiers à d'autres moments que ceux annoncés. On a besoin de politiques qui sont raisonnables, souples et réalistes surtout dans des secteurs aussi boisés que Wychwood. Madame la Mairesse ??
P. Trottier
Aylmer (Wychwood)
Que faut-il faire pour que la population du secteur d'Aylmer soit traitée sur un pied d’égalité
Je n'ai pas été étonnée d’apprendre de la part de M. Boris Lamontagne qu’aucune séance de consultation sur la participation citoyenne a été organisée dans le secteur Aylmer alors qu’il y en a dans les secteurs de Buckingham, Gatineau et Hull. Notre population doit être d’environ 70,000 habitants. La question se pose…. Que faut-il faire pour que la population du secteur d'Aylmer soit traitée sur un pied d’égalité?
On se souviendra qu’à deux reprises, on s’attendait à ce que l’ensemble de la population d’Aylmer se déplace vers le secteur Gatineau pour recevoir le vaccin H1N1 et Covid. On faisait complètement fi du fait qu’une grande partie de la population allait devoir se passer du vaccin faute de transport ou pour des raisons de mobilité. Personne parmi no dirigeants semblait se soucier de cette situation aberrante. C’est lorsque les citoyens se sont mobilisés que la situation s’est améliorée.
M. Lamontagne a entièrement raison d’inciter la population à se faire entendre auprès des élus, autant municipaux que provinciaux. Nous avons élu ces gens pour qu'ils travaillent pour nous. Ils ont intérêt à savoir ce que nous pensons, ce que nous voulons et ne voulons pas. C’est très facile de trouver leur adresse courriel. Il ne faut pas se sentir intimidé de communiquer avec eux, malgré leurs titres ils sont des citoyens comme nous. (Appelez le 3-1-1)
Nicole Morin
Aylmer
Les Retrouvailles 2024 des anciennes et anciens de l’école polyvalente de Hull :
Retrouvailles 2024 Retrouvailles 2024, anciennes et anciens de l’École Polyvalente de Hull (EPH) OYÉ, OYÉ, OYÉ, ceci est un appel à tous les anciennes et anciens qui ont fréquenté l’École Polyvalente de Hull durant son existence, de 1966 à 1974. Pour marquer le 50ième anniversaire de sa fermeture, une soirée des retrouvailles aura lieu le samedi 19 octobre 2024. L’événement se tiendra au Centre Asticou qui changera d’identité pour redevenir, le temps d’un soir, l’École Polyvalente de Hull. L’EPH a accueilli des milliers de jeunes de tout l’OUTAOUAIS. Pour nous, les anciennes et les anciens, ce sera l’opportunité de faire un retour aux sources inoubliable. Vous êtes une ancienne et ou un ancien qui voulez participer ? Surveiller cette rubrique du BULLETIN pour être au fait des préparatifs. La prochaine étape sera la mise en vente des billets. Vous êtes abonnés à FACEBOOK ? Rejoignez-nous sur la page POLYVALENTE DE HULL pour suivre l’évolution de l’événement, retrouver des amies et amis, et partager vos histoires et photos. On a hâte de vous revoir ! -30- Dans les prochaines semaines, nous aurons d’autres avis avec de l’info supplémentaire. Pourrais-tu SVP m’indiquer à quel date ce premier sera publié. Dans les deux hebdos? As-tu une adresse courriel à laquelle je pourrais te faire parvenir éventuellement
Claude Tremblay
Gatineau
Hommage au chêne
Saviez-vous que le toponyme "Deschênes" tire son origine des peuples autochtones qui remarquaient l'abondance des chênes au portage; le nom a été repris par les explorateurs français.
Le chêne est un arbre majestueux qui contribue à la richesse de notre forêt. Nous en avons répertorié trois espèces: le chêne blanc (qui est plutôt rare), le chêne à gros fruits et le chêne rouge.
On peut facilement distinguer l’arbre à ses feuilles et à ses fruits. Voici quelques caractéristiques qui vous permettront de reconnaître chaque espèce.
La feuille du chêne blanc présente des lobes arrondis et des sinus profonds. Le gland est enfermé dans une sorte de petite coupe écailleuse ( appelée cupule ).
Quant au chêne à gros fruits, sa feuille a également des lobes arrondis mais les sinus sont profonds près de la tige et peu profonds au bout de la feuille. Son gland est entouré d’une cupule très frangée.
Et le chêne rouge possède des feuilles plus échancrées avec des lobes aigus et son gland est inséré dans une cupule écailleuse en forme de béret.
Le chêne joue un rôle essentiel dans un écosystème. C’est un arbre nourricier exceptionnel pour les écureuils, les chevreuils, les lapins et autres mammifères qui raffolent de ses glands.
Pour en apprendre davantage, nous vous invitons à consulter notre site web, www.parcdeschenes.ca. Cliquez sur l’onglet Ressources. Sous Projets scientifiques, choisissez le deuxième lien: APDHabitatetBiodiversité2023fr.pdf. Vous y retrouverez les illustrations des chênes à la page 7.
Nous espérons que lors de votre prochaine balade en forêt vous serez en mesure de les reconnaître à votre tour.
Plus d’asphalte ou plus d’espace vert ?
Pourquoi voit-on l’asphalte empiété de plus en plus sur nos espaces verts, parfois même sur nos parcs municipaux ou des cours d’école ??
La bureaucratie est souvent un gros monstre sans beaucoup de jugement, résultant en des décisions justifiées, mais pas très logiques.
Deux exemples :
- Il y a plusieurs années, l’école du Village (immeuble St-Paul sur Eardley) a vu sa cour d’école plus que centenaire décapitée par un stationnement. Et ce alors, que près d’une centaine d’espaces de stationnement sont disponibles et facilement accessibles aux terrains de stationnements adjacents du couvent et de l’église St-Paul.
- Centre communautaire Front : La Ville prévoit agrandir le centre et implanter des bornes de charge des véhicules électriques (Bravo). Néanmoins, elle prévoit aussi convertir une partie du parc adjacent en stationnement, et ce alors qu’il y a beaucoup de places de stationnement disponibles sur Front juste en face du centre.
Si vous voulez léguer à vos enfants, des espaces verts au lieu de stationnement, contactez votre conseiller municipal.
Boris Lamontagne
Aylmer
L'importance des journaux locaux
Merci, Lily Ryan. Dans le Bulletin de Gatineau de la semaine dernière, j'ai lu un éditorial écrit par Mme Ryan soulignant l'importance des journaux locaux dans nos communautés.
Je partage sans réserve le point de vue de Mme Ryan.
Les journaux locaux sont essentiels.
Les journaux locaux sont une opportunité pour chaque personne dans la communauté : ils sont une opportunité pour chaque citoyen de parler de ce qui le concerne, d'une manière accessible à chacun, dans la langue de son choix ; ils sont une opportunité de discuter des questions qui les concernent.
Le contenu objectif des journaux locaux, en ligne ou sur papier, récompense les citoyens sans qu'ils aient recours aux informations subjectives disponibles sur les médias sociaux, par "ouï-dire" ou sur l'internet.
L'information objective fournie par les journaux locaux est essentielle pour chaque citoyen.
Je soutiens sans réserve les journaux locaux. Ils sont essentiels pour chaque citoyen dans chaque communauté, que ce soit dans notre province ou dans notre pays.
Merci, Lily, de l'avoir exprimé dans votre éditorial. (Trad.: BA)
Stephen Lloyd
Aylmer
NUISANCES : La ville donne aux résidents de nouvelles règles et un laissez-passer pour eux-mêmes
Je vis à la même address rurale depuis 1998. J’ai été stupéfait de recevoir une lettre recommandée de la ville de Gatineau contenant un
avis d’infraction au règlement 658-2010, qui est entré en vigueur en 2010. C’est une nouvelle pour moi.
Apparemment, il incombe aux propriétaires d’entretenir les fossés et les panneaux appartenant à la ville et situés dans l’emprise avant ou latérale de leur propriété. Cela comprend le fauchage et le dèsherbage
Vous devez également désherber et tondre votre pelouse à une hauteur maximale de 7,8 pouches. La ville envoie-t-elle des patrouilleurs munis de règles pour s’assurer que vous respectez les règles?
Il s’agit d’un autre exemple où la Ville de Gatineau se lave les mains de ses responsabilités et les rejette sur les propriétaires fonciers.
Quelle sera la procaine étape? S’attend-elle à ce que les propriétaires fonciers remplissent les nids-de-poule dans la rue parce que la route se trouve devant ou sur le côté de leur propriété?
Ne vous donnez pas la peine d’appeler votre conseiller non plus. Il se contentera de citer le numéro du règlement. Lorsque j’ai contacté mon conseiller, j’ai déclaré que la ville ne respectait pas les règlements qu’elle avait elle-même élaborés. Faites un tour dans les zones urbaines et rurales et vous verrez des propriétés appartenant à la Ville qui ne respectent pas leurs propres règlements.
Prenez le temps de lire le règlement 658-2010. Il est rédigé en français uniquement, mais un lien permet de le traduire en anglais. (Trad.: BA)
Diane Paquette
Aylmer
Lettres de juin
Question for the mayoral candidates from members of the Aylmer Heritage Association
What is your view with regard to the coexistence and harmonization between, on the one hand, residential and commercial development and, on the other hand, protecting Aylmer’s built heritage and natural environment? And what specific measures (regulatory and otherwise) will you be implementing to safeguard this coexistence and harmonization?
Fellow Aylmerites,
As all of us know, our city’s streets are riddled with potholes. The Aylmer Bulletin will run a new weekly series entitled "Potholes of Aylmer."
In sum, send your photos of Aylmer's potholes to a.repstock@bulletinaylmer.com with the street name. Please make sure to keep yourself and others safe while taking your photos.
P.S. We will be running the same series in the Gatineau Bulletin and invite residents of the wider Gatineau region to share your photos.
—The Aylmer Bulletin team
Sondage auprès de vos lecteurs sur le vote des maires
Je vous écris pour vous demander si votre journal a réalisé un sondage auprès de ses lecteurs sur la course à la mairie. Je serais très intéressé de savoir comment vos lecteurs prévoient de voter. J'ai du mal à me décider et il ne reste plus beaucoup de temps.
Je trouve qu'il est très utile de savoir comment les autres ont l'intention de voter et pourquoi. Il y a tellement de questions dont le maire doit être responsable, et nous remarquons tous des aspects différents. Un leader comme le maire de Gatineau a besoin du soutien de la population - c'est une grande ville ! Et l'administration est très importante. L'administration peut donc avoir davantage confiance dans le leadership (et donc mieux travailler) si elle sait que le nouveau maire a un mandat fort.
Y aura-t-il plus d'informations publiées sur le site Internet du Bulletin, même après la sortie du prochain journal ? Il y aura tellement d'informations sur la campagne électorale ! (Trad)
Geneviève Macron
Gatineau
Payez pour le service dans les soins de santé
Je suis profondément troublé par l'orientation que prend le système public de santé au Québec. Il ne devrait pas y avoir de soins de santé privés ici. Réparons notre système défectueux et ne laissons pas les services s'écouler vers les fournisseurs privés.
Certains disent qu'ils préfèrent payer dans le système privé pour a) obtenir un service plus rapide et b) laisser de la place dans le secteur public pour ceux qui n'ont pas les moyens de se payer des soins privés. Je dis que c'est de la foutaise ! Nous devons tous nous soigner les uns les autres, dans le cadre d'un système unique.
Débarrassons-nous de ce qui est pourri et de ce qui ne fonctionne pas, et créons un système sain et équitable.
S'il vous plaît, restons la société bienveillante que nos grands-parents ont eu tant de mal à créer. Soins de santé gratuits pour tous, et ajoutons-y les soins dentaires et ophtalmologiques. (Trad.)
Mandy Kwong
Gatineau
Interdiction de recourir aux travailleurs de remplacement
Le vote à la Chambre des communes pour appuyer le projet de loi C-58, qui interdit le recours aux travailleurs de remplacement dans les secteurs sous réglementation fédérale lors d’une grève ou d’un lock-out, fait pencher la balance encore plus en faveur des syndicats en matière de lois du travail, affirme la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI).
Si la loi est adoptée et entre en vigueur, le gouvernement actuel et les prochains regretteront profondément d’avoir supprimé cette disposition importante qui permet aux employeurs de faire fonctionner l’économie durant les grèves ou les lock-out. Alors que les syndicats laissent déjà planer la menace d’un « été chaud », pourquoi le gouvernement et les partis d’opposition veulent-ils empirer la situation en votant en faveur de cette loi?
Lorsque des arrêts de travail causent la fermeture des services essentiels tels que les ports, les chemins de fer et les compagnies aériennes, ce sont les PME, leurs employés et les contribuables qui paient la facture.
La FCEI demande au Sénat d’effectuer un examen objectif de ce projet de loi afin de tenir compte de ses répercussions sur l’économie du pays
Jasmin Guénette, FCEI
Ottawa
Chers Aylmerois,
Nous savons tous que les rues de notre ville sont criblées de nids-de-poule. Le Bulletin d’Aylmer publiera une nouvelle série hebdomadaire intitulée « Les nids-de-poule d’Aylmer ».
Pour y contribuer, il vous suffit de partager vos photos de nids-de-poule en envoyant un courriel à a.repstock@bulletinaylmer.com, en prenant soin d’indiquer le nom de la rue. Au moment de prendre vos photos, veillez à assurer votre sécurité et celle d’autrui.
P.S. Nous publierons la même série dans le Bulletin de Gatineau et nous invitons les résidents des quatre coins de la ville à partager leurs photos.
—L’équipe du Bulletin d’Aylmer
CHARADES FORESTIÈRES
Lors d'une récente sortie dans le parc Deschênes, nous sommes allés à la découverte de plantes printanières qui y abondent.
En voici deux qui poussent en grand nombre et qui sont très florifères. Pouvez-vous devinez lesquelles ?
Charade 1
Mon premier est un mammifère herbivore ruminant qui chevrote
Mon second orne les arbres feuillus dès le printemps
Mon tout est un arbrisseau à fleurs parfumées
Charade 2
Mon premier est une partie du jour
Mon second fait partie des roses et des cactus
Mon tout est un arbuste épineux à fleurs blanches ou roses à floraison précoce
Outre ces deux plantes, nous avons vu le sceau de Salomon, une vivace qui se démarque au printemps par de jolies feuilles vertes et des tiges arquées garnies d'une série de fleurs blanches en forme de clochettes.
Par ailleurs, le sol était tapissé de fraisiers des champs parés de belles fleurs blanches et de waldsteinies faux-fraisiers dont les fleurs sont jaunes, mais les fruits non comestibles.
Voilà quelques exemples de merveilles à découvrir au printemps. Ouvrez grand les yeux lors de votre prochaine randonnée en forêt. Qui sait ce que vous pourriez découvrir.
Solutions : le chèvrefeuille et l'aubépine.
Tenir les enfants à l'écart des tondeuses à gazon !
Alors que nous sommes entrés dans la saison de l'entretien des pelouses et des activités de plein air, je voudrais rappeler à tout le monde les dangers potentiels associés aux machines telles que les tondeuses à gazon, en particulier en présence d'enfants.
Je n'avais que deux ans lorsqu'un accident a changé à jamais le cours de ma vie. Jouant innocemment dehors, je me suis aventuré trop près d'une tondeuse à gazon en mouvement, inconscient du danger qu'elle représentait. Le conducteur n'a pas remarqué ma présence et a reculé, sans se rendre compte que j'avais trébuché et que j'étais tombé derrière la tondeuse. J'ai été transporté d'urgence à l'hôpital où les médecins ont dû m'amputer du bras droit au-dessus du coude et d'une partie de la main gauche.
En tant que diplômé du programme CHAMP (The War Amps Child Amputee Program), je milite pour des mesures de sécurité autour des tondeuses à gazon. J'accepte ce que je suis aujourd'hui, mais je ne voudrais pas qu'un autre enfant vive ce que j'ai vécu.
Il est important de reconnaître que les accidents peuvent survenir en un clin d'œil et avoir des conséquences à vie. En racontant mon histoire et en sensibilisant les gens, j'espère encourager les parents, les soignants et les communautés à faire preuve de plus de prudence et de vigilance. (Trad.: BG)
Denise Swedlo
Les Amputés de guerre, Canada
Réplique à la lettre sur le partage des pistes cyclables
Vous devez savoir que cet article s’affiche à l’aide des moteurs de recherche. Cela cause beaucoup de problèmes car ce que M. Darveau suggère va à l’encontre des règlements. de fait, il arrive que plusieurs personnes ayant lu son texte pensent que c’est exact, vu qu’elles ont trouvé ça sur l’Internet.
La mauvaise information est la cause de bien des problèmes sur les pistes cyclables. De plus, en les observant, on peut dire que la plupart des utilisateurs de triporteurs, de trotinettes électriques et de vélo entièrement électriques ne lisent pas les règlements associés à leur véhicule. Quant aux piétons, certains se croient dans leur droit “parce qu’ils payent leurs taxes municipales”.
Tout d’abord, les pistes cyclables ont été crées pour donner un espace sécuritaire aux cyclistes. Aujourd’hui, on pourrait croire que ce sont les cyclistes qui doivent contourner tous les obstacles. Les piétons aiment les pistes cyclables soit pour l’aspect social soit pour le paysage. On ne peut pas les blâmer. Mais il faudrait qu’ils comprennent que c’est un privilège qui leur est accordé, tant qu’une piste cyclable sera une piste cyclable. En effet, il est parfois décidé d’inclure tout le monde et d’utiliser une piste cyclable comme sentier polyvalent. En plus de ne pas être conforme, c’est dangereux et ceux qui autorisent cette pratique sont irresponsables. Un sentier polyvalent doit être plus large, soit 4 m. sur un axe achalandé et 3 m. sur les autres axes.
Donc toutes les opinions publiées ne sont que des opinions qui portent à confusion.
M-L. Bernier
cycliste et marcheuse
Remerciement
Le Centre alimentaire Aylmer désire remercier la Ligue de hockey Sleeman, pour un don total de 5,000$ suite à l’édition 2024 du tournoi de hockey récréatif 50+ qui s’est déroulé les 4 et 5 mai derniers.
Depuis son premier tournoi 50+ de 2016, la ligue a contribué tout près de 35,000$ au Centre alimentaire Aylmer.
Denis Parizeau
Directeur général
Centre alimentaire Aylmer
La survie de l’information locale doit être abordée par le Conseil municipal de Gatineau
Le Conseil central des syndicats nationaux de l’Outaouais (CCSNO–CSN) et la Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) félicitent Madame Maude Marquis-Bissonnette pour son élection à titre de mairesse de Gatineau. « Pendant la campagne électorale, nous avons interpellé tous les candidats afin qu’ils s’engagent à œuvrer pour la préservation de l’information locale, mise en danger par la crise des médias. Mme Marquis-Bissonnette s’était engagée en ce sens. Maintenant qu’elle est mairesse, nous lui demandons de mettre la question de la préservation de l’information locale à l’ordre du jour du conseil municipal dès que possible », déclare Alfonso Ibarra Ramirez, président du CCSNO–CSN.
La présidente de la FNCC–CSN, Annick Charette, souligne que pour les communautés, l’information locale constitue un bien public. « Nous avons lancé une campagne sur cette question le printemps dernier. Il est impératif de sauver notre droit à l’information, menacé par la fermeture de médias et la réduction des couvertures locales. Devant cette situation, les divers paliers de gouvernement doivent mieux soutenir les médias. Nous proposons des solutions faciles à mettre en œuvre pour un gouvernement local. Se doter d’une politique gouvernementale d’achat publicitaire, visant à se procurer des publicités auprès des médias locaux et non auprès des géants du Web, est notamment une mesure que peut mettre en place une administration municipale », expose Mme Charette.
Les deux organisations feront un suivi sur cette question avec le cabinet de Mme Marquis-Bissonnette dans les prochaines semaines.
Eve-Marie Lacasse
CSN
Inventaire forêt Deschênes
Avez-vous déjà participé à un inventaire écoforestier ?
Non ! Cela vous tente ? Tous les vendredis à compter du 21 juin, nous serons dans la forêt Deschênes de 17 h à 19 h à observer et quantifier les plantes et les arbres dans des zones appelées «placettes».
Dans chacune on inventorie les données écologiques du milieu, comme le type de sol, la taille et l'abondance des plantes arbustives et herbacées, ainsi que la hauteur et le diamètre des arbres matures.
Nul besoin d'être spécialiste. Nous invitons les bénévoles de tous âges, passionnés de nature, à participer. Contactez-nous à parcdeschenespark@gmail.com en précisant la date qui vous convient. Comme le lieu de rencontre peut varier d’une semaine à l’autre, vous devez communiquer avec nous afin que nous puissions vous transmettre l’information.
Au plaisir de partager cette expérience avec vous
La consultation publique a commencé la semaine dernière
J'ai lu dans l'édition du 19 juin du Bulletin d'Aylmer que la ville entamait une consultation publique. Il y a tellement de choses que la ville doit améliorer. Je vous remercie d'avoir publié cette information, mais je dois dire que j'ai eu du mal à trouver la consultation ! J'ai abandonné.
J'ai vu l'information en première page et j'ai vu l'information à l'intérieur.
Mais lorsque la date de la consultation en ligne est arrivée, je suis allé sur le site web et je ne l'ai pas trouvée. Pourquoi la ville est-elle si obtuse lorsqu'il s'agit de communiquer avec les habitants ? J'espère qu'il y en aura une autre, et à Aylmer !
(Trad: BA)
Claire Galipeau
Gatineau
Le saviez-vous ….
Les amphibiens et reptiles du Parc Deschênes - une sortie herpétologique
Deschênes abrite plus d'une dizaine d'espèces d'amphibiens et de reptiles. Venez les découvrir avec l'Alliance Parc Deschênes et le Ottawa Field-Naturalists’ Club qui vous donnent rendez-vous le 22 juin de 8 h à midi, en face du 100 chemin Fraser. Notre plus grand amphibien, le necture tacheté, qui vit dans les rapides et à proximité de ceux-ci, vous fascinera. Vous verrez des centaines de grenouilles léopards chassant dans un pré rocheux, ou encore des tortues peintes se prélassant sur des troncs d'arbre dans un étang de castors. Vous aurez peut-être même la chance inouïe d'observer une rare couleuvre tachetée se réchauffer au soleil sur une roche.
Et qui sait ce nous verrons d'autre !
Félicitations à la nouvelle mairesse
J'espère que la nouvelle mairesse sait à quel point c'est un plaisir pour la population qu'elle offre ses services. Comme l'a dit l'éditeur de ce journal lors du débat politique à l'hôtel British, les fonctions du maire sont uniques et vastes. Il est difficile d'expliquer ce que fait un maire, et il en va de même pour les qualités que les électeurs doivent rechercher chez un maire.
Je pense que nous avons choisi la bonne candidate au poste de maire. J'ai bon espoir qu'elle conduira la ville dans une direction qui sera la meilleure pour tous les habitants.
Gloria Mendez
Gatineau
Lettres de mai
GARBAGE DISPOSAL EXHIBITION GATINEAU 2024
Didn't you know? Then let me give you the scoop. Our beautiful Ville de Gatineau is currently hosting a fascinating, breathtaking open-air garbage exhibition. The location: Ruisseau de la Brasserie. Yes, yes, right before you take the ramp to the Highway 50 expressway! It's a free, colorful, uplifting spectacle for children, as well as a delight for the eye and a must-see for taxpayers who... love the proliferation and spread of litter on their property.
The promoter of the event and the artists behind this magnificent firework display against a backdrop of greenery remain illustrious unknowns (?). The Municipal Council, Action Gatineau enthusiasts and others alike, seem to be quite happy with the work. One would have thought that our municipal representatives, with their common sense, concern for cleanliness and ecological instincts, would have eliminated the monstrosity as soon as it appeared. But no! They must have seen it as a combination of high-level artistic expression and original urban decoration.
The Exposition Vidanges Gatineau 2024 seems destined to defy time. No indication yet that our councillors and acting mayor intend to act and restore Ruisseau de la Brasserie to its original vegetation, minus the heap of garbage. So, you still have time.
Francois Brisebois
Secteur Aylmer, Gatineau
Mayoral race question
STO proposed $90 hike to vehicle registration: will the city catch fraudsters?
Will the people that live in Gatineau for years and renew their license plate in Ontario. Will they need to pay this hike ? How will the city know there are fraud cases? This should be a mayoral election issue, there are thousands of people doing this.
Frederic O'Shaunessey
Gatineau
WHAT IF ...
April 22 is Earth Day. Thousands of people across Quebec gathered to mark the occasion.
What if... by making small and large gestures, we made every day Earth Day.
What if... we composted more to give back to the soil what it has so generously given us.
And what if... we turned the heating down a notch. We wouldn't even feel the difference.
What if... we stopped littering our roads, our parks and our forests.
What if... we drove slower: 1 km slower means 1% less GHGs!
What if... we planted more flowers and shrubs in our lawns; it would be so beautiful.
It's not only on Valentine's Day that we talk about love. Why not also give love to the Earth every day. She'd give it right back.
Alliance parc Deschênes
Residents' associations: Get your news published for free!
Are you a member of a residents' association within the five districts of Aylmer? If you have upcoming events, if you are recruiting helpers or looking for signatures – make use of your local newspaper! Every week, by 4 p.m. on Thursdays, you can send us your association's news in a maximum of 150 words, in any language. The Bulletin can help!
Please make sure to include a signature and contact information as well as the name of the association.
The editor
Questions of public interest to Gatineau mayoral candidates
As the mayoral election approaches, voters and taxpayers want to know before finalizing their choice...
1. What is your position on natural and cultural clear-cutting, sprawl, deforestation, height folly and gentrification in urban areas, and what measures do you plan to put in place to put an end to this municipal approach of systematically destroying green spaces, choking downtowns... caused among other things by developers' appetite for "fake Ontarians"?
2. It's now well known that the Council's voracity for more taxes has led it to invent a violent and punitive tax rate that is no longer based on assessment alone, but on the "arbitrary and political" decisions of politicians in search of tax revenues, no matter how much this pollutes or destroys the environment and private green spaces. Will you cancel this new form of anti-ecological tax hidden in the rates?
3. In these times of rising prices and declining purchasing power, what is your position on increasing municipal tax bills in these difficult times of suffocation for taxpayers, but more dramatically for the less well-off?
4. What is your position on the municipal vehicle registration tax? A tax that, once again, "fake Ontarians" won't have to pay?
5. What do you intend to do to put an end to the anglicization and ontarionization of Gatineau, encouraged by tax evasion and identity trafficking on a large scale by "fake Ontarians", an observable and audible phenomenon in dangerous growth, which promotes de-francization?
6. A serious, documented study by historian Albert Lebeau, supported by several other historians from the region, establishes, without a shadow of a doubt, the obligation of historical reparation by removing the name Leamy from the public arena. The research is available on request. What are your recommendations to the City's Toponymy Committee?
7. “Fake Ontarians" are driving up property values and rents, causing prices to soar, rents to be scarce and poverty and homelessness to grow. Where do you stand on this?
8. It's easy to see the damage to identity caused by English unilingualism, the failure to learn and understand the common language, and the defrancization of Francophones. What are you going to do to promote Gatineau as a Quebec city, not an Ontario one?
We'd like to take this opportunity to wish you an election campaign in which your statements and programs will play a key role on these real municipal issues. (Trans.: BA)
Jean-Paul Perreault
Impératif français
Joanne Zalera making waves
I loved the report about a young dynamic woman (Aylmer Bulletin Page 1, May 8, 2024). Thank you Aylmer Bulletin, you continue to provide great local stories. Aylmer is special and the Joanne Zaleras and Aylmer Bulletins of this world make our community amazing.
I was worried that the newspaper was closed when I didn’t get my PubliSac. But I have been finding the paper around town. I don’t know how you do it, but keep it up!!
Melissa Francoeur
Aylmer
“Community” - the definition of Association
We are blessed with a community newspaper (Bulletin d’Aylmer), similarly we are blessed with local community associations. There are so many neighbourhood associations – groups of people volunteering to help make sure the community has organizational structure when needed (consultations with the city, building park infrastructure, community clean-ups, emergency preparedness, community gardens etc).
The challenge has always been to transform isolation and self-interest into connectedness and caring for the whole. In addition to be committed to that, means you are willing to make a promise with no expectation of a return.
It's possible the pandemic and social media have wreaked havoc on our local social fabric and newspaper, but don't give up! Like our local newspaper, associations simply convene their neighbours and create wonderful things. They both remain vital for our local democracy, have faith.
Larry Prickett
Aylmer
Deschênes Alliance information is a great addition!
Thank you Aylmer Bulletin – I love reading about that gem of a wetland. The Deschênes Forest is a pretty new concept but I and my family have always loved the area. My great aunt’s best friend had a cottage right along the water in there. I think there are ruins of it, a wall and such. Since I was a girl I loved walking in there. When folks started organizing to protect the area I was relieved. Many people feel like I do – we believe the area should be protected but aren’t ready to actually do the volunteer work.
So that the group is not only actively protecting the area but doing public outreach is amazing! Thank you,
Mary Lavigne
Aylmer
Fixing Lucerne Boulevard
Aylmer residents have high hopes that the road work on Lucerne Boulevard takes place this year, as promised many times. The :"lower road" has been earmarked for re-paving a number of years. The section between Vanier Boulevard and Frank Robinson has a number of intersections with electric lights. To expedite traffic flow, the Gatineau roads department should seriously consider installing round-abouts at Fraser and Victor Beaudry. Many times we find ourselves waiting at a red light when there is absolutely no cross traffic going on. Stopping needlessly for lights is also not environmentally sound. Hopefully its not too much to ask the city for innovative solutions.
Carl Hager
Aylmer
Who to vote for as mayor?
I figured there were many good options for mayor. With seven candidates, there should be several that would be great, no? Let’s break it down.
Two are not on the radar, Bergeron and St-Jean have no chance of winning but they make the race interesting. Bisson isn’t an option, he’s a real estate agent. I’m a real estate agent so I’m not going to vote for the competition. Ducharme is old guard, and maybe an option. But look at politics, the experienced folks tend to not get re-elected, might be a wasted vote. Feeny, who is that? Kamanyana, who is that? Apparently being a woman was what made the last mayor such a target of bullying, can I vote for more abuse? Marquis-Bissonnette, again, will she be another object of bullying only to be crushed by today’s terrible politics? Maybe her party will help but still, a risk I can’t vote for.
And that’s it. No one to vote for?
Name withheld
Gatineau
Abortion rights back in the news: stop the attack on women please
I am surprised this topic is back in the news, but it is, and I need to address it. Abortion. Abortion is part of women’s health. It happens too often that the anti-abortion movement attacks women. This is backwards. If men feel opposed to the idea of abortion, rather than go on the offensive with women and women’s health, there is a simple solution. They should just wear a condom when they have sex with women. What could be more simple? (Trans.: BA)
Paulette Gervais
Gatineau
Question for the mayoral candidates from members of the Aylmer Heritage Association
What is your view with regard to the coexistence and harmonization between, on the one hand, residential and commercial development and, on the other hand, protecting Aylmer’s built heritage and natural environment? And what specific measures (regulatory and otherwise) will you be implementing to safeguard this coexistence and harmonization?
Lettres d'avril
Ramassage des déchets encombrants : un vide-grenier gratuit ?
La semaine dernière a eu lieu le premier ramassage des déchets encombrants par beau temps depuis longtemps. Se promener en voiture dans Aylmer à l'époque de ce ramassage des déchets ménagers encombrants était un vrai plaisir. Il ne m'était pas venu à l'esprit que des articles ménagers parfaitement utiles pouvaient être ramassés gratuitement. Mais c'était le cas ! Je suis retraité et mon voisin aussi. Ensemble, nous avons fait quelques petits tours en ville pour voir ce que nous pouvions trouver.
Et wow !!! Nous avons bien nettoyé ! Je pense que la prochaine fois, je ramasserai des objets pour le refuge pour femmes et pour d'autres endroits qui aident les gens à s'installer (réfugiés, sans-abri, etc.). Mais ce que je pense maintenant, c'est que la ville peut s'impliquer. Puisque le calendrier de ramassage des déchets est organisé par la ville de toute façon, ne pourrait-elle pas aussi organiser une journée de marché aux puces de quartier à l'échelle de la ville ? Une journée de vide-greniers à l'échelle de la ville serait vraiment amusante. Ce serait un moyen pour les gens de se débarrasser des objets dont ils n'ont plus besoin et pour les autres de rafraîchir leurs affaires.
J'espère que tous les conseillers municipaux se joindront à cette initiative et contribueront à faire de cette nouvelle grande ville une véritable communauté, une activité amusante à la fois.
Glenn Gauthier
Aylmer
Les oies s'installent à l'arrière des Galeries ?
L'équipe du Bulletin : Quelles sont les nouvelles concernant les oies et les oisons derrière le centre commercial ? On dirait que votre équipe de journalistes se laisse un peu distraire par les lotissements, les élections municipales partielles, etc. Allons, allons ! Parlez-nous des vraies nouvelles, s'il vous plaît !!!!
Al Grenville
Aylmer
Merci, Lily Ryan
Je tiens à remercier Mme Ryan pour l'éditorial perspicace qu'elle a publié dans le Bulletin de la semaine dernière sur les changements apportés au centre-ville d'Aylmer. Son éditorial était succinct, concis et direct.
Je partage sans réserve le point de vue de Mme Ryan.
Je suis moi aussi une résidente de longue date d'Aylmer. Moi aussi, j'ai été témoin des changements survenus dans ma collectivité au cours des dernières années. Lorsque je traverse le Vieux-Aylmer, je suis rempli d'admiration pour l'ambiance des bâtiments, pour l'histoire contenue dans les rues. Je me souviens que le magasin Canadian Tire de la rue Principale a été transféré sur le Plateau. C'était une perte.
Je tiens à remercier Lily d'avoir exprimé à quel point ces changements nous affectent tous.
Bravo, Madame Ryan. (Trad)
Stephen Lloyd
Aylmer
Déception et inquiétude quant à l'abandon de la zone IGA
Nous partageons entièrement la déception sur la fermeture de l’IGA sur rue Principale et la possibilité que ce centre d’achat soit abandonné. L’ancien Poulet Frit Kentucky abandonné est une honte depuis plusieurs années. Mais il faut rappeler que nous avons une excellente épicerie en plein centre du vieux-Aylmer, Marché Laflamme. Nous sommes toujours impressionnés lors de nos visites – le choix d’articles est surprenant pour une petite épicerie, le boucher, comptoir déli et section fruits et légumes sont excellents, le personnel est toujours prêt à aider. C’est une vraie épicerie de quartier du type de plus en plus rare au Canada actuellement. J’espère que quand les gens se demandent s’ils devraient affronter la zone congestionnée, asphaltée et sans âme autour du « nouveau » IGA, ils penseront à appuyer l’épicerie de quartier à notre service depuis longtemps.
Howard Powles
Aylmer
Le système de transport en commun : pourquoi est-il si défectueux, à Gatineau ?
Je suis frustré par le système d'autobus de Gatineau. Pourquoi est-il si peu fiable ? Je veux que mes adolescents soient autonomes et qu'ils apprennent à utiliser le transport en commun. Mais cela ne devrait pas prendre une éternité pour se rendre d'Aylmer au Plateau ! Ou au Starbucks pour voir des amis ! Pourquoi est-ce que c'est si mauvais ? Et peu importe qu'ils aillent au CEGEP. Une fois qu'ils font partie de la fonction publique fédérale, la STO les transporte par camion pour aller travailler, mais autrement, ils sont sous la pluie. Littéralement. Pendant 45 minutes au lieu des dix minutes affichées sur leur service de planification en ligne. Nous pouvons faire mieux.
Brandy Gauthier
Gatineau
Plus d’information in français, Bulletin d’Aylmer!
Je cherche encore la traduction, en français, de l’article de Lily Ryan concernant la relocalisation du Marché IGA.
Si inexistant, je considère que la rédaction de son article, uniquement en anglais, relève de l’affront. Réveillez-vous, nous sommes au Québec! Les unilingues anglophones ont pratiquement toute l'Amérique du Nord pour vivre UNIQUEMENT en anglais.
Nous, les francophones, il relève du périple pour vivre en français ici même à Aylmer, Québec.
Merci.
Francine Lambert
Gatineau
Questions aux candidats à la mairie
Merci au Bulletin d'Aylmer, heureux de pouvoir poser des questions aux candidats à la mairie. Et merci de publier des informations sur le conseil, sur les candidats à la mairie - et j'ai vu qu'il y a un débat en personne ? Fantastique, je n'ai jamais manqué un de vos débats. C'est rafraîchissant de voir les candidats en action, comment ils agissent sur le terrain et comment ils pourraient se comporter s'ils étaient élus. Continuez comme ça !
Voici mes questions aux candidats :
1. Comment la mairie va-t-elle diriger le conseil de manière à ce que toutes les anciennes villes bénéficient d'un financement équitable ? On a toujours l'impression que toutes les ressources vont au Vieux-Hull où elles sont gaspillées.
2. La mairie décréterait-elle un moratoire sur les taxes pour les petites entreprises dans les secteurs en difficulté comme le Vieux-Aylmer où les entreprises ferment comme des mouches prises au piège dans une fenêtre ?
3. La mairie trouvera-t-elle une solution à la politique partisane au conseil municipal ? Les résidents ne gagnent pas avec la politique partisane (parti municipal, allégeances provinciales ou fédérales).
4. Enfin, la Ville de Gatineau respectera-t-elle et servira-t-elle tous les citoyens sans égard à l'orientation sexuelle, à la religion, au patrimoine et à la langue ? Sachant que tous les candidats répondront " bien sûr ", ma question de suivi est la suivante : Comment allez-vous servir les minorités, de façon concrète ?
Merci au Bulletin d'Aylmer d'avoir publié mes questions dans les deux langues,
Michèle Bertrand,
Gatineau
Saviez-vous que les marais sont de précieux écosystèmes à protéger?
La forêt Deschênes compte plusieurs marais. L'un deux se situe à deux pas du stationnement public au bout du chemin Vanier.
Il s'agit d'un marais saisonnier, qui au printemps se gorge des eaux de la fonte des neiges et de la crue de la rivière des Outaouais.
Il est peuplé de grands arbres dont l'érable argenté, arbre bien adapté aux courtes périodes d'inondation.
L'été, il s'assèche pour s'orner d'une riche végétation qui prolifère grâce aux nutriments laissés par le retrait des eaux.
Cordialement,
Lucie Métras et Christine Gandy- Leduc
Alliance Parc Deschênes.
Tous les Québécois ont la responsabilité de préserver, protéger et promouvoir la langue française
Mark Twain a écrit qu'il y avait trois sortes de mensonges : les mensonges, les maudits mensonges et les statistiques : Les mensonges, les maudits mensonges et les statistiques - exprimant sa frustration face à l'utilisation sélective des statistiques pour prouver à peu près n'importe quoi, y compris des points de vue opposés.
Le gouvernement de la Coalition Avenir Québec, les partisans de la ligne dure linguistique et ceux qui cherchent à obtenir l'indépendance du Québec se sont appuyés sur certaines statistiques pour consolider l'idée que la langue française au Québec, en particulier à Montréal, est en péril.
C'est ainsi que se justifient les mesures législatives sévères visant à "protéger" le français en restreignant l'anglais, en limitant l'accès aux services en anglais - notamment dans les domaines de la santé, de l'éducation et de la justice - et en portant atteinte aux institutions "anglaises" telles que McGill, Concordia et l'Université Bishop's.
Le jour même où le Quebec Community Groups Network tenait une conférence pour discuter du statut du français ici, une autorité comme l'Office québécois de la langue française a déclaré que la proportion de la population québécoise qui utilise le français en public EST STABLE au Québec depuis 2007, à environ 80 %. Et la proportion de ceux qui n'utilisent que l'anglais dans la sphère publique a diminué au cours de la même période.
En d'autres termes, les mesures draconiennes contenues dans le projet de loi 96 n'ont rien changé, n'étaient pas nécessaires et ont manqué leur cible.
Le QCGN défend ce point de vue depuis un certain temps.
L'un des éditeurs et deux collaborateurs de l'ouvrage de plus en plus lu Le Français en déclin ? Repenser la francophonie québécoise, la conférence a permis d'entendre que si le français sera toujours fragile en raison de son statut de minorité dans un océan d'anglais nord-américain, les statistiques sur lesquelles le gouvernement met l'accent - langue maternelle et langue parlée à la maison - ne reflètent pas la réalité de la sphère publique du Québec. Les chiffres de l'OQLF, eux, reflètent la réalité.
Selon Jean-Pierre Corbeil, professeur de sociologie à l'Université Laval et l'un des éditeurs du livre, le pourcentage de francophones de langue maternelle a diminué, de même que le taux de natalité parmi les descendants des Québécois historiques, tandis que l'immigration a grimpé en flèche au cours des dernières années. Se concentrer sur la population anglophone du Québec est donc une erreur, selon lui.
Le soir de l'événement, il y avait de la neige et de la gadoue, lors d'une soirée pleine de nuances - ce qui est approprié, car il n'y a pas de réponses définitives et tranchées à la plupart des questions sur les langues.
Il était réconfortant de voir à quel point les orateurs partageaient le point de vue du QCGN selon lequel TOUS les Québécois, quelle que soit leur langue maternelle ou leur origine, ont la responsabilité de préserver, de protéger et de promouvoir la langue française - et que cela ne nécessite pas la répression de l'anglais, qui fera toujours partie de la société québécoise, comme c'est le cas depuis plus de 300 ans.
Il était également encourageant de sentir que cet événement marquait une étape positive dans l'effort nécessaire pour trouver une cause commune entre tous les Québécois, un lieu harmonieux où tous les droits et privilèges sont respectés, où personne n'est moins citoyen en raison de la langue qu'il parle à la naissance.
Car, en tant que Québécois à part entière, les anglophones ont aussi un intérêt direct dans cet élément essentiel de l'identité québécoise.
(Trad.: GB)
Eva Ludvig
Présidente du Quebec Community Groups Network
Assez de nous taxer, messieurs les conseillers de Gatineau, je ne prends même pas l'autobus !
Après avoir lu dans le Bulletin du 10 avril " La STO propose une hausse de 90 $ pour l'immatriculation des véhicules ", je me devais de dire quelque chose. Tout d'abord, n'y aurait-il pas conflit d'intérêt à ce qu'une telle proposition soit faite par un conseiller municipal qui siège également au conseil d'administration de la STO ?
Ce n'est pas tout le monde qui veut prendre l'autobus. Nous payons déjà 30 $, ce qui est plus que suffisant. Le coût de la vie est très élevé et cela ne va pas s'améliorer. Nous vivons dans une province très taxée, et maintenant notre ville nous taxe encore plus. Je suis sûr que les augmentations de l'évaluation des propriétés (qui, dans certains cas, sont grossièrement surévaluées) vont à leur tour remplir les coffres de manière satisfaisante.
Le conseil municipal ne devrait pas accepter cela et s'il le fait, j'espère que les citoyens de Gatineau s'y opposeront ! (Trad: BA)
Sylvie Dazé
Aylmer
Suite à l'article publié sur la transparence de la ville
Les conseillers municipaux Caroline Murray et Steven Boivin dénoncent le manque de communication des fonctionnaires de la Ville de Gatineau (City drops ball on communicating with residents : councillors speak out, Lily Ryan, 3 avril 2024), la conseillère Murray demandant la tenue d'une réunion publique. Or, l'administration municipale est responsable devant le conseil municipal, qui approuve les plans et les dépenses de la Ville, y compris les infrastructures. Les commentaires des conseillers Murray et Boivin sont équivalents à ceux d'un directeur financier d'une société qui se plaindrait que le service des finances ne lui dit pas à quoi la société dépense de l'argent, ou qu'il ne fixe pas les bonnes priorités en matière de dépenses.
C'est en fin de compte au Conseil élu qu'il appartient de fixer les priorités de dépenses par le biais d'un exercice budgétaire annuel, et c'est en fin de compte au Conseil qu'il appartient de veiller à ce que ces plans soient communiqués aux électeurs. Il est possible que la réparation du boulevard Lucerne ne figure pas en bonne place dans les priorités fiscales de la ville, ou que la ville n'informe pas les résidents de ces plans, mais si c'est le cas, ce sont les conseillers qui sont en mesure d'obtenir ces détails de la ville et de s'assurer qu'ils sont communiqués aux résidents. Si les conseillers souhaitent une réunion publique et une meilleure communication de la part de la ville, ils devraient agir, plutôt que de blâmer les bureaucrates. (Trad.: BA)
Gregory Jack
Aylmer
Saviez-vous que...
Une oasis de nature de la ville de Gatineau a bien failli disparaître à l'été 2020. Fort heureusement, des citoyens se sont mobilisés par centaines pour protéger cette forêt urbaine tant appréciée.
L'Alliance Parc Deschênes (APD), organisme sans but lucratif, est née dans le sillage de cette mobilisation citoyenne.
La magnifique forêt se situe au cœur d'Aylmer, le long de la rivière des Outaouais, depuis les rapides Deschênes et l'île Conroy jusqu'au chemin Fraser.
La mission de l'APD est la conservation et la mise en valeur de la biodiversité et des habitats naturels du parc en devenir, tout en assurant un rôle récréatif et éducatif.
Grâce à une série d'articles à venir, nous vous ferons découvrir la beauté et la richesse de ce milieu unique.
Lettres de mars
Subventions fédérales pour des maisons plus vertes
L’annonce du gouvernement fédéral selon laquelle une nouvelle phase de la subvention pour des maisons plus vertes offrira un soutien ciblé aux ménages aux revenus faibles à médians arrive à point nommé, même si un financement cohérent et approprié pour cette initiative n’est pas assuré.
Les Canadiens à faible revenu ont besoin de programmes sans obstacles qui peuvent leur fournir des maisons efficaces et une énergie abordable. Nous avons besoin d’une aide disponible aux portes des Canadiens au cours de l’année. Dans la vallée de l’Outaouais, je constate l’impact du manque d’efficacité énergétique, des coûts énergétiques élevés et de la pauvreté énergétique de diverses manières. Les familles à faible revenu ne peuvent pas payer leurs factures d’énergie en plus du coût de la vie actuel.
Les députés de tout le pays devraient agir immédiatement. Les programmes ponctuels devraient être remplacés par des investissements publics cohérents axés sur la réalisation des objectifs de zéro émission nette et d’accessibilité financière.
Le financement fédéral doit être suffisant pour accroître les capacités d’exécution des programmes existants. Le moment est venu de soutenir les efforts visant à réduire les émissions, à accroître l’accessibilité financière pour tous les Canadiens et à relever les défis liés au climat auxquels les communautés sont déjà confrontées. (Traduit)
AIden Belanger
Pembroke, Ontario
Un tramway ou un Service Ultra Rapide de Bus électrique ?
En réponse au commentaire du mois précédent à la séance du conseil de Gatineau, je souhaite apporter des éclaircissements. Suite à la réunion du conseil de la STO, il est apparu clairement que le chiffre de 12 000 passagers par heure par direction à Calgary concerne spécifiquement une ligne particulière et non l'ensemble de la ville. Il convient de noter que le transitway d'Ottawa, qui a été opérationnel pendant plus de trente ans, avait un PPHPD (passagers par heure par direction) de 10 000 . Selon Le Citizen, il est aujourd'hui réclamé son retour. Il est également important de souligner que de nombreuses villes dans le monde possèdent un Service Rapide de Bus (SRB) avec un PPHPD de 30 000 ou plus.
Le mois dernier à la séance du conseil, il a été révélé que notre PPHPD anticipé ici à Gatineau est évalué à 6 000. De ce fait, un simple SRB (Service Rapide de Bus) peut aisément accueillir tous ces passagers.
Le PPHPD actuel n'est pas mentionné dans le rapport 6, et peut-être même pas connu. Par conséquent, il est difficile de comprendre comment il est possible de prédire un PPHPD de 6 000 sans avoir connaissance de la situation actuelle.
J'ai effectué quatre lectures d'une heure et demie chacune pour déterminer un PPHPD actuel de 1 700. Mon approche n'équivaut pas à celle d'une firme de consultation pour le faire, mais, selon mes calculs, il faudrait plus de tripler la population de Gatineau pour obtenir un PPHPD de 6 000.
La ville de Québec et un tramway : La construction de ce tramway, incluant un tunnel, s'élève à 8,4 milliards de dollars pour une distance de 16 km. Le troisième lien à Québec n'est pas inclus. Pour Aylmer, il est envisagé un tramway couvrant 24 km de route, également avec un tunnel, pour un coût estimé à 4,4 milliards de dollars. À 8.4 milliards de dollars, aucun investisseur ne s'est manifesté, ce qui laisse penser que le coût potentiel du tramway d'Aylmer à Gatineau est en réalité beaucoup plus élevé. En extrapolant, il est très probable que le tramway d'Aylmer à Gatineau coûtera plus de 15 milliards de dollars.
Un des avantages avancés par les partisans du tramway est sa perspective à long terme sur une période de 40 ans. Une perspective différente consiste à critiquer le financement massif du tramway par des subventions pendant quatre décennies et plus.
Une alternative plus avantageuse pour Aylmer est la proposition d'un Service Ultra Rapide de Bus (SURB) pour l'ensemble de Gatineau. Ce concept, incluant aussi le corridor existant du Rapibus, implique la création des corridors avec priorité pour l’autobus électrique non-polluant. Le coût de construction d'un tel système est une fraction de celui du tramway.
Considérez ceci attentivement : lorsque les électeurs apprendront que vous soutenez une dépense de 15 milliards de dollars pour un tramway spécifique à Aylmer, au lieu d'un Service Ultra Rapide de Bus pour toute la ville de Gatineau, qui est clairement beaucoup moins dispendieux et plus efficace, ils réfléchiront deux fois avant de vous accorder leur vote.
André Simonson
Aylmer / Gatineau
La Semaine québécoise des popotes roulantes
À l'occasion de la Semaine québécoise des popotes roulantes (10 au 16 mars ), la ministre responsable des Aînés et ministre déléguée à la Santé, Sonia Bélanger, tient à souligner le rôle essentiel de ce service bénévole de livraison de repas à domicile dans la communauté.
Le thème de cette 19e semaine est Bien plus que des repas! Les popotes roulantes : une communauté de soutien. Les popotes roulantes offrent partout au Québec la livraison de repas nutritifs, à coût abordable, à de nombreuses personnes aînées en perte d'autonomie. En plus de permettre à ces personnes d'avoir accès à une alimentation saine, le service offre un moyen de briser l'isolement et favorise le maintien à domicile. Également, il contribue à donner un peu de répit aux personnes proches aidantes, en les libérant de la tâche de la préparation des repas. Faits saillants :
- La malnutrition ou la dénutrition chez les personnes aînées peut entraîner des conséquences graves pour la santé, d'où l'importance des programmes de soutien nutritionnel et de l'éducation pour améliorer l'accès à une alimentation saine.
- Rappelons qu'en mai 2023, un soutien financier de plus de 10 millions $ a été annoncé afin de renforcer les services offerts par les popotes roulantes du Québec.
Sarah Bigras, Cabinet de la ministre responsable des Aînés et ministre déléguée à la Santé
Québec
Le Québec refuse-t-il une aide en santé de 3,1 milliards de dollars ?
Je cite Global News : « Depuis la pandémie, nous avons constaté que le système de santé ne tenait, à bien des égards, qu’à un fil. Et ce fil continue de se dénouer», a déclaré le ministre fédéral de la Santé.
Ainsi, en février 2023, le gouvernement fédéral a proposé aux provinces et aux territoires un accord de financement de la santé d'une valeur de 196,1 milliards de dollars sur 10 ans, dont 46,2 milliards de dollars d'argent frais.
Lundi, toutes les provinces et tous les territoires ont accepté le principe de l'accord sur la santé, à l'exception du Québec.
Le mois dernier, l'Ontario a été la dernière province à signer un accord de financement de 3,1 milliards de dollars pour les soins de santé qui permettra à la province d'embaucher davantage de travailleurs de la santé, de traiter les arriérés chirurgicaux et de passer à un système de données numériques. "
Un député de la CAQ, ou même un supporter, veut-il expliquer cette bêtise ?
Andy Black
Aylmer nord
Saccage dans la forêt Deschênes
Des arbres majestueux ont été endommagés à coup de hache et de tronçonneuse dans la forêt Deschênes au de l’hiver et récemment. C’est durant une marche matinale le 3 mars que les méfaits ont été constatés. Au cœur de la forêt de chênes située au nord de la forêt près du Boulevard Lucerne et du coin du chemin Fraser, plusieurs arbres jeunes et matures (plus de 4 mètres) ont été saccagés, et des troncs et branches utilisés pour construire une cabane. Un tel manque de conscience de la valeur de nos espaces boisés urbains, et du besoin de les protéger, est déplorable.
L’Alliance Parc Deschênes œuvre activement depuis 2020 pour la sauvegarde et la protection de cette forêt urbaine sauvée grâce à une forte mobilisation populaire. Nombre de citoyens des quartiers entourant la forêt bénéficient de sa beauté, de sa flore, de sa faune, de son air pur et du calme serein qu’elle apporte aux promeneurs. Nous sommes consternés par cet acte de destruction et des mesures ont été prises avec la ville (service 311) pour pénaliser de telles actions. Comme résidents des quartiers pour qui ce lieu de paix est précieux, mobilisons-nous afin d’éduquer nos pairs, de dénoncer ce manque de civisme et de conscience environnementale, et agissons si nous sommes témoins d’actes de destruction qui, en plus d’endommager la forêt, nous affectent tous. (parcdeschenes.ca)
L’Alliance Parc Deschênes (APD)
Gatineau
Projet Northvolt
Manifestant devant le bureau du premier ministre depuis bientôt deux ans, Mères au front - Montréal dédie son prochain sit-in au projet Northvolt, afin de faire pression pour que celui-ci soit soumis à une étude du BAPE tel que réclamé par de plus en plus de citoyens, d’experts et d’organismes défendant l’environnement, la biodiversité, la justice climatique et ce, pour l’avenir de nos enfants. Des centaines de personnes sont attendues lors de cette mobilisation qui regroupera citoyen·es, groupes environnementaux et experts en environnement dans une seule et même revendication.
L’humoriste Christian Vanasse animera l'événement qui comprendra des prises de paroles, dont Laure Waridel, écosociologue, PhD ainsi que des artistes et scientifiques de Porte-Voix.
Maude Desbois, Mères au front
Montréal
Un prix Citron !
Réflexions sur la fiscalité municipale, ici le cas de Gatineau
Presque tous les contribuables jugent impératif que les gouvernements n’augmentent pas les impôts, les frais accessoires et les taxes compte tenu, entre autres, de la perte substantielle de pouvoir d’achat causée par l’inflation et par l’augmentation des taux d’intérêt à la consommation et hypothécaire. Le peuple s’appauvrit en pouvoir d’achat et la Ville de Gatineau, elle, de son côté augmente les taxes ! Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je n’en doute pas !
Le bon sens aurait dû prévaloir sur la vision étouffante de la Ville de Gatineau. La situation économique actuelle aurait exigé un gel ou presque ! Rien de moins ! Ou mieux, une réduction des taxes par une optimisation et rationalisation de l’utilisation des revenus et des ressources.
Bien que l’oxygène des contribuables se fasse rare, la Ville, son conseil municipal et son administration ont préféré jouer sur la confusion entre la révision des évaluations et les taux de taxation. Mais le contribuable sait lire un total et voit très clairement, au regard de son compte de taxes municipales 2024, que la facture, au lieu de baisser, a drastiquement augmenté et cela en ces temps de restriction étouffante pour de nombreux citoyens!
On vous oblige à payer plus de taxes municipales pour accommoder, entre autres, les « faux Ontariens » qui déménagent en Outaouais afin de profiter des généreux services, mais continuent de payer frauduleusement leurs impôts en Ontario. La Ville encourage cette fraude puisqu’elle perçoit SES taxes municipales, et en Ponce Pilate, elle s’en lave les mains ne faisant pas respecter le Code de la sécurité routière ! Cette pression provenant de gens de l’Ontario, dont 90 % ne parlent pas français, crée une forte inflation et surenchère des prix immobiliers et des logements, sans parler de l’anglicisation et de l’ontarianisation, pendant que la misère, l’itinérance et la pauvreté ne cessent de croitre !
Une vision antiécologique ! Le Conseil parle d’écofiscalité pour taxer davantage les lots vacants, ces espaces verts essentiels en milieu privé, qui constituent les poumons verts de l’écologie, de la qualité de vie. Les dégâts des coupes systématiques à blanc des développeurs et promoteurs immobiliers; des campagnes promotionnelles « de charme » pour Ontariens; du développement sauvage, laid et chaotique; de la pollution; de l’étalement; de la densification; de l’insuffisance du transport collectif se ressentent partout. Mais la Ville, son Conseil et son administration en veulent plus !
Un exemple parmi d’autres - 300 % plus cher pour les poumons verts ! Dans une situation où deux terrains identiques de même dimension sont situés côte à côte, l’un étant un espace vert vacant et l’autre un espace bâti, le lot vacant est odieusement taxé. Le taux de taxation du terrain vert vacant est de 0,018217 % vs 0,006318 % pour le terrain bâti, soit près de 300 % plus cher pour un poumon vert ! Au total de la facture de taxes dans ces deux cas-ci, le terrain vacant paie au total plus en taxes que le lot identique bâti. Tout ceci mérite un prix CITRON !
Ceci est le résultat d’une décision « politique » de « nos élus » sensés « nous » représenter. Manipulation politicienne, c’est ce que l’on appelle de l’écofiscalité, un terme qui cache le contraire !
Surveillez vos factures de taxes et ses taux, et ne vous gênez pas pour en parler et de demander des explications avec votre conseiller municipal dont les coordonnées figurent ci-dessous.
Jean-Paul Perreault
Citoyen contribuable
Président d’Impératif français
Sécurité dans nos quartiers : réponse de la conseillère Caroline Murray
La semaine dernière, une citoyenne du district de Deschênes m’a interpellée concernant les enjeux de vitesse et de sécurité au coin des rues Glenwood et Fraser. Je la remercie par ailleurs d’avoir pris le temps de m’écrire et de me faire part de cet enjeu. Comme partagé lors d'un échange par courriel précédant la publication de sa lettre dans le Bulletin d’Aylmer, je suis sincèrement préoccupée par rapport à la vitesse des automobilistes dans les rues et je travaille afin que des changements soient faits. Je siège d’ailleurs à la Commission sur les transports, les déplacements durables et la sécurité afin de rendre vos quartiers encore plus sécuritaire.
Depuis mon élection, j'appuie la facilitation d'accès aux mesures de modération de la vitesse dans nos rues (dos d’âne, bollards, afficheurs de vitesse, etc). Ultimement, j’aimerais que la ville suive les conseils de Piéton Québec, qui suggère que la norme quant à la vitesse dans les quartiers résidentiels soit de 30KM /H. La sécurité dans les rues est l’enjeu dont j’entends le plus souvent parler!
S’il y a des enjeux de vitesse ou de sécurité dans votre rue, n’hésitez pas à faire une requête au 311, afin de rendre la plainte officielle, et par la suite, envoyez-moi le numéro de requête par courriel au murray.caroline@gatineau.ca.
Caroline Murray
Aylmer
Taxation pour Aylmer
Pour faire suite à l’article « Nouvelle taxe d’immatriculation en vue pour les Gatinois » dans l’édition du 20 mars dernier, il sera important pour la Ville de Gatineau de considérer qu’ici à Aylmer, presque la moitié des automobiles portent des plaques d'Ontario. Comment la Ville va-t-elle faire pour taxer ces voitures? Les propriétaires de ces véhicules ne paient pas leur immatriculation au Québec, ni même peut-être leurs impôts, mais profitent des services du Québec. Faudrait tout de même pas exagérer avec cette nouvelle taxe!
Claude Laferrière
Aylmer
Lettres de février
«On ne change pas une loi parce que la CAQ manque d’éthique »
Le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, refuse que le gouvernement Legault mette fin au financement privé des partis politiques, comme l’ont suggéré hier les ministres Jean-François Roberge et Bernard Drainville.
Des députés caquistes font actuellement l’objet d’une enquête de la commissaire à l’éthique pour avoir sollicité des citoyens et des maires en vue de contribuer à la caisse électorale de la CAQ, en échange d’une rencontre avec un ministre.
«Un Québécois qui contribue financièrement à un parti politique, c’est un engagement citoyen, un indicateur de notre vitalité démocratique. Le problème actuel, c’est le manque d’éthique du gouvernement Legault, pas le financement privé », souligne le chef conservateur.
Duhaime craint que la suggestion caquiste conduise à une impossibilité pour un nouveau parti ou un petit parti de devenir un grand parti et, inversement, à un parti en décrépitude de s’accrocher trop longtemps dans le décor politique.
Cédric Lapointe, PCQ
Québec
ENCOMBRANTS : QUOI … PLUTÔT QUI ?
En avril 2022, dans une lettre j’interpellais la mairesse France Bélisle pour signaler la malpropreté endémique et l’omniprésence d’encombrants éparpillés dans mon quartier. Retour à la charge en juin 2023, même destinataire, même doléance. Depuis : rien. Aucune évidence d’intervention dans le dossier de la part de l’administration municipale. Nous sommes en février 2024 : le peu de neige tombé ne suffit pas à recouvrir des rebuts divers de l’automne, « oubliés » à demi enfouis le long des rues.
Un appel récent au 3-1-1 s’est avéré fort révélateur de la bêtise municipale en matière de contrôle des encombrants. Le préposé m’expliquait longuement que pour espérer un résultat (ouverture d’un dossier, intervention, inspection, etc.), je devais identifier des adresses afin de faciliter le travail des inspecteurs en bâtiment et en environnement.
Je ne me sens pas du tout l’âme d’un délateur ni n’en ai le profil. Deuxio, citoyen payeur de taxes, je m’attends, de nos élus aux humbles inspecteurs toutes catégories, qu’ils affichent un professionnalisme exemplaire dans l’exercice de leurs fonctions. En clair : qu’ils se bougent et agissent, et non que je leur mâche la besogne ! Finies les palabres : place à l’intervention énergique, règlements municipaux en main, amendes à l’appui et… éradication du problème à la source !
L’inspecteur des taxes municipales a évalué ma propriété à la hausse en prenant une photo, assis dans sa voiture. Super ! Ses collègues inspecteurs en bâtiment ou en environnement pourraient sauter dans leurs véhicules et se livrer au repérage des encombrants dans nos rues. Non ? À moins d’être aveugles ou en télétravail évidemment.
Se pourrait-il que notre administration municipale soit incrustée de fonctionnaires ou d’élus « encombrants », catégories : inefficaces, incompétents, ou incapables ? Inquiétante question. Si oui, aux prochaines élections, oubliez les explications fumeuses serinées au 3-1-1 et allez voter. Pour un changement. Une façon de contribuer à disposer « d’encombrants » coûteux et inutiles.
Francois Brisebois
Aylmer, Gatineau
Les Québécois seront sensibilisés au deuil périnatal
Le 15 octobre sera dorénavant chaque année la Journée québécoise de sensibilisation au deuil périnatal. Le projet de loi, présenté par l’Opposition libérale, a été accepté aujourd'hui à l’unanimité par l’Assemblée nationale.
La province rejoint ainsi l’initiative fédérale établie en 2016, soulignant le besoin de sensibiliser la population qui touche des dizaines de milliers de Canadiens chaque année. ... Le deuil périnatal est décrit comme la période qui suit la perte d'un enfant survenue pendant la grossesse, l'accouchement ou le début de la période postnatale.
Cette journée de sensibilisation n’est pour l’instant accompagnée d’aucune disposition législative particulière pour les parents concernés
Pascale de Montigny Gauthier, CERIF
Hull
Aylmer doit se battre pour conserver ses services ici !
Il y a une autre bataille à venir pour desservir les gens ici à Aylmer. Le CLSC devrait offrir ici tous les services dont les gens ont besoin. Récemment, une pancarte a été placée sur la porte indiquant que les gens devaient se rendre à Hull. Mais se rendre à Hull est une véritable difficulté pour beaucoup de gens.
Si se déplacer dans une autre partie de Gatineau est un plan à long terme pour le CLSC, le transport en commun devrait suivre. Un service de bus devrait être mis en place sur les itinéraires vers les services vers lesquels le système de santé oriente les gens. En ce moment, les personnes âgées et malades pourraient se rendre au CLSC à pied, lire le panneau indiquant d'aller à Hull. Donc - il devrait y avoir un autobus qui passe juste devant le CLSC et qui va directement au CLSC de Hull. Ce serait une planification intelligente.
Et franchement, la salle d'attente est vide. C'est une insulte pour nous tous que nous ayons un bâtiment et des possibilités de soins de santé locaux, mais que nous soyons ignorés. Les autorités doivent prendre les soins de santé locaux au sérieux. (Traduit)
Frank Foran
Aylmer
Les médecins gaspillent des millions d’heures à remplir de la paperasse
Selon le nouveau rapport de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) publié dans le cadre de la 15e édition de la Semaine de sensibilisation à la paperasserieMC, les gouvernements canadiens commencent à faire des progrès en matière de réduction du fardeau administratif des médecins.
En 2023, le rapport de la FCEI Les patients avant la paperasse révélait que les médecins du Canada consacrent collectivement environ 18,5 millions d’heures par année à des tâches administratives superflues. Nous avons donc lancé à tous les gouvernements le défi d’aider les médecins à rattraper les retards en matière de consultations. Le rapport de cette année présente un aperçu des progrès réalisés par les gouvernements ayant accepté de relever le défi et rappelle la nécessité de prioriser la réduction de la paperasserie dans le secteur de la santé.
Maud Larivière, FCEI
Ottawa
Portrait du télétravail
Plus du tiers des personnes en emploi télétravaillent, mais cette proportion varie selon les régions.
En 2022, au Québec, environ 35 % de la main-d’œuvre a fait du télétravail, la majorité en mode hybride. Près de 40 % des travailleuses ont indiqué avoir fait du télétravail comparativement à environ 31 % des travailleurs. C’est entre autres ce que révèle le bulletin Portrait du télétravail au Québec en 2022 : un phénomène à géométrie variable diffusé par l’Institut de la statistique du Québec.
Qui sont ceux et celles qui télétravaillent en plus grande proportion en 2022? Les groupes qui ont pratiqué le télétravail en plus grande proportion sont :
- les personnes de 25 à 54 ans (40 %);
- les personnes possédant une formation universitaire (58 %);
- les personnes occupant dans la finance, les assurances, l’immobilier (75 %), dans les services professionnels, scientifiques et techniques (73 %) et dans l’administration publique (65 %).
Le télétravail est particulièrement répandu chez les gestionnaires et chez les personnes ayant un emploi professionnel, de même que chez celles ayant une rémunération élevée.
Montréal et l’Outaouais sont les régions où le taux de télétravail est le plus élevé (45 %) et 40 % dans la région de la Capitale-Nationale.
Sans surprise, les régions où on trouve une forte proportion d’industries du domaine des services (régions urbaines) ont des taux de télétravail plus élevés que celles où on trouve plutôt des industries de la fabrication ou des ressources naturelles (régions ressources et manufacturières).
Que souhaitent les personnes en emploi? Dans tous les groupes et les milieux de travail analysés, on compte plus de personnes qui préféraient le télétravail au travail en présentiel que de personnes qui avaient fait du télétravail. C’est le cas notamment chez :
- les femmes;
- les personnes âgées de 25 à 44 ans;
- les personnes ayant une formation postsecondaire ou plus;
- les personnes ayant un emploi à temps plein;
- les personnes travaillant dans un établissement de moins de 100 personnes.
L’Institut de la statistique du Québec
Québec
Résidence de création en écriture documentaire sonore
Nous sommes fiers.ères d'accueillir prochainement Claire-Selma Aïtout pour la première édition de la résidence de création en écriture documentaire sonore. Cette réalisatrice française de balado séjournera à Gatineau tout le mois d’avril pour travailler à l'écriture de son prochain projet de balado qui portera sur la vie et l'histoire de Paul Erdős, mathématicien le plus prolifique de sa génération. Cette série croisera donc l’histoire des mathématiques et celle du XXe siècle. Claire-Selma présentera son projet pendant le Festival de la radio numérique.
Ce projet est possible grâce à notre collaboration avec l'Ambassade de France au Canada. Nous remercions également le Conseil des arts et des lettres du Québec pour leur soutien.
Transistor Média
Gatineau
Le décloisonnement des métiers de la construction -- pas assez loin
Le projet de loi 51 déposé par le Ministre du Travail manque d’ambition, selon un chercheur de l’Institut économique de Montréal. Le Québec compte 25 métiers à certification obligatoire en construction, contre seulement sept en Ontario. Le décloisonnement proposé représente un très petit pas, alors que le défi à relever est énorme.
Le projet de loi prévoit permettre aux travailleurs ayant un statut de compagnon d’effectuer des tâches présentement réservées à un autre métier que le leur, dans la mesure où ces tâches ne relèvent pas de la structure, de l’opération de machinerie lourde ou de spécialités telles la plomberie et l’électricité.
Le projet de loi maintient les exigences de formation et de certification pour les 25 métiers à certification obligatoire, freinant l’entrée de nouveaux travailleurs dans les métiers qui, ailleurs au pays, ne requièrent aucune formation particulière.
Le chercheur questionne notamment la pertinence d’imposer une formation de 900 heures échelonnées sur huit mois pour devenir peintre en bâtiment, par exemple, dans un contexte où il manque près de 10 000 travailleurs dans l’industrie. Selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement, le Québec aurait besoin de 1,19 million de nouveaux logements d’ici 2030 afin de retrouver les niveaux d’abordabilité observés en 2004.
Célia Pinto Moreira, IEDM
Montréal
Appel urgent en matière de développement durable : 674, chemin d’Aylmer
Nous lançons un appel à chacun des membres du conseil pour qu’ils reviennent sur la décision du Comité de demandes de démolition qui, par un vote de 2 contre 1, a autorisé la démolition de la maison patrimoniale située au 674, chemin d’Aylmer. Cela aura un impact négatif durable sur la seule route historique restante de la ville, datant de la colonisation : le chemin d’Aylmer.
La seule raison de la démolition est d’accommoder les plans d’un promoteur. En fait, il y a suffisamment de terrain dans le plan proposé pour aménager la propriété tout en conservant le bâtiment existant. Cette maison du début des années 1900 nécessite maintenant des réparations importantes, ce que le promoteur préfère ne pas faire.
Le conseil d’administration de l’Association est d’avis que si la Ville de Gatineau s’engage à la fois à protéger le patrimoine bâti et à respecter son engagement en matière de développement durable, la maison du 674, chemin d’Aylmer doit être conservée et réparée. Un permis de démolition pour cette propriété va à l'encontre des principes adoptés par la Ville.
Nous exhortons le Conseil à revoir attentivement sa position concernant cette propriété.
Enid Page, co-presidente
Association du patrimoine de Aylmer
(Note : Dans le cadre du Mois du patrimoine, une série d'activités est organisée -- par la ville de Gatineau -- en collaboration avec des organismes de la région.)
Participez au Grand dénombrement des oiseaux de février!
Chaque année, le plaisir solitaire se multiplie par la participation en masse au Grand dénombrement des oiseaux de février (GDOF). Participer avec des amis, en famille ou en groupe. La 27e édition annuelle du GDOF aura lieu du 16 au 19 février 2024 inclusivement.
En 2023, plus d’un demi-million de personnes de plus de 200 pays ont participé au GDOF. Elles ont signalé plus de 7500 espèces d’oiseaux. Le courant marin El Niño est prononcé cette année, ce qui pourrait causer des surprises pendant le GDOF de 2024. Les températures seront vraisemblablement plus élevées, ce qui pourrait avoir un effet sur le moment de la migration printanière et influer sur la disponibilité des ressources alimentaires. Partout où l’on fera des observations, il sera possible de détecter davantage de visiteurs inhabituels.
Ceux et celles qui participent pour la première fois doivent s'efforcer de lire les instructions complètes sur le site Web du GDOF (www.birdcount.org/fr/participer/).
Andrew Coughlan, Birds Canada,
Port Rowan, ON
Le deuxième vice-président de l’Assemblée nationale soit suspendu de ses fonctions : PCQ
À la suite de l’ouverture d’une enquête par la commissaire à l’éthique au sujet de Sylvain Lévesque, le chef du Parti conservateur du Québec réclame que le deuxième vice-président de l’Assemblée nationale soit suspendu de ses fonctions le temps que la commissaire conclut s’il y a eu manquement au Code d’éthique et de déontologie.
Radio-Canada nous apprenait la semaine dernière que le bureau du député Lévesque aurait incité une citoyenne à contribuer à la CAQ en retour d’une rencontre avec un ministre.
L’Assemblée nationale définit bien, sur son site, les fonctions et mandats des vice-présidents. Sous l’onglet «impartialité», elle précise même: «Une attitude de prudence est aussi de mise eu égard aux activités politiques à l'extérieur des travaux de l'Assemblée.»
Le chef conservateur estime que cette prudence n’a pas été respectée.
« Les allégations portées contre Monsieur Lévesque sont sérieuses. Son bureau aurait utilisé les ressources de l’Assemblée nationale à des fins partisanes et tenté de monnayer, à l’avantage de la CAQ, une rencontre avec un ministre », souligne celui qui était son adversaire dans Chauveau lors de la dernière élection.
Cédric Lapointe, PCQ
Québec
Régler l’injustice fiscale unique au Québec
La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) dévoile une étude sur la déduction pour petite entreprise (DPE), réalisée par la firme AppEco. Il y est montré qu’en redonner l’accès aux plus petites entreprises exclues pourrait augmenter de 811 M$ le PIB et créer l’équivalent de plus de 10 000 emplois directs, indirects et induits.
Suivant les recommandations de la Commission d’examen sur la fiscalité québécoise, le gouvernement du Québec a bloqué l’accès au taux d’impôt réduit aux plus petites entreprises des secteurs de la construction et des services, qui ne déclarent pas 5 500 heures de travail rémunéré (un peu moins de trois employés à temps plein pour les saisonnières). La recommandation de la Commission, appelée prime à la croissance, visait à encourager les petites entreprises à croître afin qu’elles puissent accéder au niveau de revenus leur permettant de bénéficier d’un traitement fiscal avantageux. La FCEI voulait connaître le réel impact économique de cette orientation. C’est dans cette optique qu’elle a mandaté la firme AppEco pour en faire l’analyse économique.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Une nouvelle Église à Hull
Après des préparatifs s’échelonnant sur près d’un an, avec un petit groupe de participants, une nouvelle Église a procédé au lancement de ses réunions du dimanche en janvier de la présente année. L'anglais est la langue commune de notre Église. Cependant, notre communauté reflète la diversité linguistique et culturelle de Gatineau. Ainsi, le français est souvent parlé et chanté, et nous traduisons une grande partie de nos cultes afin que tous ceux qui y assistent puissent comprendre et participer.
La Bible enseigne que l'amour de Dieu n'est pas quelque chose que nous pouvons mériter par notre bon comportement, et même s’il nous aime, il ne ferme pas les yeux sur les erreurs que nous avons commises. Au contraire, l'amour de Dieu pour nous se manifeste dans le fait qu'il est devenu un être humain en la personne de Jésus. Il a vécu une vie parfaite, et il a gracieusement payé, par sa mort sacrificielle, pour tout le mal que nous avons commis afin que, par lui, nous puissions être réconciliés tant avec Dieu qu'avec les autres. Grace Gatineau s'engage à en apprendre davantage sur cette grâce, à la pratiquer les uns envers les autres et à la partager dans notre collectivité.
Notre tradition ecclésiale est presbytérienne (PCA), sur le plan de la gouvernance, et réformée sur le plan de la théologie (comme cela est exprimé dans la Confession de Westminster). Nous sommes heureux de travailler aux côtés d'autres Églises centrées sur l'Évangile dans la ville.
Cultes d’adoration : au 20 rue Hanson, Gatineau (secteur Hul) à 16 h 30, suivi d’un repas-partage pour tous. Pour de plus amples renseignements, consultez: gracegatineau.ca Bienvenus aux sceptiques et à ceux qui cherchent la vérité!
Pasteur Franky Garcia
Hull / Gatineau
Un road-trip !
Parlons du Québec part en road trip !
Notre Rallye et Meet & Greet auront lieu dans les Cantons-de-l'Est le dimanche 25 février, où nous nous rassemblerons, habillerons nos voitures et nous dirigerons vers un point de rassemblement en solidarité avec des pancartes, des drapeaux et des voix élevées.
Regardez la hausse des frais de scolarité imposée par la CAQ aux étudiants hors province, qui a entraîné une baisse immédiate des inscriptions, de 30 pour cent, aux universités McGill et Concordia.
Restez dans les parages et écoutez nos conférenciers invités. Au programme : le Dr Arthur Fischer discutera du projet de loi monolithique sur les soins de santé, le projet de loi 15, récemment imposé ; Scott Kilbride parlera d'immigration et de logement ; Danilo Velasquez sur les questions liées aux Premières Nations ; ainsi que des conférenciers experts sur l’énergie et l’agriculture.
Le point de départ du rallye est le Carrefour de l'Estrie, 3050 Boulevard De Portland, Sherbrooke, Québec J1L 1K1. Le rassemblement part à 14h00 et arrivera à la Légion Royale Canadienne, 2615 Rue Hertel, Sherbrooke, QC J1J 2J4 pour 15h00. Les gens sont invités à se rencontrer directement à la Légion.
Parlons-en!
Marc Perez, Organiser of the Coalition of independent thinkers
Montréal
Chère France
La nouvelle de votre démission m'a vraiment secoué. C’est triste. Avant tout, je voulais prendre le temps de vous dire à quel point votre présence en tant que mairesse a eu un impact significatif pour Gatineau et ses citoyens.
Pour moi, vous n'avez pas été simplement une mairesse mais l’une des meilleures au Québec à mes yeux. Nous étions privilégiés. La période actuelle est particulièrement insécurisante avec la crise du logement, l’itinérance, les problems environnementaux, la pénurie de main-d'œuvre, le transport en commun, et les défis liés à l'hôpital du centre-ville, etc. Vous aviez la volonté et la capacité de réussir ces défis.
Apprendre que votre démission est motivée par des préoccupations pour votre santé me rappelle que même les leaders les plus forts ont besoin de prendre soin d'eux-mêmes. Je soutiens totalement votre décision de faire de votre bien-être une priorité.
Au-delà de votre rôle de mairesse, vous avez été une personne proche de la communauté. Votre compréhension des préoccupations de chacun et votre capacité à créer des liens personnels ont fait de vous bien plus qu'une figure politique pour moi. Je suis reconnaissant d'avoir partagé cette période de l'histoire de Gatineau avec vous.
Alors que vous prenez ce nouveau chemin, je voulais exprimer ma profonde gratitude pour tout ce que vous avez fait. Vous allez nous manquer, France.
Gilles Desjardins
Président de Brigil
Citoyens demandent à la Cour fédérale de réviser la décision d’autoriser le dépôt de déchets radioactifs
Concerned Citizens of Renfrew County and Area, le Ralliement contre la pollution radioactive et le Regroupement pour la surveillance du nucléaire ont demandé hier la révision judiciaire d’une décision de la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN). Celle-ci a récemment autorisé la construction d’une installation géante de gestion des déchets radioactifs près de la surface (IGDPS), tout près de la rivière des Outaouais à 180 km d’Ottawa.
Les trois groupes reprochent à la Commission de sûreté nucléaire d’avoir autorisé cette décharge radioactive sans considérer plusieurs éléments essentiels :
• Les doses de rayonnement annoncées par le promoteur de cette installation dépasseront certaines limites prescrites par la réglementation canadienne et les normes internationales ;
• Le promoteur, les Laboratoires Nucléaires Canadiens (LNC), n’a pas fourni suffisamment de renseignements sur les déchets qui seront placés dans cette installation, si bien que son dossier de sûreté n’est pas fiable ;
• Un document-clé soumis par les LNC, intitulé Les critères d’acceptation des déchets, inclut une section de dérogation qui permettra de placer dans cette IGDPS des déchets plus dangereux que ne le permettent les critères d’acceptation officiels. Cette possibilité de dérogation rend illusoire toute garantie de sécurité;
• Les processus prévus ne permettront pas de garantir que les déchets placés dans l’IGDPS sont conformes aux critères d’acceptation;
• Les LNC ont omis de fournir des informations sur plusieurs autres projets voisins dont les impacts environnementaux s’ajoutent à ceux des déchets placés dans l’IGDPS;
• Les LNC ont proposé comme mesure d’atténuation d’installer un pipeline de déversement vers le lac Perch voisin, ce qui augmentera les rejets de tritium radioactif dans la rivière des Outaouais plutôt que de les diminuer ;
• L’habitat et les abris de plusieurs espèces protégées seront détruits par la préparation du site et la construction de l’IGDPS.
Selon cette demande de contestation judiciaire présentée à la Cour fédérale le 7 février, la décision de la CCSN est aussi déraisonnable parce que la Commission n’a pas émis de permis pour préparer l’emplacement et n’a pas procédé à l’évaluation nécessaire avant cette préparation de l’emplacement.
Nicholas Pope, conseiller juridique, Hameed Law
Ottawa
Régler l’injustice fiscale unique au Québec
La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) dévoile une étude sur la déduction pour petite entreprise (DPE). Il y est montré qu’en redonner l’accès aux plus petites entreprises exclues pourrait augmenter de 811 M$ le PIB et créer l’équivalent de plus de 10 000 emplois directs, indirects et induits.
Suivant les recommandations de la Commission d’examen sur la fiscalité québécoise, le gouvernement du Québec a bloqué l’accès au taux d’impôt réduit aux plus petites entreprises des secteurs de la construction et des services, qui ne déclarent pas 5 500 heures de travail rémunéré (un peu moins de trois employés à temps plein pour les saisonnières). La recommandation de la Commission, appelée prime à la croissance, visait à encourager les petites entreprises à croître afin qu’elles puissent accéder au niveau de revenus leur permettant de bénéficier d’un traitement fiscal avantageux.
Rappelons que le Québec est la seule province qui ne donne pas accès à un taux d’impôt réduit pour les plus petites entreprises des secteurs de la construction et des services. Celles-ci se retrouvent avec un taux d’imposition de 259 % et doivent donc payer 4 150 $ de plus sur chaque tranche de 50 000 $ de bénéfices.
Maud Larivière, FCEI
Montreal
Le QS déplore la fermeture des médias locaux
Suite à la suspension des activités du journal local l’Info Petite-Nation, (et) l’hebdomadaire Journal Les 2 Vallées, l’association de Québec solidaire Papineau appelle le gouvernement à soutenir les médias d’information locaux qui traversent une crise financière sans précédent.
Avoir accès à de l’information locale et diversifiée, c’est fondamental pour notre démocratie, a l’ère de la désinformation et de l’influence importante des géants du numérique.
Québec solidaire propose depuis 2020 une solution structurante pour les médias. Face à la crise sans précédent que vivent nos médias d’information au Québec, on a besoin de solutions durables et d’une vraie vision à long terme -- un Fonds des médias pour assurer un financement pérenne de nos médias locaux, régionaux et nationaux.
L’attribution du financement serait déterminée par un conseil d’administration décisionnel et indépendant du gouvernement, à l’instar du Conseil des arts et des lettres du Québec ou des Fonds de recherche du Québec.
Charles Castonguay
Pour l’association de QS Papineau
Le départ de Mme Bélisle
Comme tous les citoyens de Gatineau, je veux témoigner de l'engagement de Mme Bélisle dans son rôle de mairesse. Nous avons tous été touché par sa grande humanité et son authenticité.
À son entrée en poste, j'ai été emballé d'avoir une première mairesse pour notre Ville et une indépendante en plus!
Je la remercie de son travail pour les citoyens ainsi que de m’avoir fait confiance, notamment au sein de l’exécutif et dans mon rôle de président de la commission de l’environnement qu’elle a créée.
Mme Bélisle a livré avec courage un message important sur la banalisation du climat de travail dans le monde de la politique municipale. L'adversité est au centre de la politique et est devenue un frein à l’engagement démocratique. J’espère que le gouvernement du Québec agira sans tarder, notamment sur la question du harcèlement en milieu politique. Il demeure crucial pour tout politicien de parler des enjeux de santé mentale et de mettre sa santé en priorité.
Je salue sa force d’avoir fait ce choix déchirant. Vivre un départ de la mairie est un choc que l’on vit publiquement et est d’autant plus difficile. Je lui souhaite bon courage dans cette épreuve.
Marc Bureau, Conseiller municipal
Gatineau
Déclaration du caucus d'Action Gatineau
Nous avons appris avec surprise la démission de Mme France Bélisle et nous tenons tout d’abord à la remercier pour son engagement envers les Gatinoises et les Gatinois au fil des dernières années.
Nous poursuivrons notre travail au conseil avec le même objectif de veiller aux meilleurs intérêts de l’ensemble des citoyennes et citoyens. Nous offrons notre entière collaboration à M. Champagne qui prendra la relève à la mairie pour la suite des choses.
Laurent Lavallée, Attaché politique
Gatineau
Lettres de janvier
Ouverture de la salle communautaire au Centre Yolande Duval
La Soupe populaire de Hull annonce la réouverture de la salle communautaire au Centre Yolande Duval.
Une entente a été conclue avec la DSMD - CISSSO afin de bonifier les services de la Soupe populaire au centre-ville de Hull. Il y a maintenant deux centres ouverts pour offrir des repas chauds, de l’accompagnements, de l’eau potable, des activités variées, des jeux de société et des petites collations etc:
- Centre communautaire Yolande Duval, 297, boulevard des Allumettières
- Centre Frédéric-Ozanam, 751, boulevard Saint-Joseph
Des repas chauds seront servis sur place 7 jours du 7, de 10 h 30 à 16 h 30 au Centre Ville et seulement les jours de 9 h 30 à 15 h 30 au Nord de l'Île de Hull. De l’accompagnement en intervention sociale sera également disponible pour la population. Les intervenants fourniront des références pour les personnes qui sont à la recherche de logements ainsi que pour les personnes qui ont des besoins de santé physiques et mentales.
La Soupe populaire de Hull est un organisme communautaire au service de sa communauté depuis 1974. Sa mission est d’accueillir toute personne vivant une situation de précarité financière, sociale ou personnelle en lui offrant le soutien et les outils nécessaires pour améliorer sa qualité de vie.
Michel Kasongo, Directeur général
Gatineau
Enterrer le tramway à Québec !
Alors que François Legault rencontre le maire de Québec, Bruno Marchand, le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, sonne la CAQ de mettre fin au projet de tramway à Québec. La construction du matériel roulant, coûtera potentiellement plus d’une centaine de millions $ supplémentaires aux contribuables québécois.
Éric Duhaime rappelle que ce projet n’a jamais eu d’acceptabilité sociale et que les partis d’oppositions ne semblent pas se soucier de la mise en œuvre d’un projet antidémocratique.
« Le plus récent sondage a démontré que seulement 30% de la population est en faveur d’un tramway. Pourtant, 100% des partis politiques ont encore la semaine dernière réitéré leur appui au projet. Le temps est venu d’écouter le peuple», conclut monsieur Duhaime.
Cédric Lapointe, Parti conservateur du Québec
Québec
Plus d’une personne sur dix a vécu de la cyberintimidation
Environ 12 % des Québécois et Québécoises de 12 ans et plus ont vécu de l’intimidation ou de la cyberintimidation en 2022. C’est ce que révèlent les résultats de l’Étude québécoise sur les rapports sociaux dans un contexte scolaire, de travail et dans la communauté 2022 menée auprès de plus de 21 000 personnes de 12 ans et plus. L’étude porte sur l’intimidation et la cyberintimidation vécues au cours des 12 mois précédant l’étude.
Les personnes les plus susceptibles d’avoir vécu de l’intimidation ou de la cyberintimidation au cours des 12 mois précédant l’étude dans au moins un des trois contextes à l’étude (scolaire, travail ou hors de ces deux contextes) sont notamment :
- les jeunes de 12 à 17 ans (31 % c. 3,0 % à 21,3 % chez les groupes plus âgés);
- les personnes dont l’orientation sexuelle est LGB+ (28 % c. 10 % chez les personnes hétérosexuelles);
- les personnes transgenres ou de genre non binaire (34 % c. 11 % chez les personnes cisgenres);
- les personnes autochtones résidant hors communauté (19 %) et les personnes issues des minorités visibles (16 %) contre 12 % chez les personnes issues de minorités ethniques et 11 % chez celles qui ne sont pas issues de ces groupes;
- les personnes qui ont une incapacité qui les limite dans leurs activités quotidiennes (21 % c. 10 % chez les personnes sans incapacité contraignante);
- les personnes dont le niveau de revenu du ménage est faible (14 % c. 11 % à 12 % chez celles dont le niveau de revenu est plus élevé).
L’intimidation et la cyberintimidation comprennent des actes agressifs qui ont pour effet de nuire à la personne visée, qui sont répétitifs et qui surviennent lorsqu’il y a inégalité des rapports de force entre la personne visée et la personne autrice de ces actes.
Dans l’étude, l’intimidation fait référence aux situations survenues hors du cyberespace, alors que la cyberintimidation se caractérise par le fait d’être survenue via tout type de technologie de l’information et de communication.
L’Institut de la statistique du Québec
Québec
Rembourser les prêts du Compte d’urgence ?
La FCEI est extrêmement déçue que le gouvernement fédéral ait fait la sourde oreille alors que des dizaines de milliers de propriétaires de PME demandaient plus de temps pour rembourser leur prêt du Compte d’urgence pour les entreprises canadiennes (CUEC) sans perdre la portion subvention.
Pour rappel, 45 000 PME au Québec sont à risque de fermer leurs portes si rien n'est fait.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Une exposition de groupe spéciale, Galerie Old Chelsea
Du 1er au 14 février 2024
La Lanterne, un organisme dont la mission est d'aider les personnes vivant avec une déficience intellectuelle à prendre conscience de leur valeur en tant que personnes. Le groupe a engagé un professeur d'art pour travailler avec ces artistes en herbe afin de leur enseigner une variété de méthodes et de les encourager à expérimenter différents styles. Les résultats sont frappants.
Ginette Marcoux, directrice du centre, a remarqué que la participation à des activités artistiques a renforcé leur confiance et leur estime de soi et apporté plusieurs bienfaits.
Anne Swiderski, La Lanterne
La Pêche
Dénationalisation de l'électricité !
Des organisations de la société civile réagissent à l’intention du ministre de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie, Pierre Fitzgibbon, de déposer un projet de loi qui légaliserait la vente directe d'électricité entre entreprises privées, ce qui est actuellement interdit, et mettrait ainsi fin au monopole d'Hydro-Québec. Les organisations affirment que la proposition de dénationaliser l’électricité est un recul historique qui nous ramène 60 ans en arrière, alors que le gouvernement Legault n'a pas reçu le mandat de fragiliser ce service public essentiel qui est d'importance stratégique pour l’économie et la sécurité énergétique du Québec. L’importance des enjeux énergétiques exige qu’un véritable débat public ait lieu de manière à ce que les décisions soient prises dans l’intérêt collectif.
60 ans d’histoire et la décarbonation du Québec sont en jeu !
La liste des organisations signataires : Greenpeace Canada, Regroupement des organismes environnementaux en énergie, Fondation Rivières, Nature Québec, ACEF du Nord de Montréal, Mouvement écocitoyen UNEplanète, Eau Secours, Mobilisation environnement Ahuntsic-Cartierville, Mouvement d’éducation populaire et d’action communautaire du Québec (MÉPACQ), Collectif Femmes pour le climat (CFC), Solidarité Environnement Sutton, Fondation David Suzuki, Conseil central du Montréal métropolitain-CSN, Carrefour de participation, ressourcement et formation (CPRF), Les AmiEs de la Terre de Québec, Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA), Collectif scientifique sur les enjeux énergétiques au Québec, Coalition Alerte à l’Enfouissement Rivière-du-Nord (CAER ), et Association québécoise des médecins pour l‘environnement (AQME).
Patrick Bonin, Greenpeace Canada
Montréal
Les Métallos soutiennent des organismes communautaires du Québec
Le Fonds humanitaire du Syndicat des Métallos (FHM) a versé des dons totalisant 56 500 $ à 25 organismes communautaires dans la plupart des régions du Québec qui apportent un soutien à des personnes en difficulté. La plupart des groupes offrent une aide alimentaire.
Ces dons sont possibles grâce à une cotisation spéciale des travailleur.euse.s syndiqué.e.s participant au Fonds humanitaire des Métallos. On retrouve en fin de communiqué la liste complète des organismes à qui les dons ont été faits.
Liste des organismes : Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, Centraide du Grand Montréal, Chez Doris, Bon Dieu dans la Rue, Les Œuvres de la Maison du Père, CAP St-Barnabé, Cuisines Collectives Hochelaga-Maisonneuve, Centraide Richelieu-Yamaska, Moisson Québec, Centre du Plateau Laval Bécancour, Ressource aide alimentaire Nicolet, Centre d’action bénévole de Drummond, Centre d’action bénévole de la MRC de Coaticook, Centre d’action bénévole de Port-Cartier, Fondation Rock-Guertin, Maison d’aide et d’hébergement Fermont, L’espoir de Shelna (Havre-Saint-Pierre), Le Comptoir alimentaire de Sept-Îles, Centre d’entraide d’Argenteuil, Fin à la faim (Repentigny), Ressourcerie Bernard-Hamel, Centre de bénévolat de la Vallée d’Or, Le Service Alimentaire Communautaire (SAC-Salaberry-de-Valleyfield), Moisson Beauce St-Georges.
Clairandrée Cauchy, FTQ
Montréal
Les sans-abri, pas d’urgence pour la Ville ?
J'habite dans un immeuble qui compte des logements réservés aux locataires à faible revenu. Ce qui m'inquiète, c'est que lorsque les locataires déménagent, il faut des mois pour que les nouveaux locataires soient logés dans les logements vacants. Même si je comprends qu'une unité peut avoir besoin d'être nettoyée et même repeinte, cela ne devrait pas prendre si longtemps. Nous avons un grand nombre de sans-abri qui vivent sous des tentes. La Ville de Gatineau doit être plus vigilante afin d'occuper plus rapidement les appartements sous son contrôle.
Judith O'Rourke
Aylmer
La promesse d'une réduction de la fonction publique ?
En prévision du prochain budget, le Parti conservateur du Québec demande aujourd’hui au gouvernement de respecter sa promesse d’une réduction significative de la taille de l’État, estimant que cette mesure est cruciale pour favoriser la croissance économique, réduire le fardeau fiscal des contribuables et améliorer la productivité de la fonction publique.
En 2018, François Legault avait promis de supprimer 5000 postes dans la fonction publique pour économiser 380 millions de dollars annuellement, mais elle s’est plutôt engraissée de plus de 5000 nouveaux fonctionnaires. Pour l’ensemble du gouvernement, il s’agit d’une augmentation de 56,000 postes.
Cette proposition est d’autant plus pertinente dans le contexte de négociations syndicales qui coûteront à échéance, 11 milliards de dollars par année supplémentaire aux contribuables. Un manque à gagner plane à l’horizon et le chef conservateur, Éric Duhaime, s’en inquiète compte tenu du manque de vision et d’ambition du gouvernement.
Cédric Lapointe, Parti conservateur du Québec
Québec
Lettres de décembre
Vous avez trouver mon articles pour parution dans le Bulletin que je a soumets à votre aimable considération. J’ose espérer que mes écrits n’occupent pas trop de place dans votre Courrier aux Lecteurs. Je suis le premier à reconnaître que tous les lecteurs du Bulletin doivent avoir l’occasion et l’espace pour s’exprimer. Ces derniers temps, j’estime avoir été plus que choyé par l’accueil que vous avez réservé à mes soumissions.
Aussi, veuillez croire que je n’en prendrai pas ombrage, loin de là, si je devais passer mon tour pour laisser l’occasion à un autre lecteur de nous intéresser par son commentaire ou de ses réflexions sur tel ou tel sujet. Avec toute ma reconnaissance pour cet accès privilégié aux pages du Bulletin que vous m'accordez si aimablement.
Francois Brisebois
Aylmer / Gatineau
En prévision de la saison 2024, la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) lance officiellement sa campagne annuelle de recrutement de pompières forestières et de pompiers forestiers. Pour marquer le coup, l’organisme de protection des forêts tiendra, le mardi 28 novembre à 19 heures, une "https://fb.me/e/6yQgLQkEa" séance d’information publique, diffusée via sa page Facebook. À cette occasion, des représentants de la SOPFEU présenteront l’organisation et le métier de pompier forestier. Ils répondront également aux questions des participants.
Ce vaste appel de candidatures, qui se déroulera jusqu’à la mi-janvier 2023, vise à recruter des femmes et des hommes pour soutenir l’organisation dans la poursuite de sa mission visant à protéger la forêt, les communautés et les infrastructures stratégiques contre les incendies de végétation, tout en assurant la pérennité du milieu forestier. Il s’agit d’un emploi unique et valorisant, qui amènera les candidates et les candidats à voyager partout en province, voire au pays et à l’étranger, et à se dépasser au quotidien.
Selon la SOPFEU, être pompière forestière ou pompier forestier, c’est plus qu’un métier, c’est un mode de vie hors du commun. C’est une possibilité de carrière diversifiée et stimulante, près de la nature et au cœur de la forêt. C’est aussi la chance de voyager, parfois en hélicoptère ou en véhicule tout-terrain, pour arriver à son lieu d’assignation et de combattre des incendies de forêt. Il s’agit également d’un emploi saisonnier, qui permet de réaliser des projets personnels ou d’autres activités professionnelles au cours de la saison hivernale. Celles et ceux qui souhaitent s’investir davantage peuvent également progresser au sein de l’organisation et accéder à un emploi à l’année.
Seul organisme au Québec dont la mission est la protection des forêts contre le feu, la SOPFEU sélectionne, forme, entraîne et développe elle-même ses ressources afin de permettre aux employés de bonifier leurs compétences et d’évoluer dans l’organisation. Des parcours de carrières diversifiés et stimulants s’ouvrent à tous ceux et celles qui souhaitent prendre part à la mission de la SOPFEU.
Pour poser sa candidature, il est nécessaire de détenir l’un des diplômes suivants : diplôme d’études professionnelles (DEP), diplôme d’études collégiales (DEC) ou un baccalauréat (BAC) dans l’un des domaines suivants : foresterie, faune ou aménagement; sécurité incendie; écologie, biologie, environnement ou géographie; loisir et tourisme d’aventure; autres domaines connexes pertinents ou détenir un minimum de trois années d’expérience de travail en forêt.
Pour de plus amples renseignements ou pour poser sa candidature, les personnes intéressées sont invitées à visiter la section Devenir pompier forestier sur le site web de la SOPFEU : "https://sopfeu.qc.ca/devenir-pompier-forestier/"et à consulter les "https://www.youtube.com/playlist?list=PLJrZ-nM--h_SuB6gWTh7hRqOuJnPz6lmd" vidéos et la "https://bit.ly/3FHhwRY" brochure d’information. Consultez : "http://sopfeu.qc.ca/porte-parole/"
Melanie Morin, Direction régionale de l’Ouest
Service de la prévention et des communications de la SOPFEU
Lettre ouvert aux Messieurs Trudeau et Fergus,
Vous avez récemment appelé les Canadiens à s’engager dans la vie démocratique « avec optimisme » dans un contexte d’indifférence vis-à-vis des partis politiques en général. Et surtout de revirement des intentions de vote en direction du Parti conservateur.
Mais pour qu’il y ait démocratie, encore faut-il que le parlement représente fidèlement les citoyens, alors que grâce au système actuel vous avez été élu avec 25 % des citoyens inscrits. Continuer de promouvoir un système bipartite (ou presque) — alors que vous aviez promis de le moderniser — est une insulte à la démocratie et ne fait que nourrir le cynisme des Canadiens.
Messieurs les libéraux, vous avez peur de voir disparaitre tout ce que vous auriez fait depuis 2015 pour « créer de la croissance économique tout en luttant contre les changements climatiques » ?
Quant à la crise climatique, vos politiques sont à l’image de votre récente décision d’exonérer les provinces maritimes de la taxe carbone : un pas en avant, deux pas en arrière, avec beaucoup plus de paroles et de promesses (non-tenues) que d’actes ou de réalisations. Le Canada ne se décarbone pas, nos émissions de GES sont encore loin des cibles prévues, et on ne voit toujours pas comment elles pourraient les atteindre dans le futur !
Les Canadiens désapprouvent votre gestion de l’économie, des enjeux autochtones et de la crise climatique. Vous êtes usé et votre parti n’a pas livré la marchandise. En dehors de mesures électoralistes, vous ne proposez rien. Laisser penser qu’il n’y a pas d’autre alternative progressiste à la droite conservatrice que les libéraux est carrément malhonnête.
Le Parti vert du Canada est progressiste et écologiste. Il est une alternative plus que jamais nécessaire et à qui plusieurs autres pays, notamment en Europe, font confiance.
Le Parti Vert est le seul qui ose proposer les mesures nécessaires, parmi lesquelles certaines impopulaires, mais pour le bonheur des générations qui nous suivent ! Déclarer le contraire est pur mensonge… ou déni. Il est urgent que le Parti libéral passe la main.
Association de circonscription électorale
du Parti vert du Canada dans Hull-Aylmer
Les employés de l’administration québécoise ont un salaire et une rémunération globale inférieurs à ceux des autres salariés québécois: un étude nouveau de L'ISQ.
Les salariés de l’administration québécoise reçoivent une rémunération globale inférieure de 7,4 % à celle de l’ensemble des autres salariés québécois, et de 22,7 % à celle des salariés des autres secteurs publics.
L’Institut de la statistique du Québec
Québec
La FCEI dépose une pétition signée par 4 200 PME du Québec au ministre du Travail, Jean Boulet, l’exhortant à rejeter catégoriquement la requête syndicale déposée il y a un an, demandant la création d’une banque de congés d’isolement COVID de 10 jours.
Vous trouverez l'intégralité du communiqué de presse au site FCEI.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Le Parti conservateur du Québec priorise le maintien de l’argent dans les poches des citoyens et des entrepreneurs, plutôt que la redistribution financière par le biais de subventions et de taxes, a affirmé le chef conservateur, Éric Duhaime.
Les subventions de plusieurs milliards à Northvolt et plusieurs millions aux Kings de Los Angeles, c’est de l’argent que la CAQ a pris directement dans le portefeuille des Québécois, nous on veut leur redonner.
L’argent gagné durement par les Québécois devrait rester dans leurs poches. Au lieu de subventionner et de taxer, nos membres ont voté pour qu’on privilégie des baisses d’impôts et qu’on réduise la réglementation.
Les membres du PCQ ont adopté au dernier Congrès national 2023 tenu les 18 et 19 novembre dernier à Lévis une série de propositions économiques conservatrices.
Prenant en considération la nécessité de cibler les moins nantis, le Parti conservateur du Québec propose de baisser les impôts des particuliers en augmentant l’exemption personnelle de base et en réduisant les taux d’imposition pour les deux premiers paliers d’imposition.
Prenant en considération que le Québec est champion de l’aide sociale aux entreprises, le PCQ réduira leur fardeau fiscal d’un dollar pour chaque dollar de baisse de subventions.
Prenant en considération que la gestion des finances publiques de François Legault se situe au 8e rang des premiers ministres provinciaux, le PCQ propose une Loi sur le plafonnement des dépenses prévoyant, notamment, un budget équilibré sur cinq ans, des hausses de dépenses limitées à l’inflation plus la croissance de la population et exigeant que chaque dollar dépensé dans un nouveau programme provienne d’un dollar épargné dans un programme existant.
Prenant en considération l’état lamentable de nos infrastructures, le PCQ propose que les milliards dépensés en vertu du Programme Québécois des Infrastructures servent en priorité à réparer et entretenir le parc immobilier existant plutôt que d’ajouter de nouvelles infrastructures.
Prenant en considération l’importance de l’équité intergénérationnelle dans un contexte de vieillissement de la population, le PCQ propose d’immuniser le Fonds des générations d’interventions politique pour éviter qu’il ne serve à d’autres fins que la réduction de la dette, et jusqu’à ce que le fardeau de la dette atteigne les objectifs du ministère des Finances.
Prenant en considération que seulement 11/351 suggestions d’allègements réglementaires provenant du Bureau de la gouvernance et de la coopération réglementaires ont été réalisées, le PCQ propose qu’un ministre sénior du Conseil soit responsable de son implantation.
Cédric Lapointe, PCQ
Québec
En cette période des fêtes, venez vivre un moment musical inoubliable par la Chorale de Statistique Canada ! Au programme : Cantiques traditionnels, Chansons favorites animées, oeuvres classiques par Fauré, Rutter, Offenbach (pas Gerry…) Il y en aura pour tous les goûts !
Deux présentations au profit de deux belles causes qui ont besoin de notre soutien.
Concert-bénéfice pour Service Communautaire Ottawa Ouest, services à domicile auprès des personnes âgées et adultes handicapés ; Quand ? Samedi, le 9 décembre 2023 à 15h30; Où ? Église unie Kitchissippi, 630 promenade Island Park, Ottawa ( Billets : "https://l.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.universe.com%2Fstcxmas%3Ffbclid%3DIwAR03EYhrwC2ci8fMkZnuWsaglwsboZwq8b7rlyjzTY5LcYXOftNPpCEOCZs&h=AT2mmBFTNeny-ao7Vm6Lu1jY5P1EcGgLsYPkxhbou-HRD5NjVu_gp5yCSnSh8WShYw_x-LQqaIbANZfGoufubAeV05IHLqLa0rWcpkrgHw0jXY_nu4ftfBcFotniXjDCt5ce&__tn__=-UK-R&c%5B0%5D=AT3hs_nZ17in7Y-w2cbJV0b8eAehyNF5v2fr0E8MVGhCOIdy6nkjqhIyNU5_OCpTetWJXQewgqJV7kkpHKSexeN7iQg2aZVMAX8ep1drR4lKA_oJhf10xLu2rdI_1zAWA6FEqowBAIZS4hVyTc-knQW7U0xVRjrBQrikmfePqJ-CcAIPik8" www.universe.com/stcxmas )
Concert-bénéfice pour Moisson Outaouais, banque alimentaire de la région. Quand ? Dimanche, le 10 décembre 2023 à 19h. Où ? Église Notre-Dame-de-la-Guadeloupe, 50 rue Saint-Onge, Gatineau. ( Billets : "http://www.universe.com/stcnoel?fbclid=IwAR3-QScx_EcOA1_A62BDk1Ql4j7bjgC26eQ5kJxPTDsaPEY30XXE5OAjV5o" www.universe.com/stcnoel ) Billets également disponibles à la porte.
Frédéric Bédard, directeur de la chorale, et
Claude Martineau
Gatineau
Au cours des années, j’ai remarqué que les enseignants qualifiés se font plus en plus rares dans nos classes. Je trouve très important que des enseignants qualifiés soient devant nous, car ils sont mieux outillés pour nous transmettre la matière de façon concrète et pour nous amener vers la réussite. Durant mon parcours scolaire, j’ai rencontré plusieurs profs exceptionnels qui m’ont beaucoup aidé autant pour m’avoir donné le goût d’aller à l’école que de m’avoir aidé à réussir. Je tiens à remercier ces enseignants, dont plus particulièrement : Mme Julie Gagné, M. Christian Castonguay, M. Éric Rouleau, M. Alexandre Lafrance, Mme Véronique Blais, Mme Isabelle Pytura.
M. Legault si vous voulez aider les enfants dans les écoles publiques, aider les enseignants.
Mélik Rouleau , Elève de secondaire 2
Gatineau
Le système de transport interurbain par autocar au Québec traverse une crise sans précédent depuis quarante ans. C’est le constat que fait l’IRIS dans une "https://iris-recherche.us4.list-manage.com/track/click?u=d77a17eb97fce0bc47ca1edce&id=887eab347f&e=9c512dd977" étude publiée aujourd'hui qui montre qu’un autre modèle de financement du transport interurbain devrait être implanté afin d’offrir à la population québécoise une véritable alternative à l’utilisation de la voiture individuelle.
L’étude révèle que le nombre de départs hebdomadaires d’autocars interurbains privés est passé de 6000 à 882 par semaine depuis 1981. Seulement dans les six dernières années, le nombre de départs de cette industrie a diminué de 33 %. Rappelons qu’au Québec, le transport interurbain par autocar repose principalement sur le marché privé, ce qui renforce l’iniquité entre les zones urbaines et les régions moins densément peuplées.
En 2022, le « programme d’aide au développement du transport collectif » du ministère des Transports allouait moins de 1% de son enveloppe totale de 275 M$ au transport interurbain par autocar, la part du lion (94%) revenant au transport en commun urbain. « Le gouvernement sait depuis 1996 que le transport collectif interurbain sera appelé à décliner davantage en l’absence de politiques publiques conséquentes. Il a pourtant toujours refusé d’octroyer du financement récurrent à ce type de transport, ce qui est assez exceptionnel quand on regarde ce qui se fait ailleurs dans le monde », déplore Colin Pratte.
Bien que différents États américains aient adopté un modèle de financement similaire à celui du Québec, les trajets jugés non rentables reçoivent toutefois un financement récurrent de la Federal Transit Administration (FTA) afin d’assurer leur pérennité.
Un service de première nécessité qui doit être financé !
Camille L. Thuot, IRIS
Montréal
La Coalition des Tables Régionales d’Organismes Communautaires (CTROC) dénoncel’adoption sous bâillon du projet de loi n° 15 visant à rendre le système de santé et de services sociaux plus efficace. Ainsi, sans tenir compte des recommandations lancées par différents acteurs et actrices de la société civile au cours des derniers mois, dont le milieu communautaire autonome, la CAQ choisit d’imposer sa réforme en laissant dans l’angle mort de nombreux questionnements.
Ce déficit démocratique s’ajoute aux ratés entourant les audiences publiques sur le PL n° 15 alors qu’un grand nombre d’organisations se sont vu refuser la présentation de leur mémoire sous prétexte du manque de plages horaires disponibles. Pourtant, la mission de la CTROC consiste à faire l’analyse de l’organisation du réseau public de la santé et des services sociaux, ainsi que de ses impacts sur les organismes communautaires autonomes et sur la population. Il est difficilement compréhensible que le ministre Dubé ait fait le choix d’ignorer ces connaissances et ces expertises mises à sa disposition.
La CTROC se joint aux dizaines de voix qui s’élèvent pour dénoncer le manque de respect de la CAQ envers les processus démocratiques.
Elle tient également à rappeler que la réforme imposée à la population comporte des dangers liés, entre autres, à la centralisation des pouvoirs, à la disparition des structures décisionnelles dans les régions, et à l’ouverture de plus en plus grande faite à la privatisation des services.
Vincent Lagacé,
CTROC
Le Parti conservateur du Québec dénonce fermement la situation où des maires de la Chaudière-Appalaches se sentent contraints de cotiser à la Coalition avenir Québec pour obtenir des rencontres avec le ministre responsable de la région, Bernard Drainville.
Le 12 septembre en soirée, une dizaine de maires et mairesses étaient invités à rencontrer le ministre responsable de la Chaudière-Appalaches, Bernard Drainville, ainsi que la députée de Bellechasse, Stéphanie Lachance. L’inscription de 100$ était obligatoire.
Bernard Drainville doit se rendre accessible aux élus municipaux pour ainsi être à l’écoute du terrain et comprendre les enjeux des municipalités. Ces rencontres doivent avoir lieu dans le cadre de ses fonctions, pas dans un 5 à 7 partisan.
« La pratique est malsaine, a dit le chef conservateur, Éric Duhaime. Les canaux de discussion doivent être ouverts entre les différents paliers, mais pas au détriment de l’indépendance politique des élus. Aucun élu ne devrait être forcé de donner à la CAQ pour défendre ses citoyens. »,
Cédric Lapointe, Parti conservateur du Québec
Québec
La pub portant sur la maltraitance des aînés est-elle une tentative pour le gouverne ment de se refaire une virginité en regard de ce sujet ?
Le plus grand abuseur des personnes âgées est le gouverne ment par le biais des CLSC, pendant des décennies et surtout au cours de l'épisode Covid 19.
Et que dire de l'organisme qui a pour mission de protéger les personnes âgées contre la maltraitance ? la CDPDJ évanescente a disparu des radars car ses flops sont trop nombreux.
La CDPDJ a enlevé une personne âgée de sa famille (une femme qui avait vécu l'holocauste) et a caché à sa famille ou elle avait été amenée pendant un mois. On n'est pas en Russie ou les personnes disparaissent, mais des fois on s’y croirait.
Les plaintes à la CDPDJ vont au rythme géologique et les personnes âgées meurent avant la résolution de l’enquête. On n’pas protégé la personne âgée.
La CDPDJ a congédié une dame de 60 ans avec 28 ans d’ancienneté, sans le lui dire. Elle l’a appris une fois le fait accompli. En arbitrage la CDPDJ a refusé tout élément de preuve survenu après le congédiement, et, l’arbitre a copié
Collé les positions de la CDPDJ.
Cette amie a perdu 10 ans de travail pour se préparer sereinement à la retraite. Personne ne prête attention à elle, mais elle a vécu un viol psychologique, juridique et financier. De la part de celle qui est supposée protéger les personnes âgées de la maltraitance.
Je suis dégoûtée, je ne peux pas pardonner à ce gouverne ment.
Coralie Dufresne
L’heure est à la distribution de souhaits ou de présents pour ces personnages publics qui peuplent notre quotidien. Il suffit de regarder la télévision ou d’ouvrir un journal pour voir leur « sympathique » bobine ou apprendre leurs dernières frasques ou leurs sornettes.
J’ai pensé à vous faire part de mes coups de cœur en 2023 :
François Legault : De ne pas s’asseoir sur ses lauriers. Un bien mauvais endroits pour les placer ces temps-ci. Et encore moins en 2024 !
Geneviève Guilbeault : Un carrosse d’épicerie : pour charrier davantage de cartables inutiles aux conférences de presse.
Éric Girard : Un passeport pour l’Amazonie et les bandes dessinées de Gaston Lagaffe.
Québec solidaire : Un dictionnaire définissant leur contradiction farfelue et folichonne de : « Discrimination positive ».
France Bélisle : Consulter Régis Labeaume pour obtenir avis et conseils en matière d’embellissement d’une ville.
Valérie Plante : Des félicitations pour vouloir faire une montagne de la voie Camillien Houde … au coût de 90 millions !
Joueurs des Montreal Canadians : Un professeur de français.
Geof Molson : Soutirer plus d’argent des partisans pour payer le professeur de français.
Martin Saint-Louis : Se lancer dans les pompes funèbres. Sa prestation de croque-mort à ses points de presse est admirable.
Chantale Machabée : Exister. « Si transparente être elle a voulu; disparue devenue elle est »: selon Yoda.
Partisans du CH : La Coupe Stanley avant 2040… 50… 60…
Youpi (mascotte recyclée des Expos) : Quantité de câlins administrés à coup de $ 195. aux spectateurs naïfs… déjà surexploités.
Paul Houde et Marc Denis : Moins beurrer épais en décrivant les performances (supposées) des joueurs du CH.
Alouettes : Maintenant qu’ils volent haut, éviter le rase-mottes en 2024 !
Vous comptez assurément quelques drôles, parmi tout ce beau monde, qui grenouillent au quotidien, nous vendent leur salade ou nous font sortir de nos gonds. Vous savez quoi ? J’en aurais tant d’autres !
Francois Brisebois
Secteur Aylmer, Gatineau
PIB réel du Québec aux prix de base : baisse de 0,4 % en août 2023. Pour un sixième mois consécutif, la production des industries de biens a diminué (– 0,9 % en août et – 0,2 % en juillet). "https://app.dialoginsight.com/T/OFC4/L2S/9425/B1807/DEw6/186/1523/0lzL6d/1/725202/Gis9jaQD/I/186/A0qTJK.html?h=QkvHwSYr1sfhHNdQ1wLZzscEQyGMmgdSpVHc-IFqX5U&p1=aHR0cHM6Ly9zdGF0aXN0aXF1ZS5xdWViZWMuY2EvZnIvY29tbXVuaXF1ZS9yZXN1bHRhdHMtY29tcGFyYWlzb24tcmVtdW5lcmF0aW9uLWFkbWluaXN0cmF0aW9uLXF1ZWJlY29pc2UtYXV0cmVzLXNlY3RldXJzLW1hcmNoZS10cmF2YWlsLXF1ZWJlYw" Diffusion à venir des résultats de la comparaison de la rémunération de l’administration québécoise avec celle des autres secteurs du marché du travail au Québec. Dans ce rapport, on compare les salaires et la rémunération globale de 75 emplois comparables de l’administration québécoise.
ISQ
Québec
Au troisième trimestre de 2023, on dénombre environ 175 600 postes vacants au Québec. Par rapport au même trimestre de 2022, ce nombre est en baisse de près de 70 600 (– 28,7 %). Cette baisse entraîne une réduction du taux de postes vacants (le nombre de postes vacants exprimé en pourcentage de la demande de travail), qui passe de 6,1 % à 4,3 %.
On estime le nombre de postes vacants à 44 800 dans l’industrie des soins de santé et de l’assistance sociale, à 20 200 dans celle des services d’hébergement et de restauration, à 19 100 dans le commerce de détail et à 18 600 dans l’industrie de la fabrication.
La rémunération horaire moyenne offerte pour l’ensemble des postes vacants se fixe à 25,00 $, et celle offerte pour l’ensemble des emplois salariés s’établit à 32,21 $.
L’Institut de la statistique du Québec
Québec,
La pétition E-4676 de la Chambre des communes, sur les pratiques en matière de déchets radioactifs affectant les rivières des Outaouais et Winnipeg, est maintenant ouverte à la signature.
La pétition a été initiée par Ole Hendrickson et autorisée par la députée de Pontiac Québec Sophie Chatel. Il appelle à un examen international de trois projets de déchets radioactifs à bas prix, dont l'IGDPS, un monticule géant d'un million de tonnes de déchets radioactifs et dangereux à moins d'un kilomètre de la rivière des Outaouais.
Les trois projets sont planifiés et promus grâce à nos impôts par un consortium multinational composé de deux multinationales basées au Texas et de la tristement célèbre SNC-Lavalin du Canada. Les projets proposés ne respecteraient pas les normes internationales et tous les trois entraîneraient des fuites de contaminants radioactifs dans les réserves d'eau potable.
La pétition E-4676 demande également au gouvernement fédéral de ne pas permettre que ces installations obtiennent un permis à moins que les obligations du Canada d'obtenir le consentement libre, préalable et éclairé des peuples autochtones n'aient été respectées. À l'heure actuelle, 10 des 11 Premières Nations algonquines, dont les habitants vivent dans le bassin versant de la rivière des Outaouais depuis des milliers d'années, se disent opposées à la construction de ces installations sur leur territoire non cédé.
La pétition est ouverte aux signatures seulement jusqu'au 10 janvier 2024 et nécessite un minimum de 500 signatures pour être certifiée et présentée à la Chambre des communes et recevoir une réponse officielle du gouvernement. Votre soutien à la pétition serait apprécié ! (Trad.)
Lynn Jones
Ottawa
https://www.ledevoir.com/opinion/idees/804046/urbanisme-rues-principales-recettes-gagnantes-quebec?fbclid=IwAR0F_uo-Itd2zQZNYq9SHrcGmPZ3rrxo-eFDWHAATu5f2_KW1SCgKhv38g8" Dans une lettre publiée dans Le Devoir, des élues et élus des centres-villes de partout au Québec, souligne le grand besoin d’investissements dans nos noyaux urbains et villageois.
Avec les fermetures de commerces qui se sont multipliés récemment, les enjeux entre développement et patrimoine qui ont resurgi au conseil municipal et les questions entourant le développement de notre centre-ville économique, M. Steve Moran, chef intérimaire d’Action Gatineau et conseiller de Hull-Wright, s’est joint à ce cri du cœur dans le but de participer à l’élaboration de solution nationale pour une sortie de crise.
Résumé :
Des élus des centres-villes soutiennent qu'il est nécessaire d'investir dans les noyaux urbains et villageois. Ils estiment que la rue principale est essentielle à la vie communautaire et qu'investir dans ces zones est bénéfique pour la société québécoise. Ils soulignent que le développement devrait se concentrer sur les milieux déjà construits, plutôt que sur les milieux naturels.
De plus, ils affirment que les interactions sociales facilitées par les centres-villes sont essentielles pour lutter contre l'isolement social. Ils mettent en avant le coût élevé des développements dispersés en matière de construction, d'entretien des infrastructures et de dépendance à l'automobile. Ils affirment également que les centres-villes favorisent un mode de vie sain et actif, contrairement aux zones éparpillées. Les élus proposent la mise en place d'un programme national pour revitaliser les centres-villes en accordant une attention particulière à la localisation des bâtiments publics, à la dynamisation des services de proximité, à la décontamination et à la requalification des espaces commerciaux, ainsi qu'à l'animation culturelle des places publiques. Ils demandent également un soutien financier pour le logement et une collaboration avec les municipalités pour le développement urbain local.
En conclusion, ils estiment que concentrer les investissements dans les centres-villes serait une action concertée qui aurait des avantages locaux et nationaux en termes d'aménagement du territoire et d'économie. Cette lettre ouverte est cosignée par M. Steve Moran
Laurent Lavallée, Attaché politique
Hull
Salutations aux Pontiac Birders
Je vous appelle encore une fois à compter les oiseaux de Noël (CBC) et à faire partie du plus long projet de science citoyenne en Amérique du Nord ! Si vous ne vous souvenez plus de la zone de dénombrement dans laquelle vous vous trouvez, demandez-moi ou consultez les cartes sur l'un des sites suivants : www.birdscanada.org ou www.audubon.org.
Les dates des prochains CBC sont :
- Île-du-Grand-Calumet et région, jeudi 28 décembre ; Breckenridge/Dunrobin, mardi 2 janvier ;
- Fort-Coulonge et environs jeudi 4 janvier. (Désolé, mais je suis en retard pour l'Île aux Allumettes/ Pembroke et Quyon/Bristol/Shawville)
N'oubliez pas de compter le nombre maximum d'une même espèce que vous voyez à la fois à votre mangeoire ou sur votre propriété. Vos rapports routiers peuvent également être précieux si vous voyagez localement. Envoyez simplement des informations sur l’heure, le lieu et l’espèce. Merci! (Trad)
Deb Powell
Norway Bay, Pontiac
Lettres de novembre
J’aimerais voir avec vous s’il vous serait possible de faire un article sur l’augmentation du rôle de l’évaluation foncière qui vient d’être fait par la ville?
Comme vous le savez, les évaluations ont augmenté de 73% en moyenne, et pour ceux qui ont une évaluation supérieure, cela se traduira par une augmentation de taxes municipales. Particulièrement, il serait intéressant qu’il soit soulevé à l’attention des résidents que les frais de révision sont exorbitants (325$ lorsque la valeur est supérieure à 500k!)! Personnellement, mon augmentation est de plus de 83% - ma maison a augmenté de 467 000$ (!) et est évaluée à un prix auquel je ne serais aucunement capable de vendre.
Bref je sens que c’est de la spéculation immobilière de la part de la ville, et pour ajouter l’insulte à l’injure, je dois payer pour me prévaloir de recours.
Plusieurs résidents sont insatisfaits de leur nouvelle évaluation et il y a bcp de grogne sur les médias sociaux.
Genevieve Corbin
Aylmer
L’IRIS publie aujourd’hui "https://iris-recherche.us4.list-manage.com/track/click?u=d77a17eb97fce0bc47ca1edce&id=b1d56e0dd1&e=9c512dd977" une étude qui met en lumière les causes profondes du manque d'accès aux services en santé mentale au Québec. Selon Eve-Lyne Couturier, chercheuse à l’IRIS et autrice de la note, « un cercle vicieux s’est installé dans les services en santé mentale au Québec. Pour le briser, le gouvernement du Québec doit impérativement s’attaquer à l’exode des psychologues vers le privé et améliorer les conditions de vie de la population, notamment au travail, en matière de logement et de protection sociale ».
Environ 400 psychologues ont quitté le réseau public de santé au cours des 12 dernières années et désormais près d’un psychologue sur deux a une pratique privée au Québec. L'exode des psychologues vers le secteur privé a entraîné une forte hausse des tarifs des psychothérapies, avec des prix jusqu'à 50 % plus élevés aujourd’hui qu'en 2021. Le marché privé de la psychothérapie, loin d’être complémentaire au système public, est en train de le ruiner.
Améliorer les conditions de travail des psychologues du public et inclure la psychothérapie dans le panier de services couverts par la RAMQ sont des mesures nécessaires pour améliorer l’accès aux soins. Ces mesures sont toutefois insuffisantes pour remédier définitivement à la crise en santé mentale à long terme.
Camille Legault Thuot, IRIS
Montréal
Un Québec "séparé" serait-il plus francophone ? Aurait-il plus d'infirmières ? Aurait-il plus de médecins de famille ? Aurait-il plus d'enseignants ? Aurait-il moins de décrocheurs ? Les jeunes parleraient-ils un meilleur français ? Les médias diffuseraient-ils plus de chansons et chansonnettes françaises ? La Musique dans les centres d'achats, les restaurants, les endroits commerciaux serait-elle française plutôt qu'américaine ? NETFLIX, CRAVE et les autres auraient-ils plus de films français et Québécois ? L'Internet deviendrait-il plus français ? On devrait commencer par mettre de l'ordre dans nos affaires internes, et faire vraiment la sauvegarde et la promotion de la langue française et de la culture française québécoise, imposer la charte de la langue française au niveau des CEGEPs et ne permettre accès aux CEGEPs anglophones exclusivement aux anglophones nés de parents anglophones québécois ou canadiens ; de sorte que les francophones n'auraient accès aux institutions anglophones qu'au niveau universitaire. On cesserait ainsi de faire deux niveaux de diplômés cégépiens, ceux des régions et ceux de Montréal, des Cantons de l'Est et de l'Outaouais. Le Québec a façonné le Canada et depuis 1867, sept députés élus au Québec sont devenus chefs de parti politique et "PREMIER MINISTRE DU CANADA" - Wilfrid Laurier, Louis St-Laurent, Pierre Elliott Trudeau, Brian Mulroney, Jean Chrétien, Paul Martin, Justin Trudeau. Ils ont influencé le développement de ce pays. La Loi sur les langues officielles n'est peut-être pas parfaite, mais sans eux, elle n'aurait jamais vu le jour. Les gouvernements du Québec n'ont malheureusement pas compris l'importance de la francophonie canadienne et le rôle de "leadership" qu'ils auraient pu et dû jouer dans tous les dossiers francophones du pays : appuyer la survie de l'Université Laurentienne de Sudbury, appuyer la survie du Collège St-Jean d'Edmonton, appuyer la survie de l'hôpital Montfort d'Ottawa, faire sien le dossier de la reconnaissance du Bilinguisme officiel de notre Capitale fédérale Ottawa, appuyer les revendications des francophones du Nouveau Brunswick. La sauvegarde du français non seulement au Québec mais à travers le Canada c'est notre affaire depuis 1867. Paul-Gérin Lajoie l'avait bien compris. Premier ministre d'un ministère de l'Éducation au Québec, il voyait le rôle national et international du Québec dans la francophonie canadienne et internationale. La Dictée PGL demeure une simple preuve de son impact. Mais l'opération 55, la création des CEGEPs et du Réseau des Universités du Québec étaient des initiatives visant à renforcer le statut et la sauvegarde de la communauté francophone du Québec au Canada, en Amérique et dans le monde. Montréal a déjà été la deuxième ville francophone la plus importante au monde après Paris. Le Québec se doit de se ressaisir s'il veut sauver son existence francophone. La séparation n'est absolument pas nécessaire pour ça.J'ajoute que sous la Gouverne de Jean Charest à compter de 2003, Me Benoît Pelletier, alors Ministre des Affaires Intergouvernementales, et de la Francophonie notamment, avait su rétablir des liens avec les populations francophones du Canada et réussir diverses ententes interprovinciales dont une entente sur la Santé qui a fait ressortir la possibilité d'asymétrie du Québec au sein d'un Canada uni. Il est l'instigateur également du Conseil de la Fédération dont les autres provinces canadiennes tout comme le Québec y trouvent une plateforme progressiste au sein de la Fédération canadienne.
Antoine L. Normand
Aylmer
Restrictions abusives conduisant à une dépendance morbide à l'électricité : « Il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier »
Mon père, agriculteur astucieux, a longtemps gardé ses chevaux après l’acquisition d’un tracteur. On ne sait jamais … Quand il a vendu ses chevaux, à regret, il a acheté un deuxième tracteur. Au cas où. De même sa ferme ne connaissait pas la monoculture. Il est dangereux de dépendre à l’excès d’une seule source de revenu. Devenu propriétaire urbain, j’ai suivi inconsciemment cette règle. Un problème de chauffage qui se prolonge (bris mécanique, panne d’électricité) c’est grave. La chaudière à l’huile a été doublée d’un poêle au bois. L’huile fut remplacée par la bi-énergie, (chaudière au gaz naturel avec élément électrique, cuisinière, foyer et chauffe-eau au gaz). Ce qui permit de produire de la chaleur sans électricité au besoin. L’équipement de camping restant à portée de main, de quoi survivre en autonome, de ne pas chercher refuge ailleurs durant une crise de verglas ou une tornade.
Vous comprendrez que je ressente un certain malaise devant l’évolution de la société contemporaine. À coup de normes et de décrets on est en train de me rendre totalement dépendant d’une seule source d’énergie. L’ancienne sagesse est devenue une tare. Les moteurs à combustion sont voués à la disparition à court terme. Le bois? Ça pollue terriblement. Le gaz naturel dont on vantait les mérites? Source de GES et pire il vous empoisonne la cuisine. Interdit pour la cuisson dans les nouvelles constructions. Reste quoi? L’électricité, mais à utiliser avec parcimonie. Avec parcimonie car en éliminant toutes les solutions de rechange, d’autorité ou au nom de la nouvelle religion environnementale, l’électricité prend une importance démesurée. Et comme ces nouvelles politiques créent une demande exponentielle, il faudra doubler la production. Voilà, le piège est refermé. Ces derniers jours MM. Legault, Fitzgibbons et Sabia nous annoncent sans rire que les tarifs vont devoir augmenter. C’est l’art de saboter notre héritage.
G. Laurin,
Gatineau / sect Aylmer
Un incontournable lorsque vous déambulez dans le Vieux Aylmer. Une sorte de havre de paix, de convivialité, de second chez soi : Le Café British. À l’heure où l’Hôtel British, sa voisine et vénérable institution change de vocation, contraintes administratives obligent, la déclaration de son aimable propriétaire monsieur Clemann rassure ces inconditionnels de la fréquentation du Café que nous sommes. Notre bon vieux Café continuera de nous ouvrir ses portes, mission inchangée, aussi chaleureusement qu’avant.
Parlant accueil, je m’en voudrais de ne pas souligner ici l’excellent travail des jeunes demoiselles au service derrière le comptoir du Café. Ensemble, elles forment une équipe du tonnerre, dévouée, tout sourire et empressée. Véronique, Manon, Jada, Marieka, Érica, Élyssia, Jade, Sheila : Chapeau Mesdemoiselles ! Vous formez une équipe en or ! Je pense me faire le porte-parole de tous les clients qui s’arrêtent quotidiennement au Café. Toute notre reconnaissance vous est acquise pour l’excellent service dont vous nous faites part, jour après jour. Grace à votre amabilité, votre bonne et belle humeur, votre écoute aussi, sachez que notre café a bien meilleur goût qu’ailleurs. Je salue également vos collègues d’été, retournées aux études : Émilie, Audrey et Cassandre, toutes aussi plaisantes et charmantes. Sans oublier Camille, Zoé, Justin et Vanessa, de si belles personnalités, qui ont quitter l’équipe tout dernièrement.
Je m’excuse d’emblée si j’ai oublié de mentionner quelqu’un ici ou si je n’ai pas su bien orthographier vos prénoms. Ne m’en tenez pas rigueur : Je m’en serais voulu de vous rendre ce trop bref hommage tout en votre honneur en taisant vos prénoms.
Mesdemoiselles, un dernier mot : Vous êtes le cœur et l’âme du Café British !
Francois Brisebois
Secteur Aylmer, Gatineau
Je vous écris pour vous faire part de ma profonde déception face à l'apparente réticence de nos politiciens municipaux à s'engager auprès des citoyens qu'ils ont été élus pour représenter. C'est avec une grande consternation que j'ai vu M. Boivin, Mme Des Marais, M. Duggan, Mme Kamanyana, Mme LaCasse-Brunet, M. LeClerc, Mme Miron, M. Moran, Mme Murray, Mme Norris Parent et M. Sabourin voter contre un programme simple qui permettrait aux citoyens d'acheter des arbres ou des éléments de parc pour célébrer, honorer ou se souvenir d'une personne ou d'un événement qui est important pour la famille. Un programme simple pour ajouter de la beauté et améliorer la qualité de nos parcs, n'est-ce pas ? Si le programme proposé présente des lacunes, les élus susmentionnés peuvent certainement suggérer des améliorations et des amendements concrets plutôt que de rejeter purement et simplement le programme.
Si leur décision est motivée par le fardeau supplémentaire que cela pourrait représenter pour l'administration de la Ville de Gatineau, il serait peut-être possible de réduire la bureaucratie et la paperasserie au profit d'activités civiques qui améliorent la qualité de vie dans la ville. Des associations de résidents et des groupes de bénévoles nous ont dit qu'il fallait plusieurs niveaux de décision bureaucratique et beaucoup de temps (par exemple, un an) pour obtenir l'approbation de tâches ou d'activités simples.
Le sentiment d'appartenance à notre ville peut être grandement amélioré lorsque les citoyens s'engagent activement, et il est du devoir de nos élus de faciliter leur participation significative. En s'opposant à ce programme, ces politiciens semblent manquer de perspicacité et ne pas être en phase avec les sentiments de leurs électeurs. J'espère que le programme proposé sera réexaminé par le Conseil et qu'il aboutira à un résultat plus positif dans un avenir proche.
M. Wong
Lucerne Nord
La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) a déposé jeudi les 1 500 "https://link.mediaoutreach.meltwater.com/ls/click?upn=rWhfMMIZ3nNBQUEeSKM1cholloOBPrT2Ztm4rG6TiAzsp0xSiQ7-2Ff5ZCsI9B5tYgz4yp8Q5clWKjzeYfVoTEmV4cds2ogfi2KcZcb1itgWTLks8aXRRIpbwTOHOXPT5m2_zq_Y-2BXF-2B1WmAx-2BUgxyvqmxyyhla9i9L0DPgxKHjzX5fRYSqYSMCkZ6mF3quFhXFVLWHyLHfusJncjZ5rzjOMn0tJBSh6fYY5lEbZIyjWyZWwHj9AqZ11gvEJ03Q0dIf4Z4mDGqpihbq-2B390O6s-2FjVfYCiUjxXVmV99P0o-2Bn7EJNC2o8mRPv6hyGkPKqsQvGxA-2FkynNybG7dJRhexU3GzJIJ5gknpyfmafO3URc-2BuWmGytHV4b9SbuiJfwlbp1cS04btTW2UpfXuqyZnPtSkwkd95Ehfj5kZjPKdT8xkYAk7FHJbOH3eZU5YnxPElrnjzMnRUzc2TK6IThTbbLAUeX3pVTCAQa0wRjutQLNnJBd-2FwezHiqm21-2F2KpqH4fjM3-2B3BspbHKJswqCxPX6FWNgv0-2BJg-3D-3D" pétitions demandant à Jean Boulet, ministre du Travail, de tenir un vote sur l’avenir des comités paritaires auprès des entreprises qui y sont assujetties ou de tout simplement les abolir.
Une "https://link.mediaoutreach.meltwater.com/ls/click?upn=rWhfMMIZ3nNBQUEeSKM1cholloOBPrT2Ztm4rG6TiAytP4XlebxKJshj7s1aMeK8Id9qyA8u-2FIMj3zqL1H4a8VLo78sMqmeWE7fLQZm0z7WRimYLKO2Mxm7C-2Bc28kXQZP1jaf-2BXj5IkETXJFrrcWMIDJkPFWCs2REQMQDYBsnK-2FT0qOdOjfXKgVIOhJWw1eKhRyh-2BtthUprBNC3JuB4qnaZNymCeQwedvQ4YkpO9g-2F5V0PMY5-2FJXYHSHE8zReE5RfaZF_Y-2BXF-2B1WmAx-2BUgxyvqmxyyhla9i9L0DPgxKHjzX5fRYSqYSMCkZ6mF3quFhXFVLWHyLHfusJncjZ5rzjOMn0tJBSh6fYY5lEbZIyjWyZWwHj9AqZ11gvEJ03Q0dIf4Z4mDGqpihbq-2B390O6s-2FjVfYCiUjxXVmV99P0o-2Bn7EJNC2o8mRPv6hyGkPKqsQvGxA-2FkynNybG7dJRhexU3GzJIJ5mRhUEIEBpXpaOKZmBUfI3PgnRCJeXRAEkD-2B9jEMYGVFVINrWKCw9PC1dw2agCis-2B9a-2Bi86uSm3OybsC2sZbHwKgo-2FSsxFVo4UqYAsIeSEd6MqJwuabdRdhzfrqDRecs0ykRVyi0EwwKZ4L6aCKugLM-2FO-2FIjYt8fAJJW87o6Y310phgo1NDAEyPY77BxvYVf5Q-3D-3D" récente étude de la FCEI sondant les propriétaires de PME assujetties illustre que 75 % d’entre eux ne voient aucun avantage à cette loi. Pire, ils sont 77 % à déclarer qu’elle occasionne une augmentation du fardeau administratif et réglementaire. Les entrepreneurs notent également comme répercussions néfastes le stress important pour se conformer aux règles des décrets de convention collective (36 %), un désavantage pour leur entreprise par rapport à celles non soumises aux décrets (32 %) et même un frein à la productivité (21 %).
De plus, les données fournies par le ministère du Travail confirment que les entreprises assujetties paient une taxe sur la masse salariale totalisant 12 M$ par an.
« Déjà que le Québec est la province au Canada où les taxes sur la masse salariale sont les plus élevées, de 30 % de plus que la moyenne canadienne, si par malheur une entreprise tombe sous la gestion d’un décret de convention collective, elle doit payer encore plus. Pourquoi? Pour financer un comité paritaire qui va lui créer plus de paperasserie », ajoute François Vincent.
La FCEI est toujours en attente des enquêtes et vérifications mandatées par le ministère du Travail sur la gestion des comités paritaires
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Tel qu’entendu lors du 2e comité bon voisinage, nous tenons à vous informer que la Sécurité incendie - Santé, sécurité et formation de la Ville de Gatineau utilisera les bâtiments vacants sis au 184, Chemin Eardley.
Les pompiers tiendront des simulations d’opération et de sauvetage et ils utiliseront des machines à fumée synthétique.
Ces exercices se dérouleront jusqu’au 22 décembre 2023.
Catherine de Grandpré, Projetaylmer
Aylmer
Le gouvernement de l'Inde a déclaré que le Canada n'est pas un endroit sécuritaire pour les Indiens. Ce n'est pas vrai !
Au contraire, nous, membres de la diaspora indienne au Canada, sommes très préoccupés par la sécurité des minorités en Inde et en Asie du Sud - musulmans, dalits, chrétiens, adivasis/indigènes, sikhs et défenseurs des droits de la personne - qui subissent la violence, la persécution et la mort aux mains de l'État, ou avec la complicité et le silence de l'État.
L'Inde figure sur la liste de surveillance des génocides.
Nous sommes des organisations communautaires et des individus qui vivent et travaillent ensemble depuis des décennies en harmonie à Montréal, indépendamment de nos affiliations religieuses individuelles et de nos antécédents. Ce qui nous unit, c'est notre engagement en faveur de la justice et de la démocratie, notre travail pour l'égalité, notre travail contre le racisme, pour la justice entre les sexes, pour les droits des travailleurs et des migrants et pour le statut de tous les migrants. S'il y a des problèmes de sécurité, c'est parce que nous sommes racialisés, pas parce que on est de Indien, origine de l'Inde.
Nous, communautés indiennes et sud-asiatiques et alliés, sommes unis pour dénoncer fermement et nous opposer à cette politique fallacieuse de la peur et de la haine. Et nous joignons nos bras en signe de solidarité les uns avec les autres.
CERAS (Centre sur l'asie du sud)
IWC (Centre des travailleurs et travailleuses immigrés)
SAWCC (Centre communautaire des femmes d'Asie du Sud) Et d'autres
Chers lecteurs,
Sachez que le Bulletin d’Aylmer sera disponible dans le Publisac jusqu'en avril 2024, moment où celui-ci cessera ses activités à Gatineau. Restez à l'écoute pour savoir comment vous procurer le Bulletin d'Aylmer par la suite. Soyez assurés que les autres modes de distribution actuels seront revus en conséquence. Par exemple, des présentoirs (distribution gratuite) seront installés dans un plus grand nombre de commerces locaux. La livraison à domicile par Postes Canada sera également disponible (sur abonnement payant).
Merci de soutenir le Bulletin et de faire vos achats auprès de nos annonceurs – c'est cela, le véritable esprit communautaire!
Lily Ryan
éditrice
La cérémonie du samedi s'est déroulée par un temps parfait et avec une bonne participation. Cependant, j'ai été un peu déconcerté par ce que j'ai vu pendant que les "dernières" couronnes étaient déposées (la plupart avaient été déposées avant la cérémonie). Quelques scouts attendaient dans la file d'attente pour déposer leurs couronnes faites à la main.
Après le dépôt de la "dernière" couronne, les scouts ont commencé à déposer leurs couronnes, mais ils ont été arrêtés. On a alors annoncé que le service était terminé et la procession a commencé à sortir. De l'autre côté du Centopath, on pouvait lire la déception sur leurs visages. Ils étaient le seul groupe de jeunes présent (à l'exception des Cadets). Je me suis approché et j'ai demandé ce qui s'était passé, et le responsable s'est vu répondre : "Ils n'ont pas eu le temps de déposer leurs couronnes" (ils les ont déposées après la procession et la plupart d'entre eux sont partis). C'est une honte que ces jeunes aient été snobés et qu'on leur ait refusé de montrer leur respect pendant la cérémonie. (trad)
Gail Merrikin
Aylmer
Quelle couverture intéressante des réunions sur le budget de la ville ! Il est déroutant de voir l'évaluation de nos maisons monter en flèche et d'entendre les conseillers municipaux se battre pour une faible augmentation du taux d'imposition. Je sais que c'est plus complexe que 1 + 1=2. Et je sais que Champagne a raison lorsqu'il dit que les services augmentent et que cela coûte de l'argent.
Le fait est que beaucoup de propriétaires sont des gens comme moi qui ont des revenus fixes (retraités, etc.). Nous ne pouvons pas nous permettre de payer beaucoup plus - et si nous ne pouvons pas payer notre logement actuel, nous ne pouvons certainement pas nous permettre d'en acheter ou d'en louer un nouveau (non pas que je veuille quitter le logement et le quartier que j'habite depuis des décennies).
Il doit y avoir un moyen d'aider les personnes âgées à rester dans leur maison ? Des gens comme moi ont contribué toute leur vie à l'édification de la communauté ici. Changer toutes les familles de mon quartier est terrible pour la construction de la communauté.
Cependant, je suppose que si tous les membres de ma communauté déménageaient dans un quartier rural que nous pourrions nous permettre, nous pourrions éventuellement passer notre dernière décennie ou nos deux dernières années dans une communauté intentionnelle qui serait fermée aux autres. Ce serait une utopie forcée plutôt qu'intentionnelle. Peut-être. Cela semble assez terrible pour Aylmer, et ce n'est pas ce que nous voulons du tous.
Jenny Lacasse
Aylmer
Suite à la cérémonie du Souvenir du 11 novembre au parc commémoratif d'Aylmer, j'aimerais vous faire part de ma grande déception de voir le manque de fierté de certains militaires à porter leur uniforme.
Ayant passé 36 années au sein des Forces armées canadiennes, j'ai toujours été fier de porter l'uniforme de l'institution que je représentais.
C'est avec un grand désarroi que j'ai vu la tenue de certains militaires lors de la cérémonie du 11 novembre.
Entre autres, parmi les spectateurs, j'ai vu un militaire du rang portant l'uniforme de l'armée de terre qui avait les cheveux longs, en broussaille et qui m'apparaissait très gras. Ce même militaire avait une boucle d'oreille avec une croix qui lui allait presqu'à l'épaule et qui finalement portait une ceinture fléchée à la taille. J'ai personnellement trouvé un grand manque de classe de la part de ce militaire et un définitif manque de fierté à représenter son pays.
J'ai vu aussi d'autres militaires, tant officiers que membres du rang, qui au lieu de porter des gants, avaient les mains dans les poches. Ceci n'aurait pas été admis il y a quelques années.
Je comprends que les Forces armées canadiennes ait de la difficulté à recruter du personnel mais je ne crois pas que ce genre de laxisme aide la cause. Selon moi, le gouvernement fait fausse route en permettant ce genre de comportement qui ne montre pas une belle image d'une institution qui représente son pays.
Un retraité très déçu.
Michel Bussière
Aylmer
Les « audiences finales » sur une proposition visant à construire une méga-décharge radioactive le long de la rivière des Outaouais sont terminées depuis longtemps. Des Canadiens et des groupes ont remis en question ce projet dangereux. On pourrait penser que l'opposition en aval est évidente, étant donné que la catastrophe nucléaire de Fukushima vient de pleurer son dixième anniversaire. Jusqu’à présent, vingt-trois mille personnes y sont mortes. La quasi-majorité d'entre eux étaient des personnes âgées, souvent coincées là où elles vivent.
La méga-déchetterie de Chalk River et Fukushima ne sont certainement pas les mêmes, mais tout bien considéré, tout ce qui est nucléaire représente une menace énorme pour les gens à proximité : le Pontiac.
Fukushima et son tsunami ont déclenché des mois de fusion, d'explosions et de rejets de gaz toxiques, qui se poursuivent dix ans plus tard. Une grande partie de cette zone dévastée reste toujours hors de portée des humains – ou de toute créature vivante. Quel candidat du Pontiac s’engagera à lutter contre ce désastre en devenir ?
En comparaison avec le Covid, Fukushima, dix ans plus tard, brûle toujours, émettant toujours une pollution toxique ; Les débris radioactifs se sont maintenant propagés sur la côte ouest du Canada, multipliant leurs effets néfastes. Six cents kilomètres carrés du Japon restent toxiques, les maisons inutilisables, les écoles vides et les usines déplacées ailleurs. Rien de positif du tout.
Certains prétendent que le projet Chalk River/LNC est si différent qu'il ne devrait pas être comparé à d'énormes catastrophes liées à la radioactivité. Il est difficile de suivre un tel « raisonnement ». Pour le Pontiac, Fukushima est terriblement pertinent. Fukushima était une catastrophe provoquée par l’homme. Nous avons construit ces réacteurs nucléaires et leur infrastructure. Et aujourd’hui, nous recommençons tout cela – cette fois dans notre propre cour, dans notre propre avenir. Les laboratoires de Chalk River, au-dessus de Pembroke, prévoient une première décharge nucléaire de taille mondiale, sept terrains de football de déchets radioactifs, en amont d'Ottawa, de Gatineau, de l'Outaouais, de Montréal et au-delà.
Une décharge toxique est déjà assez grave, mais ces mêmes acteurs souhaitent étendre leurs opérations. Ils veulent construire davantage de réacteurs fonctionnels sur ce même site – des mini-réacteurs plus petits, mais néanmoins énormes, qui pourraient être répartis dans tout le Nord ou vendus n’importe où dans le monde.
Le gouvernement fédéral fera à nouveau don de ce montant au secteur privé – avec une subvention annuelle massive. Pourquoi les gouvernements des deux provinces immédiates ne s’élèvent-ils pas ? Quelle a été la récompense ? Pensons à Fukushima, à l'occasion de son dixième anniversaire, alors que nous nous préparons au vote.
Ce phénomène, avec Tchernobyl et Three Mile Island, pourrait être le signe avant-coureur de l'avenir de l'humanité. Nous avons des enfants et des petits-enfants, des voisins, des amis et des collègues qui vivent dans l'ombre d'une catastrophe à Chalk River.
Pourquoi n’est-ce pas un sujet électoral à la une des journaux ? Pourquoi les partis, tous et leurs candidats, n'ont-ils pas lancé cette menace à notre porte dérobée ? La méga-décharge radioactive de Chalk River ne devrait-elle pas figurer en tête de nos préoccupations électorales ? Ne voterez-vous pas pour le candidat qui promet de combattre la plus grande décharge radioactive du monde dans notre cour ? Y a-t-il un autre enjeu d’égale importance pour le Pontiac ?
Anonyme
Aylmer / Gatineau
Les PME ont du mal à être compétitives dans le commerce en ligne face aux géants du Web, et certaines pratiques commerciales d’Amazon sur sa plateforme Marketplace ne font qu’exacerber le problème, selon un nouveau rapport de la FCEI. La situation pourrait empirer durant la saison du magasinage des Fêtes, puisqu’une majorité de consommateurs font la plupart de leurs achats dans les multinationales, en magasin ou en ligne, selon un autre rapport récent de la FCEI.
Pour l'intégralité du communiqué de presse, n'hésitez pas à me contacter.
Maud Larivière, FCEI
Montreal
Les PME qui ont contracté un prêt du Compte d’urgence pour les entreprises canadiennes (CUEC) ont à peine plus de 60 jours pour le rembourser afin de conserver la portion subvention allant jusqu’à 20 000 $. Toutefois, bon nombre d’entre elles craignent de ne pas pouvoir respecter l’échéance fixée au 18 janvier 2024. Si le gouvernement ne reporte pas la date limite de remboursement, l’économie du pays subira des répercussions considérables, avertit la FCEI.
Pour trouverez l'intégralité du communiqué de presse, n'hésitez pas à me contacter.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Aujourd'hui des citoyens Canadiens préoccupés par ce qui se passe à Gaza vont bloquer l'entrée du bureau de circonscription du député Marc Miller pour protester contre le rôle du Canada dans la perpétration du génocide du peuple de Gaza par Israël. Miller est le ministre de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, ainsi que le député de Ville-Marie—Le Sud-Ouest—Île-des-Sœurs.
Nous continuerons nos actions jusqu'à ce que le Canada prend les mesures nécessaires, notamment : Condamner officiellement la punition collective inhumaine infligée par Israël, b) Demander la restauration de l'accès à la nourriture, l'eau et le carburant, c) Mettre fin aux bombardements indiscriminés de civils.
Il est apparent que la position du Canada n'est pas silencieuse, mais au contraire soutient Israël qui est en train de mener un genocide à Gaza. Nous sommes indignés par la complicité du Canada dans les bombardements indiscriminés et les meurtres de civils perpétrés par Israël, ainsi que par la coupure d'eau, de carburant, d'électricité et de nourriture à l'encontre de 2,3 millions de personnes vivant sous le blocus illégal depuis 17 ans.
Miller, un proche confident de Trudeau qui prétendait soutenir les droits des peuples autochtones au Canada, démontre des doubles standards en ce qui concerne les droits d'une population autochtone brutalisée en Palestine.
Ehab Lotayef
Montréal
Le Bulletin offre une opportunité en or aux lecteurs de s'exprimer par écrit. Il s'avère toujours agréable et intéressant de lire les opinions exprimées par nombre de nos concitoyens sur une foule de sujets qui leur importent.
Le changement de vocation de l'Hôtel British et le maintien de la mission du Café British me semblaient l'occasion rêvée de rendre un hommage tout à fait mérité à cette équipe d'employées qui assure un service hors pair à la clientèle. Il s'agit là d'héroïnes obscures, travailleuses trop souvent négligées ou oubliées qui méritent notre admiration pour leur labeur. Je pense que vous serez d'accord avec moi.
Merci encore de me permettre de m'exprimer par le biais du Bulletin et recevez mes salutations distinguées.
Francois Brisebois
Aylmer / Gatineau
J’ai nommé Éric Girard, le ministre des Finances de la CAQ. J’aurais pu ajouter au titre : "et d'imbécilité!" Vous aurez remarqué l’absence du mot « monsieur » quand j’ai cité son nom. « Monsieur » constitue une marque de courtoisie allant de pair au mérite qu’on accorde à une personne. Le triste sire persiste et signe à importer l’équipe américaine de hockey des Kings de Los Angeles pour s’exhiber lors de deux parties préparatoires à Québec. Il est loin de mériter ce respect de ma part.
Coût estimé de sa crampe au cerveau de politicien égocentrique et déconnecté de la réalité économique vécue au quotidien par les québécois : jusqu’à 7 millions de dollars. Sans oublier par nos gens en santé ou en éducation forcés d’aller en grève. À qui le gouvernement caquiste n’offre que des miettes d’augmentation de salaire comparativement aux 30 % qu’ils se sont octroyés allègrement, bien assis au chaud à siéger en Chambre. Mais il y a plus. Imbu de sa personne, l’inconséquent a le culot de pavoiser en conférence de presse, faisant amende honorable, acceptant le blâme pour sa décision personnelle … pour s’enferrer dans sa bêtise ! Un (soi-disant) ministre des Finances avec un chiffrier à la place du cœur et une éponge en guise de cerveau.
L’homme a choisi d’aller en politique. Le peuple l’a élu. On lui a confié la saine gestion du portefeuille du peuple québécois. L’argent gagné par le labeur quotidien de ce même peuple. Qu’il décide de dilapider outrageusement sur un coup de tête, dans le cadre d’entretenir la poursuite d’une chimère : la venue d’un club de hockey national au Centre Vidéotron à Québec.
Incapacité et incompétence. Le lien de confiance est rompu. Le Québec dénonce l’imposture et l’imposteur ! Par ici la sortie, tout ministre qu’il soit !
Francois Brisebois
Secteur Aylmer, Gatineau
Je fais suite à notre correspondance du 22 octobre 2023 adressée au conseil municipal de Gatineau. Nous regrettons que cette communication ait pu laisser croire à quiconque que nous formulions quelque reproche que ce soit à l’encontre des autorités municipales. Depuis le début de cette aventure, autant les membres du conseil que le personnel administratif ou politique de Gatineau, ont exprimé leurs préoccupations à l’égard de notre enjeu de relocalisation et nous soutiennent dans nos démarches. Notre intention première consistait à informer plus précisément de nos besoins pour parvenir aux résultats que nous souhaitons tou-te-s, soit la relocalisation du Belvédère dans les meilleures conditions possibles.
Luc Villemaire, Le Belvédere Jeunesse Outaouais
Gatineau
De gros événements de magasinage annuels auront lieu cette fin de semaine — le Vendredi fou, le Samedi PME et le Cyberlundi. Toutefois, une majorité (65 %) de petits détaillants s’attendent à perdre des ventes au profit des multinationales et des géants du commerce en ligne, selon de nouvelles données de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI).
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Culture Outaouais se réjouit pour le secteur culturel à la suite de la présentation de la nouvelle politique culturelle ambitieuse de la Ville de Gatineau en comité plénier, qui vise à adresser le rattrapage nécessaire en matière de financement en culture. En tablant sur des investissements de 1,8 M $ par année dès 2024, et sur un objectif de 2 M $ d’ici 2026, l’adoption de cette nouvelle politique par la Ville de Gatineau ferait un pas dans la bonne direction pour contrer le sous-financement municipal. Cette avancée serait encore plus marquée si l’on compte les appariements souhaités dans le cadre des ententes avec le ministère de la Culture et des Communications ainsi que le Conseil des arts et des lettres du Québec.
Nous surveillons de près les actions demandées par le milieu qui découleront de ces investissements et de la nouvelle politique. Concrètement, les acteurs culturels souhaitent un meilleur soutien de la pratique professionnelle, des mesures assurant la rétention des artistes, ainsi qu’un engagement financier et technique dans les projets d’infrastructure.
Julie Martineau DG
Culture Outaouais
Gatineau
La Fédération de la jeunesse canadienne-française (FJCF) a tenu sa troisième Journée jeunesse sur la colline le 21 novembre 2023. Ce sont les membres du Conseil de direction de la FJCF et les employé·es du réseau qui ont participé à la troisième Journée jeunesse sur la Colline (dernières éditions en 2018 et 2016). Les jeunes ont eu l’occasion de rencontrer plusieurs député·es, sénatrices et sénateurs, ainsi que le ministre de l’Emploi et des Langues officielles, l’honorable Randy Boissonault, lors de rencontres en petits groupes. Ils ont discuté des principales préoccupations de la FJCF, qui s’articulent autour ces trois grands thèmes:
- Le renforcement du réseau jeunesse
- La place de la jeunesse dans le Plan d’action pour les langues officielles
- L’employabilité jeunesse
À la suite de ces rencontres, la FJCF a tenu une réception parrainée par le Secrétaire parlementaire du ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et secrétaire parlementaire du ministre des Langues officielles Marc G. Serré. Ce fut une occasion unique d’échanges moins formels entre les jeunes et les gens du milieu politique à Ottawa.
FJCF
Ottawa
La Légion Royale Canadienne filiale d’Aylmer désire remercier tous les gens qui ont participé aux célébrations du Jour du Souvenir.
Depuis 2020, nous avons adopté une nouvelle approche pour la présentation des couronnes en suivant celle des célébrations sur notre colline parlementaire. La pandémie est partiellement responsable pour ces changements car nous devions assurer la santé et sécurité de tous en limitant la manutention des couronnes. De plus, en consultation avec nos vétérans plus âgés, ceux-ci nous ont demandé de réduire la durée de la cérémonie car certains d’entre eux qui veulent absolument y participer, trouvaient que les conditions météorologiques leurs apportaient des défis. Depuis, ils nous font part que la nouvelle approche est beaucoup mieux pour eux.
Lorsque les gens désirent parrainer une couronne, ceux-ci sont informés qu’ils peuvent venir la déposer avant ou après la cérémonie. Sinon, les couronnes sont déposées par des vétérans avant la cérémonie. Si nous avions été avisé que certains groupes voulaient venir déposer leurs couronnes, nous les aurions informé des procédures maintenant en place depuis trois ans et aurions pris les arrangements nécessaires. Tous sont bienvenus à notre cérémonie et nos célébrations.
Nous sommes fiers de notre célébration du Jour du Souvenir à notre Cénotaphe. Le secteur Aylmer de Gatineau offre la plus grande cérémonie en Outaouais et la participation des militaires, vétérans, cadets et communauté est toujours très appréciée.
Encore une fois, merci pour votre participation à nos célébrations du Jour du Souvenir et on espère vous revoir l’an prochain.
Paulette G. Clement, Présidente
Aylmer # 33 Legion
Selon des données récentes de la FCEI, les deux tiers des propriétaires de PME (66 %) veulent que le gouvernement priorise la réduction du fardeau fiscal dans les six prochains mois. L’assouplissement des modalités de remboursement des prêts du CUEC (57 %) et l’allégement de la paperasserie (47 %) figurent également parmi les priorités des PME.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Lettres d'octobre
J’ai entendu le mot prononcé à quelques reprises par des citoyens d’Aylmer qui le subisse pour leur malheur. Mon Petit Larousse ne m’a pas fourni de définition du Moron-type proliférant à Gatineau. Je suis parvenu à établir une fiche signalétique de l’individu malfaisant en question :
Habitat : S’accommode de vivre dans ses déchets de toutes sortes éparpillés sur son terrain. Trouve sa fierté à les étaler aux yeux de tous, son bonheur à s’y vautrer.
Habitation : Proche du taudis. Extérieur négligé, revêtement dépeinturé, mauvaises herbes, palissade et clôture déglinguées…
Conscience sociale : Aucune. Se fiche éperdument de Vous. Règlements, lois, propreté, courtoisie : autant d’obligations qu’il ignore puisque narcissique comme un Trump.
Croyance : Une seule : Adepte du : « Me, myself and I ». Convaincu d’être seul au monde.
Intelligence : Les neurologues situent avantageusement son niveau entre celui du caillou et de l’amibe.
Allergies : Innombrables ! À l’effort, à se ramasser, à tout entretien, à la propreté, à l’embellissement, aux règlements municipaux, etc.
Dangerosité : Paresseux crasse, il ne devrait pas manifester d’agressivité tant qu’on ne l’interpelle pas au sujet de son manque de civisme flagrant.
Ce portait sommaire pourrait permettre de repérer le Moron dans votre voisinage. Vous me dites que c’est déjà fait ? Et vous cherchez une solution pour le mettre au pas, lui inculquer un peu de sens commun, le rappeler à l’ordre ? J’ai bien peur que ce soit peine perdue. Le 3-1-1 ? Inutile ! Votre conseiller municipal ? Quelle blague ! Une plainte à l’administration municipale ? « Il n’y a pas de service au numéro composé » !
À Gatineau, le Moron règne en maître. C’est Vous, Citoyens respectueux des lois et règlements, de votre environnement et de vos semblables… qui êtes de trop !
Francois Brisebois
Secteur Aylmer, Gatineau
Le 23 mai dernier, le Parti Québécois a fait adopter à l’unanimité deux motions à l’Assemblée nationale exigeant la déclassification totale des documents classés secrets par le Directeur général des Élections du Québec (DGEQ) dans la foulée de l’enquête du juge Grenier et de son rapport sur des allégations de fraudes ayant été commises par le gouvernement canadien et de l’organisme Option-Canada dans le camp du NON. Rappelons pour mémoire, que lors du référendum de 1995, le camp du NON l’avait emporté avec seulement 50,58% et le camp du OUI recevait 49,42% d’appuis.
Lors de la commission d’enquête du Juge Bernard Grenier, dont le mandat d’enquête ne portait que sur les agissements illégaux de l’organisme Option-Canada, avait en sa possession plus de 40 000 documents liés de près ou de loin à l’enquête et avait entendu plus de 90 témoignages relativement aux allégations de fraude du camp du NON. Le DGEQ de cette époque, Me Marcel Blanchet, avait pris la décision de placer 4 500 de ces documents déposés en preuve, sous le sceau du secret, et ce, sans limites de temps ! De l’aveu même du Juge Grenier dans son rapport, la commission d’enquête n’avait pas l’autorité constitutionnelle pour regarder les agissements frauduleux de d’autres organismes liés directement au gouvernement canadien dans le financement occulte du camp du NON.
Malgré le fait que tout avait été frappé d’une «ordonnance relative à la non-divulgation et de non-communication et de la non-diffusion de la preuve», il nous apparaît clairement qu’il s’agit de documents importants dont il importe, qu’après 28 ans, ils soient dévoilés. La culture du secret et de la cachette doit cesser.
Dans un article paru dans le Devoir du 28 août sous la plume Caroline Plante de La Presse canadienne à Québec, la porte-parole du DGEQ, madame Julie St-Arnaud Drolet déclarait : «mais on est en branle, on est en train de regarder tous ces documents-là, de faire le tri et on a l’intention de collaborer […] en toute bonne foi, dans le respect du cadre légal…»
En tout respect pour le respect pour le DGEQ, nous n’acceptons pas le fait qu’il y ait un «tri» et qu’une censure puisse s’effectuer entre un document à dévoiler et un autre à cacher. La motion adoptée par tous les parlementaires est claire : il faut déclassifier tous les documents liés au financement du camp du NON lors du référendum de 1995.
Nous devons connaître la vérité sur les agissements des acteurs de l’époque pour le camp du NON. Ces acteurs, politiciens et chefs d’entreprise, ont sciemment violé la loi référendaire et ont permis la perpétration d’actes frauduleux qui ont influencé le vote. Et cela, en toute impunité.
Connaître la vérité traduit l’importance que nous accordons à la transparence de nos institutions démocratiques, l’importance à défendre la réputation internationale du Québec de nos valeurs démocratiques et pour éviter que ces acteurs puissent agir en toute impunité lors d’un prochain rendez-vous référendaire.
Nous sommes d’avis qu’au terme de la déclassification de ces documents, qu’une réflexion s’amorce pour améliorer le prochain scrutin référendaire afin d’éviter les fraudes connues en 1995. Une carte de citoyen-électeur? Des observateurs étrangers pouvant témoigner du bon déroulement de cette future campagne référendaire? Soyons transparents et clairs, sans censure.
Benoît Roy
Président du Rassemblement pour un Pays Souverain
Saint-Eustache
Le Réseau du patrimoine de Gatineau et de l’Outaouais (RPGO) est fier de vous inviter à son 24e Salon du patrimoine qui a lieu à la maison Fairview le 21 octobre 2023 de 10 h à 16 h. Les membres du RPGO auront la chance de présenter leur organisme patrimonial. Des visites commentées, une conférence et une activité familiale sont aussi au programme.
Venez vous enraciner dans le passé de votre famille en démêlant les branches de l’arbre généalogique de l’Outaouais!
La maison Fairview est située au 100 rue Gamelin. Pour toutes questions sur le Salon ou le RPGO, n’hésitez pas à consulter le site "https://reseaupatrimoine.us15.list-manage.com/track/click?u=7d4154e3578804ff6096bca62&id=26b6b65558&e=b6884aa0eb" Web du RPGO.
Vous pouvez aussi nous contacter par courriel au "mailto:projet@reseaupatrimoine.ca" projet@reseaupatrimoine.ca ou par téléphone au (819) 205-5586. L'entrée est gratuite.
Sabrina Bouchard, RPGO
Gatineau
Article intéressant sur l'avenir de l'information et le point de vue de la députée Chatel. Je ne suis pas un adepte des médias sociaux, mais je comprends que beaucoup de gens le soient. J'ai l'intention d'ouvrir un compte Facebook un de ces jours.
Dans l'article, Mme Chatel dit qu'elle est souvent dans les journaux locaux. Mon journal local est le Bulletin d'Aylmer - et je suis dans sa circonscription, mon quartier n'est pas dans la circonscription de Hull-Aylmer, il est dans la circonscription de Pontiac. Mais notre journal local est le Bulletin. Je pense que nous passons à travers les mailles du filet à cause de la façon dont les circonscriptions sont découpées. Elle doit faire de la publicité dans d'autres journaux. J'entends à peine parler d'elle.
Merci donc au Bulletin, c'est rafraîchissant de lire des articles sur mon député local. L'autre député de la région, Greg Fergus, est très actif et je reçois beaucoup d'informations sur lui dans le journal. Maintenant qu'il a un rôle encore plus important dans le pays, voyons où va Mme Chatel dans sa carrière politique. (Trad.: BA)
Rose Genivar
Aylmer Nord
Au lendemain de la fin de la commission parlementaire, les comités logement et les locataires prendront la route dans le cadre d'une caravane pour s'opposer au projet de loi 31.
la route dans le cadre d une caravane pour s opposer au projet de loi 31. La caravane traversera la rive nord et visitera les bureaux des ministres de la CAQ.
La caravane traversera la rive nord et visitera les bureaux des ministres de la CAQ, notamment Éric Girard, Pierre Fitzgibbon et François Legault.
Cette action a lieu alors que la pression monte sur le gouvernement Legault autour du projet de loi 31, qui vise à retirer aux locataires leur droit au transfert de bail, l'un des rares moyens dont disposent les locataires pour maintenir des loyers abordables et pour contourner les lois sur le logement, de maintenir des loyers abordables et de contourner la discrimination en matière de logement. Si le projet de loi était adopté, il normaliserait également les expulsions dans un contexte où les loyers sont plus élevés.
Les expulsions dans un contexte où les loyers et les expulsions montent en flèche. Un rapport publié la semaine dernière révèle que l'itinérance au Québec a presque doublé depuis 2018, les expulsions en étant la cause la plus fréquente.
cause.
Les comités de locataires et de logement exigeront que la CAQ revienne sur le projet de loi 31 et qu'elle propose plutôt un gel des loyers et des mesures pour mettre fin aux expulsions. Gel des loyers, des mesures pour mettre fin aux expulsions et un réinvestissement massif dans le logement social. (Trad.: BA)
Amy Darwish, Comité d’action de Parc-Extension
Montréal
Mère Nature est en révolte contre la race humaine. Si c’est pas les feux, ce sont les inondations, vents violents, chaleur record, etc. Les émanations de CO2 sont au centre des changements climatiques désastreux.
Les mesures pour se sevrer du pétrole et le gaz se heurtent à ceux qui refusent d’accepter des politiques visant à taxer la pollution comme le préconisent des tas d’économistes et autres experts. Force à constater les lobbyistes puissants ont beaucoup d’influence au dépend de l’environnementI On vit tous sur la même planète. On risque des conséquences massives et catastrophiques sur notre économie en évitant d’agir fermement dès maintenant. Quel est et sera l’impact sur nos taxes pour ceux qui obssèdent sur ce sujet? Croire les belles promesses de certains pour régler nos problèmes sérieux à ce carrefour si critique pour notre existence ? C’est bien le temps aux citoyens de questionner et d’examiner à la loupe les solutions simplistes que certains groupes et politiciens avancent. Si ces solutions étaient si simples, n’auraient elles pas été adoptées il y a bien longtemps?
P. Trottier
Aylmer
L’AFIO, en partenariat avec la ville de Gatineau, est ravi de vous inviter à sa journée de Participation citoyenne et représentation politique qui se tiendra le samedi 28 octobre 2023 à la Maison du Citoyen, salle Gatineau. L’événement a pour objectif de sensibiliser, d’informer, et de mobiliser les personnes de diverses communautés à s’impliquer dans la vie politique de la ville de Gatineau.
Cette journée sera divisée en deux parties, la matinée sera consacrée à des ateliers et l’après-midi sera réservé à l’activité de simulation des conseils municipaux.
Avant la simulation, nous allons pendant le diner jumeler les conseillères/conseillers municipaux et les participants de la simulation. Le but de ce jumelage est d’échanger et de conseiller les participants pour les aider à se préparer à l’activité.
AFIO
Gatineau
Entre chaque élection les parlementaires de l’Assemblée nationale sont confrontés à une décision déchirante, celle de déterminer eux-mêmes leur revenu pour quelques années à venir. Ce gouvernement étant également l’employeur, les médias et les syndicats fort perspicaces, sa décision fait inévitablement scandale et vient compliquer les négociations en plus de fragiliser la confiance du public envers le monde politique. Comment appeler les syndiqués à la modération quand le patron vient de se payer un généreux 30% d’augmentation et que l’inflation gruge environ 4% de leur pouvoir d’achat annuellement? Le scénario est invariable. Décision longtemps avant les élections, scandale, justifications, baroud d’honneur de l’opposition, on passe à autre chose.
Évidemment les revenus de nos élus sont à des années-lumière de ceux des PDG des grandes corporations comme les banques, sociétés de transport, chaînes d’alimentation ou agences publiques. Mais dans mes rêves il m’est venu une idée. Imaginez que toute décision de cette nature soit obligatoire durant la dernière session d’une législature et ne soit applicable qu’après les élections suivantes. Il y a fort à parier que la question deviendrait au moins un des enjeux électoraux. Question de verser dans l’utopie démocratique, l’électeur pourrait avoir à se prononcer sur le salaire des élus comme c’est le cas dans les assemblées annuelles des grandes corporations. Les électeurs auraient ainsi l’occasion d’approuver ou de sanctionner le cas échéant même si les partis d’opposition (eux-mêmes bénéficiaires) ne soulèvent pas la question et ce sans égard aux autres enjeux électoraux. En cas de refus on retourne au statu quo ou on confie le dossier à un arbitre indépendant qui devra modifier l’augmentation à la baisse avec justification appropriée. Les gouvernements se verraient ainsi forcés de tenir compte de l’humeur des électeurs et de maintenir leurs demandes dans les limites raisonnables, voire tolérables compte tenu de la situation économique prévalente. Mais comment faire accepter un tel système? Les suggestions sont bienvenues.
Gérard Laurin
Aylmer
Je me réfère à l’article de monsieur François Brisebois publié le 27 septembre et intitulé : Le Moron, vous connaissez? J’ai beaucoup aimé ce texte coloré d’humour et néanmoins fort lucide. Je me permets d’ajouter quelques réflexions à celles de M. Brisebois.
Tout d’abord, j’en suis arrivé à catégoriser les morons en trois classes : 1re-les odieux morons; 2e-les pauvres morons; 3e- les sympathiques morons.
Les pauvres morons sont les plus nombreux. Cette foule compose une force redoutable par leur nombre et leur implacabilité. J’arrive à m’accommoder d’un pauvre moron seul, mais une foule, j’avoue que cette réalité me déstabilise. Mais attention, n’oublions pas qu’il y a parmi toutes les classes de morons des gens très intelligents et ça, c’est un peu insolite.
La société de divertissements tous azimuts dans laquelle nous évoluons offre occasionnellement aux observateurs des séries télévisées par exemple Les Bougons et la Petite vie. Ce type de divertissement sert en quelque sorte d’humus intellectuel qui alimente les morons spectateurs.
Les morons on les découvre au fils de nos années. Jeunes, on ne les discerne pas faute de connaissance et d’expérience. Mais graduellement en vieillissant alors là nous les distinguons nombreux et partout.
Tout de même, après ces réflexions, essayons de demeurer humbles en songeant que nous sommes tous les uns les autres un jour le moron de quelqu’un d’autre.
D.R.H.
Secteur Aylmer
Cette semaine, le conseil municipal a voté contre la création d’un programme de mobilier urbain commémoratif. Une décision incompréhensible que j’attribue à une joute politique au détriment des citoyens.
En 2018, j’ai rencontré une famille d’Aylmer qui souhaitait honorer la mémoire de leur fils décédé subitement. La famille voulait investir plusieurs milliers de dollars pour ajouter du mobilier sportif au parc des Cèdres. La Ville a refusé leur don, puisqu’il n’existait pas de mécanisme permettant d’accepter une contribution financière du genre. Cela m’avait semblé absurde compte tenu de la situation financière des villes et du besoin criant d’investir dans nos parcs.
J’ai donc entrepris de demander au conseil de créer un programme permettant aux citoyens d’acheter des bancs de parc ou des arbres munis d’une plaque commémorative personnalisée. Il s’agit d’un programme largement répandu dans bon nombre de villes. Un programme utile pour commémorer la mémoire d’un être cher ou encore un événement marquant dans la vie d’une personne. Le conseil municipal avait finalement donné son aval à la mise en place d’un tel programme, dont les paramètres restaient à être établis.
Mardi, la majorité des élus ont simplement rejeté ce programme visant à créer un nouveau service aux citoyens. Sans même tenter de proposer des modifications ou de dégager un consensus. Des discussions en après-midi laissaient pourtant présager que le conseil municipal était ouvert à l’idée, malgré une certaine division. Le vote en soirée a renversé le projet. Je qualifie ce revers de très discutable. À qui toute cette joute de coulisse profite-t-elle? Certainement pas aux citoyens de Gatineau, que l’on vient de priver d’un nouveau service.
Élus ayant voté contre ce projet : M. Boivin, Mme Murray, Mme Des Marais, M. Moran, Mme Miron, M. Sabourin, M. Duggan, Mme Kamanyana, Mme Lacasse-Brunet, Mme Norris Parent, M. Leclerc.
Audrey Bureau
Aylmer
Nous voici au temps de l’année ou on voit les coquelicots apparaître ici et là dans notre communauté pour les prochains 10 jours. Étant donné la situation mondiale présentement, il est important de se souvenir que ceux et celles qui se sont battu et continuent à se battre pour notre liberté. Nous sommes tellement privilégiés de vivre en paix ici. Merci à nos militaires et à ceux qui sont tombés aux champs pour leur sacrifices.
La pandémie a vraiment fait du ravage avec certains de nos vétérans. Le coût de la vie ne cesse d’augmenter et a forcé plusieurs de nous demander de l’aide. Les argents recueillis lors de notre Campagne de Coquelicots servents à fournir cet aide. La légion n’utilise pas ces fonds pour autres choses que l’aide à nos vétérans et militaires.
Je sais qu’encore cette année, je peux compter sur le soutien de notre communauté. Faites un don pour un coquelicots, parrainez une couronne, assistez à la cérémonie et notre réception du 11 novembre. Nous vous attendons. Nous vous remercions
Paulette G. Clément, Légion Royale Canadienne
Filiale # 33 Aylmer
La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) est déçue de constater que le gouvernement fédéral n’a pas rejeté la hausse des cotisations à l’assurance-emploi (AE) proposée dans le Rapport actuariel 2024 sur le taux de cotisation d’assurance-emploi.
Dans son budget 2023, Ottawa prévoyait de ne pas augmenter les cotisations à l’AE en raison de la force du marché du travail au pays. Or, malgré la vigueur actuelle de celui-ci, le gouvernement imposera en 2024 une hausse des cotisations qui coûtera 1,4 milliard $ aux entreprises et à leurs employés. Cette hausse touchera l’ensemble des travailleurs et bon nombre d’entre eux verront également leurs cotisations au Régime de pensions du Canada (RPC) augmenter à cause de la hausse du maximum des gains annuels ouvrant droit à pension.
La hausse des cotisations à l’AE fera augmenter encore plus les coûts d’exploitation des PME tout en réduisant le chèque de paie des travailleurs.
La FCEI demande à Ottawa d’instaurer un taux réduit pour les PME afin de les compenser face à la hausse des taux imposée aux employeurs.
Jasmin Guénette, FCEI
Ottawa
Il semble que dans mon coin, nous ayons reçu le même avis (ultimatum) d’inspection de notre propriété aux fins d’évaluation municipale. Ô joie ! Aux fins d’évaluation municipale ? Hum ! Ne soyons pas naïfs. En bout de ligne aux fins d’augmentation de notre compte de taxes foncières annuelles plutôt. Qu’il aurait été plus honnête de préciser de la part de l’administration de la Ville de Gatineau-la-Vorace.
Le moment de l’année où le représentant du Service d’évaluation « s’invite » chez vous est tout à fait indiqué. Après tout, c’est l’Halloween, non ? L’heure où les zombies sortent de terre, les fantômes traînent leurs chaînes et les croquemitaines font peur aux enfants. Alors un de plus du genre en la personne de l’inspecteur en question… Qui viendra vous hanter, vous tourmenter et peupler vos rêves à venir de cauchemars sous forme de hausse substantielle inévitable de vos taxes municipales… Normal qu’en cette période de l’année, nous les adultes, partagions les frayeurs de nos enfants. En éprouvant quelque angoisse au spectre de Gatineau-la-Jamais-Rassasiée surgissant pour piger encore un peu plus dans notre escarcelle.
Je compte déjouer les plans de notre zélé inspecteur. Je l’accueillerai courtoisement, lui ferai visiter les moindres recoins de mon vaste domaine, château compris. Je promets de me résigner à une hausse de l’évaluation de ma demeure, de ne pas rouspéter. Toutefois, j’entends demander à notre expert de me révéler le montant estimé de la dé-va-lu-a-tion de ma propriété. Compte tenu de l’insalubrité et de la malpropreté du voisinage, des chauffards dans nos rues, de l’incurie dans l’administration des règlements municipaux par nos élus, etc.
Croyez-vous que mes chances soient raisonnables de le convaincre ? De me retrouver, non pas avec une hausse, mais une diminution substantielle de mes taxes foncières l’an prochain ? On peut toujours rêver, non ?
Francois Brisebois
Secteur Aylmer, Gatineau
Cela fait maintenant trois ans que je viens de temps à autre avec espérance de majorer trois minutes de votre attention, (la conseil municipale, esp.). Vous connaissez mon opinion au sujet du tramway. Ce soir, je parle de vous.
C'est au sujet du syndrome du biais de confirmation. Définition trouvée sur Google : les biais de confirmation contribuent à l'excès de confiance dans les croyances face à des preuves contraires. Ils peuvent donc conduire à des décisions désastreuses, en particulier dans des contextes organisationnels, militaires, politiques et sociaux. Par exemple, ici même.
On continue de parler du carbone pour avantager le tramway. Un autobus électrique ne produit pas de carbone. Dans cette même salle, on dit qu'il n'y a pas de plan B au tramway. Dans la cage à escalier, on m'a dit " jamais je ne changerais d'avis ".
Tous des symptômes au syndrome du biais de confirmation.
Mais, réjouissez-vous, il y a guérison. Trouvé sur Google : Il ne faut pas se contenter de tester nos hypothèses d'une manière unilatérale, mais de forcer à collecter toutes les preuves pertinentes, contradictoires ou non. Un bon moyen d'échapper à ce biais est de chercher à réfuter notre hypothèse plutôt que de seulement rechercher les preuves de sa validité.
J'encourage d'aller voir la définition. Il faut être conscient de ce syndrome. Il existe à différente intensité. Vous votez pour toutes sortes de projets, le tramway étant de loin le plus dispendieux
"Ce que j'ai dit, ce que je dis et ce que je dirai" est important.
Pour le moment, ma suggestion : un examen personnel de son comportement envers le biais. Et mon souhait pour toujours est que vos décisions soient rationnelles.
Merci pour les trois minutes éducatives.
André Simonson
Hull, Gatineau
Mère Nature est en révolte contre la race humaine. Si c’est pas les feux, ce sont les inondations, vents violents, chaleur record, etc. Les émanations de CO2 sont au centre des changements climatiques désastreux. Les mesures pour se sevrer du pétrole et le gaz se heurtent à ceux qui refusent d’accepter des politiques visant à taxer la pollution comme le préconisent des tas d’économistes et autres experts. Force à constater les lobbyistes puissants ont beaucoup d’influence au dépend de l’environnementI On vit tous sur la même planète. On risque des conséquences massives et catastrophiques sur notre économie en évitant d’agir fermement dès maintenant. Quel est et sera l’impact sur nos taxes pour ceux qui obssèdent sur ce sujet? Croire les belles promesses de certains pour régler nos problèmes sérieux à ce carrefour si critique pour notre existence ? C’est bien le temps aux citoyens de questionner et d’examiner à la loupe les solutions simplistes que certains groupes et politiciens avancent. Si ces solutions étaient si simples, n’auraient elles pas été adoptées il y a bien longtemps?
P. Trottier
Aylmer
Lettres de septembre
La mémoire de John Egan, élu au premier conseil d’Aylmer en 1847 et choisi comme Maire, sera célébrée samedi, le 9 septembre à 11 h lors du dévoilement d’un banc de granit commémoratif en l’honneur d’un pionnier remarquable. La cérémonie aura lieu au 161, rue Principale, Gatineau (Aylmer) dans le parc de Chartwell Monastère Aylmer, près de l’ancienne résidence de John Egan, le manoir Mount Pleasant (maintenant une école Montessori).
Les descendants d’Egan seront présents au dévoilement avec des dignitaires et des entreprises locales qui ont financé le banc. John Egan était originaire d’Irlande, et l’ambassadeur d’Irlande au Canada, le Dr Eamonn McKee, parlera de son intérêt pour l’héritage de John Egan. Le public est invité à la cérémonie.
L’événement marque le point culminant d’ activités réparties sur une année organisées par l’Association du patrimoine d’Aylmer pour souligner le 175e anniversaire de l’incorporation d’Aylmer en tant que village, séparé du canton de Hull, en 1847.
L’appui de la communauté à ce projet démontre l’engagement de la population locale à reconnaître l’histoire importante d’Aylmer et à préserver ses édifices patrimoniaux et son caractère patrimonial unique, qui contribuent tous à notre qualité de vie collective.
La cérémonie ne sera pas remise en cas de pluie. Le public est invité à apporter des parapluies, le cas échéant. Le stationnement est disponible à l’église catholique St. Mark, 160 rue Principale, Aylmer.
Richard M. Bégin & Enid Page
l’Association du patrimoine d’Aylmer
Gatineau / Aylmer
Dans le cadre de sa campagne pour reporter la date limite du remboursement des prêts du Compte d’urgence pour les entreprises canadiennes (CUEC), la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) se réjouit d’avoir obtenu le soutien du Nouveau Parti démocratique, du Bloc Québécois et du Parti vert du Canada.
Il ne reste plus que 4 mois avant la date limite de remboursement des prêts du CUEC, fixée au 31 décembre 2023. Si les propriétaires de PME ne remboursent pas leur prêt d’ici là, ils perdront la portion subvention allant jusqu’à 20 000 $ et devront payer des intérêts sur un prêt dont le solde sera beaucoup plus élevé que prévu.
Aïsha Laperrière, FCEI
Montreal
A nouveau cette année, le Centre alimentaire Aylmer organise son Magasin partage de Noël autour du début décembre prochain.
Qu’est-ce qu’un Magasin partage de Noël direz-vous ? Il s’agit d’une initiative mise de l’avant depuis quelques années par le Centre alimentaire Aylmer pour ses bénéficiaires et qui aide les ménages vivant en situation de vulnérabilité lors du temps de fêtes. Le Magasin Partage de Noël est une alternative alimentaire qui permet aux familles de faire elles-mêmes leurs provisions de nourriture pour la période des fêtes. Sachez qu’il y en a dans plusieurs secteurs de la Ville de Gatineau, dont pour nous, des secteurs Aylmer, Deschênes et Le Plateau. Sans oublier les personnes aînées bénéficiaires du Centre alimentaire Aylmer. On parle ici de plus de 300 familles qui pourront bénéficier du Magasin partage de Noël.
Sachez que cette période est financièrement difficile pour les ménages en raison d’une surcharge de dépenses. Le Magasin Partage de Noël vise ainsi à réduire ce fardeau financier dans la dignité et le respect des bénéficiaires.
Alors, pourquoi « Opération Flocons de neige » et quel est le lien avec le Magasin Partage de Noël ? Le but premier d’Opération Flocons de neige est de recueillir des dons, des cadeaux pour les enfants de 0-12 ans et des denrées alimentaires pour le Magasin Partage de Noël maintenu par le Centre alimentaire Aylmer, et ce, en collaboration avec d’autres partenaires. Quelques activités sont prévues afin de recueillir denrées alimentaires, dons et cadeaux pour les enfants de 0-12 ans.
Denis Parizeau, Directeur général
Centre alimentaire Aylmer
La Légion Royale Canadienne d’Aylmer est fière de vous laisser savoir que malgré les temps difficiles des dernières années suivant la pandémie, nous sommes toujours présents dans la communauté et prêt à aider nos vétérans, militaires et concitoyens.
Le Comité exécutif de notre direction national a approuvé le lancement de la toute première Semaine nationale de la Légion, laquelle se tiendra du 17 au 23 septembre prochain
Cet événement a pour but d'informer les visiteurs sur le bon travail que leur filiale locale accomplit au sein de leur communauté; l'événement verra à renforcer le rôle important que jouent les filiales dans notre mission commune de servir et de soutenir nos Vétérans, ainsi que de contribuer au bien‑être de tant de communautés. Elle permettra aussi d'attirer de nouveaux membres et de recruter de nouveaux bénévoles.
Gardez vos yeux ouverts dans les prochaines éditions du Bulletin d’Aylmer pour l’horaire de nos activités.
La filiale 33 a hâte de vous accueillir!
Paulette G. Clément
Présidente, Légion d’Aylmer # 33
La chef du Parti vert Elizabeth May, la députée libérale Jenica Atwin, le député du Bloc québécois Mario Simard et le député néo-démocrate Alexandre Boulerice se sont joints à d'autres pour exprimer de sérieuses inquiétudes concernant l'expansion de l'énergie nucléaire et le développement de petites centrales nucléaires modulaires réacteurs (SMR).
Lors d'une conférence de presse non partisane au National Press Theatre, les quatre parlementaires ont demandé à Ottawa d'appuyer sur le bouton pause sur le financement fédéral destiné au développement de PRM expérimentaux jusqu'à ce que le Parlement et des experts scientifiques indépendants aient examiné ces plans de manière critique. Les représentants de la société civile ont déclaré que les PRM ne constituent pas une option climatique rentable ou intelligente.
Le nouveau nucléaire est déjà beaucoup plus cher que les sources d’énergie renouvelables éprouvées comme l’éolien et le solaire, et rien ne garantit que ces expériences nucléaires produiront un jour de l’électricité de manière sûre et abordable. En attendant de savoir si les projets de PRM fonctionneront, le Canada perd un temps qui doit être consacré de toute urgence à une véritable action climatique.
(Translation)
Les députés May, Atwin, Simard et Boulerice
Ottawa
Les Plaisirs du clavecin sont heureux de vous présenter leur quinzième saison: Au gré du temps, une saison composée de 5 récitals-causerie et de 2 concerts dédiés au jeune public.
La saison sera marquée par une toute nouvelle collaboration avec des membres de l’organisme Archives à voix haute des deux rives de l’Outaouais qui, durant les entractes des concerts grand public, nous feront découvrir des personnages qui ont marqué l’histoire musicale de l’Outaouais. Parmi ceux-ci, notons les sœurs Desjardins, Greta Kraus, Joseph Beaulieu et Marius Barbeau.
Économisez sur l'achat de billets en vous abonnant à la saison!
Visitez le site web des Plaisirs du clavecin pour parcourir le dépliant de saison et y trouver le lien pour vous abonner : "https://plaisirsduclavecin.com/"
Plaisirs du clavecin
Gatineau
A nouveau cette année, le Centre alimentaire Aylmer organise son Magasin partage de Noël autour du début décembre prochain. La lettre d’invitation ci-jointe vous explique un peu plus en détails le projet du Centre alimentaire Aylmer.
Afin d’assurer le franc succès du Magasin Partage de Noël et d’Opération Flocons de neige, nous vous lançons aujourd’hui cette invitation de vous joindre à nous comme partenaire. Quelques activités sont prévues afin de recueillir denrées alimentaires, dons et cadeaux pour les enfants de 0-12 ans.
Dès le début de septembre, le Centre alimentaire Aylmer aimerait exposer l’ensemble du projet Opération Flocons de neige à ses partenaires et nous souhaitons vivement que vous serez un de nos partenaires.
Nous vous invitons à communiquer avec moi afin de nous signaler votre implication dans ce projet, de connaître comment vous pouvez vous impliquer et si vous avez des questions concernant votre implication directe au projet, il nous fera plaisir de vous répondre.
Denis Parizeau, Directeur général
Centre alimentaire Aylmer
C’est avec grand plaisir qu’Excellence Sportive Outaouais et le comité organisateur du Gala Excellence Sportive Outaouais annoncent aujourd’hui l’ouverture officielle de la période de mise en candidatures de la 7e édition de l’événement, qui se déroulera en mode hybride à la mi-décembre.
Athlètes, entraîneurs, gestionnaires, bénévoles, familles, amis et organismes sont invités à proposer des candidatures jusqu’au 22 octobre, via le site web HYPERLINK "https://sportoutaouais.ca/gala/" \n _blanksportoutaouais.ca/gala, dans l’une des 15 catégories de prix reconnaissant les réalisations sportives, l’engagement et le leadership, ainsi que le rayonnement et la fierté régionale de la scène sportive de l’Outaouais. Durant l’événement, des prix additionnels seront décernés par les comités de sélection, et plus de 22 000 $ en bourses seront octroyées lors du gala.
Simon Blais, ESO
Gatineau
Les auteurs et les autrices de l’Outaouais et leurs éditeurs ont jusqu’au 10 novembre 2023 pour poser leur candidature au Prix littéraire Jacques-Poirier—Outaouais 2024 qui souligne annuellement la qualité de la création littéraire en Outaouais.
Le prix sera accordé à une œuvre originale publiée en français entre le 1er novembre 2022 et le 31 octobre 2023. Les livres soumis doivent être le fait d’un auteur ou d'une autrice qui demeure en Outaouais (région 07) ou qui en est originaire.
En plus de recevoir une bourse de 2 000 $, la personne lauréate sera invitée à participer à la prochaine édition du Salon du livre de l’Outaouais (SLO) qui aura lieu du 22 février au 25 février 2024 et au Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean en septembre 2024. Le jury fera l’annonce de l’œuvre gagnante début février 2024, lors d'une conférence de presse.
Les personnes intéressées sont invitées à consulter la section "https://app.cyberimpact.com/click-tracking?ct=FkonCXmqXjcg0MRLd_TMLNiGZ_FmMKfv4Dldv8YQ9YncxgWjhwF6pyyGbzVXbDoMDYMNqkOopWrfmzo1CDftUg86cPETxkqRVGIJJ5bkybY3rqHe-x1_xRXgnH-TTzzU" prix et concours du site internet du SLO ainsi que les conditions d'admissibilité du prix, et à remplir le formulaire d’inscription "https://app.cyberimpact.com/click-tracking?ct=SXrRlFi4qHxER7Hb5bhyRXl3tWKxJsssPMGU81sYHuLOXTaigJkB4bR-EYQrCg171b-cWRCy6KU64UwV7OmJOmkm6S52XKf3Mye3I40BWTpsRdL_3XdYAdEpbfiazxYL"
Giovanni Casanova, gestionnaire du PLJPO
Gatineau
Le 23 mai dernier, le Parti Québécois a fait adopter à l’unanimité deux motions à l’Assemblée nationale exigeant la déclassification totale des documents classés secrets par le Directeur général des Élections du Québec (DGEQ) dans la foulée de l’enquête du juge Grenier et de son rapport sur des allégations de fraudes ayant été commises par le gouvernement canadien et de l’organisme Option-Canada dans le camp du NON. Rappelons pour mémoire, que lors du référendum de 1995, le camp du NON l’avait emporté avec seulement 50,58% et le camp du OUI recevait 49,42% d’appuis.
Lors de la commission d’enquête du Juge Bernard Grenier, dont le mandat d’enquête ne portait que sur les agissements illégaux de l’organisme Option-Canada, avait en sa possession plus de 40 000 documents liés de près ou de loin à l’enquête et avait entendu plus de 90 témoignages relativement aux allégations de fraude du camp du NON. Le DGEQ de cette époque, Me Marcel Blanchet, avait pris la décision de placer 4 500 de ces documents déposés en preuve, sous le sceau du secret, et ce, sans limites de temps ! De l’aveu même du Juge Grenier dans son rapport, la commission d’enquête n’avait pas l’autorité constitutionnelle pour regarder les agissements frauduleux de d’autres organismes liés directement au gouvernement canadien dans le financement occulte du camp du NON.
Malgré le fait que tout avait été frappé d’une «ordonnance relative à la non-divulgation et de non-communication et de la non-diffusion de la preuve», il nous apparaît clairement qu’il s’agit de documents importants dont il importe, qu’après 28 ans, ils soient dévoilés. La culture du secret et de la cachette doit cesser.
Dans un article paru dans le Devoir du 28 août sous la plume Caroline Plante de La Presse canadienne à Québec, la porte-parole du DGEQ, madame Julie St-Arnaud Drolet déclarait : «mais on est en branle, on est en train de regarder tous ces documents-là, de faire le tri et on a l’intention de collaborer […] en toute bonne foi, dans le respect du cadre légal…»
En tout respect pour le respect pour le DGEQ, nous n’acceptons pas le fait qu’il y ait un «tri» et qu’une censure puisse s’effectuer entre un document à dévoiler et un autre à cacher. La motion adoptée par tous les parlementaires est claire : il faut déclassifier tous les documents liés au financement du camp du NON lors du référendum de 1995.
Nous devons connaître la vérité sur les agissements des acteurs de l’époque pour le camp du NON. Ces acteurs, politiciens et chefs d’entreprise, ont sciemment violé la loi référendaire et ont permis la perpétration d’actes frauduleux qui ont influencé le vote. Et cela, en toute impunité.
Connaître la vérité traduit l’importance que nous accordons à la transparence de nos institutions démocratiques, l’importance à défendre la réputation internationale du Québec de nos valeurs démocratiques et pour éviter que ces acteurs puissent agir en toute impunité lors d’un prochain rendez-vous référendaire.
Nous sommes d’avis qu’au terme de la déclassification de ces documents, qu’une réflexion s’amorce pour améliorer le prochain scrutin référendaire afin d’éviter les fraudes connues en 1995. Une carte de citoyen-électeur? Des observateurs étrangers pouvant témoigner du bon déroulement de cette future campagne référendaire? Soyons transparents et clairs, sans censure.
Benoît Roy
Président du Rassemblement pour un Pays Souverain
Saint-Eustache
Précédant les consultations sur les seuils d’immigration, la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) rend publics les résultats d’un sondage auprès des PME du Québec concernant la francisation dans le processus d’immigration. Ces résultats montrent que 4 PME sur 5 y sont très favorables, tant sur le plan des retombées économiques que sur l’intégration en milieu du travail. Les PME appellent à une action forte du gouvernement du Québec.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
L'an dernier, seulement 6 millions de dollars ou 5 % des fonds publicitaires fédéraux ont été consacrés aux publications imprimées. C'est bien loin du tiers d'il y a vingt ans. À titre de comparaison, les dépenses du gouvernement pour les publicités Facebook/Instagram représentaient à elles seules près du double de ce qui est dépensé pour toutes les publicités imprimées combinées. Et les dépenses combinées sur Twitter, Snapchat et TikTok étaient supérieures à toutes les dépenses d'impression.
Aujourd'hui, la publicité numérique représente plus de 50 % de toutes les dépenses publicitaires fédérales. Selon le département américain de la Justice, qui poursuit Google, l'entreprise "empoche en moyenne plus de 30% des dollars publicitaires qui transitent par ses produits de technologie de publicité numérique".
Les entreprises de médias sociaux opérant au Canada n'emploient pas de journalistes et elles sont protégées de toute responsabilité par l'article 230 du titre 47 du United States Code. Ils bénéficient de tous les avantages d'être un éditeur sans aucune des obligations.
Les géants de la recherche numérique et des réseaux sociaux ont grandement contribué à connecter les personnes, les entreprises et les communautés. Pourtant, il y a eu des conséquences inattendues. Bien qu'ils fournissent la plomberie essentielle de notre ère numérique, ils n'ont pas trouvé de moyen de séparer l'eau potable (par exemple, les nouvelles et informations factuelles) des eaux usées (par exemple, les fausses nouvelles).
Les sources d'information fiables fournissent un filtre important qui aide les Canadiens à faire des choix éclairés. Le vrai journalisme, qui est basé sur le jugement éditorial et une vérification rigoureuse des faits, coûte de l'argent réel, qui provient des revenus de la publicité et/ou des abonnements. Les éditeurs de nouvelles canadiens emploient de vrais journalistes, qui adhèrent à des normes éditoriales strictes, et les éditeurs peuvent être tenus responsables de leur contenu. Pourtant, les fonds publicitaires fédéraux qui aidaient autrefois à financer nos salles de rédaction ont été largement transférés aux grandes entreprises de technologie qui bénéficient de notre contenu.
Le gouvernement fédéral a reconnu que l'industrie du journalisme est en difficulté. Il a pris des mesures pour combler les déserts de l'information et les zones de pauvreté de l'information grâce à l'Initiative de journalisme local. Il a également présenté le projet de loi C-18, la Loi sur les nouvelles en ligne, qui permettra aux éditeurs de se réunir pour négocier des accords de licence de contenu équitables avec les géants du Web et d'uniformiser les règles du jeu numériques.
L'approvisionnement est l'un des outils les plus puissants de la boîte à outils politique de tout gouvernement. Les marchés publics peuvent aider les gouvernements à faire progresser les objectifs de politique socio-économique, y compris la création d'emplois, et à obtenir de meilleurs résultats. En effet, la Politique d'approvisionnement social du gouvernement fédéral facilite et appuie l'inclusion de mesures socioéconomiques dans l'approvisionnement afin d'appuyer l'objectif d'obtenir le meilleur rapport qualité-prix pour l'État et, par conséquent, pour les Canadiens.
N'est-il pas temps pour le gouvernement fédéral d'aligner ses dépenses publicitaires sur son objectif de politique publique de soutenir des sources d'information responsables et fiables ? N'est-il pas temps de soutenir l'équipe locale et de conserver les dollars publicitaires, qui soutiennent le journalisme civique factuel et vérifié, au Canada ? Les conséquences de l'inaction sont davantage de mésinformation et de désinformation, des citoyens moins informés et engagés, un discours public moins solide et une perte de communauté.
Paul Deegan, Médias d'information Canada
Ottawa
La Chambre de commerce de Gatineau (CCG) ne publiera pas sur Facebook et Instagram le vendredi 15 septembre en guise de protestation envers le blocage de nouvelles de Meta.
La CCG a pris cette mesure dans le but de soutenir les médias locaux et de protéger la démocratie. Cette action peut être considérée comme un moyen de faire pression sur Meta pour qu'il reconsidère sa position et engage des négociations plus constructives.
« Pour les entreprises locales, c’est une impossibilité de promouvoir leurs services, » souligne Étienne Fredette, directeur général de la CCG. « Pour les journaux locaux comme le Bulletin d’Aylmer ou le Droit, il s’agit de pertes financières importantes. Sans oublier la visibilité! »
Comme le 15 septembre est la Journée internationale de la démocratie, la décision de la CCG est une expression de désaccord et d'inquiétude vis-à-vis des actions de Meta. Il est important de noter que la portée de cette décision est limitée à la CCG et qu'il faudrait une mobilisation collective plus large pour avoir un impact significatif.
Il est essentiel de trouver des solutions qui garantissent la liberté de la presse, le pluralisme médiatique et la protection de la démocratie. Cela pourrait impliquer des discussions entre le gouvernement, les médias, les plateformes en ligne et d'autres parties prenantes pour trouver un terrain d'entente et assurer un équilibre entre les intérêts des médias, des plateformes et du public.
Pascale de Motigny, CCG
Gatineau
La CCG félicite le gouvernement federal pour l’élimination de la TPS dans la construction de logements locatifs. Le gouvernement fédéral a annoncé l’élimination de la taxe sur les produits et services (TPS) sur la construction de nouveaux logements locatifs. Cette mesure, qui a pour but de lutter contre la crise du logement ébranlant le pays, entre en vigueur aujourd’hui.
La Chambre de commerce de Gatineau (CCG) soutient cette mesure et invite les municipalités à répondre aux demandes de permis et aux besoins de densification des zones urbaines. Le rapport précise l’importance de donner aux municipalités la liberté et le pouvoir d’introduire des mesures qui soutiendraient l’accélération des investissements résidentiels dans les communautés. Qu’attend la Ville pour s'arroger un tel pouvoir?
Selon un rapport de Desjardins, un crédit de taxe de vente provinciale (TVQ) pourrait engendrer des économies allant jusqu’à 1 500 $ par mois par ménage et assurerait un héritage durable pour les génération futures.
Pascale de Montigny, CCG
Gatineau
La rectrice de l’Université du Québec en Outaouais, Murielle Laberge, invite tous à assister au lancement officiel du nouveau programme en droit.
L’évènement se tiendra en présence du député de Borduas, ministre de la Justice et leader parlementaire du gouvernement, Simon Jolin-Barrette, et de son collègue Mathieu Lacombe, député de Papineau, ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse, et ministre responsable des régions de l’Abitibi-Témiscamingue et de l’Outaouais, ainsi que de plusieurs élus.
L’activité se déroulera en présence de membres de la magistrature canadienne et québécoise ainsi que des étudiantes et étudiants de la première cohorte de droit de l’UQO.
Gilles Mailloux, UQO
Gatineau
La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) est déçue de l’annonce faite aujourd’hui par le gouvernement au sujet des modifications des modalités du Compte d’urgence pour les entreprises canadiennes (CUEC).
Le gouvernement a choisi d’ignorer l’enjeu le plus critique dans ce dossier, soit la perte de la portion subvention de 20 000 $ pour les propriétaires de PME qui ne pourront pas rembourser leur prêt du CUEC d’ici la fin de l’année. Le fait de reporter la date limite de quelques semaines est une mesure insuffisante pour les milliers d’entrepreneurs qui n’ont pas les moyens de le rembourser maintenant.
Selon les données de la FCEI, 69 % des propriétaires de PME qui ont obtenu un prêt du CUEC n’ont effectué aucun paiement jusqu’ici. En date du mois de septembre, à peine 18 % l’ont remboursé en totalité.
La FCEI a lancé une "https://link.mediaoutreach.meltwater.com/ls/click?upn=rWhfMMIZ3nNBQUEeSKM1cholloOBPrT2Ztm4rG6TiAztMcHAcBSnF-2BU-2FjrwQ-2Bgrp0QwpQaVldjujxqqSluec2NKdouWf3PD3ptco5-2B-2FH8Hc-3D6EQB_Y-2BXF-2B1WmAx-2BUgxyvqmxyyhla9i9L0DPgxKHjzX5fRYSqYSMCkZ6mF3quFhXFVLWHyLHfusJncjZ5rzjOMn0tJBSh6fYY5lEbZIyjWyZWwHj9AqZ11gvEJ03Q0dIf4Z4mHGBkIETHjC-2BjkILBqc-2FfIYfGjgGUXMn3j2jZ-2BTETwmYDxxb2VMJkLM3iFFU5cT0pzoJsl9QSSNBgBzysxbziqmC0JWv-2Fz7iQ1agbWxhJKshEQw4lh9D8bTTmoZmakgGFOIqrQpGEqIlHCGbBIny9KR-2FSJYlHcQNXqfVqui5UzrKrgmub-2FY7GmgloLer8V-2FgSwZswUpqyuGNxmwEBh0-2FXF8mfp78CL5j-2FbYtjLSd474HMpv-2BA8yDoshCaHpVq73Fo" pétition pour faire pression sur le gouvernement afin qu’il reporte le remboursement des prêts du CUEC. Jusqu’ici, plus de 40 000 propriétaires de PME du pays l’ont signée.
En reportant la date limite d’une année pour rembourser la totalité du prêt, le gouvernement a donné un coup de main à certaines PME, sans toutefois s’attarder sur l’enjeu principal. Les recherches de la FCEI montrent que 19 % des PME, soit près de 250 000 entreprises au pays, pourraient fermer leurs portes l’an prochain si le gouvernement fédéral décide de ne pas reporter l’échéance.
Le gouvernement doit vraiment revoir sa décision. La FCEI continuera de faire pression pour obtenir le report de la date limite du CUEC tout en maintenant la portion subvention.
Jasmin Guénette, FCEI
Ottawa
Hausse marquée du PIB par habitant et du revenu médian : Le PIB réel par habitant du Québec affiche une hausse marquée entre 2020 et 2021 (+5,7 %); il est passé de 45 526 $/hab. à 48 133 $/hab. On observe depuis 2006 un taux de croissance annuel moyen de 0,8 %.
En 2020, au Québec, le revenu médian ajusté après impôt des ménages (exprimé par personne et en dollars constants) a connu une augmentation annuelle exceptionnelle de 4,5 % par rapport à 2019 (46 600 $ c. 48 700 $), notamment en raison des mesures de soutien mises en place par les gouvernements durant la première année de la pandémie. Le revenu médian a augmenté de près de 12 400 $ entre 2005 et 2020; il est passé de 36 300 $ à 48 700 $.
Fluctuation de l’espérance de vie : L’espérance de vie de la population québécoise s’est accrue de deux ans entre 2007 et 2016, mais depuis, elle se maintient en deçà de 83 ans. En 2022, elle se situait à 82,3 ans. Au Québec, comme dans le reste du Canada, une hausse a été enregistrée en 2019, mais elle a immédiatement été suivie par une baisse marquée en 2020 due à la pandémie de COVID-19. Depuis quelques années, l’espérance de vie au Québec est supérieure à celle observée dans le reste du Canada.
Présence des femmes en politique : En 2022, les femmes représentaient 35,4 % des personnes élues à titre de députée fédérale ou provinciale et de mairesse. Lors des dernières élections générales, les femmes représentaient 46 % des élus, la plus forte représentation jamais enregistrée à l’Assemblée nationale. Dans le reste du Canada, les femmes sont moins présentes sur la scène politique fédérale et provinciale ou territoriale qu’au Québec. Depuis 2007, on observe une hausse de la présence des femmes sur la scène politique au Québec. La présence croissante des femmes en politique dans la province traduit une avancée en matière d’égalité, enrichit les débats et favorise une société plus démocratique, ce qui soutient le progrès du Québec.
L’Institut de la statistique du Québec
Québec
Au lendemain de la fin de la commission parlementaire, des comités logement et des locataires prendront la route dans le cadre d'une caravane pour s'opposer au projet de loi 31. La caravane sillonnera la Rive-Nord et visitera les bureaux de comté des ministres Éric Girard, Pierre Fitzgibbon et François Legault.
Cette action a lieu alors que la pression monte sur le gouvernement Legault au sujet du projet de loi 31, qui vise à retirer aux locataires leur droit à la cession de bail, l'un des rares moyens dont disposent les locataires pour maintenir des loyers abordables et contourner la discrimination en matière de logement. Si le projet de loi est adopté, il normalisera également les évictions, dans un contexte où les loyers et les évictions explosent. Un rapport publié la semaine dernière a révélé que l'itinérance au Québec a presque doublé depuis 2018, les évictions apparaissant comme la cause la plus fréquente.
Les locataires et les comités de logement exigent que la CAQ recule sur le projet de loi 31 et propose plutôt un gel des loyers, des mesures pour mettre fin aux évictions et un réinvestissement massif dans le logement social.
Amy Darwish,
Comité d’action de Parc-Extension
Le 23 mai dernier, le Parti Québécois a fait adopter à l’unanimité deux motions à l’Assemblée nationale exigeant la déclassification totale des documents classés secrets par le Directeur général des Élections du Québec (DGEQ) dans la foulée de l’enquête du juge Grenier et de son rapport sur des allégations de fraudes ayant été commises par le gouvernement canadien et de l’organisme Option-Canada dans le camp du NON. Rappelons pour mémoire, que lors du référendum de 1995, le camp du NON l’avait emporté avec seulement 50,58% et le camp du OUI recevait 49,42% d’appuis.
Lors de la commission d’enquête du Juge Bernard Grenier, dont le mandat d’enquête ne portait que sur les agissements illégaux de l’organisme Option-Canada, avait en sa possession plus de 40 000 documents liés de près ou de loin à l’enquête et avait entendu plus de 90 témoignages relativement aux allégations de fraude du camp du NON. Le DGEQ de cette époque, Me Marcel Blanchet, avait pris la décision de placer 4 500 de ces documents déposés en preuve, sous le sceau du secret, et ce, sans limites de temps ! De l’aveu même du Juge Grenier dans son rapport, la commission d’enquête n’avait pas l’autorité constitutionnelle pour regarder les agissements frauduleux de d’autres organismes liés directement au gouvernement canadien dans le financement occulte du camp du NON.
Malgré le fait que tout avait été frappé d’une «ordonnance relative à la non-divulgation et de non-communication et de la non-diffusion de la preuve», il nous apparaît clairement qu’il s’agit de documents importants dont il importe, qu’après 28 ans, ils soient dévoilés. La culture du secret et de la cachette doit cesser.
Dans un article paru dans le Devoir du 28 août sous la plume Caroline Plante de La Presse canadienne à Québec, la porte-parole du DGEQ, madame Julie St-Arnaud Drolet déclarait : «mais on est en branle, on est en train de regarder tous ces documents-là, de faire le tri et on a l’intention de collaborer […] en toute bonne foi, dans le respect du cadre légal…»
En tout respect pour le respect pour le DGEQ, nous n’acceptons pas le fait qu’il y ait un «tri» et qu’une censure puisse s’effectuer entre un document à dévoiler et un autre à cacher. La motion adoptée par tous les parlementaires est claire : il faut déclassifier tous les documents liés au financement du camp du NON lors du référendum de 1995.
Nous devons connaître la vérité sur les agissements des acteurs de l’époque pour le camp du NON. Ces acteurs, politiciens et chefs d’entreprise, ont sciemment violé la loi référendaire et ont permis la perpétration d’actes frauduleux qui ont influencé le vote. Et cela, en toute impunité.
Connaître la vérité traduit l’importance que nous accordons à la transparence de nos institutions démocratiques, l’importance à défendre la réputation internationale du Québec de nos valeurs démocratiques et pour éviter que ces acteurs puissent agir en toute impunité lors d’un prochain rendez-vous référendaire.
Nous sommes d’avis qu’au terme de la déclassification de ces documents, qu’une réflexion s’amorce pour améliorer le prochain scrutin référendaire afin d’éviter les fraudes connues en 1995. Une carte de citoyen-électeur? Des observateurs étrangers pouvant témoigner du bon déroulement de cette future campagne référendaire? Soyons transparents et clairs, sans censure.
Benoît Roy
Président du Rassemblement pour un Pays Souverain
Saint-Eustache
J’ai entendu le mot prononcé à quelques reprises par des citoyens d’Aylmer qui le subisse pour leur malheur. Mon Petit Larousse ne m’a pas fourni de définition du Moron-type proliférant à Gatineau. Je suis parvenu à établir une fiche signalétique de l’individu malfaisant en question :
Habitat : S’accommode de vivre dans ses déchets de toutes sortes éparpillés sur son terrain. Trouve sa fierté à les étaler aux yeux de tous, son bonheur à s’y vautrer.
Habitation : Proche du taudis. Extérieur négligé, revêtement dépeinturé, mauvaises herbes, palissade et clôture déglinguées…
Conscience sociale : Aucune. Se fiche éperdument de Vous. Règlements, lois, propreté, courtoisie : autant d’obligations qu’il ignore puisque narcissique comme un Trump.
Croyance : Une seule : Adepte du : « Me, myself and I ». Convaincu d’être seul au monde.
Intelligence : Les neurologues situent avantageusement son niveau entre celui du caillou et de l’amibe.
Allergies : Innombrables ! À l’effort, à se ramasser, à tout entretien, à la propreté, à l’embellissement, aux règlements municipaux, etc.
Dangerosité : Paresseux crasse, il ne devrait pas manifester d’agressivité tant qu’on ne l’interpelle pas au sujet de son manque de civisme flagrant.
Ce portait sommaire pourrait permettre de repérer le Moron dans votre voisinage. Vous me dites que c’est déjà fait ? Et vous cherchez une solution pour le mettre au pas, lui inculquer un peu de sens commun, le rappeler à l’ordre ? J’ai bien peur que ce soit peine perdue. Le 3-1-1 ? Inutile ! Votre conseiller municipal ? Quelle blague ! Une plainte à l’administration municipale ? « Il n’y a pas de service au numéro composé » !
À Gatineau, le Moron règne en maître. C’est Vous, Citoyens respectueux des lois et règlements, de votre environnement et de vos semblables… qui êtes de trop !
Francois Brisebois
Secteur Aylmer, Gatineau
Le Réseau du patrimoine de Gatineau et de l’Outaouais (RPGO) est fier de vous inviter à son 24e Salon du patrimoine qui a lieu à la maison Fairview le 21 octobre 2023 de 10 h à 16 h. Les membres du RPGO auront la chance de présenter leur organisme patrimonial. Des visites commentées, une conférence et une activité familiale sont aussi au programme.
Venez vous enraciner dans le passé de votre famille en démêlant les branches de l’arbre généalogique de l’Outaouais!
La maison Fairview est située au 100 rue Gamelin. Pour toutes questions sur le Salon ou le RPGO, n’hésitez pas à consulter le site "https://reseaupatrimoine.us15.list-manage.com/track/click?u=7d4154e3578804ff6096bca62&id=26b6b65558&e=b6884aa0eb" Web du RPGO. Vous pouvez aussi nous contacter par courriel au "mailto:projet@reseaupatrimoine.ca" projet@reseaupatrimoine.caou par téléphone au (819) 205-5586. L'entrée est gratuite.
Sabrina Bouchard, RPGO
Gatineau
Hausse marquée du PIB par habitant et du revenu médian : Le PIB réel par habitant du Québec affiche une hausse marquée entre 2020 et 2021 (+5,7 %); il est passé de 45 526 $/hab. à 48 133 $/hab. On observe depuis 2006 un taux de croissance annuel moyen de 0,8 %.
En 2020, au Québec, le revenu médian ajusté après impôt des ménages (exprimé par personne et en dollars constants) a connu une augmentation annuelle exceptionnelle de 4,5 % par rapport à 2019 (46 600 $ c. 48 700 $), notamment en raison des mesures de soutien mises en place par les gouvernements durant la première année de la pandémie. Le revenu médian a augmenté de près de 12 400 $ entre 2005 et 2020; il est passé de 36 300 $ à 48 700 $.
L’Institut de la statistique du Québec
Québec
Lettres d'août
C’est très agréable que cyclistes et marcheurs partagent le sentier Voyageurs de la Capitale (CCN) le long de notre belle rivière des Outaouais.
Par contre, chers cyclistes: Lorsque, venant de l’arrière vous dépassez les promeneurs, s’il vous plaît avisez-nous soit avec votre voix ou une clochette. On ne vous ENTEND PAS venir, surtout si vous pédalez à grande vitesse. Ce qui peut prendre les marcheurs par surprise (des enfants peuvent aussi se trouver sur les pistes). C’est simplement une question de courtoisie, et mieux encore, une question de sécurité, pour cyclistes et marcheurs.
Et un p'tit salut ou un sourire, combien coûtent-ils ?? Merci ! Ding ding!!!
La marcheuse aux chapeaux multiples
Aylmer
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Le rédacteur en chef
Le gouvernement canadien soutient le journalisme depuis des générations. Depuis la fondation du premier journal du Canada, la Halifax Gazette, qui date de 1752, la publicité gouvernementale a été une importante source de revenus pour les journaux. Même avant la Confédération, des aides directes, comme l'ancien Programme d'aide aux publications, qui subventionnait la livraison postale de journaux non quotidiens, garantissaient aux Canadiens l'accès à des nouvelles canadiennes de grande qualité.
Il y a 20 ans, le gouvernement fédéral dépensait 110 millions de dollars en publicité, qui était gérée par 30 agences de publicité. Les journaux et magazines imprimés représentaient environ le tiers des dépenses publicitaires fédérales, tandis que la publicité sur Internet représentait moins de 1 % des dépenses.
L'année dernière, le gouvernement du Canada a dépensé un total de 140 millions de dollars en publicité, impliquant une agence de référence pour la planification et le placement des médias. Bien que le modèle d'une seule agence de référence soit efficace, nous nous soucions de savoir où les rares dollars publicitaires sont dépensés.
L'an dernier, seulement 6 millions de dollars ou 5 % des fonds publicitaires fédéraux ont été consacrés aux publications imprimées. C'est bien loin du tiers d'il y a vingt ans. À titre de comparaison, les dépenses du gouvernement pour les publicités Facebook/Instagram représentaient à elles seules près du double de ce qui est dépensé pour toutes les publicités imprimées combinées. Et les dépenses combinées sur Twitter, Snapchat et TikTok étaient supérieures à toutes les dépenses d'impression.
Aujourd'hui, la publicité numérique représente plus de 50 % de toutes les dépenses publicitaires fédérales. Selon le département américain de la Justice, qui poursuit Google, l'entreprise "empoche en moyenne plus de 30% des dollars publicitaires qui transitent par ses produits de technologie de publicité numérique".
Les entreprises de médias sociaux opérant au Canada n'emploient pas de journalistes et elles sont protégées de toute responsabilité par l'article 230 du titre 47 du United States Code. Ils bénéficient de tous les avantages d'être un éditeur sans aucune des obligations.
Les géants de la recherche numérique et des réseaux sociaux ont grandement contribué à connecter les personnes, les entreprises et les communautés. Pourtant, il y a eu des conséquences inattendues. Bien qu'ils fournissent la plomberie essentielle de notre ère numérique, ils n'ont pas trouvé de moyen de séparer l'eau potable (par exemple, les nouvelles et informations factuelles) des eaux usées (par exemple, les fausses nouvelles).
Les sources d'information fiables fournissent un filtre important qui aide les Canadiens à faire des choix éclairés. Le vrai journalisme, qui est basé sur le jugement éditorial et une vérification rigoureuse des faits, coûte de l'argent réel, qui provient des revenus de la publicité et/ou des abonnements. Les éditeurs de nouvelles canadiens emploient de vrais journalistes, qui adhèrent à des normes éditoriales strictes, et les éditeurs peuvent être tenus responsables de leur contenu. Pourtant, les fonds publicitaires fédéraux qui aidaient autrefois à financer nos salles de rédaction ont été largement transférés aux grandes entreprises de technologie qui bénéficient de notre contenu.
Le gouvernement fédéral a reconnu que l'industrie du journalisme est en difficulté. Il a pris des mesures pour combler les déserts de l'information et les zones de pauvreté de l'information grâce à l'Initiative de journalisme local. Il a également présenté le projet de loi C-18, la Loi sur les nouvelles en ligne, qui permettra aux éditeurs de se réunir pour négocier des accords de licence de contenu équitables avec les géants du Web et d'uniformiser les règles du jeu numériques.
L'approvisionnement est l'un des outils les plus puissants de la boîte à outils politique de tout gouvernement. Les marchés publics peuvent aider les gouvernements à faire progresser les objectifs de politique socio-économique, y compris la création d'emplois, et à obtenir de meilleurs résultats. En effet, la Politique d'approvisionnement social du gouvernement fédéral facilite et appuie l'inclusion de mesures socioéconomiques dans l'approvisionnement afin d'appuyer l'objectif d'obtenir le meilleur rapport qualité-prix pour l'État et, par conséquent, pour les Canadiens.
N'est-il pas temps pour le gouvernement fédéral d'aligner ses dépenses publicitaires sur son objectif de politique publique de soutenir des sources d'information responsables et fiables ? N'est-il pas temps de soutenir l'équipe locale et de conserver les dollars publicitaires, qui soutiennent le journalisme civique factuel et vérifié, au Canada ? Les conséquences de l'inaction sont davantage de mésinformation et de désinformation, des citoyens moins informés et engagés, un discours public moins solide et une perte de communauté. ( Trad.)
Paul Deegan, Médias d'information Canada
Toronto
Les propriétaires de maison unifamiliale des rues Saint-Maurice et du Vieux Rouet dans Lucerne ont découvert l’impact du nouveau Plan d’Urbanisme de la ville de Gatineau, adopté en pleine pandémie en 2020.
Il y a trente ans, la construction d’un duplex sur la rue Saint-Maurice avait suscité la colère des propriétaires qui avaient alors demandé et reçu l’appui unanime du Conseil de la ville d’Aylmer pour zoner ce secteur d’habitations unifamiliales. Or, le nouveau plan a élargi la zone pour incorporer des duplex, des jumelées et des contiguës de deux à quatre étages pouvant abriter jusqu’à 4 (semi-détachés et en rangées) ou 6 logements (maisons isolées).
La conversion de deux maisons unifamiliales en multi-logements sur la rue Saint-Maurice a vite soulignée l’insuffisance des infrastructures actuelles (nombre de véhicules, stationnement dans la rue rendant difficile le déneigement, sécurité des citoyens dans des rues sans trottoirs, quantité des déchets et recyclage, etc.). Le bien-être de vivre de ce voisinage tranquille est grandement perturbé par la venue de ces multi-logements. Il faut comprendre qu’aucune distinction du type d’habitation permise n’est faite pour la totalité de la zone. Toute maison unifamiliale peut maintenant se retrouver avec un duplex, triplex ou autres multi-logements comme voisin! Les futurs acheteurs qui pensent acheter une maison unifamiliale pour s’éloigner des voisinages congestionnés à haute densité, devraient y repenser. La ville de Gatineau a instauré ces changements sans regard du nombre d’années que la zone était classifiée pour des maisons unifamiliales. En fait, personne n’est à l’abris. Ce nouveau Plan de la ville affecte les rues Saint-Maurice et du Vieux Rouet, mais affecte aussi l’environnement de tous les Gatinois et Gatinoises, qu’ils le sachent ou pas.
En novembre dernier, une demande de re-zonage en secteur d’unifamiliale a été faite au nom des propriétaires de ces deux rues (à date, plus de 80% des propriétaires contactés ont signé une pétition en appui à la demande). Le Service d’urbanisme et de développement durable a analysé la demande (SUDD) et recommandera au Comité consultatif d’urbanisme (CCU) de rejeter la demande afin de maintenir l’objectif de densification du Plan d’urbanisme adopté en 2020. Considérant la très grande majorité de propriétaires rejetant l’objectif de promouvoir des multi-logements dans les secteurs d’unifamiliales, une mobilisation des citoyens est nécessaire pour contrer cette approche insensée.
La demande et la recommandation du SUDD sera débattue par le CCU à sa réunion du 28 août prochain à la salle Mont-Bleu de la Maison du citoyen (dès 17h30). La décision du CCU sera alors présentée au Conseil de ville pour adoption lors de sa réunion du 19 septembre à la Maison de la culture (dès 19h00). Tout citoyen peut assister et intervenir à ces réunions. Les citoyens des rues Saint-Maurice et du Vieux Rouet veulent alerter les propriétaires des rues adjacentes que cette situation déplorable peut se multiplier à l’ensemble de la zone.
Richard Doyle
Résident de la rue Saint-Maurice
Une condition médicale grave cette semaine m'a obligé à être admis à l'urgence de l'Hôpital de Hull. Je tiens à exprimer ma plus sincère gratitude et mes plus sincères remerciements à tous les membres du personnel hospitalier avec qui j'ai été en contact durant mon séjour. Leur souci, leur professionnalisme et leur expertise ne seront pas oubliés.
Je tiens en outre à souligner l'organisation constante, les soins et le travail admirable que j'ai observé lors de mon séjour de deux jours effectué par le personnel de l'hôpital envers moi et mes collègues patients. J'ai trouvé cela remarquable.
J'exprime ma plus sincère gratitude et ma plus profonde admiration au personnel de l'Hôpital de Hull. ( Transl.)
Stephen Lloyd
Gatineau (sect. Aylmer)
Quelques années après la Première Guerre mondiale, l'humanité traversait une période difficile de maladies mortelles telles que la tuberculose et diverses pandémies. Assez bien, le vaccin Bacille Calmette-Guérin (BCG) a été introduit en 1921, sauvant beaucoup des gens.
Cependant, son efficacité était limitée, ce qui a fait que de nombreuses personnes continuaient à mourir de la "https://www.who.int/teams/global-tuberculosis-programme/tb-reports/global-tuberculosis-report-2022" tuberculose, et cela est dû à un manque de soutien adéquat dans le financement et le développement de la recherche sur la tuberculose, en particulier parce que cette maladie affecte principalement les communautés marginalisées. Un siècle plus tard, en 2023, nous utilisons une version modifiée du Bacille Calmette-Guérin.
Ne serait-ce pas une question d'inégalité et d'iniquité dans le système de santé? La solidarité de la coopération scientifique mondiale a conduit au développement rapide de vaccins COVID-19 sûrs et hautement efficaces. En un an, "https://www.cgdev.org/publication/covid-19-vaccine-development-and-rollout-historical-perspective" 19 vaccins ont été approuvé. Bien que la tuberculose fasse des millions de morts et qu'elle est la maladie la plus mortelle, le manque de soutien et de solidarité est à l'origine de ce problème.
Cependant, il pourrait y avoir un moyen de défaire les inégalités historiques en matière de santé mondiale. Pour mettre fin à la TB et se préparer aux menaces futures, le Premier ministre Trudeau doit participer à la réunion de haut niveau de l’Organisation des Nations Unies sur la TB en septembre et s’engager à consacrer chaque année 0,15 % des dépenses globales du Canada en matière de recherche et de développement à la mise au point et à la fourniture de nouveaux outils de prévention, de diagnostic et de traitement de cette maladie infectieuse mortelle.
Ensemble, nous pouvons #MettreFinÀLaTuberculose!
Peace Mukazi
Kanata (Ont.)
Le 28 juin dernier, 14 mairesses et maires ont appelé le gouvernement du Québec à adopter un registre des loyers public, obligatoire et universel.
Les signataires - tels que les maires et mairesses de Québec, Laval, Gatineau, Rimouski et Montréal - ont rappelé que la crise de l'habitation au Québec a des conséquences dévastatrices sur l'ensemble de la société et que l'adoption du Registre des loyers de Vivre en Ville est l'une des solutions incontournables pour une sortie de crise durable.
Outre la négociation des prix à la baisse dans le marché locatif, les élu·es soutiennent qu'avec un registre des loyers, les municipalités auraient aussi la capacité de suivre l'évolution de leur parc immobilier et de cibler avec plus de précision les investissements dans le marché résidentiel.
Les autres signataires de la lettre sont les maires de Granby, Carleton-sur-Mer, Mascouche, Nicolet, Rimouski, Saguenay, Saint-Jean-sur-Richelieu et Terrebonne. Benoit Dorais, maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, vice-président du Conseil exécutif, et responsable de l’Habitation de la Ville de Montréal, a aussi apposé son nom sur la lettre.
Vivre en Ville
Montréal
Nous voyons un mouvement à travers le spectre conservateur pour mettre fin aux soins de santé publique – si quelque chose n'est pas compétitif, il faut le faire, même si c'est ce qui a causé le désordre en premier lieu. L'Ontario, le Manitoba, la Saskatchewan – et le Québec – ne s'intéressent pas tous à ce qui fonctionne le mieux pour le plus grand nombre de citoyens, mais à ce qui adhère à la politique publique démodée de la loi de la jungle.
Comme Chris Galloway, directeur des Amis de l'assurance-maladie (Alberta), l'a dit dans un communiqué de presse après l'arrivée de la lettre de LaGrange de l'Alberta : « Cette lettre de mandat est publiée à un moment où les Albertains voient les plans de privatisation des soins de santé du gouvernement UCP échouer sous leurs yeux. La nourriture privatisée dans les hôpitaux est un désastre, les laboratoires privatisés ne parviennent pas à livrer et les chirurgies privatisées ne font qu'aggraver les temps d'attente et réduire la capacité.
Alors que ces programmes de privatisation continuent de retirer davantage de travailleurs qualifiés de notre système public, notre pénurie de personnel dans le secteur de la santé ne fait qu'empirer, des dizaines d'établissements à travers la province faisant face à des fermetures temporaires répétées. »
Et comme l'a fait remarquer le porte-parole du NPD en matière de santé, "cette lettre de mandat fournit essentiellement une liste complète de tous les échecs de l'UCP dans le système de santé".
J'apprécie que notre Bulletin, notre petit hebdomadaire local ici ( ! ), soulève ces questions, alors que les grandes entreprises les étouffent... d'autant plus que la politique de la CAQ a été d'externaliser autant de services de santé que possible, peu importe le chaos accru que cela apporte à notre célèbre système provincial de soins de santé.
Robert Hertog-Cruz
Aylmer
Le Musée régional de l’Outaouais (MRO) est fier de vous inviter à sa fête champêtre qui aura lieu le 27 août prochain. Au programme, de la musique festive, une activité créative, des jeux de société géants, un coin photo, de la limonade rafraichissante, de la barbe à papa, une conférence de l’anthropologue Louise Nathalie Boucher, un quatuor jazz, le tout sous des chapiteaux. Alors beau temps, mauvais temps, tous et toutes sont les bienvenus. Venez aussi profiter du domaine pour vous baigner, jouer à la pétanque et admirer les arbres historiques remarquables autour de la maison Fairview. Des prix de présences seront tirés à 17h00. Soyez-y! L’évènement de l’été à ne pas manquer! Le musée est situé au Domaine Fairview, au 100 rue Gamelin.
Le musée est ouvert de 10h00 à 17h00 du mercredi au dimanche, sauf le vendredi de 12h00 à 20h00. Pour toutes questions sur la fête champêtre ou le MRO ..., et vous pouvez nous contacter par courriel au "mailto:museo@reseaupatrimoine.ca" museo@reseaupatrimoine.ca ou par téléphone au (343)204-5027.
Antoine Bonneau, le Musée
Gatineau
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Le rédacteur en chef
L'éditorialiste du Bulletin écrivait récemment que l'augmentation apparente des pannes et des pannes d'électricité chez Hydro-Québec suggère de revenir au gaz naturel. Quelle proposition ridicule et non créative ! Nous avons changé notre fournaise au gaz pour un échangeur de chaleur et une fournaise électrique il y a deux ans et nous ne l'avons jamais regretté un instant. Notre fournaise au gaz nécessitait de l'électricité pour démarrer, se réguler, puis faire fonctionner des ventilateurs, etc. Ce que nous avons, c'est une petite génératrice dans notre garage. Nous l'avons utilisé deux fois en deux ans, et brièvement. Sauveur : nous avons aussi une fournaise à bois, assez vieille pour forcer les règles, c'est certain. Nous l'avons utilisé deux fois par hiver. Nous avons reçu plusieurs fois nos voisins pour un repas et un échauffement - ils ont des fournaises au gaz (et au mazout).
Il objecte aussi qu'Hydro Québec fait un beau profit pour ce service. Oui! ... peu d'incitations fonctionnent aussi, mais ces "profits" ne vont pas dans des comptes bancaires étrangers, ils restent ici au Québec -- et signifient des mises à niveau constantes de notre système. Ce n'est pas une mince tâche dans une région de la taille de notre province.
Je m'oppose donc à ses propositions, d'abord parce qu'elles ne sont pas tout à fait vraies, l'électricité semble toujours nécessaire. Deuxièmement, parce que cela cède aux arguments fallacieux de l'industrie pétrolière, alors que leurs messages filtrent jusqu'aux niveaux de notre quartier. Non, nous ne voulons pas - et ne devrions pas - continuer à utiliser les matériaux et les produits mêmes qui ont causé exactement l'horrible état auquel notre planète (et notre avenir) est confrontée.
Ronald Chan
Aylmer
Depuis 30 ans, je me promène tous les jours le long de la rue Foran avec mon chien. Je suis dégoûtée et préoccupée par le côté cour d'école de la rue Foran. La rue a des panneaux et des lignes peintes pour que les enfants puissent marcher en toute sécurité vers les écoles et les terrains de jeux, mais les mauvaises herbes, les buissons, etc. qui poussent le long de la clôture de la cour d'école ne sont pas seulement dangereux pour nos enfants, mais aussi une horreur pour les résidents.
Nos enfants doivent marcher à travers ces pour entrer dans la cour de récréation. Dans un monde où les tics et la maladie de Lyme sont omniprésents, je ne peux pas croire que l'on puisse laisser cette situation en l'état.
Je ne permets pas à mon chien de se promener près de toutes ces herbes, etc. en raison de la possibilité de tics. Mes petits-enfants m'ont rendu visite cet été et mon fils et sa femme ont été choqués par le désordre envahissant qui entoure les cours d'école. Les bouches d'incendie sont tellement envahies par les mauvaises herbes qu'il serait difficile de les trouver dans l'obscurité. En tant que "Senior Citizen" concerné, je ramasse quotidiennement les ordures lors de mes promenades, mais je suis très tenté de prendre ma tondeuse et de couper l'herbe!
J'ai toujours été fière de mon quartier et je l'ai toujours aimé, mais à ce stade, je suis déçue que les commissions scolaires et la ville laissent ce gâchis se perpétuer. J'ai pris des photos.
J'espère avoir de vos nouvelles et discuter d'une solution.
Nancy Stonehouse-Rees
Gatineau/Aylmer
Le véritable impact de la Loi 96 se fait maintenant sentir : il révèle les mensonges et les promesses creuses du premier ministre François Legault. L’année dernière, à la suite des critiques formulées par le Comité spécial sur la politique linguistique et par d’autres intervenants, le gouvernement de la CAQ a dépensé des millions de dollars pour dire que cette loi « n’affecterait pas les anglophones du Québec ». Le premier ministre Legault a répété son beau discours alors que les données prouvent maintenant le contraire.
Le refus d’un certificat de décès pourtant délivré par le gouvernement du Québec en 2009 a été le dernier cas embarrassant. Son détenteur, un « anglophone de souche », voulait l’utiliser dans une affaire juridique familiale, mais l’application de la loi a joué en sa défaveur. Cela signifie que présenter des certificats de naissance, de mariage ou de décès en anglais n’est plus possible.
Parmi les « correctifs » proposés figurait le droit pour les anglophones de jouir des mêmes garanties constitutionnelles en matière de justice et d’accès aux soins de santé en anglais.
C’est manifestement faux. Nous connaissons déjà des personnes qui ont reçu de l’information et des services uniquement en français dans le domaine des soins de santé. Il n’est donc pas interdit de penser que tous les documents juridiques doivent être maintenant présentés en français, ce qui va à l’encontre des droits de l’ensemble anglophones du Québec .
Le 31 mai dernier, le Comité spécial a poursuivi en justice les gouvernements du Québec et du Canada pour avoir omis de protéger les droits des Québécois et des Québécoises d’expression anglaise. Parmi les cas, on retrouve une non-anglophone de souche souffrant de colite ulcéreuse et ne pouvant obtenir des services en anglais, la mère d’un garçon autiste et un homme d’affaires ne pouvant plus recevoir des services en anglais du gouvernement du Québec. Le Comité spécial créera bientôt une plateforme qui permettra au public de présenter des récits sur l’impact négatif qu’a la Loi 96 dans leur vie.
Le Comité spécial sur la politique linguistique/Task Force on Linguistic Policya été formé en juin 2021 pour lutter contre la Loi 96 et la Loi C-13, loi fédérale sur les langues officielles. Il compte plus d’un millier d’abonnés, et beaucoup plus d’adeptes et de membres sur les réseaux sociaux. Il est actif dans la communauté et dépend du sociofinancement pour soutenir ses poursuites juridiques visant à contester la constitutionnalité de la Loi 96. Pour en savoir plus sur le comité, visitez le HYPERLINK "https://protegermesdroits.us6.list-manage.com/track/click?u=7a2fb2420a15c27a634558fa9&id=5184ab3ee7&e=7ec6df3cf5" . "https://protegermesdroits.us6.list-manage.com/track/click?u=7a2fb2420a15c27a634558fa9&id=cd1c6363aa&e=7ec6df3cf5" lecomitespecial.ca
La chef du Parti vert Elizabeth May, la députée libérale Jenica Atwin, le député du Bloc québécois Mario Simard et le député néo-démocrate Alexandre Boulerice se sont joints à d'autres pour exprimer de sérieuses inquiétudes concernant l'expansion de l'énergie nucléaire et le développement de petites centrales nucléaires modulaires. réacteurs (SMR).
Lors d'une conférence de presse non partisane au National Press Theatre, les quatre parlementaires ont demandé à Ottawa d'appuyer sur le bouton pause sur le financement fédéral destiné au développement de PRM expérimentaux jusqu'à ce que le Parlement et des experts scientifiques indépendants aient examiné ces plans de manière critique. Les représentants de la société civile ont déclaré que les PRM ne constituent pas une option climatique rentable ou intelligente.
Le nouveau nucléaire est déjà beaucoup plus cher que les sources d’énergie renouvelables éprouvées comme l’éolien et le solaire, et rien ne garantit que ces expériences nucléaires produiront un jour de l’électricité de manière sûre et abordable. En attendant de savoir si les projets de PRM fonctionneront, le Canada perd un temps qui doit être consacré de toute urgence à une véritable action climatique.
(Translation)
Eva Schacherl, Ottawa
Ginette Charbonneau, Montréal
Susan O’Donnell, Nouveau Brunswick
Le gouvernement du Québec accorde 296 036 $ à l’Université du Québec en Outaouais (UQO) pour mener un projet novateur visant à accompagner les organismes de la région dans leurs démarches de transition socioécologique. Les crédits alloués sont issus de la Stratégie québécoise de recherche et d’investissement en innovation 2022-2027 (SQRI2).
L’UQO, par l’entremise de l’Observatoire du développement de l’Outaouais, créera des outils et des activités pour suivre des organismes dans leurs efforts de transition socioécologique et mesurer l’efficacité de leurs méthodes.
Le ministre Pierre Fitzgibbon, en a fait l’annonce avec le ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région de l’Outaouais, M. Mathieu Lacombe, et la députée de Hull, Mme Suzanne Tremblay.
L’initiative a été sélectionnée à la suite de quatre appels de projets en innovation sociale, lancés l’été dernier, sur quatre thématiques :
- l’inclusion sociale et la réduction des vulnérabilités et des inégalités;
- l’innovation sociale, la sécurisation alimentaire et l’approvisionnement stratégique;
- es défis socioéconomiques et le développement régional responsable;
- les innovations sociales et technologiques permettant de mieux vieillir et de vivre ensemble.
Étienne Boulrice, Bureau de circonscription de la députée de HULL
Gatineau
Lettres de juillet
Je voudrais répondre à quelques points soulevés dans la lettre anonyme (D.R.H.) publiée dans votre numéro du 21 juin sur la démolition des vestiges du barrage aux rapides Deschênes.
DRH affirme que les gens qui militent pour la préservation des vestiges n’ont pas évalué les coûts. Le Ministère des transports (MTQ) a émis le chiffre de $5 millions quand ils ont pour la première fois annoncé leur intention de démolir les vestiges (2017). Ayant discuté avec un expert en construction en milieu aquatique nous avons conclu que le coût avoisinerait plutôt $10 millions, minimum. Le projet exigerait la construction de deux barrages temporaires en amont et en aval des vestiges pour permettre d’assécher le lit de la rivière et d’enlever les vestiges. Plusieurs centaines de voyages de camion-benne avec du remblai, et la construction de voies d’accès temporaires serait nécessaire. Étant donnée la cadence des projets de construction de nos jours, il faudrait des barrages temporaires assez solides pour faire face aux conditions pendant toute l’année - glaces, eaux hautes du printemps etc.
Le MTQ justifie son initiative de démolir les vestiges par des préoccupations de sécurité - en 2017 ils ont cité 21 incidents sérieux entre 2005 et 2013 dans les vestiges et 6 mortalités. Suite à une demande d’accès à l’information, l’Association des résidents de Deschênes a analysé les rapports des services de sécurité pour les années entre 2010 et 2015 qui démontraient qu’un seul incident s’est produit vraiment dans les vestiges, les autres étant du côté d’Ottawa. Les « mortalités » étaient pour la plupart des disparitions, souvent basées sur des bateaux trouvés abandonnés. Le seul décès confirmé était d’une personne dans les rapides du côté d’Ottawa. Les résultats de nos analyses ont été transmis au MTQ et à la ville de Gatineau. Nous n’avons pas mis l’analyse à jour mais les résidents du quartier savent qu’il n’y a que très peu d’incidents dans les vestiges depuis plusieurs années.
Les opérations de démolition avec la construction des barrages temporaires élimineraient les colonies nicheuses de 5 espèces d’oiseaux aquatiques sur l’île Conroy, à l’encontre de la Loi canadienne sur les oiseaux migrateurs. DRH croit que des « petites îles avoisinantes » abritent des oiseaux nicheurs mais il n’y a que deux îles aux rapides Deschênes dont une (l’île Conroy) abrite les oiseaux nicheurs. Les travaux de démolition auraient aussi de gros impacts sur le milieu aquatique, nécessitant un processus complexe d’autorisation sous les lois du Québec et du Canada, possiblement terminant avec un refus de permis.
Si la sécurité était vraiment une préoccupation, plusieurs actions pourraient être prises - stabiliser les berges (sérieusement érodées par les inondations récentes), installer des clôtures (il y en a très peu actuellement), améliorer la signalisation sur les rives et en amont dans la rivière. Ces actions coûteraient beaucoup moins cher que la démolition des vestiges.
Quant à la laideur des vestiges, DRH a certainement droit à son opinion. Les 1000+ signataires de la pétition à l’Assemblée nationale pour la préservation des vestiges auraient l’opinion contraire.
Laissant de côté la valeur patrimoniale bien documentée des vestiges, la question de leur démolition est une de coûts vs bénéfices.
Les coûts en argent des contribuables et en impacts environnementaux seraient énormes - les bénéfices pour la sécurité seraient très restreints. Il existe des actions alternatives qui coûteraient beaucoup moins cher. Nos routes ont bien plus besoin des fonds qui seraient nécessaires pour faire la démolition.
Howard Powles
Deschênes
Le 7 mai dernier, les personnes dirigeantes des constituantes du réseau de l’Université du Québec avec le président, Alexandre Cloutier, ont fait une sortie pour dénoncer leur sous-financement. Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université du Québec en Outaouais (SCCC-UQO) salue ce geste et espère que le gouvernement du Québec entendra cet appel. La ministre Chantale Déry a bien indiqué qu’elle avait entendu leur propos, mais nous sommes en droit de nous demander quels seront les gestes concrets qui seront posés.
Le SCCC-UQO a déposé un mémoire qui fait ressortir les failles du financement de notre université : position transfrontalière, déficit de programmes, concurrence de plus en plus élevée entre les universités, entre autres, par les satellites. Notons aussi la langue française, cheval de bataille du gouvernement, qui est de plus en plus en danger dans l’Outaouais. L’UQO accepte un nombre important d’étudiantes et d’étudiants internationaux qui n’ont pas le français comme langue maternelle et qui devraient avoir du soutien linguistique, mais ne l’ont pas. Au deuxième et au troisième cycles, certaines personnes étudiantes ne parlent même pas français dans une université pourtant francophone.
Soulignons également que le gouvernement devrait soutenir la recherche élaborée par les personnes chargées de cours en remettant aux universités des fonds leur étant dédiés. Le Québec a-t-il vraiment les moyens de soustraire les avancées de ces chercheuses et chercheurs qualifiés? Cela ne pourrait-il pas aider au rayonnement de toutes les universités québécoises?
Marie-Josée Bourget, Présidente du SCCC-UQO
Gatineau
Les écosystèmes de notre planète sont chancelants et nombre d'entre eux sont en train de s'effondrer. Voulons-nous attendre de tousser ou de gargouiller avant de convenir que "quelque chose" doit changer dans notre gestion de la Terre ?
Il y a les reproches, les accusations, les théories du complot, mais aussi de nombreuses mesures simples et directes qui pourraient réellement nous aider. Les grandes mesures proposées par la communauté scientifique nécessitent davantage d'explications avant d'être largement acceptées. Très peu d'entre nous sont prêts à abandonner leur mode de vie basé sur le pétrole.
En dehors des grands changements, il y a de petites choses efficaces que chaque municipalité du Pontiac peut faire. Commençons par les remèdes qui ne nécessitent pas d'énormes changements de vie et de dépenses.
Les terrains vacants et les bâtiments qui tombent en ruine sont utilisés pour de nouvelles constructions. Ainsi, il n'y aura pas de pertes dues aux incendies de forêt. Cela permettrait de condenser nos villes et nos villages, de les renouveler et de moderniser les infrastructures publiques, au lieu de se contenter de les rafistoler pour couvrir les nouvelles constructions (tout cela en dehors des réseaux d'eau existants, des égouts, des bouches d'incendie, des rues et de l'éclairage municipal).
Chaque municipalité pourrait entreprendre cette démarche, qui contribuerait directement à atténuer les dommages que subissent notre planète et notre atmosphère. Cela nous rapprocherait également les uns des autres. Mais, il faut aussi que la province finance les municipalités de manière plus rationnelle.
F.D.D.
Gatineau
Nous souhaitons lancer un message de prudence à la population en cette période estivale. Effectivement, nous notons un plus grand nombre de visites aux urgences en lien avec des accidents de toutes sortes (automobiles, nautiques, vélos, etc.) et également un plus grand nombre de personnes vulnérables avec des troubles respiratoires qui se présentent aux urgences en lien avec la période chaleur actuelle et de smog récent.
Le CISSS de l'Outaouais tient donc à inviter la population à la plus grande prudence durant leurs activités et également à suivre les conseils de la santé publique en période de chaleur.
Qeren Boua, CISSSO
Gatineau
Sur le "https://secure.fairvote.ca/en/index.php?q=civicrm/mailing/url&u=233232&qid=24901278" site web de l'Assemblée citoyenne nationale, nous ajoutons les noms et les visages de tous les députés, quel que soit leur parti, qui soutiennent cette idée. Alors que le Premier ministre continue de prétendre qu'il n'y a pas de consensus, "https://secure.fairvote.ca/en/index.php?q=civicrm/mailing/url&u=233226&qid=24901278" 76% des Canadiennes et des Canadiens - et maintenant les membres du Parti libéral - soutiennent l'idée d'une Assemblée citoyenne nationale sur la réforme électorale comme moyen de parvenir à un accord.
Une assemblée citoyenne pourrait donner le coup d'envoi d'une conversation cruciale entre les partis afin de parvenir à un accord qui fera avancer le Canada.
La démocratie est confrontée à des menaces sans précédent. La faible participation électorale, la polarisation et la politique partisane de plus en plus hostile ont des conséquences effrayantes et sapent la confiance dans les institutions qui appartiennent à chacun d'entre nous. Le vote uninominal à un tour ne fait qu'aggraver la situation.
Anita Nickerson
, Directrice exécutive, Mouvement pour la représentation équitable au Canada
Ottawa
En juin 2023, au Québec, il y a 4 498 200 personnes en emploi (– 8 400, ou – 0,2 %, par rapport au mois précédent). Le taux de chômage se fixe à 4,4 % (+ 0,4 point de pourcentage). C’est ce qui ressort des résultats de l’Enquête sur la population active de Statistique Canada diffusés aujourd’hui.
Au Canada, le nombre d’emplois s’élève à 20 172 800 (+ 59 900, ou + 0,3 %, par rapport au mois précédent). Le taux de chômage s’établit à 5,4 % (+ 0,2 point de pourcentage). Les variations de l’emploi par rapport au mois précédent sont de + 55 800 en Ontario, de + 10 600 en Alberta et de – 2 600 en Colombie-Britannique.
ISQ
Montréal
On a une richesse naturelle à Aylmer qui est tristement sous-utilisée, et mal utilisée. Je parle du lac de la carrière située sur le chemin Vanier, près du chemin Pink.
Il y a une quinzaine d'années, il n'y avait aucun panneau interdisant de nager dans ce lac et nous y allions, ainsi que quelques autres personnes. Au fil des ans, de plus en plus de panneaux d'interdiction y ont apparu mais malgré ça, de plus en plus de personnes ont entendu parler de la beauté de cette place et ont pris l'habitude d'y aller. Cette année, il y a une clôture et un chantier mais les gens trouvent encore moyen de s'y rendre. Quel gâchis, au lieu d'aménager ce bel espace, de le clôturer et de le condamner! Presque tout y est pour en faire une oasis aylméroise. Car malheureusement actuellement cela ressemble plus à un dépotoir puisque des jeunes y font des fêtes arrosées, et bien des gens ne ramassent pas leurs déchets. Voici donc ma suggestion, qui est une évidence pour quiconque a déjà vu l'endroit: l'ouvrir aux Aylmérois en y établissant une vraie plage.
Quelques pistes de réflexion:
- Si les dépenses sont trop importantes pour la Ville, elle pourrait s'entendre avec les propriétaires du terrain et offrir une concession à une entreprise privée. Cela demanderait un investissement et un effort minimes, il y a déjà du sable qu'il suffirait de nettoyer et de dégager des mauvaises herbes, l'eau est propre. Cela ne dérangerait pas les activités de la carrière qui se déroulent à une extrémité du lac, il y a assez d'espace non utilisé.
- Vu la pénurie de piscines à proximité (et pas une seule extérieure) et la densité de la population à Aylmer, bien des familles seraient prêtes à payer pour y accéder, ou à acheter un abonnement de saison. C'est beaucoup plus proche que le Parc de la Gatineau, l'eau est plus propre qu'à la plage des Cèdres. Donc les coûts éventuels pour la Ville seraient couverts, voire des revenus générés.
- S'il y a une entrée, des poubelles et un minimum de surveillance (par exemple pour y interdire la consommation d'alcool), l'endroit serait beaucoup plus propre et plus sécuritaire qu'il ne l'est actuellement.
- Même sans sauveteurs, une indication claire que la baignade n'est pas supervisée et un peu de contrôle sur place pour faire respecter l'interdiction d'alcool réduiraient grandement les risques que l'utilisation sauvage actuelle cause. Par exemple à Breakwater Park à Kingston, Ontario, il y a une plage qui n'est pas supervisée, c'est clairement indiqué et manifestement ça fonctionne.
Merci d'avance de considérer cette suggestion et d'y donner suite. Voilà une chance d'améliorer la qualité de vie dans un secteur de plus en plus peuplé sans que cela ne nécessite de longs travaux ni de gros investissements. Utilisons les ressources que nous avons à portée de main!
Ludmila Kefalova
Aylmer
Êtes-vous membre d’une association de résidents de l’un des cinq districts d’Aylmer? Que ce soit pour annoncer un événement à venir, recruter de nouveaux membres ou recueillir des signatures, faites appel à votre journal local! Chaque semaine, au plus tard à 16 h le jeudi, faites-nous parvenir les nouvelles de votre association en un maximum de 150 mots, dans la langue de votre choix.
Veuillez vous assurer d'inclure une signature et des coordonnées, ainsi que le nom de l’association. (Trad.)
La rédactrice en chef
Les écosystèmes de notre planète sont chancelants et nombre d'entre eux sont en train de s'effondrer. Voulons-nous attendre de tousser ou de gargouiller avant de convenir que "quelque chose" doit changer dans notre gestion de la Terre ?
Il y a les reproches, les accusations, les théories du complot, mais aussi de nombreuses mesures simples et directes qui pourraient réellement nous aider. Les grandes mesures proposées par la communauté scientifique nécessitent davantage d'explications avant d'être largement acceptées. Très peu d'entre nous sont prêts à abandonner leur mode de vie basé sur le pétrole.
En dehors des grands changements, il y a de petites choses efficaces que chaque municipalité du Pontiac peut faire. Commençons par les remèdes qui ne nécessitent pas d'énormes changements de vie et de dépenses.
Les terrains vacants et les bâtiments qui tombent en ruine sont utilisés pour de nouvelles constructions. Ainsi, il n'y aura pas de pertes dues aux incendies de forêt. Cela permettrait de condenser nos villes et nos villages, de les renouveler et de moderniser les infrastructures publiques, au lieu de se contenter de les rafistoler pour couvrir les nouvelles constructions (tout cela en dehors des réseaux d'eau existants, des égouts, des bouches d'incendie, des rues et de l'éclairage municipal).
Chaque municipalité pourrait entreprendre cette démarche, qui contribuerait directement à atténuer les dommages que subissent notre planète et notre atmosphère. Cela nous rapprocherait également les uns des autres. Mais il faut aussi que la province finance les municipalités de manière plus rationnelle.
F.D.D.
Gatineau
Devant l'annonce récente de Meta de bloquer les nouvelles sur ses plateformes dans le cadre des négociations autour du projet de loi C-18, nous devons répondre collectivement pour soutenir nos médias régionaux et protéger notre démocratie. Cela a conduit la Chambre de commerce de Gatineau (CCG) à cesser la publicité sur Meta.
La CCG a pris cette mesure dans le but de soutenir les médias locaux et de protéger la démocratie. Cette action peut être considérée comme un moyen de faire pression sur Meta pour qu'il reconsidère sa position et engage des négociations plus constructives.
« La disparition de la Revue de Gatineau, c’est 5 millions de dollars annuellement disparus localement qui ne sont pas retrouvés dans d’autres médias locaux, » souligne Stéphane Bisson, président de la CCG. « Le Droit a vu son chiffre d’affaires diminué de cinq fois par rapport à la belle époque du quotidien papier. Cet argent ne s’est pas retrouvé dans d’autres médias locaux mais plutôt chez Google, Apple, Facebook et Amazon. Et pourtant, ce sont les médias locaux qui parlent des entreprises et des nouvelles d’ici de vous. Les GAFA font de l’argent avec ce contenu sans jamais donner de redevance. »
La publicité sur les réseaux sociaux est un outil important pour la CCG afin d’atteindre son public cible, et la décision de la CCG de cesser la publicité sur Meta est une expression de désaccord et d'inquiétude vis-à-vis de ses actions. Il est important de noter que la portée de cette décision est limitée à la CCG et qu'il faudrait une mobilisation collective plus large pour avoir un impact significatif.
Il est essentiel de trouver des solutions qui garantissent la liberté de la presse, le pluralisme médiatique et la protection de la démocratie. Cela pourrait impliquer des discussions entre le gouvernement, les médias, les plateformes en ligne et d'autres parties prenantes pour trouver un terrain d'entente et assurer un équilibre entre les intérêts des médias, des plateformes et du public.
Pascale de Montgny, CCG
Gatineau
Un nouveau HYPERLINK "https://link.mediaoutreach.meltwater.com/ls/click?upn=rWhfMMIZ3nNBQUEeSKM1cholloOBPrT2Ztm4rG6TiAyyvnxmg7ykZxXg2Qb7BfAIsfX486FZaQPfySecYQxyZzr-2BcJv52fkFu7eh134gTF0oQ88uPuKoPxahNWp4XCQyMq9Istbrj-2FqBM4iHXansNA-3D-3DSI58_Y-2BXF-2B1WmAx-2BUgxyvqmxyyhla9i9L0DPgxKHjzX5fRYSqYSMCkZ6mF3quFhXFVLWHyLHfusJncjZ5rzjOMn0tJBSh6fYY5lEbZIyjWyZWwHj9AqZ11gvEJ03Q0dIf4Z4mphu7CaKIYgeDHCTvdPZNNrtzZKZ-2F-2BV40itnDgKY6DS-2FcNzHKoAdjYiKZ3-2F3zL6Wc-2F32jgKgoW7DqwVTcp57GJkdmm2igX49V5BOwIIsXZ-2BWyKcgucXmauZbSgeDoaWBfTIRhWbaRuv4yA4nDD3y1y5Ca-2BIo6lJvioP2NwU16bdIcpIUoCeU3XAtlCGrP0dPtaHOcasKzfLcJUlVB0ykaZyQV-2BG82GzEVTqqqcq20rXV-2Becx-2FvIqOckuth4vYrLvJ" rapport de sondage de la FCEI fait le point sur l’enjeu des pénuries de main-d’œuvre pour les PME québécoises en mai 2023 en comparant leurs évolutions avec des données de 2021.
Celui-ci révèle la durée estimée de survie de leur entreprise selon les propriétaires de PME, si l’enjeu reste le même ou s’aggrave. Parmi ceux touchés par le manque d’employés, 46 % évaluent un risque à court (6 %) et moyen terme (40 %).
Les PME en situation de pénuries de main-d’œuvre cherchent davantage de postes à temps plein :
- 80 % cherchent à combler des postes de personnel de production et métiers spécialisés à temps plein (67 % en 2021),
- 50 % cherchent du personnel technique ou administratif à temps plein (38 % en 2021),
- 46 % sont à la recherche de personnel de vente (33 % en 2021),
- 34 % veulent combler des postes de cadres et gestionnaires (19 % en 2021).
De plus, les pénuries de main-d’œuvre restent un frein pour 85 % des PME.
Vous trouverez l'intégralité du communiqué au site web de la FCEI.
Maud Larivière,
FCEI Montréal
Le véritable impact de la Loi 96 se fait maintenant sentir : il révèle les mensonges et les promesses creuses du premier ministre François Legault. L’année dernière, le gouvernement de la CAQ a dépensé des millions de dollars pour dire que cette loi « n’affecterait pas les anglophones du Québec ». Le premier ministre Legault a répété son beau discours alors que les données prouvent maintenant le contraire.
Le refus d’un certificat de décès pourtant délivré par le gouvernement du Québec en 2009 a été le dernier cas embarrassant. Son détenteur, un « anglophone de souche », voulait l’utiliser dans une affaire juridique familiale, mais l’application de la loi a joué en sa défaveur. Cela signifie que présenter des certificats de naissance, de mariage ou de décès en anglais n’est plus possible.
Parmi les « correctifs » proposés figurait le droit pour les anglophones de jouir des mêmes garanties constitutionnelles en matière de justice et d’accès aux soins de santé en anglais.
C’est manifestement faux. Nous connaissons déjà des personnes qui ont reçu de l’information et des services uniquement en français dans le domaine des soins de santé. Il n’est donc pas interdit de penser que tous les documents juridiques doivent être maintenant présentés en français, ce qui va à l’encontre des droits de l’ensemble anglophones du Québecl. Le 31 mai dernier, le Comité spécial a poursuivi en justice les gouvernements du Québec et du Canada pour avoir omis de protéger les droits des Québécois et des Québécoises d’expression anglaise. Parmi les cas, on retrouve une non-anglophone de souche souffrant de colite ulcéreuse et ne pouvant obtenir des services en anglais, la mère d’un garçon autiste et un homme d’affaires ne pouvant plus recevoir des services en anglais du gouvernement du Québec. Le Comité spécial créera bientôt une plateforme qui permettra au public de présenter des récits sur l’impact négatif qu’a la Loi 96 dans leur vie.
Le Comité spécial sur la politique linguistique/ Task Force on Linguistic Policya été formé en juin 2021 pour lutter contre la Loi 96 et la Loi C-13, loi fédérale sur les langues officielles. Il compte plus d’un millier d’abonnés, et beaucoup plus d’adeptes et de membres sur les réseaux sociaux. Il est actif dans la communauté et dépend du sociofinancement pour soutenir ses poursuites juridiques visant à contester la constitutionnalité de la Loi 96. Pour en savoir plus sur le comité, visitez le "https://protegermesdroits.us6.list-manage.com/track/click?u=7a2fb2420a15c27a634558fa9&id=a23ab89696&e=a60c8d17a9"
Andrew Caddell,
Comité spécial sur la politique linguistique Montéal
Le gouvernement canadien soutient le journalisme depuis des générations. Depuis la fondation du premier journal canadien, la Halifax Gazette, qui date de 1752, la publicité gouvernementale a été une importante source de revenus pour les journaux. Même avant la Confédération, des aides directes, comme l'ancien Programme d'aide aux publications, qui subventionnait la livraison postale de journaux non quotidiens, ont permis aux Canadiens d'avoir accès à des informations canadiennes de qualité.
Il y a vingt ans, le gouvernement fédéral dépensait 110 millions de dollars en publicité, gérée par 30 agences de publicité. Les journaux imprimés et les magazines représentaient environ un tiers des dépenses publicitaires fédérales, tandis que la publicité sur Internet représentait moins de 1 % des dépenses.
L'année dernière, le gouvernement du Canada a dépensé un total de 140 millions de dollars en publicité, en faisant appel à une seule agence de coordination pour la planification et le placement des médias. Si le modèle de l'agence unique est efficace, nous nous inquiétons de savoir où sont dépensés les maigres crédits publicitaires.
L'année dernière, seuls 6 millions de dollars, soit 5 % des fonds publicitaires fédéraux, ont été consacrés aux publications imprimées. C'est bien loin du tiers environ d'il y a vingt ans. À titre de comparaison, les dépenses du gouvernement pour les publicités sur Facebook/Instagram représentent à elles seules près du double de ce qui est dépensé pour l'ensemble de la publicité imprimée. Et les dépenses consacrées à Twitter, Snapchat et TikTok combinées étaient plus importantes que l'ensemble des dépenses consacrées à la publicité imprimée.
Aujourd'hui, la publicité numérique représente plus de 50 % de l'ensemble des dépenses publicitaires fédérales. Selon le ministère américain de la Justice, qui poursuit Google, l'entreprise "empoche en moyenne plus de 30 % des recettes publicitaires qui transitent par ses produits technologiques de publicité numérique".
Les entreprises de médias sociaux opérant au Canada n'emploient pas de journalistes et sont protégées de toute responsabilité par la section 230 du titre 47 du code des États-Unis. Elles bénéficient de tous les avantages d'un éditeur sans en avoir les obligations.
La recherche numérique et les géants sociaux ont grandement contribué à relier les gens, les entreprises et les communautés. Pourtant, il y a eu des conséquences inattendues. Alors qu'ils fournissent la plomberie essentielle de notre ère numérique, ils n'ont pas trouvé le moyen de séparer l'eau potable (par exemple, les nouvelles et informations basées sur des faits) des eaux usées (par exemple, les "fake news").
Les sources d'information fiables constituent un filtre important qui aide les Canadiens à faire des choix éclairés. Le vrai journalisme, qui repose sur un jugement éditorial et une vérification rigoureuse des faits, coûte de l'argent, qui provient de la publicité et/ou des abonnements. Les éditeurs de presse canadiens emploient de vrais journalistes, qui adhèrent à des normes éditoriales strictes, et les éditeurs peuvent être tenus responsables de leur contenu. Pourtant, l'argent de la publicité fédérale, qui contribuait autrefois à financer nos salles de rédaction, a été transféré en grande partie aux entreprises du secteur des grandes technologies qui tirent profit de notre contenu.
News Media Canada
Toronto
Le Musée régional de l’Outaouais (MRO) est fier de présenter sa plus récente exposition, Des trésors, ouverte depuis le 1er juillet. Développée en collaboration avec plusieurs organismes patrimoniaux de la région, l’exposition présente plusieurs artéfacts et archives touchant directement l’histoire de l’Outaouais. Ces objets disposés sur la grande table du salon de la maison Fairview peuvent même, pour certains, être manipulés. Une présentation visuelle et sonore de l’inventaire régional des collections muséales de la région est aussi diffusée en continu dans la salle à manger. Voici une brève description de ce qui attend les visiteurs :
L’Outaouais possède un riche patrimoine et une mémoire collective façonnée par les bâtisseurs et bâtisseuses de la région. Cette exposition réunit pour la première fois des artefacts et des documents provenant des collections de membres du Réseau du patrimoine de Gatineau et de l’Outaouais (RPGO). Ces objets témoignent des communautés qui ont bâti l’Outaouais, de leurs connaissances et de leur savoir-faire. Des trésors qui évoquent l’histoire et le riche patrimoine de notre région.
L’exposition Des trésors est offerte jusqu’au 23 juillet à la maison Fairview au 100 rue Gamelin. Le musée est ouvert de 10 h à 17 h du mercredi au dimanche, sauf le vendredi de 12 h à 20 h. Pour plus d'information sur les expositions et les activités du MRO, les gens sont invités à consulter la pages Facebook ou Instagram du « Musée régional Outaouais », ou à écrire à museo@reseaupatrimoine.ca.
Antoine Bonneau chargé de projet
Gatineau
Êtes-vous membre d’une association de résidents de l’un des cinq districts d’Aylmer? Que ce soit pour annoncer un événement à venir, recruter de nouveaux membres ou recueillir des signatures, faites appel à votre journal local! Chaque semaine, au plus tard à 16 h le jeudi, faites-nous parvenir les nouvelles de votre association en un maximum de 150 mots, dans la langue de votre choix.
Veuillez vous assurer d'inclure une signature et des coordonnées, ainsi que le nom de l’association. (Trad.)
La rédactrice en chef
Les lettres à l'éditeur du Bulletin d'Aylmer sont lues par environ 50 000 personnes (faites correspondre les médias sociaux !) qui vivent dans votre communauté et partagent vos préoccupations. Quelques directives pour s'assurer que votre lettre sera publiée :
Toutes les lettres doivent être signées avec un numéro de téléphone (non publié).
N'importe quelle langue est acceptable... mais soyez clair, civil et convaincant, pas grossier.
Soyez court et concis : TOUTES les lettres sont révisées pour des raisons de grammaire, de ponctuation, d'orthographe, etc. et de longueur. Attendez-vous à ce que votre lettre soit révisée.
Nous recevons de nombreuses lettres et l'espace est compté : ne vous répétez pas et n'ajoutez pas de commentaires inutiles.
Les lettres sont des opinions personnelles ; elles ne sont pas des articles d'actualité, ni des commentaires de ce journal. Nous acceptons les réponses à des lettres antérieures.
Nous n'acceptons pas les lettres faisant l'éloge ou la critique des entreprises locales. Nous n'acceptons pas les attaques personnelles, ni les articles promotionnels pour des candidats ou des partis politiques.
Le rédacteur en chef
Grâce aux pressions exercées par les néo-démocrates, des millions de familles québécoises recevront des centaines de dollars pour les aider à faire face au coût de la vie.
Avec la flambée du prix du panier d’épicerie et du loyer, Jagmeet Singh et le NPD ont poussé sans relâche le gouvernement libéral à doubler le remboursement de la TPS afin de donner aux familles québécoises une certaine marge de manœuvre financière.
« La crise du coût de la vie frappe fort et les familles québécoises en arrachent pour se payer à manger et se loger. Elles font tout ce qu’il faut, mais n’arrivent pas à joindre les deux bouts. Ce n’est pas normal, déclare M. Singh. C’est pourquoi les néo-démocrates se sont battus pour forcer le gouvernement de Justin Trudeau à livrer la marchandise. »
C’est à partir du mois de mai 2022 que les néo-démocrates ont monté la pression sur le gouvernement libéral pour doubler le remboursement de la TPS pour aider les familles partout au pays. Les libéraux ont finalement accepté de fournir une aide supplémentaire l'automne dernier. Mais pour le NPD, il en faut plus pour aider les gens qui sont à bout. Les néo-démocrates ont continué à exhorter le gouvernement libéral à remettre plus d'argent dans les poches des gens et, dans le dernier budget, les libéraux ont accepté de doubler à nouveau le crédit d'impôt pour la TPS, en choisissant de renommer le programme « remboursement pour l'épicerie ».
« L’écart entre les plus riches et les plus démunis partout au pays se creuse à un rythme record en raison de la hausse du coût de la vie, a déclaré le chef adjoint du NPD, Alexandre Boulerice. Puis ce sont les jeunes familles, les ainés et les étudiants qui en paient le prix. Laissés à eux-mêmes, les libéraux préfèrent protéger les profits des PDG des grandes épiceries. Nous au NPD, on se bat pour les gens. Le remboursement de la TPS n’est que le début de ce que nous allons forcer le gouvernement à livrer pour les Québécoises et Québécois. »
Centre du NPD
Ottawa
Lettres de juin
C’est avec grand plaisir que la Société Alzheimer Outaouais annonce l’ouverture de ses nouveaux locaux, situés dans le secteur Aylmer, à Gatineau. Endroit: Galeries Aylmer, 181 rue Principale, local 7B. Nous profiterons de cette occasion pour remercier ceux qui ont contribué au succès de cette initiative. Une grande annonce vous sera également partagée!
Vous pourrez visiter le centre de jour et de répit, les bureaux et la salle de formation. Il nous fera plaisir de répondre à toutes vos questions concernant les services offerts par la Société Alzheimer Outaouais.
La Société Alzheimer Outaouais accompagne et sensibilise les personnes touchées par un trouble neurocognitif, tel que la maladie d’Alzheimer, en Outaouais. L’équipe offre également des services aux proches aidants et aux professionnels. Il est aussi possible de faire un don ici!
Caroline Caron,
SAO
Gatineau
En raison du changement climatique, les incendies de forêt deviennent un problème de plus en plus important chaque année. Nous avons besoin de plus de ressources, et l'armée canadienne dispose d'hélicoptères qui sont principalement utilisés pour se préparer à la guerre. Pendant la saison des feux de forêt, ces ressources pourraient être mieux utilisées pour lutter contre des incendies de forêt potentiellement immenses. Les hélicoptères peuvent être utilisés avec des seaux ou des réservoirs ventraux, entre autres. Les compétences nécessaires à l'accomplissement de ces tâches sont similaires à celles requises pour les missions militaires.
Pilote expérimenté qui a également piloté des bombardiers d'eau en Colombie-Britannique pendant dix ans, Peter Lauren a essayé de convaincre les gouvernements fédéral et provinciaux de mettre en œuvre cette idée pendant de nombreuses années. Les gouvernements ne lui ont donné que peu ou pas de réponse. Les militaires peuvent être réticents parce qu'ils sont lourdement chargés, en sous-effectif et sous-financés. Le gouvernement fédéral sera réticent parce que les forêts relèvent de la compétence des provinces. Et les provinces sont souvent réticentes à demander l'aide du gouvernement fédéral. Le Centre interagences des feux de forêt du Canada pourrait peut-être faciliter les choses.
Pour convaincre nos gouvernements, le public doit contacter un grand nombre de politiciens et de fonctionnaires pour montrer son soutien à une idée qui devrait être mise en œuvre depuis longtemps. Nous devons contacter des fonctionnaires tels que votre député, votre député provincial, le ministre des forêts de votre province et d'autres ministres (Sécurité publique : communications@ps-sp.gc.ca ; Ressources naturelles : https://contact-contactez.nrcan-rncan.gc.ca ; Défense nationale : DND_MND@forces.gc.ca et le Premier ministre : https://pm.gc.ca/en/connect/contact).
Si nous agissons tous ensemble, nous pouvons convaincre nos gouvernements de travailler ensemble - un peu plus d'efficacité et d'efficience !
Fred Trudell et Peter Lauren
Victoria, C-B
(Traduit)
La FCEI accueille positivement les nouvelles orientations concernant l’immigration, présentées par le premier ministre du Québec, M. François Legault, et la ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI), Mme Christine Fréchette. La FCEI constate des avancées encourageantes quant à la volonté d’accélérer les traitements des dossiers, de mieux répondre aux besoins de main-d’œuvre des PME et d’ouvrir la porte à une augmentation des seuils.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Vos lettres à la rédaction constituent l'une des parties les plus intéressantes du journal. Merci à vous et à tous ceux qui prennent quelques minutes pour nous écrire. Il s'agit de la meilleure plate-forme disponible pour faire entendre nos idées, nos propositions et nos plaintes, et peut-être même pour y remédier. Le plus nous sommes nombreux à l'utiliser, plus ce processus est efficace! Cependant, mais certaines choses continuent de nous agacer.
Tout d'abord, le nombre incroyable de Canadiens qui ne savent pas comment fonctionne notre gouvernement, ou qui confondent même notre système avec celui des États-Unis ! En particulier, la répartition des pouvoirs entre les provinces et le fédéral. Tant de gens pensent qu'ils peuvent insister pour que le gouvernement fédéral résolve n'importe quel problème, sans remarquer que le gouvernement fédéral a très peu de pouvoir dans de nombreuses compétences importantes - la santé, l'éducation, la sylviculture et (un peu) l'agriculture. Ainsi, en insistant pour qu' "Ottawa" améliore, par exemple, l'enseignement de l'histoire dans les écoles primaires, ils perdent leur temps.
Il en va de même pour ceux qui écrivent en insistant pour que "Trudeau" (lui-même, je suppose) résolve le problème qui tracasse leur conscience. Même en matière fédérale, M. Trudeau est le chef du gouvernement, mais nous imaginons que ses ministres sont plus à même d'apporter des changements dans leur domaine que M. Trudeau lui-même. Qui est-il, à leurs yeux, Super-man ? Oui, attention, convoi de camionneurs !
L'éducation en est un excellent exemple, d'autant plus que ces mêmes Canadiens ont terminé leurs études sans avoir la moindre idée du fonctionnement de notre gouvernement. Administrateurs d'écoles, prenez note !
Edward Kemp & Rose Saramago
Aylmer
La Fédération des CAAP a réagi au Projet de loi 15, Loi visant à rendre le système de santé et de services sociaux plus efficace, par le biais d’un "https://u12097671.ct.sendgrid.net/ls/click?upn=9rudYHeevExQpJ5A1h-2BA7SMX-2FaJ08OvtYHsi-2BPUGkPczJ04Vgp3eZJEDytZIdAuBd-2BO04AbIj516G4WquIq-2Fo80N-2FtS8duI8TGCl2LnJ9-2B4-3DBF66_Y-2BXF-2B1WmAx-2BUgxyvqmxyyhla9i9L0DPgxKHjzX5fRYQTKrNN19MJr4gSbu1B8W0cvSHus9Mf2My0dAq2tlMwo3-2FqmefueenqXVyysjIHfzyeCM-2FQHGORTZfWI8LUppiYQIOjhwvIo13fwcZkf8FfgpLmF4-2B-2FNJ6X4Z-2F-2B9tx7YWiZ8yE9cJRvHR0xsuQB-2FEKBcRZ6wyYSSi9ADrIu-2BoxCu1QC-2F-2FBregzy6CwIulOf2R96pJyrvtfUx2IsAxrtn8N0hz2gHnnbp0IFcZdSEQ9oyIFhc7mfeWCX1CnxqdoaBV3TiloP7AvnZ4zN4w5snomI7cPlBFOgKkOP4njyQiVy4BS7iNm4U9W2C7wARa8eSpPEoTUYMI4ZhwxwGVL0W1JerkSgETThh2Skf3-2F2FJ-2BVd5mX5L3bYDN5Xg4Y273pzyonpEIY0tO7RK9v0pLrzi6nh1-2BWEiVFUksWe7fmK-2BU5zTpIT0T6-2F9Rmb0oaU7u-2BNMj4JJ6Br196Qub9VSH5gYTq21kdYiDT6tNCLhdIPjsiEnZ4nAcX8FfjqiBiTRlHPoSd1Q9yMIZcbfsCptjsLrCK" mémoire. Ainsi, la FCAAP veut croire que la volonté du gouvernement est bel et bien de replacer l’usager au centre du système de santé avec cette nouvelle réforme. Cependant, il ne pourra y avoir de réelles améliorations sans une volonté claire et assumée de la part des différents acteurs de changer les choses.
D’emblée, nous saluons les progrès qui ont été réalisés par rapport aux projets de loi précédents en ce qui touche à l’indépendance et à l’uniformisation du rôle des commissaires aux plaintes et à la qualité des services (CPQS). La création du poste de commissaire national aux plaintes et à la qualité des services (CNPQS) va d’ailleurs dans cette direction.
Le projet de loi 15 rate toutefois sa cible en ce qui touche à l’élargissement du régime d’examen des plaintes (REP) aux personnes qui bénéficient de soins ou de services auprès des GMF, des GMFU et de certains établissements privés. En effet, ces citoyens ne peuvent se prévaloir du REP au même titre que ceux qui reçoivent des soins dans les établissements publics, de même qu'ils ne peuvent bénéficier du soutien des CAAP.
Il existe un déséquilibre manifeste entre les usagers dépendamment de l’endroit où ils reçoivent leurs services. Tout acte remboursé par la RAMQ devrait permettre à une personne de faire appel au régime d’examen des plaintes si elle est insatisfaite et d’être soutenue par un CAAP dans ses démarches.
Pierre Trahan, FCAAP
Québec, Qc
Le ministère des Ressources naturelles et des Forêts (MRNF) ainsi que le ministère de la Sécurité publique (MSP) émettent un avis préventif concernant les risques de feux de forêt et sollicitent la collaboration de toute la population pour éviter ou restreindre au maximum les déplacements en forêt au cours des prochains jours, en raison de l’indice d’inflammabilité extrême et des incendies préoccupants en cours à certains endroits de la province.
Cette recommandation gouvernementale, faite de concert avec la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) et visant l’ensemble des régions du Québec, a pour but de diminuer les risques d’incendie, de faciliter les opérations de la SOPFEU et d’assurer la sécurité publique. Il est important de rappeler qu’il est présentement interdit de faire des feux à ciel ouvert en forêt ou à proximité sur tout le territoire québécois.
Melanie Morin, SOPFEU
Messines, Qc
Je suis une étudiante de 19 ans qui termine mon cégep et je sais depuis un certain temps que je ne peux pas être une utilisatrice modérée des médias sociaux. J'avais l'habitude d'essayer de suivre la vie de tous mes amis (et de beaucoup de gens qui ne sont même pas des amis) ; cela me poussait à poster tout le temps, prouvant que j'avais aussi une vie sociale. Parfois, le fait de consommer et de poster me procurait un sentiment de bien-être - c'est un état "euphorique" ! - et c'est là que le bât blesse. Mais comme pour toute relation toxique, il était temps de rompre.
Je me joins à un groupe de plus en plus nombreux qui abandonne ce type d'applications. J'espère que d'autres suivront, car le chirurgien général des États-Unis a récemment publié un avis expliquant qu'il n'y a pas assez de preuves pour dire si les médias sociaux sont "suffisamment sûrs" pour les adolescents. Nous ne pouvons pas ignorer la contribution (potentielle) des médias sociaux à la souffrance de millions d'enfants et de familles. Il y a une crise de la santé mentale chez les jeunes, probablement partout dans le monde. J'ai lu des articles à ce sujet. Certains amis m'ont poussé à le faire.
J'ai reçu des réactions mitigées au sujet de l'arrêt de mon téléphone ; certains étaient ravis pour moi, mais d'autres ont rapidement pensé qu'il s'agissait d'une sorte de vantardise. Ce n'est pas le cas ! Pour moi, les mauvais côtés des médias sociaux l'emportaient largement sur les bons. Tous les jours.
J'aimerais donc mettre au défi tous mes collègues d'Aylmer d'essayer ceci. Une semaine d'abord, puis de plus en plus de temps de liberté. Je ne veux pas manquer les grands événements de la vie de mes amis, mais je ne peux pas me concentrer uniquement sur cela, plus maintenant. Écrivez au Bulletin et nous pourrons créer une vague !
Joycelyn Brennan
Aylmer
Le gouvernement canadien soutient le journalisme depuis des générations. Depuis la fondation du premier journal canadien, la Halifax Gazette, qui date de 1752, la publicité gouvernementale a été une importante source de revenus pour les journaux. Même avant la Confédération, des aides directes, comme l'ancien Programme d'aide aux publications, qui subventionnait la livraison postale de journaux non quotidiens, ont permis aux Canadiens d'avoir accès à des informations canadiennes de qualité.
Il y a vingt ans, le gouvernement fédéral dépensait 110 millions de dollars en publicité, gérée par 30 agences de publicité. Les journaux imprimés et les magazines représentaient environ un tiers des dépenses publicitaires fédérales, tandis que la publicité sur Internet représentait moins de 1 % des dépenses.
L'année dernière, le gouvernement du Canada a dépensé un total de 140 millions de dollars en publicité, en faisant appel à une seule agence de coordination pour la planification et le placement des médias. Si le modèle de l'agence unique est efficace, nous nous inquiétons de savoir où sont dépensés les maigres crédits publicitaires.
L'année dernière, seuls 6 millions de dollars, soit 5 % des fonds publicitaires fédéraux, ont été consacrés aux publications imprimées. C'est bien loin du tiers environ d'il y a vingt ans. À titre de comparaison, les dépenses du gouvernement pour les publicités sur Facebook/Instagram représentent à elles seules près du double de ce qui est dépensé pour l'ensemble de la publicité imprimée. Et les dépenses consacrées à Twitter, Snapchat et TikTok combinées étaient plus importantes que l'ensemble des dépenses consacrées à la publicité imprimée.
Aujourd'hui, la publicité numérique représente plus de 50 % de l'ensemble des dépenses publicitaires fédérales. Selon le ministère américain de la Justice, qui poursuit Google, l'entreprise "empoche en moyenne plus de 30 % des recettes publicitaires qui transitent par ses produits technologiques de publicité numérique".
Les entreprises de médias sociaux opérant au Canada n'emploient pas de journalistes et sont protégées de toute responsabilité par la section 230 du titre 47 du code des États-Unis. Elles bénéficient de tous les avantages d'un éditeur sans en avoir les obligations.
La recherche numérique et les géants sociaux ont grandement contribué à relier les gens, les entreprises et les communautés. Pourtant, il y a eu des conséquences inattendues. Alors qu'ils fournissent la plomberie essentielle de notre ère numérique, ils n'ont pas trouvé le moyen de séparer l'eau potable (par exemple, les nouvelles et informations basées sur des faits) des eaux usées (par exemple, les "fake news").
Les sources d'information fiables constituent un filtre important qui aide les Canadiens à faire des choix éclairés. Le vrai journalisme, qui repose sur un jugement éditorial et une vérification rigoureuse des faits, coûte de l'argent, qui provient de la publicité et/ou des abonnements. Les éditeurs de presse canadiens emploient de vrais journalistes, qui adhèrent à des normes éditoriales strictes, et les éditeurs peuvent être tenus responsables de leur contenu. Pourtant, l'argent de la publicité fédérale, qui contribuait autrefois à financer nos salles de rédaction, a été transféré en grande partie aux entreprises du secteur des grandes technologies qui tirent profit de notre contenu.
Le gouvernement fédéral a reconnu que le journalisme était en difficulté. Il a pris des mesures pour combler les déserts d'information et les zones de pauvreté en matière d'information par le biais de l'Initiative pour le journalisme local. Il a également présenté le projet de loi C-18, la loi sur l'information en ligne, qui permettra aux éditeurs de se regrouper pour négocier des accords de licence de contenu équitables avec les géants du web et d'uniformiser les règles du jeu numérique.
Les marchés publics constituent l'un des outils les plus puissants de la boîte à outils politique d'un gouvernement. Les marchés publics peuvent aider les gouvernements à atteindre leurs objectifs socio-économiques, y compris la création d'emplois, et à obtenir de meilleurs résultats. En effet, la politique du gouvernement fédéral en matière de marchés publics sociaux facilite et soutient l'inclusion de mesures socio-économiques dans les marchés publics afin d'atteindre l'objectif de la meilleure valeur pour l'État et, par conséquent, pour les Canadiens.
N'est-il pas temps pour le gouvernement fédéral d'aligner ses dépenses publicitaires sur son objectif de politique publique visant à soutenir des sources d'information responsables et fiables ? N'est-il pas temps de soutenir l'équipe locale et de garder au Canada l'argent de la publicité, qui soutient le journalisme civique basé sur les faits et vérifié par les faits ? Les conséquences de l'inaction sont davantage de désinformation, une citoyenneté moins informée et moins engagée, un discours public moins solide et une perte de communauté. ( Traduit )
Paul Deegan, News Media Canada
Toronto
Près de 250 000 PME, soit 19 % du nombre total de PME au Canada, risquent de fermer leurs portes en 2024 si le gouvernement fédéral ne reporte pas la date limite de remboursement des prêts du CUEC, avertit la FCEI. . Sans le report de cette échéance, ces entreprises perdront la portion subvention du prêt, pouvant aller jusqu’à 20 000 $, et devront payer 5 % d’intérêts sur la totalité de leur solde.
Du côté du Québec : 34 % des PME sont susceptibles de dépasser la date limite de remboursement de leur prêt du CUEC en 2023, et 17 % des PME sont à risque de fermer leur entreprise si la date limite de remboursement de leur prêt du CUEC n’est pas reportée, l’équivalent de 45 327 entreprises.
Vous trouverez l'intégralité du communiqué de presse au site web de FCEI
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Je suis préoccupé par la loi 96, et je ne suis ni francophone ni anglophone. Bien que la loi semble viser à s'assurer que personne ne parle anglais nulle part au Québec, le véritable danger de cette loi concerne les francophones autant que tout autre locuteur d'une langue.
Je vous écris à l'aide d'un traducteur informatique afin de pouvoir faire connaître mon point de vue au public dans la langue de la majorité.
La vie privée de chacun est en danger. Si les autorités linguistiques saisissent tous les documents d'une entreprise où l'on aurait parlé anglais, tous les documents sont transmis au gouvernement du Québec pour analyse. Si certaines informations sont considérées comme pertinentes pour d'autres autorités (DPJ, tribunaux pénaux, impôts, etc.), ces informations seront partagées avec d'autres ministères. La nouvelle loi autorise le partage de ces informations privées.
Je ne dis pas que nous devons protéger les personnes qui font de mauvaises choses, mais il arrive que des idées privées soient partagées qui, hors contexte, sembleraient mauvaises. Le simple partage de documents est très différent d'une discussion sur des soucis dans un cadre privé, même si c'est dans un cadre professionnel.
Nous pouvons voir de nombreux exemples dans le monde où les gouvernements se donnent des pouvoirs spéciaux sur les minorités. Ce qui se passe ensuite est la raison d'être des réfugiés internationaux !
Je pensais être venu au Québec parce que les minorités y sont protégées. Maintenant que je vois le type de pouvoir qu'il y a ici et que mon cœur s'emballe, il est probablement temps de trouver un endroit plus démocratique où vivre.
Anon
Aylmer
Les Premières Nations algonquines réagiront au projet de construction d'un dépotoir de déchets radioactifs sur le territoire algonquin non cédé à proximité de la rivière des Outaouais (Kichi Sibi). Le plan prévoit la construction d’un monticule de déchets en surface à Chalk River, une installation nucléaire de classe I du gouvernement fédéral gérée sous contrat par SNC-Lavalin et d'autres sociétés. Les Premières Nations algonquines témoigneront lors d'une audience finale sur le projet le 10 août.
Les Premières Nations Kebaowek et Kitigan Zibi Anishinabeg ont lancé une brochure décrivant leur évaluation conjointe, menée par les autochtones, du "https://iaac-aeic.gc.ca/050/evaluations/proj/80122?culture=fr-CA" projet d'installation de gestion des déchets près de la surface (IGDPS) et les conséquences de la contamination radioactive existante à Chalk River sur leur culture, leurs terres, l'eau et la faune.
L’emplacement du dépotoir proposé se trouve à moins d'un kilomètre de la rivière des Outaouais. Des tonnes de métaux lourds et de déchets radioactifs, notamment du tritium, du carbone 14, du strontium 90, du plutonium, de l'uranium et une très grande quantité de cobalt 60 seraient empilées dans une zone sujette aux tremblements de terre et aux tornades. Les Nations algonquines maintiennent que le gouvernement fédéral n'a pas respecté son obligation de consultation et elles s'inquiètent des impacts des déchets sur les droits inhérents, les impacts culturels, et les impacts sur l’environnement et la santé.
Eva Schacherl, CBC
Ottawa
Citoyennes et citoyens du secteur d’Aylmer en particulier: ne vous laissez pas enfariner par des arguments bidon concernant la préservation des ruines des rapides de Deschênes. J’aimerais confronter certains arguments qui circulent présentement contre la démolition des ruines de l’ancien barrage:
1er- il n’y a plus de barrage sur ce site, mais plutôt un tas de ruines (laides) et dangereuses;
2e- la démolition éventuelle des structures en ruine sera effectuée nul doute sous la supervision d’experts et sera exécutée dans le respect des règles environnementales actuelles concernant la pro tection des zones aquatiques et terrestres;
3e- le vrai patrimoine naturel de ce site n’inclut pas les ruines en place, mais l’état original des rapi des à cet endroit;
4e- des fouilles archéologiques pourront toujours être menées éventuellement pendant et après la démolition des ruines;
5e- les espèces d’oiseaux présentement nichant sur le site se retrouvent en très grande majorité sue les petites îles avoisinantes aux ruines;
Vous remarquerez que ceux et celles qui militent pour le maintien des ruines comme site patrimonial évitent comme la peste d’évaluer les coûts et de mentionner les obligations en matière de sécurité que le maintien des ruines exigera.
Les Québecois (es) et les Gatinois (es) ont beaucoup d’autres priorités sociétales et communautaires présentement que celle de maintenir un tas de ruines laides et dangereuses pour les activités nautiques en eaux vives. Il est plus que temps de restituer aux rapides le magnifique panorama que la nature nous offre à cet endroit.
Et pour les nostalgiques d’une autre époque, les archives bibliothécaires et autres seront toujours là pour vous consoler.
Un cycliste et citoyen payeur de taxes et d’impôts qui fréquente régulièrement le site des rapides :
D.R.H.
Secteur Aylmer
Tout d'abord, recevez toutes mes fécitations pour la belle photo de groupe pour le Meilleur d'Aylmer, en p. 38 du numéro du 14 juin. Vous avez une belle équipe. (Je m'aperçois que le site Web n'accepte pas les accents en français). Je signalerais une erreur en p. 9, quant à la photo du haut de la page avec 2 jeunes garçons. Le texte ne semble pas être celui qui correspond à l'image (Trinity Zhao....).
Question: Où peut-on consulter la version électronique des autres parutions régionales (Le Bulletin de Gatineau, etc...)?
Merci de votre excellent travail.
André Pinard, Ph.D
Aylmer
Contrairement aux prétentions du gouvernement de François Legault, le projet de loi 15 accouchera d’un système sociosanitaire encore plus ingérable que ce qu’a connu le Québec dans les vingt dernières années. C’est ce que montre l’ "https://iris-recherche.us4.list-manage.com/track/click?u=d77a17eb97fce0bc47ca1edce&id=9500c6664e&e=9c512dd977" organigramme publié aujourd'hui par l'Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) qui illustre ce que deviendra le réseau de la santé du Québec si la réforme Dubé est adoptée telle quelle.
Il est tout à fait impossible de planifier efficacement les services de manière aussi centralisée. La démarche du ministre ne s’appuie sur aucune donnée probante, et dire que le projet de loi 15 permettra de rendre le système de santé plus efficace relève de la pensée magique.
Avec le projet de loi 15, le gouvernement prévoit confier au PDG d’une nouvelle société d’État, l’agence Santé Québec, la gestion de plus de 325 000 employé·e·s et 1500 installations (CLSC, CHSLD, hôpitaux, etc.). À titre comparatif, Hydro-Québec, qui est actuellement la plus grosse société d’État du Québec, emploie 22 000 personnes, alors que l’entreprise privée comptant le plus grand nombre de salarié·e·s au Québec est Métro, avec un peu moins de 60 000 employé·e·s.
Il s’agit d’une proposition complètement irréaliste. Le ministre Dubé s’imagine que donner tous les pouvoirs à un super-gestionnaire, muni d’un tableau de bord et d’indicateurs de performance abstraits, permettra de sauver le système de santé.
Une réforme Barrette à la puissance dix : La création de Santé Québec accentuera la centralisation du réseau de la santé poursuivie par l’ancien ministre Gaétan Barrette. L’organigramme rendu public aujourd’hui illustre la nouvelle distribution du pouvoir prévue par la réforme Dubé et montre que peu de décisions pourront être prises dans les lieux physiques de dispensation des services.
Ce que le ministre Dubé s’apprête à faire, et ce que personne n’aurait cru possible, c’est de rendre le système de santé encore plus centralisé et plus autoritaire que ce que nous avait légué
l’ex-ministre libéral Gaétan Barrette.
Les nouveaux cadres nommés à la tête des points de services locaux agiront quant à eux comme de simples courroies de transmission des directives émises par le PDG de Santé Québec. La littérature internationale en administration publique démontre pourtant que les services publics les plus efficaces sont ceux qui rapprochent les lieux de pouvoir des lieux où sont offert les services.
Il est ironique de constater que la CAQ, lorsqu’elle était dans l’opposition, critiquait elle-même la ''monstruosité'' du système de santé. Et pourtant, le gouvernement caquiste aujourd’hui propose une solution illusoire qui rendra le ''monstre'' encore plus ingérable.
Anne Plourde
chercheuse à l’IRIS Montréal
Il est maintenant possible pour les citoyens et les citoyennes de Gatineau de demander ou de renouveler en ligne leur licence pour faire l'élevage de poules pondeuses. Il suffit de consulter la page « Petits élevages urbains » du site Web de la Ville et de remplir le formulaire prévu à cet effet.
Les licences pour la garde de poules pondeuses sont émises annuellement et sont valides du 1er mai au 30 avril de l'année suivante. Elles sont non remboursables, indivisibles et incessibles.
Rappelons que la garde de coqs est interdite en tout temps et que sans licence, la garde de poules pondeuses est également interdite.
La Ville de Gatineau
Au Québec en 2020, alors que la pandémie de COVID-19 bouleversait les conditions d’études, 61 974 diplômes ont été décernés aux niveaux baccalauréat et supérieur, soit 2 895 de moins qu’en 2019. Le nombre de grades décernés, en baisse de 4,3 %, s’est établi à :
- 39 249 au premier cycle (– 2,6 %);
- 13 842 au deuxième cycle (– 8,3 %);
- 2 016 au troisième cycle (– 7,9 %)
La même année, en Ontario, le nombre total de grades décernés s’est accru de 2,3 %. C’est ce que nous apprend le bulletin intitulé "https://statistique.quebec.ca/fr/document/les-diplomes-des-niveaux-baccalaureat-et-superieur" Les diplômés des niveaux baccalauréat et supérieur de 2020 diffusé par l’Institut de la statistique du Québec, dans lequel on traite principalement des diplômés ayant obtenu un grade universitaire, notamment en sciences, technologie, génie ou mathématiques (STGM).
L’Institut de la statistique du Québec
Québec
La croissance rapide du soutien à une Assemblée citoyenne nationale sur la réforme électorale est incroyable ! La motion d'initiative parlementaire de Mike Morrice en faveur d'une Assemblée citoyenne nationale sur la réforme électorale a atteint le nombre maximum de cosignataires : "https://secure.fairvote.ca/en/index.php?q=civicrm/mailing/url&u=233230&qid=24901278" 20 députés ont appuyé la motion ! Cela comprend le soutien de députés de quatre partis : 13 libéraux, 5 néo-démocrates, 1 vert et 1 conservateur.
Le 6 mai, "https://secure.fairvote.ca/en/index.php?q=civicrm/mailing/url&u=233231&qid=24901278" les membres du Parti libéral ont voté massivement en faveur d'une résolution demandant au gouvernement de convoquer une Assemblée citoyenne nationale sur la réforme électorale. Vos efforts persistants et déterminés portent leurs fruits, mais nous devons continuer à gagner le soutien de tous les partis !
Pouvez-vous demander à votre député de soutenir publiquement une Assemblée citoyenne nationale sur la réforme électorale ?
Anita Nickerson,
Mouvement pour la représentation équitable au Canada
La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) du Québec, accueille positivement l’annonce faite aujourd’hui par la ministre de l'Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, Kateri Champagne Jourdain, de la création de trois pôles d’expertise visant à répondre aux transformations du marché du travail.
« L’annonce de la ministre de l'Emploi, Kateri Champagne Jourdain, est très encourageante, car le gouvernement s’active pour connaître les impacts des transformations futures du marché du travail, ce qui l’aidera dans l’élaboration des mesures à mettre en place. Ici, on agit pour être au-dessus de la mêlée plutôt que seulement être en réaction. C’est vraiment une bonne stratégie pour offrir les meilleurs outils qui accompagneront employés et employeurs dans les transitions et transformations affectant le marché du travail. La création de trois pôles d’expertise saura sans aucun doute participer aux succès des PME dans cette période de changements et de défis. Enfin, il faut souligner la mise à contribution des comités sectoriels de main-d’œuvre et de la Commission des partenaires du marché du travail dans le processus », commente François Vincent, vice-président pour le Québec à la FCEI.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Les écosystèmes de notre planète sont chancelants et nombre d'entre eux sont en train de s'effondrer. Voulons-nous attendre de tousser ou de gargouiller avant de convenir que "quelque chose" doit changer dans notre gestion de la Terre ?
Il y a les reproches, les accusations, les théories du complot, mais aussi de nombreuses mesures simples et directes qui pourraient réellement nous aider. Les grandes mesures proposées par la communauté scientifique nécessitent davantage d'explications avant d'être largement acceptées. Très peu d'entre nous sont prêts à abandonner leur mode de vie basé sur le pétrole.
En dehors des grands changements, il y a de petites choses efficaces que chaque municipalité du Pontiac peut faire. Commençons par les remèdes qui ne nécessitent pas d'énormes changements de vie et de dépenses.
Les terrains vacants et les bâtiments qui tombent en ruine sont utilisés pour de nouvelles constructions. Ainsi, il n'y aura pas de pertes dues aux incendies de forêt. Cela permettrait de condenser nos villes et nos villages, de les renouveler et de moderniser les infrastructures publiques, au lieu de se contenter de les rafistoler pour couvrir les nouvelles constructions (tout cela en dehors des réseaux d'eau existants, des égouts, des bouches d'incendie, des rues et de l'éclairage municipal).
Chaque municipalité pourrait entreprendre cette démarche, qui contribuerait directement à atténuer les dommages que subissent notre planète et notre atmosphère. Cela nous rapprocherait également les uns des autres. Mais il faut aussi que la province finance les municipalités de manière plus rationnelle.
F.D.R.
Gatineau
La Fédération québécoise des municipalités (FQM) est heureuse d’annoncer un financement de près de 40 000 $ répartis entre 10 projets retenus dans le cadre de l’édition spéciale « Fête nationale » du programme Accueillir en français. Rappelons que cette initiative a été mise sur pied grâce à la collaboration du gouvernement du Québec.
Jusqu’à présent, nous avons financé 40 projets de toutes sortes et nous sommes persuadés que nos membres sont inspirés et ont le désir de faciliter l’intégration de nouveaux arrivants. Une communauté qui intègre des personnes issues de l’immigration récolte les fruits de la diversité et de l’enrichissement culturel créant un tissu social vibrant et prospère.
Jacques Demers, président la FQM, maire de Sainte-Catherine-de-Hatley, préfet de la MRC de Memphrémagog
Québec, Qc
Lettres de mai
Alors que le printemps se déploie, nous souhaitons mettre en lumière un enjeu environnemental crucial auquel s'attaque Conservation de la nature Canada (CNC) à travers le Québec. Les végétaux bourgeonnent, fleurissent et poussent, mais certains d'entre eux menacent la biodiversité. CNC lutte contre les plantes exotiques envahissantes, y compris la plus envahissante d'entre elles : le phragmite (ou roseau commun).
CNC lutte contre le phragmite dans le sud du Québec, notamment dans le haut marais de l'île aux Grues, située dans le fleuve Saint-Laurent à l'est de la ville de Québec. Il s'agit de l'un des plus gros projets de contrôle de phragmite dans la province qui utilise la méthode de bâchage.
Cette plante non indigène menace l'équilibre fragile de ce milieu unique. Le haut marais abrite une grande variété d'espèces, ce qui en fait un élément important de la biodiversité du Québec. Ce combat contre le phragmite n’est pas facile et il est loin d’être terminé, mais il est toutefois en plein essor!
Pour faire connaître ce projet, CNC a créé un "https://www.natureconservancy.ca/fr/nous-trouver/quebec/projets-vedettes/chaudiere-appalaches/iag-phragmite.html" article web et une courte vidéo qui présentent les bâches colossales actuellement en place. Les gens peuvent également apprendre quelques astuces pour empêcher la propagation de cet envahisseur tenace.
Anne Guay, Conservation de la nature Canada
Québec, Qc
La ministre des Affaires municipales, Mme Andrée Laforest, le président de l'Union des municipalités, Daniel Côté, et le président de la Fédération des municipalités, Jacques Demers, se sont réunis pour annoncer le lancement d'une campagne de sensibilisation ayant pour thème "http://email.prnewswire.com/ls/click?upn=3slWLw94I3jq-2B-2FedjFNgZBuZEb2Wk10ppdmxBlLYp4AG6B4eq1FxXYZI2YYHfcy8HooVxplaEcDIObPh1EVM8564SmPnWXk5tBLJitxMWBk6IFSZlxOQ7-2BVyj2FsF2PcmjaYtV1G2jn5zUhX3eEzg1yDJ-2Bl-2FHSp2VgKUnql7x0MprXyTqpJX7OLykMS9d53pxq4H_uDUVLOcHvXwbK42LtKnJ8WwBTGGIhiuiJz2T8JWH6SgcG-2BT5LX6Kq1o-2FNr7h7yMIXGU-2FPq4A4LjpjhvKbS8V7iVO7mNUJ-2Fe2P2AKL5CnHvaFWbGxvh4Ng-2BD3HcUObjGg6eKdArkWpAChQoE-2FtjEkexwzOqzrajwT0ulE-2F8h0wF-2BQCMeJzZpqcghGPZWUVRh-2BHvQxcEA0Q1XR9WQmcJbuy8xJYTzWmYjDS1ggSs5m7-2Bu7bJyX7AniCo-2B7Yjl997ZDhPW1LyFfNog0TTat-2Bp37IJW9JjGJgk3gyl56kPfoupIsEp-2B4RaC1uBELlL3rRo87u90JoSU7AY7-2FjL-2FCfQ1ZqBSAa9Ijnc8Z8DVDbxRavLQ-2BrTf-2BM-2ByhpIQaBqGz87P-2F" Derrière chaque élu(e) municipal, il y a une personne. Traitons nos élu(e)s municipaux comme du monde.
Ce message de solidarité est le résultat d'une des 13 mesures annoncées le 6 octobre 2021 dans le "http://email.prnewswire.com/ls/click?upn=3slWLw94I3jq-2B-2FedjFNgZAr-2FkL2a7zzDe-2FNfXh3TbbpRo6Lmb7-2FmLsyCW09fT3vX220RvAcFMUcj31psrnNidjsBPVJPxysDvTQ8zskNgBg72N3u36ruZt4rzptJS2KuzlTO8eYf0qtXTIYOjNup4A-3D-3Dg3UN_uDUVLOcHvXwbK42LtKnJ8WwBTGGIhiuiJz2T8JWH6SgcG-2BT5LX6Kq1o-2FNr7h7yMIXGU-2FPq4A4LjpjhvKbS8V7iVO7mNUJ-2Fe2P2AKL5CnHvaFWbGxvh4Ng-2BD3HcUObjGg6eKdArkWpAChQoE-2FtjEkexwzOqzrajwT0ulE-2F8h0wF-2BQCMeJzZpqcghGPZWUVRh-2BHvQxcEA0Q1XR9WQmcJbuy8xJYTzWmYjDS1ggSs5m7-2BtmWe3gI8kOqUtE5aW2mMa1MYJSWKq1IVMxvQNW6Zn45TFATU2xZiID9qZQUL2yReIQC5hgHA1DTGMWLW-2B4N4-2FEUEgEAKp2wYKrPutOoUQq-2BhaYGmPHLlvak3onaG1szk2G4zsad34MmHc34cItg-2BMA
Plan d'action pour favoriser le respect et la civilité : unis pour la démocratie!, en marge des élections générales municipales. La campagne se déroulera du 26 avril au 23 mai dans les journaux et sur les plateformes Web. Elle a pour but de sensibiliser les citoyens à l'importance du respect dans leurs interactions avec le personnel et les élus municipaux ainsi que sur les bonnes pratiques pour exprimer leurs opinions.
Andrée Laforest, La ministre des Affaires municipales
Québec, Qc
Veuillez noter que ce texte va parvenir à l’Impératif français.
Il y a plusieurs semaines, plusieurs mois que je passe en revue votre Bulletin d’Aylmer et avec votre dernier bulletin du mercredi 26 avril 2023, j’en ai eu ras le bol.
Je suis très déçu, encore une fois, du peu d’importance que vous accordez à la place du français dans ce bulletin ainsi que dans plusieurs autres bulletins publiés antérieurement. Je suis tanné, de voir de l’anglais sur la page couverture en suivi sur la suivante (Resident celebrate…), et de surcroît, l’article de la troisième page (April 18 Municipal Council…) est aussi en anglais. Étant trop choqué par cette bavure, j’ai peut-être manqué la mention « La version française à la page ? ». Mais serait-ce que votre bulletin est imprimé dans une autre province que le Québec ?
Le fait de ne pas mettre le français aux premières loges est insultant. Vous n’avez pas entendu dire que le français devrait paraître en premier ? « On est au Québec icitte ! »
Je n’ai aucun malaise avec les articles anglophones, mais que celles-ci fassent la page couverture et pire encore que la version française soit absente, s’en est trop.
À titre de modèle, aller donc lire les éditions du
J’ai récemment demeuré à Aylmer et j’ai constaté combien le français fait piètre figure, pauvrement respecté dans plusieurs commerces. Ailleurs dans le grand Gatineau, j’observe un plus grand respect de la francophonie, le reflet d’un Québec dont l’attirance et la beauté se fait remarquer par l’engagement et les réalisations de ces citoyens à honorer son patrimoine culturel, transmis par nos ancêtres, démontrant son héritage français avec fierté.
« Ça sera peut-être la prochaine édition. »
Entre-temps, à mes yeux, vous faites piètre figure !
Sylvie Lagacé
Aylmer/Gatineau
Le ministre Marco Mendicino s’était engagé à travailler avec ses collègues au Parlement pour concevoir de nouveaux amendements qui seraient plus clairs et conformes aux promesses faites par le Parti libéral au cours des trois dernières campagnes électorales, de sortir les armes de style assaut de nos rues, sans pour cela interdire celles raisonnablement utilisées pour la chasse. Il ne fait aucun doute que les Libéraux, le NPD et le Bloc québécois ont mené des négociations derrière les scènes en vue d’obtenir un consensus sur le genre d’amendements qui pourraient conséquemment être déposés.
Toutefois, à ce stade-ci, il est extrêmement préoccupant de constater que rien n’a officiellement été mentionné quant à l’introduction et au contenu de nouvelles mesures. Le temps presse pour que la Chambre des Communes puisse adopter le projet de loi avant l’été sans avoir à affronter un déluge de manifestations partout au pays, appuyées par le lobby des armes à feu.
Alors qu’il est évident que les Libéraux s’efforcent de corriger les erreurs du passé et d’élaborer de nouveaux amendements avec l’appui d’un premier ministre résolu et d’un infatigable ministre, et que le Bloc québécois, par la voix de Kristina Michaud, sa très compétente critique en matière de Sécurité publique, participe de manière intelligente et constructive à la démarche, nous n’avons toujours rien vu ou entendu de la part du NPD.
Puisque deux partis sur trois font preuve d’un réel désir visant à interdire les armes d’assaut, on ne pourra que conclure que le NPD serait responsable d’un échec en lien avec la production de nouveaux amendements améliorés.
Le NPD a non seulement omis de signaler un appui quelconque aux efforts visant à trouver une nouvelle solution législative, il a aussi amplifié la désinformation au cœur des craintes et de la confusion qui ont mené au retrait des amendements.
En effet, dès le début, les députés conservateurs ont saisi le monopole du vide créé par les Libéraux en matière de communication et ont avancé, faussement, que les amendements auraient essentiellement l’effet d’interdire les fusils de chasse.
C’est là un calque des tactiques normalement employées par le lobby des armes, c’est-à-dire exagérer ou même mentir au sujet des armes touchées. Or, il s’avère que presque tous les modèles mentionnés n’auraient aucunement été touchés par les amendements proposés, un fait guère mentionné dans les médias, mais validé par la GRC.
Plutôt que de rectifier les faussetés à l’instar de leurs collègues bloquistes, de nombreux députés néo-démocrates ont répété la fausseté selon laquelle les amendements élargiraient de façon dramatique la définition d’armes prohibées de manière à inclure toutes sortes de fusils de chasse, mentionnant à peine ou pas du tout l’objectif central d’interdire la possession privée d’armes d’assaut. Pourtant, c’est une mesure qu’appuient 80 % des Canadiens avec, ironiquement, certains sondages indiquant l’appui le plus élevé chez les électeurs du NPD.
Un positionnement aussi vague, évasif et peu sincère ne date pas d’hier. Par exemple, quand on a demandé en 2020 si le NPD appuierait le décret ministériel interdisant quelque 1 500 modèles d’armes d’assaut à la suite du massacre en Nouvelle-Écosse, Monsieur Singh a évité le sujet en posant des questions additionnelles.
Mais leur geste le plus inexcusable a été de pousser, lors des audiences sur le C-21, pour exempter les adeptes de tir « pratique » du gel sur l’achat de nouvelles armes de poing, une démarche qui a attiré les louanges de la part du lobby des armes. Le C-21 comporte déjà une exemption pour les tireurs « olympiques », une situation considérée problématique par nos groupes. Plutôt que de resserrer les conditions de cette exemption, le critique du NPD en matière de Sécurité publique a plaidé en faveur de l’élargissement de l’exemption pour y inclure l’IPSC (la confédération internationale de tir pratique), un organisme qui organise des compétitions dans le cadre desquelles l’on simule des scénarios de prise d’otage et d’autodéfense.
Une telle exemption signifierait que le gel sur l’achat d’armes de poing serait dénué de tout sens, puisque l’IPSC pourrait sanctionner à sa guise n’importe quel « sport ». En effet, à l’IPSC on a déclaré qu’advenant une telle exemption, « nous deviendrons la porte d’entrée pour la possession d’armes de poing au Canada et nous pourrons envisager une énorme augmentation de notre membership ».
Se pourrait-il que le NPD négocie en vue d’élargir l’exemption Olympique en échange d’une nouvelle définition interdisant les armes d’assaut ?
C’est pourquoi nous interpellons le chef du NPD afin qu’il émette une position claire à savoir s’il agit ou non de bonne foi, sans négociation pour affaiblir d’autres mesures, afin d’assurer, une fois pour toutes, l’interdiction des armes d’assaut au Canada.
De Nathalie Provost, PolySeSouvient
Ken Price, Familles de Danforth
Montréal
Tout d'abord, je vous remercie de me lire... et en français. De mon côté, je vous ai également lu. En conséquence de quoi, j'admets que CBC est en fait largement financé par le gouvernement, à plus de 50%. Donc toutes mes excuses pour avoir minimisé cela. En fait, ce chiffre pourrait justement pousser certains, comme vous, à penser que CBC est un média contrôlé par l'état... Ceci étant dit, je le répète : mon éditorial, tant par son ton que par ses idées, se portait à la défense de la radio-télévision publique en établissant une distinction entre "média d'état", "média indépendant" et "média public". CBC-Radio-Canada est un média public, pas un média d'état ; allez en Russie ou en Chine, vous comprendrez ce que cela signifie. Mais j'admets que c'est votre droit et votre liberté d'exprimer une opinion contraire. Vous voyez, nous ne sommes pas encore dans la dictature que vous croyez...
Didier Périès
Aylmer
Merci, Mme Legacé, de nous avoir signalé notre erreur sur la première page de notre édition du 26 avril 2023. Heureusement, en revoyant nos éditions antérieures, nous avons constaté qu'il s'agissait d'une erreur rare ; nous n'avons pas trouvé d'autres pages de couverture exclusivement en anglais.
Nous vous assurons que nous suivons les directives linguistiques établies par l'Office de la langue française. Nous apprécions le soutien de nos lecteurs dans le respect de ces règles, ainsi que dans le respect de nos normes journalistiques de pertinence et d'exactitude dans nos reportages.
Notre communauté est très diversifiée et engagée, et il est de notre devoir de communiquer avec l'ensemble de notre lectorat, c'est-à-dire toute la population d'Aylmer. Comme notre population compte un pourcentage élevé d'anglophones, nous publions dans les langues demandées par nos lecteurs. Nous sommes une entreprise privée, familiale, et nous pouvons continuer à publier parce que nous attirons un grand nombre de lecteurs - un très grand nombre de lecteurs pour la publicité dans nos pages, qui est notre principal soutien. Sans un volume suffisant de publicité, nous ne pourrions pas continuer à publier, ce qui ferait d'Aylmer/Gatineau un autre "désert d'informations". Les tentatives précédentes d'offrir un journal en français à Aylmer ont échoué parce qu'elles n'étaient pas soutenues par la population. Mais en publiant dans les langues utilisées par nos lecteurs, nous sommes en mesure d'attirer les entreprises locales qui constatent que leur publicité dans le Bulletin d'Aylmer est efficace et leur apporte plus d'affaires. Et, oui, nous pouvons faire des erreurs, et il est donc utile d'avoir des lecteurs qui sont aussi vigilants que vous.
Un journal communautaire est construit par la communauté qu'il sert et, en retour, il peut aider la communauté à atteindre ses objectifs, en plus de la simple énumération des événements d'actualité. Nous avons soutenu les nombreux projets et mobilisations de l'Impératif français, par exemple. Le gouvernement de la ville a également été un allié, en aidant à fournir à ses citoyens des informations claires et locales. Aujourd'hui, nous sommes entourés d'un monde agressif au-delà de nos frontières, et il est important que nous nous mobilisions tous pour des objectifs communs.
Je vous encourage, Mme Legacé, à continuer à jouer un rôle plus positif dans la construction d'un Québec positif et progressiste ; une méthode consiste à soutenir l'environnement journalistique d'Aylmer-Gatineau. Une approche proactive consisterait à fréquenter nos annonceurs (qui paient les factures) et surtout à demander aux boutiques et aux entreprises locales de faire leur publicité ici, là où se trouve leur marché, plutôt qu'auprès des entreprises technologiques américaines (Facebook, Google) qui accaparent actuellement environ 80 % des revenus publicitaires du Québec, sans contribuer au soutien des lois, de l'histoire et des traditions du Québec, sans parler des normes journalistiques communes. Oui, cela inclut de signaler toute erreur ou omission de notre part, et nous vous en remercions.
La Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU), en collaboration avec le ministère des Ressources naturelles et des Forêts, accentue son aide à l’Alberta, qui est aux prises avec plusieurs incendies de forêt, notamment dans le nord de la province.
Ainsi, en plus des équipes déjà sur place, une section de 20 pompiers forestiers, une officière à l'information et une équipe de gestion de feux majeurs composée de douze spécialistes pouvant prendre en charge la gestion opérationnelle d’un incendie d’envergure ou d’un complexe de feux, y seront également déployés. Le départ est prévu mercredi matin à 9 h 50, à l’Aéroport international Jean-Lesage, à Québec.
Melanie Morin
Messines, Qc
Le ministre Marco Mendicino s’était engagé à travailler avec ses collègues au Parlement pour concevoir de nouveaux amendements qui seraient plus clairs et conformes aux promesses faites par le Parti libéral au cours des trois dernières campagnes électorales, de sortir les armes de style assaut de nos rues, sans pour cela interdire celles raisonnablement utilisées pour la chasse. Il ne fait aucun doute que les Libéraux, le NPD et le Bloc québécois ont mené des négociations derrière les scènes en vue d’obtenir un consensus sur le genre d’amendements qui pourraient conséquemment être déposés.
Toutefois, à ce stade-ci, il est extrêmement préoccupant de constater que rien n’a officiellement été mentionné quant à l’introduction et au contenu de nouvelles mesures. Le temps presse pour que la Chambre des Communes puisse adopter le projet de loi avant l’été sans avoir à affronter un déluge de manifestations partout au pays, appuyées par le lobby des armes à feu.
Alors qu’il est évident que les Libéraux s’efforcent de corriger les erreurs du passé et d’élaborer de nouveaux amendements avec l’appui d’un premier ministre résolu et d’un infatigable ministre, et que le Bloc québécois, par la voix de Kristina Michaud, sa très compétente critique en matière de Sécurité publique, participe de manière intelligente et constructive à la démarche, nous n’avons toujours rien vu ou entendu de la part du NPD.
Puisque deux partis sur trois font preuve d’un réel désir visant à interdire les armes d’assaut, on ne pourra que conclure que le NPD serait responsable d’un échec en lien avec la production de nouveaux amendements améliorés.
Le NPD a non seulement omis de signaler un appui quelconque aux efforts visant à trouver une nouvelle solution législative, il a aussi amplifié la désinformation au cœur des craintes et de la confusion qui ont mené au retrait des amendements.
En effet, dès le début, les députés conservateurs ont saisi le monopole du vide créé par les Libéraux en matière de communication et ont avancé, faussement, que les amendements auraient essentiellement l’effet d’interdire les fusils de chasse. C’est là un calque des tactiques normalement employées par le lobby des armes, c’est-à-dire exagérer ou même mentir au sujet des armes touchées. Or, il s’avère que presque tous les modèles mentionnés n’auraient aucunement été touchés par les amendements proposés, un fait guère mentionné dans les médias, mais validé par la GRC.
Plutôt que de rectifier les faussetés à l’instar de leurs collègues bloquistes, de nombreux députés néo-démocrates ont répété la fausseté selon laquelle les amendements élargiraient de façon dramatique la définition d’armes prohibées de manière à inclure toutes sortes de fusils de chasse, mentionnant à peine ou pas du tout l’objectif central d’interdire la possession privée d’armes d’assaut. Pourtant, c’est une mesure qu’appuient 80 % des Canadiens avec, ironiquement, certains sondages indiquant l’appui le plus élevé chez les électeurs du NPD.
Un positionnement aussi vague, évasif et peu sincère ne date pas d’hier. Par exemple, quand on a demandé en 2020 si le NPD appuierait le décret ministériel interdisant quelque 1 500 modèles d’armes d’assaut à la suite du massacre en Nouvelle-Écosse, Monsieur Singh a évité le sujet en posant des questions additionnelles.
Mais leur geste le plus inexcusable a été de pousser, lors des audiences sur le C-21, pour exempter les adeptes de tir « pratique » du gel sur l’achat de nouvelles armes de poing, une démarche qui a attiré les louanges de la part du lobby des armes. Le C-21 comporte déjà une exemption pour les tireurs « olympiques », une situation considérée problématique par nos groupes. Plutôt que de resserrer les conditions de cette exemption, le critique du NPD en matière de Sécurité publique a plaidé en faveur de l’élargissement de l’exemption pour y inclure l’IPSC (la confédération internationale de tir pratique), un organisme qui organise des compétitions dans le cadre desquelles l’on simule des scénarios de prise d’otage et d’autodéfense.
Une telle exemption signifierait que le gel sur l’achat d’armes de poing serait dénué de tout sens, puisque l’IPSC pourrait sanctionner à sa guise n’importe quel « sport ». En effet, à l’IPSC on a déclaré qu’advenant une telle exemption, « nous deviendrons la porte d’entrée pour la possession d’armes de poing au Canada et nous pourrons envisager une énorme augmentation de notre membership ».
Se pourrait-il que le NPD négocie en vue d’élargir l’exemption Olympique en échange d’une nouvelle définition interdisant les armes d’assaut ?
C’est pourquoi nous interpellons le chef du NPD afin qu’il émette une position claire à savoir s’il agit ou non de bonne foi, sans négociation pour affaiblir d’autres mesures, afin d’assurer, une fois pour toutes, l’interdiction des armes d’assaut au Canada.
De Nathalie Provost, PolySeSouvient
Ken Price, Familles de Danforth
Montréal
Le ministre Marco Mendicino s’était engagé à travailler avec ses collègues au Parlement pour concevoir de nouveaux amendements qui seraient plus clairs et conformes aux promesses faites par le Parti libéral au cours des trois dernières campagnes électorales, de sortir les armes de style assaut de nos rues, sans pour cela interdire celles raisonnablement utilisées pour la chasse. Il ne fait aucun doute que les Libéraux, le NPD et le Bloc québécois ont mené des négociations derrière les scènes en vue d’obtenir un consensus sur le genre d’amendements qui pourraient conséquemment être déposés.
Toutefois, à ce stade-ci, il est extrêmement préoccupant de constater que rien n’a officiellement été mentionné quant à l’introduction et au contenu de nouvelles mesures. Le temps presse pour que la Chambre des Communes puisse adopter le projet de loi avant l’été sans avoir à affronter un déluge de manifestations partout au pays, appuyées par le lobby des armes à feu.
Alors qu’il est évident que les Libéraux s’efforcent de corriger les erreurs du passé et d’élaborer de nouveaux amendements avec l’appui d’un premier ministre résolu et d’un infatigable ministre, et que le Bloc québécois, par la voix de Kristina Michaud, sa très compétente critique en matière de Sécurité publique, participe de manière intelligente et constructive à la démarche, nous n’avons toujours rien vu ou entendu de la part du NPD.
Puisque deux partis sur trois font preuve d’un réel désir visant à interdire les armes d’assaut, on ne pourra que conclure que le NPD serait responsable d’un échec en lien avec la production de nouveaux amendements améliorés.
Le NPD a non seulement omis de signaler un appui quelconque aux efforts visant à trouver une nouvelle solution législative, il a aussi amplifié la désinformation au cœur des craintes et de la confusion qui ont mené au retrait des amendements.
En effet, dès le début, les députés conservateurs ont saisi le monopole du vide créé par les Libéraux en matière de communication et ont avancé, faussement, que les amendements auraient essentiellement l’effet d’interdire les fusils de chasse. C’est là un calque des tactiques normalement employées par le lobby des armes, c’est-à-dire exagérer ou même mentir au sujet des armes touchées. Or, il s’avère que presque tous les modèles mentionnés n’auraient aucunement été touchés par les amendements proposés, un fait guère mentionné dans les médias, mais validé par la GRC.
Plutôt que de rectifier les faussetés à l’instar de leurs collègues bloquistes, de nombreux députés néo-démocrates ont répété la fausseté selon laquelle les amendements élargiraient de façon dramatique la définition d’armes prohibées de manière à inclure toutes sortes de fusils de chasse, mentionnant à peine ou pas du tout l’objectif central d’interdire la possession privée d’armes d’assaut. Pourtant, c’est une mesure qu’appuient 80 % des Canadiens avec, ironiquement, certains sondages indiquant l’appui le plus élevé chez les électeurs du NPD.
Un positionnement aussi vague, évasif et peu sincère ne date pas d’hier. Par exemple, quand on a demandé en 2020 si le NPD appuierait le décret ministériel interdisant quelque 1 500 modèles d’armes d’assaut à la suite du massacre en Nouvelle-Écosse, Monsieur Singh a évité le sujet en posant des questions additionnelles.
Mais leur geste le plus inexcusable a été de pousser, lors des audiences sur le C-21, pour exempter les adeptes de tir « pratique » du gel sur l’achat de nouvelles armes de poing, une démarche qui a attiré les louanges de la part du lobby des armes. Le C-21 comporte déjà une exemption pour les tireurs « olympiques », une situation considérée problématique par nos groupes. Plutôt que de resserrer les conditions de cette exemption, le critique du NPD en matière de Sécurité publique a plaidé en faveur de l’élargissement de l’exemption pour y inclure l’IPSC (la confédération internationale de tir pratique), un organisme qui organise des compétitions dans le cadre desquelles l’on simule des scénarios de prise d’otage et d’autodéfense.
Une telle exemption signifierait que le gel sur l’achat d’armes de poing serait dénué de tout sens, puisque l’IPSC pourrait sanctionner à sa guise n’importe quel « sport ». En effet, à l’IPSC on a déclaré qu’advenant une telle exemption, « nous deviendrons la porte d’entrée pour la possession d’armes de poing au Canada et nous pourrons envisager une énorme augmentation de notre membership ».
Se pourrait-il que le NPD négocie en vue d’élargir l’exemption Olympique en échange d’une nouvelle définition interdisant les armes d’assaut ?
C’est pourquoi nous interpellons le chef du NPD afin qu’il émette une position claire à savoir s’il agit ou non de bonne foi, sans négociation pour affaiblir d’autres mesures, afin d’assurer, une fois pour toutes, l’interdiction des armes d’assaut au Canada.
De Nathalie Provost, PolySeSouvient
Ken Price, Familles de Danforth
Montréal
Je vous informe que la l’édition 2023 du tournoi de hockey récréatif 50+ (les 6 et 7 mai derniers), a généré d’importants profits : au cours de la dernière saison, la Ligue de hockey Sleeman versera 4 000 $ au Centre alimentaire Aylmer.
La ligue de hockey Sleeman a pu tenir son tournoi pour la première fois depuis 2019, et depuis son premier tournoi de 2016, la ligue a contribué tout près de 25 000 $ au Centre alimentaire.
Je tiens à remercier to ceux qui ont contribué à l’organisation du tournoi et un merci particulier à Joe Chiuchiarelli et tous les joueurs et les partisans qui continuent de supporter cette cause méritante…Un travail bien accompli!
Charles Ethier, Tournoi 50 ans Plus
Aylmer
Les propriétaires de PME prennent des mesures pour rendre leurs activités plus écologiques, mais cela ne se fait pas sans obstacles. Un nouveau rapport de la FCEI énonce 10 principes directeurs pour élaborer les politiques environnementales en tenant compte des PME.
La majorité (74 %) des propriétaires de PME croient qu’il est possible d’assurer en même temps la croissance de l’économie et la protection de l’environnement. Près des deux tiers (64 %) ont indiqué que le recyclage des matériaux (suremballage, etc.) était l’enjeu environnemental le plus important pour leur entreprise. Les propriétaires de PME attachent aussi de l’importance à la réduction des déchets (59 %), à l’assainissement des eaux et au traitement des eaux usées (44 %), ainsi qu’à la préservation des milieux naturels (40 %).
Maud Lariviere, FCEI
Montréal
Le mois d’avril s’est avéré beaucoup moins occupé qu’à l’habitude pour les équipes de la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU). Au cours du dernier mois, l’organisme de protection a enregistré 18 feux de végétation ayant affecté 5,2 hectares (ha) de forêt, alors que la moyenne des dix dernières années est de 46,3 feux affectant 27,3 ha. Sans surprise, ces feux de végétations sont survenus en majorité au sud de la province, où le couvert de neige disparaît plus rapidement.
Melanie Morin, SOPFEU
Messines, Qc
Monsieur Périès, contrairement à la croyance populaire un grand nombre de personne avec un nom anglais vive en français. En réalité CBC reçoit 71 % de son financement du gouvernent, sait-à-dire le peuple canadian(https://cbc.radio-canada.ca/en/impact-and-accountability/finances/annual-reports/ar-2018-2019/financial-sustainability/revenue-and-other-funds).
Je n’ai jamais pensée ou dit que CBC est un media contrôlé par l'état, désolent que vous me prêter de tels propos, en passant j’écoute radio canada tous les jours. Monsieur Périès, je voyage beaucoup et surtout je suis très bien informé, merci tout de même pour la suggestion. Je n’ai jamais cru ou dit qu'on est dans une dictature, encore une fois vous me prêter des propos erronés.
Peter McCauley
Aylmer
Le mois de mai est dédié aux enfants disparus, à la sensibilisation entourant les disparitions et l’éducation pour les prévenir. On y célèbre les enfants retrouvés sains et saufs, on se remémore ceux qui sont toujours disparus et on honore la mémoire de ceux qui nous ont quitté. Le mois de mai est également l’occasion de souligner l’importance de la prévention en éduquant nos jeunes et les adultes afin d’être tous outillés pour que nos jeunes soient en sécurité et ainsi prévenir les disparitions.
Selon les statistiques de la GRC, le nombre d'enfants disparus au Québec a augmenté par rapport à l'année dernière. En 2021, on enregistrait 3456 cas de disparitions d'enfant, alors que nous en comptons 4665 en 2022. Ces chiffres sont alarmants et soulignent la nécessité de sensibiliser le public à la sécurité des enfants et de prendre des mesures pour protéger nos jeunes.
Dans le cadre du Mois des enfants disparus, le Réseau Enfants-Retour organise une conférence pour les corps de police le 18 mai prochain. Cette conférence, intitulée "Les meilleures pratiques : travailler ensemble dans les cas de disparition d'un enfant", a pour objectif de rassembler les forces de l'ordre ainsi que nos partenaires qui traitent de disparition d'enfants afin d’améliorer la collaboration et les pratiques dans ces situations difficiles.
Julia Lécuyer, Réseau Enfants-Retour
Montréal
Le Parti libéral fédéral a fait le plus grand bond en avant depuis 2015 en votant, lors de son congrès à Ottawa, en faveur d'une Assemblée nationale des citoyens sur la réforme électorale. Le vote a été adopté avec le soutien massif des membres du parti et des députés libéraux de tout le pays.
Aux milliers d'entre vous qui ont soutenu l'idée d'une Assemblée nationale des citoyens sur la réforme électorale par le biais de sondages, de publicités, de visites aux députés, de courriels, d'accroches-portes et plus encore, nous disons merci !
Cette résolution constituera désormais la politique officielle du Parti libéral pour les huit prochaines années. Bien que les résolutions adoptées lors des congrès du parti ne puissent pas contraindre un gouvernement à agir, elles sont importantes. La dernière résolution sur la réforme électorale adoptée lors d'un congrès du Parti libéral (en 2014) a mené directement à la promesse de la plateforme de 2015 de faire en sorte que chaque vote compte.
Cette victoire au congrès du Parti libéral - avec l'appui d'un si grand nombre de députés libéraux - envoie un message clair à la direction du parti : il est temps de relancer la conversation sur l'abandon de notre système électoral uninominal à un tour injuste. (Traduit)
Anita Nickerson, FVC
Ottawa
La démence est une condition qui s’aggrave avec le temps et qui se caractérise souvent par un déclin de la mémoire, du langage et du jugement, des changements physiques et des changements d’humeur et de comportement.
Chaque personne vit différemment la démence. Certaines personnes atteintes peuvent demeurer actives et engagées dans leur travail, leur vie familiale et leurs autres responsabilités. Des attitudes et des croyances infondées sur la démence peuvent entraîner une stigmatisation.
Faire preuve de respect, avoir une écoute active et utiliser un langage bienveillant sont de bonnes façons de surmonter les défis de la stigmatisation. Vous pouvez aussi, pour aider les personnes atteintes de démence : faire des efforts pour les inclure dans les conversations et/ou les activités; les encourager à parler de leurs expériences; et refuser d’accepter les gestes ou le langage dénigrants, déshumanisants, discriminatoires ou condescendants.
Toutefois, il n’est jamais trop tôt ou trop tard pour prendre des mesures bénéfiques pour la santé de votre cerveau. Il est possible que les changements dans le cerveau qui peuvent conduire à la démence commencent des dizaines d’années avant l’apparition de signes ou de symptômes.
La plupart des cas de démence ne sont ni héréditaires ni liés à la génétique. Les saines habitudes de vie peuvent aider à réduire le risque de développer la démence, notamment : a) être physiquement actif (l'inactivité physique peut augmenter le risque de démence de 40% ); b) limiter sa consommation d’alcool; c) avoir une alimentation saine et équilibrée (la quantité élevée de sodium dans les aliments hautement transformés peut entraîner une hypertension artérielle, qui augmente le risque de démence de 60 %); d) gérer la dépression, si vous en souffrez; e) éviter la pollution de l’air; f) porter attention à la qualité de votre sommeil; et g) cesser de fumer et éviter le tabagisme passif
Pour en savoir davantage, consultez "https://bit.ly/3GORDCP" canada.ca/demence.
Maganga Lumbu, Santé Canada
Montréal
Le Canada doit créer une agence publique, indépendante de l'industrie nucléaire et des agences gouvernementales promoteurs de l'énergie nucléaire, pour superviser la gestion des polluants radioactifs et le déclassement des installations nucléaires. La nouvelle agence veillerait à ce que les calendriers cibles de gestion des déchets soient respectés et que les rapports sur les progrès réalisés soient mis à la disposition du public.
Theresa McClenaghan, l'Association canadienne du droit de l'environnement
Ottawa
La chef du Parti vert, Elizabeth May, la députée libérale Jenica Atwin, le député du Bloc Québécois Mario Simard et le député néo-démocrate Alexandre Boulerice se joignent à des représentants de la société civile pour exprimer leurs graves préoccupations au sujet de l’expansion de l’énergie nucléaire et du développement de petits réacteurs nucléaires modulaires (PRM).
Les quatre parlementaires demandent à Ottawa de faire une pause dans le financement fédéral pour développer des PRM expérimentaux jusqu’à ce que le Parlement et des experts scientifiques indépendants aient examiné ces plans de manière critique.
Des représentants de la société civile affirment que les PRM ne s’avèrent pas une option climatique rentable et intelligente. Le nouveau nucléaire est déjà beaucoup plus coûteux que les sources d’énergie renouvelables éprouvées comme l’éolien et le solaire, et il n’y a aucune garantie que ces expériences nucléaires produiront de l’électricité en toute sécurité et à un prix abordable. En attendant de savoir si la conception des PRM sera réussie, le Canada perd du temps qui devrait être consacré de toute urgence à une véritable action climatique.
« L’industrie nucléaire, dirigée par des sociétés et des entreprises américaines et britanniques en démarrage, exerce des pressions et fait de la publicité au Canada pour nous convaincre que les nouvelles conceptions de plus petits réacteurs résoudront d’une manière ou d’une autre la crise climatique et surmonteront les problèmes de coût exorbitant, de déchets radioactifs toxiques et d’accidents nucléaires qui affligent l’industrie nucléaire depuis des décennies », a déclaré Susan O’Donnell (Ph. D.), professeur et porte-parole de la Coalition pour un développement énergétique responsable au Nouveau-Brunswick.
« Au Nouveau-Brunswick, en Ontario, en Saskatchewan et en Alberta, les collectivités sont préoccupées par la pression exercée pour développer des réacteurs nucléaires qui pourraient éventuellement être abandonnés sur place, les transformant en sites contaminés par la radioactivité et en dépotoirs de déchets radioactifs », a ajouté Mme O’Donnell.
Ginette Charbonneau, physicienne qui est membre du Ralliement contre la pollution radioactive au Québec, a déclaré que des groupes de la société civile au Canada réclament de cesser les plans d’extraction du plutonium à partir du combustible nucléaire irradié. Elle ajoute que des experts en non-prolifération croient que le soutien du Canada à cette technologie risquée pourrait miner les efforts pour empêcher d’autres pays de développer des armes nucléaires.
« Cette idée est vendue comme étant un « recyclage » des déchets radioactifs, mais en pratique elle créera plus de plutonium et de nouveaux flux de déchets radioactifs extrêmement problématiques qui devront être tenus à l’écart de l’environnement pendant des millions d’années », a déclaré Mme Charbonneau.
Des groupes de la société civile demandent au gouvernement d’interdire le retraitement du plutonium et de cesser de financer les PRM. Ils disent qu’une surveillance parlementaire et indépendante accrue est nécessaire, y compris des évaluations d’impact fédérales complètes pour tous les nouveaux réacteurs expérimentaux.
Annoncée comme la Semaine « Non pas encore le lobby nucléaire! », ces groupes rencontreront à Ottawa des députés, des groupes de réflexion et des ONG et ils tiendront des événements publics pour divulguer l’autre facette de l’histoire de l’énergie nucléaire – notamment les problèmes et les risques dont les lobbyistes de l’industrie ne parlent pas.
Depuis la publication de la « Feuille de route des PRM » en 2018, le gouvernement canadien a apporté son soutien aux PRM et à des initiatives connexes par les moyens suivants : a) environ 100 millions de dollars en subventions à des entreprises nucléaires des États-Unis et du Royaume-Uni pour développer leurs expériences nucléaires au Canada sans preuve indépendante d’un examen scientifique préalable; b) un prêt à faible taux d’intérêt de 970 millions de dollars à Ontario Power Generation pour développer la conception d’un réacteur américain; c) exemption de la plupart des PRM de l’application de la Loi sur l’évaluation d’impact, limitant ainsi considérablement la surveillance par les communautés des Premières Nations et de la société civile; d) soutien des procédés expérimentaux d’extraction du plutonium à partir des déchets radioactifs stockés dans la baie de Fundy; e)un contrat d’un milliard de dollars par année à SNC-Lavalin et à deux sociétés américaines pour exploiter les Laboratoires de Chalk River et d’autres installations fédérales.
Eva Schacherl, Ottawa;
Susan O'Donnell, Nouveau-Brunswick ;
et Ginette Charbonneau, Montréal
Le mois de mai est dédié aux enfants disparus, à la sensibilisation entourant les disparitions et l’éducation pour les prévenir. On y célèbre les enfants retrouvés sains et saufs, on se remémore ceux qui sont toujours disparus et on honore la mémoire de ceux qui nous ont quitté. Le mois de mai est également l’occasion de souligner l’importance de la prévention en éduquant nos jeunes et les adultes afin d’être tous outillés pour que nos jeunes soient en sécurité et ainsi prévenir les disparitions.
Selon les statistiques de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), le nombre d'enfants disparus au Québec a augmenté par rapport à l'année dernière. En 2021, on enregistrait 3456 cas de disparitions d'enfant, alors que nous en comptons 4665 en 2022. Ces chiffres sont alarmants et soulignent la nécessité de sensibiliser le public à la sécurité des enfants et de prendre des mesures pour protéger nos jeunes.
A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus le 25 mai prochain, le Réseau Enfants-Retour organise une soirée à ses bureaux pour souligner cette journée pleine de sens pour le Réseau. Cet événement sera l'occasion pour les familles de se retrouver, de partager leur expérience et de rencontrer l’équipe, les partenaires et les bénévoles du Réseau Enfants-Retour.
À l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, Global News diffusera les affiches de 32 enfants disparus tout au long de la journée, permettant ainsi de sensibiliser le public à cette problématique importante et de rendre visible le visage de ceux et celles qui manquent à l’appel. Cette visibilité permet de rappeler aux familles qu’on n’oubliera jamais leur enfant et qu’il y aura toujours de l’espoir.
Julia Lécuyer, Réseau Enfants-Retour
Montréal
Selon la FCEI, la réduction prochaine des frais de traitement des transactions par carte de crédit qui vient d'être annoncée le 18 mai 2023 par la vice-première ministre Chrystia Freeland, est une grande victoire pour les PME. La FCEI s'est battue pour obtenir ce gain de cause.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Merci d’avoir porté à l’attention des citoyens d’Aylmer la nouvelle loi permettant aux gens de verrouiller les demandes de crédit à leurs comptes, acheminées aux compagnies de côtes de crédit, TransUnion et Équifax.
Je vais en parler à mes enfants adultes. C’est une excellente loi et elle mérite d’être connue.
Marc Landry
Secteur Aylmer
La Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU), en collaboration avec le ministère des Ressources naturelles et des Forêts, soutient l’Alberta, qui est aux prises avec plusieurs incendies de forêt, notamment dans le nord de la province. Ainsi, deux représentants de la SOPFEU et huit équipes d’attaques initiales (32 pompiers forestiers) y seront déployés. Le départ etait prévu samedi matin à 10 h, à l’Aéroport international Jean-Lesage, à Québec.
Melanie Morin, SOPFEU
Messines
L’Association du patrimoine d’Aylmer a, depuis près de 50 ans, le mandat et le rôle de veiller à la préservation et à la mise en valeur du patrimoine local, bâti et naturel, et l'Association est déjà intervenue à quelques reprises dans ce dossier au fil des dernières décennies. L’importance du barrage de Deschênes pour le développement hydro-électrique d’Aylmer et de l’ensemble de la région (l’une des premières centrales hydroélectriques du Québec) notamment en approvisionnant Aylmer (et même Hull pendant un certain temps) en électricité; ce barrage, un exploit majeur en termes d'ingénierie pour l'époque (1895), a permis, grâce aux frères Conroy d’Aylmer et de Deschênes, d’amener sur le territoire un service de tramways entre Ottawa, Hull, Aylmer et le célèbre parc d’amusement Queen’s Park, à l’extrémité ouest d’Aylmer, la démolition du barrage projetée aura inévitablement des conséquences néfastes sinon désastreuses sur le plan écologique et que la préservation du patrimoine naturel est aussi le fer de lance de l’Association.
Et attendu que des recherches archéologiques sur le site ont permis de retrouver des artéfacts témoignant d’une occupation autochtone ancestrale, le gouvernement du Québec a désigné cette section de la rivière des Outaouais comme lieu historique en 2017.
Le site fait partie d’une zone importante de conservation des oiseaux (ZICO) et qu’il abrite la plus grande diversité d’espèces d’oiseaux en Outaouais avec plus de 266 espèces répertoriées, et le parc des rapides Deschênes fait partie des Chemins d’eau, une route touristique qui longe les rivières Gatineau et des Outaouais;
Attendu que le parc des rapides Deschênes est inscrit comme site potentiel de développement dans le plan de plein air urbain adopté par la Ville en 2019, et attendu que la communauté est engagée dans le préservation et de mise en valeur du site pour protéger ses valeurs patrimoniale, archéologique, identitaire, écologique, récréative et touristique, il est résolu que l’Association du patrimoine d’Aylmer s’oppose à tout projet de démolition des vestiges du barrage de Deschênes et se joigne à tous les groupes désireux de le maintenir et d’en faire au contraire un lieu patrimonial et touristique majeur pour la région.
Richard Begin
pour l’Association du patrimoine d’Aylmer
Voici une réaction de François Vincent, vice-président pour le Québec à la FCEI, qui était présent sur place pour assister au dépôt du projet de loi 17 visant à alléger la paperasserie :
« Alléger la paperasserie représente une action économique clé pour les PME, d’autant plus pour celles en situation de pénurie de main-d’œuvre. Avec le dépôt du projet de loi 17 aujourd’hui, le gouvernement du Québec démontre une véritable écoute des entrepreneurs et agit pour faire la différence en leur faveur. Le temps ainsi gagné par les allègements proposés pourra être réinvesti dans la planification ou le développement d’affaires et servira à s’informer des programmes gouvernementaux. Je félicite le gouvernement Legault pour le sérieux qu’il accorde à l’allègement réglementaire, il démontre qu'il sait livrer la marchandise. », se réjouit François Vincent, vice-président pour le Québec à la FCEI et coprésident du Comité-conseil sur l’allègement réglementaire et administratif du gouvernement du Québec.
La FCEI souligne les avancées notamment pour les secteurs de la production d’alcool et de la construction. Elle analysera en détails le projet de loi et souhaite être entendue en commission parlementaire.
Maud Larivière, La FCEI
Montréal
Le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, implore le gouvernement Legault de retirer le projet de loi no 24, Loi donnant suite aux recommandations du rapport du Comité consultatif indépendant sur la révision de l’indemnité annuelle des membres de l’Assemblée nationale.
Ce projet de loi augmenterait les salaires des députés de plus de 30,000$ par année, faisant passer l’indemnité minimum annuelle à 131,766$.
Selon M. Duhaine, maintenant que les députés reviennent d’une semaine de relâche parlementaire dans leurs circonscriptions, ils ont pu constater l’impopularité de cette augmentation de salaire. Le temps est très mal choisi, alors que le gouvernement offre 9% d’augmentation pour 5 ans aux employés de l’État, que le gouvernement renie son engagement solennel du 3e lien autoroutier Québec-Lévis et que le ministre Drainville considère qu’il mérite 17 fois plus d’augmentation que les profs.
Le Parti conservateur propose plutôt de limiter les hausses salariales des élus à l’indice des prix à la consommation d’ici la fin de l’actuel mandat.
Par la suite, en 2026, chaque parti pourra avancer sa solution et la soumettre aux électeurs lors de la prochaine campagne électorale. Présentement, la CAQ n’a aucune légitimité démocratique de se voter 30% d’augmentation de salaire, alors qu’elle n’en a jamais parlé en campagne électorale.
Cédric Lapointe, Parti conservateur du Québec
Québec, Qc
Le Chœur de l’Île est fier de présenter son édition 2023 intitulée Voix humaines sous la direction d’Yves Lacoursière, à l’église Saint-Paul d’Aylmer, 26 chemin Eardley, Aylmer, le vendredi 2 juin, à 20h00.
Fidèle à sa réputation depuis 49 ans dans l’Outaouais, le Chœur de l’Île présente un style varié avec un accent sur le répertoire francophone.
Lise Bouchard
Gatineau
Plusieurs d’entre nous ont, à un moment ou un autre, vendu une propriété. Pour ce faire, l'on doit engager un arpenteur géomètre. J’ai vendu une propriété en 2021. Le manque de professionnalisme que j’ai témoigné et vécu est simplement déconcertant. Il ne se présente pas à des rendez-vous et ce sans préavis. Il ne m’a pas offert de contrat, m’assurant que tout était compris dans le prix cité. Il m’a ensuite dit que les marqueurs de coin n'étaient pas inclus dans le prix cité.
J’ai fait une revue sur Google et j’ai déposé une plainte au syndic des arpenteurs géomètre du Québec en 2021. Toujours pas de résultat. On de vait me contacter au début d’avril. Rien que des questions mettant en doute mon honnêteté. L’ordre professionnel dont j'étais membre avant la retraite ne fonctionnait sûrement pas de cette façon. Peut être que le syndic est débordé par le nombre de plainte, peut-être que le syndic est sous-dotée ou peut-etre que le syndic a adopté la stratégie “Dark Pattern” (connu dans le monde corporatif) qui se sert de différentes méthodes de découragement qui visent à mener les plaintif à l'abandon de la plainte.
Mon erreur fut de ne pas avoir exigé un contrat écrit.
Protégez-vous, le professionnalisme est à la derive.
J. R .F.
Mansfield-Pontefract
Le virus de l'hépatite C (VHC) est la principale cause de décès par maladie infectieuse au Canada. Près de la moitié des personnes infectées par le VHC ne le savent pas. Les néo-Canadiens sont plus exposés au VHC et représentent un nombre disproportionné de cas.
Mais il y a de l'espoir. Le 11 mai était la Journée d'élimination de l'hépatite virale et les groupes de défense, dont le Centre Associatif Polyvalent d'Aide Hépatite C, se réunissent à Ottawa pour rappeler aux décideurs en matière de santé que l'hépatite C est guérissable.
Nous pouvons éliminer le VHC et être un chef de file que le monde entier suivra au cours de la présente décennie si nous mettons en œuvre les cinq priorités définies dans le rapport d'étape sur le VHC d'Action Hépatite Canada.
Laurence Mersilian, le Centre Associatif Polyvalent d'Aide Hépatite C
Isabelle Têtu, la Clinique SABSA de Québec
Québec, Qc.
Lettres d'avril
Transition écologique La Pêche Coalition for a Green New Deal vous a invité à un webinaire à 19 heures, le 9 mars. Le webinaire a présenté un court métrage documentaire de BBC Panorama intitulé "The Green Energy Scandal Exposed" et des extraits du film "Burned : Are Trees the new Coal ?" suivi d'une discussion interactive sur la question de la biomasse forestière comme solution à la transition énergétique et à la crise climatique.
La discussion était guidée par deux chercheurs qui figurent dans les documentaires - William Moomaw, professeur retraité de l'université Tufts (Boston) et expert en énergie de la biomasse, et Michelle Connolly, directrice de Conservation North, un groupe de défense de la protection de la nature dans le nord de la Colombie-Britannique.
Lien d'enregistrement "https://facebook.us2.list-manage.com/track/click?u=29a4e01ceee4923b00e841df1&id=28202f4c5c&e=f2579de9da"
La Pêche Coalition,
Masham
Les laboratoires de Chalk River planifient toujours leur décharge nucléaire non testée, la première au monde, sept terrains de football de déchets toxiques, en amont du Pontiac, d'Ottawa, de Gatineau et d'ailleurs.
Stephan Harper, voyant le coût de la gestion de ces déchets toxiques, a privatisé le travail pour réduire la responsabilité légale du gouvernement fédéral en cas d'accident. Les déchets dureront des milliers d'années ; lorsque des accidents se produiront, les dirigeants des entreprises auront disparu - ou vivront dans des endroits où ils ne pourront pas être poursuivis par nous. Et que se passerait-il s'ils étaient condamnés ? Disposent-ils des milliards de dollars nécessaires pour réparer un éventuel désastre ? Quelqu'un peut-il remédier aux décès et aux maladies potentiels ?
Non, cette décharge nucléaire est une très mauvaise affaire pour le Pontiac. Mais depuis quand un gouvernement libéral fédéral ne soutient-il pas le secteur des entreprises (exemples : SNC Lavalin, Transmountain Pipeline et le contrat de câblodistribution Rodgers).
C'est une bonne chose que la MRC-Pontiac s'y oppose. Nous devons continuer à protester, même si notre députée libérale, Mme Chatel, a dit que c'était une affaire réglée.
Kenneth Poirier
Iles des Allumettes, Pontiac
Les PME écopent d’une augmentation de leur facture d’électricité de près de 250 M$. Dès le 1er avril, les tarifs d’électricité pour la clientèle affaires augmentent de 6,4 %. La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) alerte sur les impacts que cette hausse aura sur les PME québécoises, alors qu’elles subissent une énorme pression.
Benjamin Rousse (FCEI)
Montréal
La semaine dernière, j'ai lu l'article sur la cantine de la plage des Cèdres qui est restée vide pendant si longtemps. Merci d'avoir attiré l'attention sur ce point, ma famille utilise le parc et la plage tout le temps et nous ne pouvons pas croire que la ville laisse la cantine vide.
Qu'en est-il du mini-putt ? Il y avait un terrain de mini golf juste derrière le siège du club nautique qui a fermé la même année que la cantine. Il y avait aussi des toilettes publiques. Je sais qu'un groupe communautaire gérait les deux et que ce groupe utilisait les activités pour collecter des fonds et donner de l'expérience à des adolescents qui avaient des emplois d'été. Et si aucun adulte ne dirigeait les activités, les initiatives étaient vouées à disparaître.
Mais enfin ! Je ne peux pas croire qu'il n'y ait pas d'associations ou d'entreprises privées qui ne veuillent pas gérer ces deux sites. Je pense que quelqu'un à la ville dort au volant. Peut-être les mêmes qui pensent que le nouveau bâtiment de la Marina est bien géré ? Le Bulletin sait-il que seules les organisations à but non lucratif déjà enregistrées et reconnues par la ville peuvent utiliser l'espace public du bâtiment de la marina ? Et pourtant, nous avons tous payé pour cela ! Je ne peux pas louer l'espace pour mon 40e anniversaire de mariage, bien que j'aie vécu à proximité, que j'aie toujours payé mes impôts et que je sois prêt à engager les traiteurs, etc. Non....Je dois aller à Ottawa pour louer un bel endroit. Je vais probablement utiliser le mini-putt là-bas aussi ? Ou Chelsea, ils semblent avoir raison - je peux utiliser les installations partout, mais pas dans mon propre jardin.
Merci d'avoir attiré l'attention sur ce problème, il y a quelque chose qui cloche. (Traduit)
Sandy Lacasse
Aylmer
C’est jeudi dernier que l’entreprise québécoise PMB Huissiers de justice soulignait son 35e anniversaire en affaires auprès d’une centaine de convives réunies au site Zibi, à Gatineau. L’entreprise composée d’une dizaine d’employés et professionnels huissiers de justice a choisi ce moment pour dévoiler son plus récent projet : une toute nouvelle plateforme informative dédiée au grand public, le site web Huissier Québec.
Forte de son expérience dans le domaine, le plus important cabinet d’huissiers en Outaouais a développé un outil en ligne permettant de mieux informer le grand public au sujet du rôle que peut jouer un huissier ou une huissière de justice, et ce, dans un langage clair et accessible. La plateforme vise à renseigner la population, à la rendre plus avertie et mieux outillée à faire face à des situations parfois complexes.
Au cours des derniers mois, l’équipe derrière Huissier Québec a donc rassemblé des études de cas concrètes et représentatives qu’elle présente sur le site afin que les gens puissent s’y retrouver et mieux comprendre comment une problématique a pu être résolue, grâce à l’implication d’un huissier de justice. La plateforme permet également d’être référé vers un professionnel pouvant appuyer les démarches de la personne désireuse d’avoir accès à du soutien.
Pour consulter la plateforme, il suffit de visiter le www.huissierquebec.ca.
Pascal Montpetit, PMB Huissiers
Gatineau
Suivant l’avis du Comité consultatif du travail et de la main-d’œuvre (CCTM), le ministre du Travail, Jean Boulet, a déposé mardi dernier le projet de loi n°19, Loi sur l’encadrement du travail des enfants. La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) a "https://link.mediaoutreach.meltwater.com/ls/click?upn=rWhfMMIZ3nNBQUEeSKM1cholloOBPrT2Ztm4rG6TiAyypIkL6wdHKiX577JIL1-2BypQpijuF8EmxIDmLvkksDO29noOXeE6SGpZ70OgQ-2FA0N2bjao6wJeDFo5ZH-2Fmon46m-2BQdrm3xXdTAuhZDcyISGMujRN4Mq2poV5ZeV9PZv0k-3D7NHR_Y-2BXF-2B1WmAx-2BUgxyvqmxyyhla9i9L0DPgxKHjzX5fRYSqYSMCkZ6mF3quFhXFVLWHyLHfusJncjZ5rzjOMn0tJBSh6fYY5lEbZIyjWyZWwHj9AqZ11gvEJ03Q0dIf4Z4m82u9lFgPR8ow1svMO1OZ3DxKbCYBeJPZUE2-2Bb6CFc2QPujqVpKKGWaM6P-2FPObZK0hUwN4t-2F-2BJay3XejxPuhRNdBbYFPzqlv2F2d7ZwtzBvxfeVITWeDNVx9tLL-2BepSE0VWftTXMjnTgFq0Va3mO5f2WRi-2Fa0U0wm-2F9rtZC7bZjgvs9JO5kT3uRrLrjzXXoj-2FPAoFccjrRfIeEjVxY1hxv-2FirK9GRhjvS99-2FvcjomZpxiGgicfz-2FiBYQPD5gWPMsT-2FjiJhBWYSTsjaFBtdT3GIA-3D-3D" sondé les PME en février dernier afin de documenter le sujet et apporter une contribution constructive.
Les résultats de cette enquête dévoilent qu’une minorité de PME seulement (34 %) ont déjà embauché et/ou emploient actuellement des jeunes de 16 ans et moins, et que, parmi ces répondants, une forte majorité emploie des membres de leur famille. Vous trouverez l'intégralité du communiqué de presse : site FCEI.
Benjamin Rousse, FCEI
Montréal
Le chemin Vanier est l'une des plus anciennes voies nord-sud d'Aylmer, avec de grands arbres anciens le long des deux côtés. Il y a des quartiers résidentiels dans différentes parties de cette longue route, plus la limite ouest du parc industriel, le lac de la carrière avec des bois, et maintenant une zone commerciale à l'angle des Allumettières.
Il y a quelques années, j'ai lu la suggestion de la rédactrice en chef selon laquelle la ville devrait exiger une servitude le long du chemin Vanier, entre les Allumettières et le chemin Pink. Elle suggérait que suffisamment de côtés du chemin Vanier soient préservés pour des sentiers à usages multiples, tout en conservant les grands arbres le long du chemin.
Je vois sa vision ! Je m'imagine faire du vélo entre le chemin Vanier et les nouveaux quartiers qui s'installent là où il y avait autrefois des terrains de vente d'automobiles et quelques maisons à grand terrain. Je m'imagine faire du patin à roues alignées sous des arbres matures. J'imaginais que ces nouveaux ensembles résidentiels ne donneraient pas tous sur le chemin Vanier, comme si ce dernier était le vieux chemin laid que personne ne veut voir, dépouillé de ses arbres matures.
Aujourd'hui, en circulant dans ce secteur, je vois des terrains défrichés où il ne reste plus un seul arbre.
Et cela jusqu'au chemin Vanier, alors il est certain que ce qui nous attend est exactement ce que personne ne veut : des bouts de nouveaux lotissements, repliés sur eux-mêmes avec de nouveaux arbres grêles plantés là où il y avait autrefois des arbres anciens massifs.
Ces quartiers ne sont pas propices aux promenades à pied ou à vélo. Il aurait pu être agréable de se rendre au Maxi pour y faire ses courses. Maintenant, il y aura des quartiers fermés, uniquement accessibles en voiture.
Je ne peux pas croire que le conseil municipal de Gatineau laisse faire cela - encore une fois. Honte aux conseillers. Honte au nouveau maire. Il est incroyable que l'administration ne donne pas de conseils à ce sujet. ( Développement du chemin Vanier : Le Conseil de Gatineau n'est pas là !
Le chemin Vanier est l'une des plus anciennes voies nord-sud d'Aylmer, avec de grands arbres anciens le long des deux côtés. Il y a des quartiers résidentiels dans différentes parties de cette longue route, plus la limite ouest du parc industriel, le lac de la carrière avec des bois, et maintenant une zone commerciale à l'angle des Allumettières.
Il y a quelques années, j'ai lu la suggestion de la rédactrice en chef selon laquelle la ville devrait exiger une servitude le long du chemin Vanier, entre les Allumettières et le chemin Pink. Elle suggérait que suffisamment de côtés du chemin Vanier soient préservés pour des sentiers à usages multiples, tout en conservant les grands arbres le long du chemin.
Je vois sa vision ! Je m'imagine faire du vélo entre le chemin Vanier et les nouveaux quartiers qui s'installent là où il y avait autrefois des terrains de vente d'automobiles et quelques maisons à grand terrain. Je m'imagine faire du patin à roues alignées sous des arbres matures. J'imaginais que ces nouveaux ensembles résidentiels ne donneraient pas tous sur le chemin Vanier, comme si ce dernier était le vieux chemin laid que personne ne veut voir, dépouillé de ses arbres matures.
Aujourd'hui, en circulant dans ce secteur, je vois des terrains défrichés où il ne reste plus un seul arbre.
Et cela jusqu'au chemin Vanier, alors il est certain que ce qui nous attend est exactement ce que personne ne veut : des bouts de nouveaux lotissements, repliés sur eux-mêmes avec de nouveaux arbres grêles plantés là où il y avait autrefois des arbres anciens massifs.
Ces quartiers ne sont pas propices aux promenades à pied ou à vélo. Il aurait pu être agréable de se rendre au Maxi pour y faire ses courses. Maintenant, il y aura des quartiers fermés, uniquement accessibles en voiture.
Je ne peux pas croire que le conseil municipal de Gatineau laisse faire cela - encore une fois. Honte aux conseillers. Honte au nouveau maire. Il est incroyable que l'administration ne donne pas de conseils à ce sujet. ( Traduit )
Samantha Jennings
Aylmer
L'article du Bulletin sur le gâchis du hockey mineur dans notre région (il y a environ un mois) était très intéressant. Nos autorités sportives n'ont pas les moyens d'assurer le fonctionnement et la séparation de tous les niveaux de jeu mineur, alors elles mettent ensemble des enfants qui ne sont pas du tout assortis. Pourquoi s'en préoccuper ? Pour donner à ces enfants le sentiment d'être réellement battus par des joueurs plus grands et plus expérimentés ? Les autorités font probablement de leur mieux, mais c'est une vieille histoire : elles ont des limites budgétaires.
Plusieurs hôpitaux de notre région ont fermé des services essentiels - les mères qui accouchent doivent conduire pendant des heures pour se rendre à Gatineau (oh, il y a des promesses. ...), et ainsi de suite, les écoles sont "consolidées", ce qui donne aux enfants plus d'une heure de trajet chaque matin et chaque soir ... ils sont sûrs d'aimer l'éducation après trois ans de cela ! Tout cela à cause des déficits budgétaires et des "réductions d'impôts".
Si vous entendez un politicien ou un journaliste affirmer que "les réductions d'impôts vous permettent de garder votre argent dans votre poche", éteignez la radio ; ce sont des escrocs. Les impôts servent à financer tous les services que le gouvernement est censé fournir. Le but du gouvernement n'est pas d'"économiser de l'argent". C'est le rôle des banques. Le gouvernement doit fournir des services, de manière frugale.
Mais d'une manière ou d'une autre, ces experts en relations publiques (c'est tout ce que de nombreux politiciens semblent être) peuvent dire ce qu'ils veulent et les médias passent au sujet suivant - probablement un autre argumentaire de vente - et personne ne les interpelle publiquement. Ils s'en vont en comptant leur prime à venir, aussi bien le politicien que le journaliste.
"Une réduction d'impôts"... n'est-ce pas comme un coup de pioche ? Si nous voulons de meilleurs services de santé, nous devons les payer. (Traduit)
R.X. Martin
Aylmer
Les lettres à l'éditeur du Bulletin d'Aylmer sont lues par environ 50 000 personnes (faites correspondre les médias sociaux !) qui vivent dans votre communauté et partagent vos préoccupations. Quelques directives pour s'assurer que votre lettre sera publiée :
Toutes les lettres doivent être signées avec un numéro de téléphone (non publié).
N'importe quelle langue est acceptable... mais soyez clair, civil et convaincant, pas grossier.
Soyez court et concis : TOUTES les lettres sont révisées pour des raisons de grammaire, de ponctuation, d'orthographe, etc. et de longueur. Attendez-vous à ce que votre lettre soit révisée.
Nous recevons de nombreuses lettres et l'espace est compté : ne vous répétez pas et n'ajoutez pas de commentaires inutiles.
Les lettres sont des opinions personnelles ; elles ne sont pas des articles d'actualité, ni des commentaires de ce journal. Nous acceptons les réponses à des lettres antérieures.
Nous n'acceptons pas les lettres faisant l'éloge ou la critique des entreprises locales. Nous n'acceptons pas les attaques personnelles, ni les articles promotionnels pour des candidats ou des partis politiques.
Le rédacteur en chef
Je tiens à remercier chaleureusement tous les travailleurs d'Hydro-Québec qui ont travaillé sans relâche pour nous aider à surmonter la dernière tempête de verglas. Espérons que ce soit la dernière de cet hiver ! Voilà un service gouvernemental qui est offert sur tout le vaste territoire rural de l'Outaouais - et pourtant nous payons moins cher que l'électricité privatisée de l'Ontario ! Merci à tous ! (traduit)
Blake Henry
Aylmer
Quel plaisir de voir nos lumières s'allumer ce matin, alors que nous nous levions, nous attendant à une autre journée sans électricité. Hier soir, nous avions vidé notre réfrigérateur dans des glacières, avec de la glace ! Notre famille est redevable à tous les travailleurs d'Hydro - et aux ingénieurs - qui font de leur mieux contre tout ce que Mère Nature nous envoie. Cela ressemble à l'avenir de notre planète. (traduit)
Michel Tsing
Aylmer Nord
L'élection au Danemark est un exemple puissant de la façon dont la représentation proportionnelle transforme la démocratie Le contraste avec la dernière élection du Canada ne pourrait pas être plus frappant. Ce n'est pas seulement dans les chiffres - c'est dans la politique.
Au Canada, avec le scrutin uninominal à un tour, la recherche du pouvoir est le moteur de l'agenda. Les gouvernements minoritaires sont précaires. Ils durent jusqu'à ce qu'un parti pense pouvoir s'emparer de tout le pouvoir avec 39 % des voix. Ils veulent obtenir le contrôle total du Parlement.
La plupart des gouvernements minoritaires du Canada ont duré environ deux ans. Au Danemark, par contre, les élections ont lieu de façon prévisible tous les 3 ou 4 ans.
Grâce à la représentation proportionnelle, aucun parti unique n'a obtenu tout le pouvoir au Danemark depuis 1909. La dernière fois que le Danemark a eu un gouvernement qui n'a duré que deux ans, c'était en 1979. Les partis danois ont appris à travailler ensemble et les électeurs attendent d'eux qu'ils le fassent.
Contrairement au Canada, où le Premier ministre n'assiste qu'à deux débats avec les autres chefs de parti, les électeurs danois peuvent regarder 13 débats télévisés. Cela permet aux électeurs de mieux comprendre les politiques proposées par chaque parti.
Les médias danois obtiennent des résultats élevés ou exceptionnels en matière de liberté d'expression, d'indépendance politique et d'intégration sociale. Une étude réalisée en 2022 sur la façon dont les médias danois ont couvert les élections a conclu que les médias danois accordent un traitement équitable aux préoccupations des élites et du public.
Élection de 2022 au Danemark : chaque électeur a vraiment compté pour le résultat. Le taux de participation aux élections danoises a été de 84,1 %. La dernière élection fédérale au Canada ? 62.3%.
Les élections canadiennes sont souvent caractérisées par des discours de peur qui divisent et une politique de "course de chevaux". Un sondage réalisé immédiatement après la dernière élection a montré que 49% des électeurs canadiens utilisaient leur vote pour arrêter un parti qu'ils n'aiment pas, plutôt que pour élire un parti qu'ils soutiennent.
Au Danemark, les électeurs pouvaient voter pour les partis et les candidats en lesquels ils croyaient, en sachant que leur vote comptait vraiment. 98,46 % des électeurs danois ont déposé un bulletin de vote qui a permis d'élire un député.
Lors des dernières élections fédérales au Canada, la majorité des Canadiens (52 %) ont voté pour des bulletins qui n'ont fait aucune différence.
Anita Nickerson FVC
Ottawa
La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) est ravie de voir que le budget fédéral présenté confirme que les frais de transaction par carte de crédit pour les petits commerçants seront réduits, tel que promis l’automne dernier. Toutefois, le gouvernement a raté l’occasion d’aider les PME à faire face à la hausse des frais d’exploitation alors qu’elles sont lourdement endettées.
Benjamin Rousse, FCEI
Montréal
Au Canada, l’extrémisme violent est considéré comme un problème de santé publique pour lequel des programmes de prévention s’imposent, et la montée de la violence attribuable aux mouvements d’extrême droite est devenue un enjeu de sécurité nationale. Une nouvelle https://link.mediaoutreach.meltwater.com/ls/click?upn=b04-2FxJjw1-2Bw6PXZG8mTj1tctobHoQRqkhBSCQohB0apJY6EA1i3WdUc20yX3yk-2F3k3w7Ckuj8xkDB7yMK1j8pQ-3D-3DNtE9_Y-2BXF-2B1WmAx-2BUgxyvqmxyyhla9i9L0DPgxKHjzX5fRYSqYSMCkZ6mF3quFhXFVLWHp9Z1ec03idrWKvxvdHl5ed55psamQHLV6MH-2BN5B7JDjcYZAzhpEtsQ59ZNxQ5dB2UYdjlXkw6VQ5mVPcFKkDdeRPHcLQZOBRR5r15uqrdi-2BJfDP8GMvEXi4FT4m1XhpH7KI4C7URf58XEAribF5J3J8DkmvAblqtny5yRO3Zr-2Fhd-2FWuR233y-2BhlyKqmudHZ4SPxNO9WLxcXocjSGBp51W-2F2H1e79wMW80bTZNRv-2F3xdTnEaCuTGZixPk8jaMkHFsDsdZefTo-2FFekc1syYR1LOUUMJGPznrTxoC3LmCnOP5NP5nynzAeXXXekvXk9UhFBr3CWClvFiAU4a7PAFttw6g-3D-3D étude met en lumière la nécessité de créer des services spécialisés. Menée auprès de plus de 150 personnes radicalisées dirigées vers l’Équipe de polarisation, l’étude a révélé que la majorité d’entre elles avaient besoin de services de santé mentale, mais que, souvent, elles n’en obtenaient pas à cause d’un manque de confiance dans le système ou parce que les fournisseurs de soins de première ligne estimaient ne pas avoir les outils nécessaires pour les aider.
Environ un tiers des personnes radicalisées présentaient un extrémisme violent associé à l’extrême droite et un autre tiers présentait un comportement violent sans lien avec une idéologie. En outre, plus d’un quart des membres de ce groupe entretenaient des idées extrémistes liées au genre, et la plupart avaient déjà eu recours à des services de santé mentale. Autre constatation : plus d’un tiers de ces personnes étaient aux prises avec un trouble anxieux (36,9 %), plus d’un tiers étaient atteintes de troubles de l’humeur ou de troubles liés au stress (35,7 %) et près d’un tiers avaient reçu un diagnostic de trouble du spectre de l’autisme (28 %).
Shirley Cardenas, Université McGill
Montréal
Une autre année, un autre événement météorologique majeur entraînant des pannes d'électricité. Au plus fort de la tempête de verglas, je me trouvais dans mon jardin lorsque deux branches vieilles de trente ans se sont abattues sur la propriété de mon voisin.
Heureusement, personne n'a été blessé et les branches étaient loin des lignes électriques aériennes. Le changement climatique signifie que les conditions météorologiques extrêmes et les vents violents vont devenir un phénomène extrêmement courant. Il est temps de s'adapter. Commençons par voter pour les conseillers municipaux et les hommes politiques qui soutiennent l'enfouissement des lignes électriques. Pour ceux qui disent que cela coûte trop cher, prenez le temps de réfléchir à ce que la récente tempête de verglas (et le derecho de l'année dernière) a coûté à la région en termes de perte de revenus, de remplacement des biens endommagés et de la nourriture avariée, d'augmentation des primes d'assurance, etc... Les lignes électriques aériennes n'ont plus d'utilité - enterrons-les dans le cadre d'un programme de résilience pluriannuel. Cela permettra également d'éviter l'élagage brutal des arbres matures et sains qui se trouvent actuellement à proximité des lignes électriques (sans parler des innombrables arbres utilisés pour les poteaux). ( Traduit )
Martin de Vries
Aylmer
La grève potentielle des travailleurs de l’Agence du revenu du Canada (ARC), qui demandent des augmentations salariales de 33 % sur trois ans, présente un risque pour les propriétaires de PME. En effet, ceux-ci dépendent quotidiennement des services et des renseignements fiscaux fournis par l’ARC, rappelle la FCEI.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Selon une enquête de l'organisation non gouvernementale Global Witness, près de 40 % des chercheurs en climatologie déclarent avoir été victimes de harcèlement ou d'abus en ligne en rapport avec leurs recherches sur le climat.
Ces abus ne se limitent pas à soulever des objections. Un tiers des femmes climatologues qui déclarent avoir été victimes d'abus disent avoir reçu des attaques spécifiquement liées à leur sexe. Comme ces trolls cachent leur identité, ils utilisent le langage le plus grossier, inacceptable dans une conversation quotidienne. Je suppose qu'ils se prennent pour des génies parce qu'ils peuvent lancer une pierre ou un œuf pourri sans risquer de se faire prendre ! Pourquoi tant de personnes sur les médias sociaux renoncent-elles à leurs propres principes moraux lorsqu'elles s'engagent avec d'autres utilisateurs ? La controverse est utile, mais seulement si elle est utile.
Ces attaques en ligne pourraient décourager les chercheurs de poursuivre leurs recherches sur le climat (ou tout autre sujet) et, certainement, de partager leurs résultats avec le public, selon un employé de Global Witness qui répertorie ces attaques. Il nous appartient à tous de condamner cette pratique destructrice et, à tout le moins, de ne pas répondre à ces messages sans queue ni tête et de ne pas les transmettre.
Hubert Petrides
LePlateau / Gatineau
Le Regroupement pour la surveillance du nucléaire et des chercheurs de cinq universités exhortent Ottawa à reconsidérer son soutien financier et politique au retraitement au Canada – l'extraction du plutonium du combustible nucléaire usé.
Le plutonium est l'une des matières-clés nécessaires à la fabrication d'armes nucléaires . Le plutonium est créé comme sous-produit dans les réacteurs nucléaires. Une fois extrait, le plutonium peut être utilisé soit comme combustible nucléaire, soit comme explosif nucléaire.
La semaine dernière, un comité de la Chambre des communes a publié un rapport recommandant que le gouvernement examine le retraitement des déchets nucléaires et ses répercussions sur la gestion des déchets et la vulnérabilité à la prolifération [des armes nucléaires] ».
Autoriser le retraitement du plutonium au Canada, c'est envoyer un signal dangereux aux autres pays en leur disant qu'ils peuvent extraire du plutonium à des fins commerciales. Une telle pratique augmente le risque d'étendre les capacités d'armement nucléaire à des pays qui ne possèdent pas actuellement les moyens de fabriquer des armes nucléaires. Le risque est d'autant plus grand si le Canada vend la technologie, comme cela est actuellement envisagé.
Dr Gordon Edwards, Ph.D., Regroupement pour la surveillance du nucléaire
Refrew / Ile aux Allumettes, Pontiac
L'étude du 15 mai 2020 intitulé "http://www.sto.ca/index.php?id=837&L=fr%2Fcalendrier_e.html" Mise à jour sur l'avancement des analyses d'insertion au centre-ville d'Ottawa" explique de façon nébuleuse qu'il faudra transporter entre 7 500 et 12 000 personnes par heure sur le pont Du Portage dans quinze ans, ce qui semble improbable. La ville de Québec planifie un achalandage de 3 200 passagers à l'heure . Cela est d'autant plus vrai compte tenu de la généralisation du télétravail . Pour répondre à cette demande, l'étude préconise l'utilisation de 105 autobus articulés avec 72 passagers ou 25 tramways avec 300 passagers chacun, sans préciser s'il s'agit pour une seule direction ou pour les deux, pourtant une information essentielle pour bien comprendre les besoins.
Supposons qu'il y ait 7 500 passagers dans un sens et 3 500 dans l'autre, ce qui saturerait immédiatement le tramway. Par comparaison, l'autobus articulé, lui, est à moitié vide. Avec une capacité de 260 passagers pour le modèle proposé à Québec, ce dernier ne répondrait pas aux besoins. Comparativement, le modèle de Waterloo, Ontario , transporte 200 passagers. La configuration Spirit la plus longue par Alstom a compté 344 passagers. Au-delà, ça nécessite des tramways couplés, des garages doublés en surface et des stations disproportionnellement longues. Avertissement : selon le scénario de cette étude, on en déduit que de nouveaux investissements massifs seront requis dans 15 ans.
Il convient de souligner l'importance de prendre en compte le fait que l'étude exige une fréquence de pas moins de 25 tramways par heure, ce qui est plus intense que celui du métro de Montréal . Il est évident, la sécurité des usagers n'est pas prise au sérieux.
Si vous croyez toujours que le tramway est la solution au transport en commun pour Aylmer, ne vous en faites pas. C'est normal. Nous sommes bombardés de messages positifs pour le tramway. Il n'y a pas si longtemps, l'industrie du tabac nous faisait croire que fumer des cigarettes mentholées était bon pour la toux . L'industrie du tramway ne fait pas exception !
Mes suggestions à vous.
- Demander un remboursement pour cette étude !
- Lors de la prochaine ronde de financement, inclure dans le budget, de bien mettre à jour et de bien évaluer les données en deplacements.
- L'important pour le moment n'est pas au choix du matériel roulant, mais au parcours. Peu importe quel matériel roulant sera choisi. Il est primordial de concentrer notre énergie sur la création de corridors rapides et inévitablement sans obstacle
André Simonson
Gatineau
Le constat n’est pas récent. Disons crûment ce qui se passe sur le terrain.
L’objectif : être élu. Le moyen? D’abord écoutez les électeurs. Ensuite dites leurs haut et fort ce qu’ils veulent entendre. Rassemblez leurs désirs (qui ne sont pas toujours leurs besoins) dans un projet spectaculaire, voire pharaonique qui fera appel à leur imagination. Un projet qui soit de nature à solutionner les problèmes que vous leur aurez inventés. Un plan nord par exemple, un nouveau mode de scrutin ou un troisième lien entre Québec et Lévis. Faute de quoi vous pourrez toujours vous replier sur la méthode Trudeau (1980). « Vous voulez du changement? Nous mettons notre tête en jeu. Vous aurez du changement ». Et nous eûmes 1982. Morale : ne pas définir trop précisément la nature du changement que vous proposez.
Le projet est irréalisable? Grotesque? Le changement que vous projetez est aux antipodes de ce qui est souhaité? Qu’à cela ne tienne! Vous aurez tout un mandat pour faire oublier; une pandémie comme bouc émissaire, ou encore une récession ou même une guerre dans un pays lointain pour expliquer le changement de cap. Vous trouverez toujours des médias malléables et d’excellents communicateurs pour convaincre les récalcitrants que le produit livré est très exactement ce qu’ils avaient commandé. À la rigueur, il vous restera à inventer une nouvelle crise pour faire oublier la précédente. Mieux encore, faites comme les ministres de la CAQ. Des excuses, des larmes et des actes de contrition qui feront dire aux citoyens que " c’est merveilleux un politicien qui fait acte d’humilité, reconnaissant ses torts ". Cela vous permet de berner les gens sans en être pénalisé et même de tirer profit de vos astuces et vous faire élire de nouveau.
À une autre époque, l'électeur échangeait son vote pour un frigo, un bout de chemin, un pont, même un emploi pour lui ou un membre de sa famille. Aujourd’hui les ponceaux sont devenus des tunnels et les dollars prennent forme de crédit d’impôt.
Gérard Laurin
Gatineau / Aylmer
D'après l'article publié dans Le Soleil, la ville de Québec a divulgué pour la première fois des données sur l'entretien du tramway pour les 30 premières années après sa mise en service. Le contrat signé avec Alstom pour l'entretien s'élève à 768 millions de dollars, soit 25 millions de dollars par an. Ces nouvelles pourraient cependant avoir des répercussions sur le projet de tramway de Gatineau. En effet, la ville de Gatineau devra tenir compte des coûts d'entretien élevés associés à la construction d'un système de tramway, qui pourraient dépasser les 30 millions de dollars par an. À ceci s'ajoutent les coûts initiaux de construction, les frais d'exploitation et les très importants risques qui sans suit.
Dans l'ensemble, ces développements récents suggèrent que la construction d'un système de tramway pourrait être plus coûteuse et plus complexe que prévu. La ville de Gatineau devra donc être vigilante et prendre en compte ces facteurs lorsqu'elle décidera de poursuivre ou non son projet de tramway.
Par ailleurs, un autre article de Radio-Canada a noté que le projet de troisième lien entre Québec et Lévis pourrait être réservé exclusivement aux transports en commun. Ce troisième lien permettrait de réduire le nombre de voitures sur la route et d'améliorer la qualité de l'air. Sur ce, lors d'une réunion du conseil de la STO, il a été révélé qu'un nouveau pont réservé au transport public serait bénéfique pour la région. Ce pont se situera entre le musée National de la Guerre et la station Taché/UQO, créant un lien direct entre le centre Hush Puppies et le nouvel aréna des Sénateurs. Si la ville de Québec peut avoir un nouveau tunnel, Gatineau peut avoir un nouveau pont dédié au transport en commun. Ce pont, tout comme celui du pont Du Portage, ont la possibilité d'être bimodaux. Une tendance actuelle consiste à privilégier le transport en commun sur les nouveaux liens, comme les ponts et tunnels.
Il est important de se concentrer sur la création de corridors rapides et ininterrompus pour le transport en commun, indépendamment du choix de matériel roulant. Des efforts doivent être déployés en ce sens. Quels sont les projets en cours ou planifiés visant à créer des couloirs sans obstacles pour la STO ?
André Simonson
Gatineau
Dans la dernière chronique de Didier, il déclare que la contribution du contribuable à Radio-Canada est faible, mais 1,24 milliard n'est pas faible, à moins que ce ne soit l'argent des autres. Je suppose qu'il est allé à l'Université des Finances Chrystia Freeland et qu'il était le premier de sa classe.
Les Libéraux fédéraux ne contrôlent pas Radio-Canada; ils n'y sont pas obligés -- Radio-Canada est un bastion de l'idéologie de gauche qui reflète la propagande Libérale. S'il vous plaît, arrêtez de faire référence à ce qui se passe au sud de la frontière pour justifier ce que nous devrions faire au Canada; concentrez-vous sur ce qui se passe réellement ici. L'alarmisme est un stratagème classique des progressistes pour justifier leur contrôle de la liberté d'expression, le projet de Loi C-11 en est un excellent exemple. Assez dit, un Canada fort et libre !
Peter McCauley
Aylmer
Afin de réduire le nombre de feux de végétation ce printemps, la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) lance sa campagne annuelle de sensibilisation, en déboulonnant certains mythes sur le sujet. Une série de vignettes éducatives et deux vidéos animées seront diffusées jusqu’à la fin du printemps, principalement via les médias sociaux. L’objectif de cette campagne est de rappeler que contrairement à la croyance populaire, c’est au printemps que surviennent la majorité des incendies forestiers québécois, notamment en raison de la perte de maîtrise de nombreux brûlages de rebuts initiés par des résidents.
La SOPFEU souligne qu’au printemps, les pompiers municipaux et les pompiers forestiers de la SOPFEU interviennent en moyenne sur 275 incendies affectant la forêt. À cette époque de l’année, malgré le temps frais et les sols encore humides, le risque d’incendie est souvent très élevé. En fait, avant l’apparition de la feuillaison et de la verdure, le combustible au sol est composé d’herbes fanées, de feuilles mortes et de broussailles sèches, qui sont hautement inflammables. Il suffit de quelques heures d’ensoleillement et d’un peu de vent pour que la végétation morte s’assèche rapidement et que le niveau du danger d’incendie grimpe de façon substantielle. Un feu peut alors se propager sur une bonne distance et menacer la forêt de même que les bâtiments à proximité.
Melanie Morin, SOPFEU
Messines
Vivre en Ville salue la décision d'étudier un lien dédié au transport collectif annoncée par la ministre des Transports et de la Mobilité durable Geneviève Guilbault. L'annulation du projet de troisième lien autoroutier est une décision responsable et la volonté d'offrir une véritable alternative durable pour la mobilité interrive est inspirante.
L'étalement urbain, qui nous coûte personnellement et collectivement très cher, est notamment le résultat de décennies de construction de réseaux autoroutiers qui ont eu un effet important et dommageable sur les collectivités. Pour renverser la tendance et gagner le pari de la mobilité durable, il faudra des investissements au moins aussi importants en transport en commun.
L'ambition de structurer le développement urbain autour d'un projet ambitieux de mobilité durable est emballante, d'autant plus que l'opportunité est belle d'interconnecter le projet avec le futur tramway. Voilà une vision cohérente avec la Politique nationale de l'architecture et de l'aménagement du territoire, dont le plan de mise en œuvre est attendu au cours des prochaines semaines.
Christian Savard, Vivre en Ville.
Quebec
Lettres de mars
Le mot « systémique » est devenu de plus en plus populaire depuis quelque temps; de sorte qu’aujourd’hui j’ai été témoin de ce que je me permets de qualifier maintenant d’âgisme systémique.
Je vous raconte que ce matin, 6 mars 2023, j’ai accompagné au bureau des passeports du Canada un ami qui, tout comme moi, réside dans une résidence de personnes retraitées depuis une dizaine d’années.
Avant de s’y rendre, nous avons vérifié que toute la paperasse qu’il devait produire était en ordre. Sur le formulaire j’agissais comme répondant, de sorte que je devais, inscrire mes nom et prénom en lettres moulées.
Nouvelle obligation, je me devais d’inscrire aussi mon propre numéro de passeport « valide ». J’ai été surpris de constater que pour être un répondant de nos jours il nous fallait avoir un passeport non-expiré. À nos âges, dans la mi-quatre-vingtaine, rare sont ceux qui détiennent encore un passeport.
En suivant les instructions je me suis appliqué à bien comprendre que parfois les directives adressées au répondant s’adressaient plutôt au demandeur. Que voulez-vous, au gouvernement fédéral on massacre non seulement la traduction de la langue française mais, dans ce cas-ci, sa compréhension.
J’ai poursuivi en apposant ma signature à l’endos de la photo de mon ami, confirmant l’authenticité de celle-ci et corroborant ainsi que cette photo représente bien le demandeur du passeport. Par la suite j’ai signé mon nom au bas du formulaire.
De son côté, mon ami avait en main un certificat de naissance fraîchement reçu du Directeur de l’État civil du Québec, copie récente d’une facture dont le nom et l’adresse confirmait qu’il s’agissait bien de lui et de son lieu de résidence et bien entendu sa carte d’assurance-santé du Québec. De plus son numéro d’assurance sociale de 9 chiffres et sa signature complétaient toute la paperasse requise.
ATTENTION ! On refuse de prendre ses documents, il devra tout recommencer, sa carte d’assurance-santé, bien qu’elle soit authentique, conforme et en vigueur, ne comporte pas sa photo. Pourtant c’est bien imprimé dans le plastique de la carte « Cette carte est valide sans la photo ».
Après 80 ans, la Régie de l’Assurance Maladie du Québec (RAMQ) n’exige plus de photo du détenteur de la carte, car habituellement une telle photo est liée à notre permis de conduire. Alors quand on n’a pas de permis de conduire, on ne va plus à la Société d’Assurance Automobile du Québec, (SAAQ) donc on ne prend plus de photo, ainsi la carte santé est sans photo.
Conclusion, même avec votre certificat de naissance, votre carte d’assurance-santé en vigueur, vos photos bien signées et corroborées, votre numéro d’assurance sociale inscrit au formulaire, et votre présence en personne qui permet au fonctionnaire de constater « de visu » que vous ressemblez bien à votre photo, on refuse de recevoir votre demande. Vous êtes en quelque sorte « passé date », trop vieux, rentrez chez-vous.
Voilà ce que j’appelle de « l’âgisme systémique » à Passeport Canada.
Antoine L. Normand
Aylmer
Pour la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Gatineau (CCG), le budget fédéral 2023-2024 devrait viser à restaurer l’efficacité de l’action gouvernementale, cruciale dans le contexte d’incertitude actuel. En effet, les lourdeurs administratives, le chevauchement fréquent et le ciblage parfois déficient des programmes d’aide fiscale et financière, sans oublier les délais exagérés du système d’immigration plombent notre potentiel de croissance économique. Tant les entreprises que les citoyens et les nouveaux arrivants font les frais de ces inefficacités de la bureaucratie fédérale.
« En plus du contrôle de l’inflation, la lutte contre les pénuries de main-d’œuvre doit évidemment demeurer au sommet des priorités gouvernementales, afin de soutenir les entreprises et de préparer le retour à une croissance plus vigoureuse. Le budget fédéral 2023-2024 doit être l’occasion d’accentuer mais aussi d’affiner les efforts en ce sens, d’accroître leur efficacité », a indiqué Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.
« Nos propositions reflètent ces attentes. Nous réitérons par exemple l’importance des incitatifs fiscaux à la rétention des travailleurs expérimentés et celle de la modernisation du régime de l’Assurance-emploi. Mais nous recommandons aussi d’accélérer le traitement des demandes d’immigration ainsi que l’émission des permis de travail, puis de mieux financer les programmes de stages pratiques et la formation continue », a souligné M. Milliard.
Finances publiques et fiscalité
Sur le plan des finances publiques, la FCCQ et la CCG, considèrent que le gouvernement fédéral devrait prévoir différents scénarios d’élimination du déficit suivant l’évolution des conditions économiques, et adopter une loi sur l’équilibre budgétaire. À moyen terme, un examen approfondi du régime fiscal visant sa simplification serait de mise, tout comme l’amorce de discussions avec le gouvernement du Québec sur le rapport d’impôt unique.
« De plus en plus d’experts le disent, le gouvernement fédéral doit reprendre le contrôle de ses finances publiques et cela passe par le retour à l’équilibre budgétaire d’ici 2027-2028. Les signaux envoyés à l’énoncé économique cet automne sont positifs en ce sens, mais une réévaluation en profondeur des dépenses budgétaires et fiscales, puis l’élimination des dédoublements coûteux et inefficaces peuvent y contribuer », selon Charles Milliard.
Appui aux entreprises
Considérant le ralentissement économique annoncé pour 2023, le fardeau fiscal des entreprises ne devrait surtout pas s’alourdir. La FCCQ et la CCG proposent en ce sens de reconsidérer la pertinence et les critères de taxation des revenus passifs et surtout, du transfert d’entreprises familiales, soit le projet de loi C-208. « Nous attendons les modifications législatives annoncées pour C-208 et souhaitons des progrès rapides dans ce dossier, crucial pour le Québec », a rappelé M. Milliard.
Par ailleurs, alors que l’accès des entreprises au financement s’amenuise, un effort accru s’impose pour augmenter l’offre de capital de croissance et le soutien à la modernisation technologique. La FCCQ et la CCG souhaitent donc un déploiement rapide et surtout, des critères d’admissibilité souples pour les mesures annoncées, dont la création de la Corporation d’innovation du Canada ou le réexamen du crédit d’impôt à la recherche scientifique et au développement expérimental (RS&DE).
Développement régional, transport et infrastructures
Des interventions structurantes sont ainsi attendues dans les dossiers importants pour le développement régional que sont l’élaboration d’une solution de transport ferroviaire moderne entre Québec et Toronto, le financement de la mobilité durable urbaine et interurbaine ainsi que des chemins de fer d’intérêt local, le soutien aux infrastructures aéroportuaires régionales, puis le déglaçage des voies maritimes du Saint-Laurent et de ses grands affluents.
« Les impacts économiques du cycle inflationniste et du ralentissement en cours seront inégaux selon les régions et les secteurs. Il est nécessaire de présenter dès maintenant les mesures budgétaires susceptibles de fluidifier l’activité économique à travers le territoire, pour assurer le retour à une croissance durable, bénéficiant à l’ensemble des régions du Québec », a conclu Charles Milliard.
Pascale de Montigny-Gauthier
Spokesperson, Chambre de commerce de Gatineau
Oups! L’équipe du Bulletin d’Aylmer souhaite attirer l’attention du lecteur sur une erreur qui s’est glissée dans l’édition du 8 mars. Dans l’article intitulé « L’UQO veut éliminer les obstacles d’accès à la procréation assistée pour les femmes LGBTQ+, trans et non binaires », l’expression « femmes non binaires » a été utilisée. Ces mots, ensemble, créent un oxymoron. Le terme que nous utilisons est « personnes non binaires » et « femmes transgenres ». Veuillez nous excuser pour toute confusion que cela a pu causer.
L’éditrice
Après près de 40 ans, n'est-il pas temps que les résidents du Québec ne soient plus traités comme des citoyens de seconde zone lorsqu'ils ont besoin de soins médicaux ou chirurgicaux ailleurs au Canada ?
L'un des cinq principes de la Loi canadienne sur la santé est la transférabilité. La LCS a été adoptée à l'unanimité en 1984, c'est-à-dire que tous les députés québécois ont voté en sa faveur. Les Québécois, comme les autres Canadiens, bénéficient de la transférabilité des prestations hospitalières. Toutefois, l'article 11 stipule clairement que lorsque les patients sont traités dans une autre province ou un autre territoire, c'est le tarif "province d'accueil" du médecin qui s'applique, et non le tarif "province d'origine" du patient. Toutes les provinces et tous les territoires ont signé l'accord de facturation médicale réciproque (Reciprocal Medical Billing Agreement - RMBA) afin de faciliter les paiements.
Toutefois, le Québec a refusé de signer et ne paie que ses propres tarifs. Peu de médecins des autres régions du Canada acceptent la carte de santé du Québec. La plupart d'entre eux exigent un paiement initial et laissent le patient se faire rembourser partiellement par le gouvernement du Québec. Cela peut prendre des mois.
Trois cas de figure se présentent :
1) Les patients de l'ouest du Québec qui ne parviennent pas à trouver un médecin de famille ou qui souhaitent consulter un spécialiste peuvent demander des soins médicaux ou chirurgicaux à Ottawa.
2) Les patients québécois en vacances ou en voyage d'affaires qui ont besoin d'un traitement médical ou chirurgical urgent dans une autre partie du Canada.
3) Les patients québécois qui s'installent définitivement dans une autre province ou un autre territoire et qui, pendant les trois premiers mois, ne sont couverts que par une carte d'assurance maladie du Québec que peu de médecins acceptent. Certains d'entre eux peuvent avoir besoin de renouveler leur ordonnance ou d'effectuer des tests de diagnostic peu après leur arrivée.
Pendant de nombreuses décennies, ce problème a été ignoré par les premiers ministres et les ministres fédéraux de la santé de toutes tendances politiques.
Je note que le Premier ministre Justin Trudeau et le ministre de la santé Duclos représentent tous deux des circonscriptions du Québec. Je trouve surprenant qu'ils restent si peu préoccupés par l'importante lacune dans la couverture de santé publique des autres Québécois lorsqu'ils s'aventurent de leur province vers une autre partie du Canada.
Le 1er mars 2023, le ministre fédéral de la santé, Jean-Yves Duclos, a indiqué qu'il récupérait 82 millions de dollars de transferts fédéraux en matière de santé à huit provinces en raison des frais facturés aux patients en 2020 et 2021 - principalement pour des procédures de diagnostic. Il a également mis en garde contre de futures récupérations concernant les frais facturés par les cliniques privées pour des soins virtuels.
Le Québec a toujours soutenu que la prestation des soins de santé relevait de la compétence provinciale. Pourtant, si un patient est traité dans une autre province, quelle province est désormais compétente : celle du patient ou celle du médecin traitant ?
Il est intéressant de noter que M. Duclos a déclaré très clairement le 10 mars : "Il ne devrait pas y avoir de frais pour les services de santé médicalement nécessaires, quel que soit l'endroit où les gens vivent dans ce pays".
Il est temps de traduire ces paroles en actes. J'exhorte le ministre Duclos à faire preuve de volonté politique au nom de ses électeurs et à rencontrer son homologue, Christian Dube, afin de s'assurer que tous les résidents du Québec bénéficient d'un transfert complet de leurs prestations médicales.
Charles S. Shaver, MD
Le Dr Charles S. Shaver, médecin à Ottawa, est né à Montréal. Il est diplômé de l'université de Princeton et de la Johns Hopkins School of Medicine et est revenu au Canada en 1970. Il est président sortant de la section de médecine interne générale de l'Ontario Medical Association. Les opinions exprimées ici sont les siennes.
NOTRE PATIMOINE BÂTI A BESOIN D’AMOUR : LA VILLE DOIT AGIR
Les médias font régulièrement état de la démolition, partout au Québec, de joyaux de notre patrimoine bâti qu’on avait laissés dépérir. La destruction très récente de la maison située au 485, Chemin d’Aylmer, mentionnée au Répertoire du patrimoine culturel du Québec, montre bien que ce fléau afflige aussi notre communauté. D’ailleurs, dans le Vieux-Aylmer, des bâtiments d’un intérêt exceptionnel sont dans un état d’abandon ou de délabrement qui fait craindre qu’ils ne tombent aussi bientôt sous le pic du démolisseur. Pensons, entre autres, à la maison située au 10, rue Principale. Alors que nous célébrons cette année le 175e anniversaire de l’élection du premier maire d’Aylmer, M. John Egan, ce bâtiment d’où il dirigeait son entreprise, la Union Forwarding Company Railway, est aujourd’hui inoccupé et placardé depuis plus de 13 ans, et ce, sous les yeux d’une communauté inquiète et impuissante.
Pourtant, le règlement concernant le site patrimonial d’Aylmer énonce que « toute construction située dans le site patrimonial doit être conservée en bon état » (art. 5.1.1). Il semble que la Ville n’ait pas été en mesure, à ce jour, d’imposer le respect de son règlement. La nécessité de mettre fin à un laisser-faire dangereux pour la pérennité du patrimoine bâti a été enfin reconnue par le législateur québécois qui a modifié la loi pour exiger des municipalités qu’elles adoptent un règlement concernant l’entretien des immeubles et, en particulier, des immeubles patrimoniaux. Or, la Ville de Gatineau tarde à adopter son règlement. Chaque mois compte pour les édifices fragilisés de longue date. L’Association du patrimoine d’Aylmer demande aux élues et aux élus d’adopter sans délai le règlement prévu par la loi, un règlement qui devra d’ailleurs comporter un régime rigoureux et crédible de protection patrimoniale. Mais il faudra aussi que la ville déploie les ressources nécessaires pour assurer le respect de ses normes et pour accompagner les propriétaires.
Réjeanne Gagnon, présidente de l’Association du patrimoine d’Aylmer
Une erreur s’est glissée dans l’édition du 15 mars. M Roger Blanchette à enseigné au Campus Félix-Leclerc l'année de son ouverture en 1988, mais le CEGEP existe depuis 1971 ! Il à donner un cours sur l'histoire régionale, mais n'ai pas créé de programme sur l'histoire régionale: un tel programme n'a jamais existé. M Blanchette remercie le Bulletin pour tout l'intérêt que le Bulletin apporte à la diffusion de la patrimoine.
L’Editeur
ERRATUM: Dans son numéro du 15 mars, un article du Bulletin parlait de moi a titre de récipiendaire d'un Certificat du Patrimoine remis par la Ville de Gatineau lors de sa Réception annuelle du Patrimoine.
Deux erreurs se sont glissées dans le texte. Premièrement, on disait que j'avais enseigné au nouveau CEGEP en 1988. Il s'agit bien sur du nouveau pavillon Félix-Leclerc du CEGEP de l'Outaouais, et non pas d'un nouveau CEGEP. On écrivait aussi que j'avais fondé le programme sur l'histoire régionale. En fait, un tel programme n'a jamais existé. Ce que j'ai fait, c'est donner un cours sur l'histoire régionale. Ceci dit, je remercie le Bulletin d'Aylmer pour son intérêt et sa couverture des faits et évènements touchant le patrimoine local.
Roger Blanchette
Aylmer
Avez-vous remarqué que chaque fois qu’au Québec l’on parle du prestige, du statut, du rayonnement de la langue française, on détourne l’attention sur la qualité du français ! C’est vieux comme stratégie ! Non pas que ce ne soit pas un enjeu important, mais celui-ci est surtout la conséquence d’une stratégie culpabilisante qui détourne l’attention des enjeux de prestige, de statut, d’encadrement légal et réglementaire et des obligations gouvernementales!
Cette campagne « Au Québec, le français est en déclin » peut aussi s’entendre comme signifiant « Au Québec, les gens parlent mal ! » À sa façon, cette publicité est blessante, diminuante pour un peuple dont la survie, la croissance et le rayonnement relèvent d’une force et d’un passé collectifs admirables compte tenu de son histoire, de sa géographie et de la dominance anglaise et canadienne sur le Québec. Une campagne positive et non abaissante aurait été HAUTEMENT préférable. De plus, comment réagira le Québec pluriel à cette campagne, à sa façon, dénigrante et éloignante ? » L’intention était bonne, mais !!!
Cette vaste campagne promotionnelle sociétale est, de surcroît, produite et diffusée très largement par notre gouvernement dans les médias traditionnels et sociaux !
Au lieu de cibler « le déclin du français » par l’usage des anglicismes, cette publicité aurait été beaucoup mieux adaptée si elle avait ciblé :
- La langue de travail
- La langue d’accueil et de service
- La langue commune de la diversité
- L’intégration des nouveaux arrivants allophones et anglophones
- L’accès aux études postsecondaires en français
- L’obtention, pour le Québec, des compétences exclusives de l’immigration, de l’éducation, de la culture, de la langue…
Jean-Paul Perreault
Président
Impératif français
Aylmer
Nous approchons du 55e anniversaire de l'assassinat du Dr Martin Luther King, qui a entraîné des troubles civils prolongés et a été un événement déterminant dans ma vie.
Né à Montréal, j'ai déménagé à l'âge de deux ans dans l'Ohio, puis au Kansas. Mon père, neurochirurgien, est décédé à l'âge de 51 ans au cours de ma première semaine de lycée. J'ai reçu des bourses pour l'université de Princeton et l'école de médecine John Hopkins, et je pensais que je resterais pour toujours aux États-Unis.
Cependant, le Dr King a été abattu le 4 avril 1968 et des émeutes ont éclaté dans plus de 100 villes américaines. À Baltimore, le couvre-feu a été instauré à 16 heures et des gardes nationaux étaient présents dans les rues. Il y a eu 6 morts, 700 blessés, 5800 arrestations et 12 millions de dollars de dégâts matériels.
Comme il était trop dangereux de rester dans ma maison, j'ai dormi à l'infirmerie du campus de Homewood, dans un quartier plus sûr de la ville. Pour la première fois, Hopkins a annulé les examens et nous a demandé de rentrer chez nous. Plusieurs d'entre nous se sont rendus à l'aéroport et ont loué des voitures. Alors que je retournais dans le centre-ville cette dernière nuit, j'entendais des tireurs d'élite tirer depuis les toits.
À ce moment-là, ma mère était retournée à Kingston, dans l'Ontario. Elle m'a trouvé un poste de chercheur et, un mois plus tard, j'ai rencontré ma future femme, une diplômée de l'université Queen's d'Ottawa. Nous nous sommes mariés juste avant ma dernière année à Hopkins et avons déménagé à Toronto en 1970, puis à Ottawa en 1974. Le Canada semblait être un endroit plus sûr, avec une plus grande tolérance raciale, moins d'armes à feu et un problème de drogue moins grave.
Cependant, au début des années 1990, le mouvement séparatiste prenait de l'ampleur. Les politiciens fédéraux semblent inefficaces. Les émeutes de Baltimore avaient laissé une trace permanente dans mon cerveau. Je ne pourrai jamais oublier ce que trois jours d'anarchie m'ont fait ressentir. Le vernis de la civilisation est en effet très mince. Je craignais qu'une violence similaire n'éclate au Canada, car tous les humains sont câblés de la même manière, indépendamment de leur race ou de leur religion. Il fallait donner aux Québécois une nouvelle raison de s'accrocher à leur citoyenneté canadienne.
J'ai téléphoné à des hôpitaux dans tout le pays et j'ai découvert que pratiquement tous quadruplaient leurs tarifs pour les "non-résidents du Canada", ce qui serait le cas des Québécois ; cela représentait environ 3 000 à 5 000 dollars par jour. Les résidents du Québec souffrant de maladies cardiaques préexistantes, de tumeurs malignes, de diabète sucré, etc. pourraient se trouver dans l'impossibilité de souscrire une assurance voyage privée pour rendre visite à des amis et à des parents dans d'autres régions du Canada - ce qui est très important pour les "néo-Canadiens" dont la famille élargie vit dans différentes villes à travers le Canada.
D'autres ne pourraient plus voyager librement pour leurs affaires ou leurs vacances. Aucun politicien n'avait pensé à cet argument.
Bien que je n'aie jamais suivi de cours de journalisme, j'ai publié de nombreux articles d'opinion sur ce sujet, de Vancouver à St. Mon français n'étant pas parfait, j'ai payé de ma poche la traduction en français d'une demi-douzaine d'articles différents, qui ont été publiés dans la plupart des journaux du Québec. Tous ont été publiés dans Le Droit et deux dans Le Devoir, sans qu'aucun mot n'ait été supprimé.
Les séparatistes ont été battus lors du référendum de 1995, mais par seulement 55 000 voix, soit 1,16 %. Cependant, le "oui" a été soutenu par 60 % des francophones. J'espère, mais je ne le saurai jamais, que mes articles ont joué un rôle.
La bataille pour préserver l'intégrité du Canada n'est pas terminée. Malheureusement, de nombreux résidents du Québec se sentent encore comme des "citoyens de seconde zone" lorsqu'ils consultent un médecin ailleurs au Canada, car la couverture médicale des Québécois reste incomplète. Comme je l'ai souligné dans de nombreux articles, le gouvernement du Québec viole l'article 11 de la loi canadienne sur la santé depuis 39 ans et refuse de signer l'accord de réciprocité en matière de facturation médicale (RMBA). En conséquence, les résidents du Québec qui se font soigner en Ontario et dans d'autres provinces doivent généralement payer de leur poche, avant d'être partiellement remboursés. Cette situation va à l'encontre des propos tenus par le ministre fédéral de la santé, Jean-Yves Duclos, le 10 mars dernier. S'il parvenait finalement à persuader le ministre de la Santé Christian Dube de signer l'entente RMBA, les Québécois auraient une chose de plus à perdre dans l'éventualité d'un futur vote en faveur de l'indépendance. Je note avec intérêt que le soutien à la souveraineté dans un sondage Léger a augmenté de 6 % par rapport à il y a un an, pour atteindre 38 %. Cette tendance pourrait-elle être légèrement inversée si les Québécois bénéficiaient enfin d'un régime d'assurance-maladie transférable dans tout le Canada ?
Charles S. Shaver, MD
Ottawa
Médecin d'Ottawa, le Dr Charles S. Shaver est né à Montréal. Il est président sortant de la section de médecine interne générale de l'Ontario Medical Association.
Les opinions exprimées ici sont les siennes.
Bonjour M. Périès. Je viens de lire votre chronique dans le Bulletin d’Aylmer du 8 mars 2023. La colère est mauvaise conseillère oui définitivement, mais que vous avez raison d’être en colère cher monsieur. Votre capacité à l’indignation sous-jacente est remarquable et si souvent juste.
Vous me rappelez un des rares humains que j’ai admiré et que vous connaissez sans doute: feu Albert Jacquard. Ce grand homme avait beaucoup à dire sur l’espèce humaine qui dilapide outrageusement cette ressource d’énergie fossile et que la nature a mis des millions d’années à mettre en réserve et en équilibre naturel avec les écosystèmes.
Continuez votre admirable travail à nous conscientiser comme vous le faites si bien. Vous alimentez ainsi, un petit peu à la fois, cette vague de contestation populaire terrible qui se prépare à l’horizon.
Sincèrement et fidèlement,
Daniel Henri
Aylmer
Des groupes environnementaux et de la société civile s'opposent à l'annonce faite vendredi le 22 mars par le gouvernement fédéral d'un nouveau financement pour le développement de petits réacteurs nucléaires modulaires (PRNM). Les groupes examineront de près les chiffres du budget de mardi.
La "Déclaration conjointe du Premier ministre Trudeau et du président Biden", publiée le vendredi 24 mars, engage le Canada à fournir un financement et un soutien en nature à un programme dirigé par les États-Unis visant à promouvoir les PRNM.
Le Fonds stratégiques pour l'innovation du gouvernement canadien a déjà accordé près de 100 millions de dollars à des entreprises travaillant sur des technologies PRNM expérimentales. En outre, la Banque de l'infrastructure du Canada s'est engagée à verser 970 millions de dollars à l'Ontario Power Generation pour la construction d'un réacteur PRNM de 300 mégawatts à Darlington. Le financement fédéral profite notamment aux entreprises américaines GE-Hitachi et Westinghouse, ainsi qu'à l'entreprise canadienne SNC-Lavalin.
Tous les projets de PRNM financés sont encore en phase de recherche et de développement. Au niveau mondial, aucun PRNM n'a jamais été construit pour un usage domestique.
En outre, le gouvernement fédéral verse à Énergie atomique du Canada limitée 1,35 milliard de dollars par an pour mener des activités de recherche et de développement dans le domaine nucléaire et pour gérer ses déchets radioactifs toxiques. La quasi-totalité de ces fonds est transférée à un consortium composé de SNC-Lavalin et de deux entreprises américaines (Fluor et Jacobs), fortement impliquées dans la recherche sur les armes nucléaires et les PRNM.
Plus de 100 groupes de tout le Canada ont critiqué le plan du gouvernement fédéral visant à promouvoir la technologie nucléaire des PRNM :
• Les PRNM sont une distraction, une technologie sale et dangereuse, une qui produira des déchets radioactifs de toutes sortes. Les réacteurs proposés qui extrairaient du plutonium du combustible irradié sont particulièrement inquiétants, car ils font planer le spectre de la prolifération des armes nucléaires.
• Le développement des PRNM prendra trop de temps pour répondre à l'urgence de la crise climatique dans le court laps de temps nécessaire pour atteindre les objectifs du Canada.
• Les PRNM seront beaucoup plus coûteux que les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique. Les petits réacteurs seront encore plus chers par unité d'énergie que les grands réacteurs actuels, qui n'ont pas d'acheteurs en raison de leur coût excessif..
• L'énergie nuclé aire crée moins d'emplois que les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique. Les énergies solaire, éolienne et marémotrice font partie des secteurs d'emploi qui connaissent la plus forte croissance en Amérique du Nord.
• L'Agence internationale de l'énergie prévoit que 90 % des nouvelles capacités électriques installées dans le monde au cours des cinq prochaines années seront renouvelables.
Le gouvernement fédéral doit investir d'urgence dans les énergies renouvelables, les économies d'énergie et l'action climatique, et non dans des technologies nucléaires lentes, coûteuses et spéculatives.
Gordon Edwards
Montreal
Lettres de février
8 février 2023
Semaine de prévention du suicide
La 33e édition de la Semaine de prévention du suicide au Québec se tiendra du 5 au 11 février 2023. Cet événement est coordonné par l’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) avec la collaboration des tous les acteurs concernés par la problématique du suicide au niveau provincial, régional et local.
Le thème en 2023 « Mieux vaut prévenir que mourir » met l’accent sur l’importance de la prévention en invitant la population à parler du suicide malgré les tabous, les craintes ou le malaise que cela pourrait générer. Aborder la problématique du suicide avec les proches et dans les milieux qu’on fréquente est une façon de prévenir le suicide. En février, le site oseparlerdusuicide.com offre de l’information sur la détresse, comment la déceler et comment y répondre, ainsi que des témoignages de personnes qui ont osé parler du suicide dans leur vie.
En Outaouais, la Semaine de prévention du suicide est l’occasion d’encourager les citoyens et les décideurs à agir pour la prévention du suicide, de normaliser la demande d’aide et de mieux faire connaître les ressources d’aide, dont la ligne québécoise de prévention du suicide au 1 866 APPELLE (277-3553).
CISSSO,
Gatineau
8 février 2023
Aux usagers des cliniques médicale et de physiothérapie, prenez garde!
Depuis environ un mois, le stationnement situé au 375, chemin Aylmer ( des cliniques médicale et de physiothérapie ) est surveillé. Ce stationnement est situé en face des dites cliniques et il est parfois utilisé lorsqu’il y a débordement dans le stationnement de ces cliniques. Le gestionnaire de la propriété située au 375, chemin Aylmer ne veut plus partager son stationnement. J’ai reçu une contravention de 69 $ lors de mon rendez-vous médical mardi dernier.
Josée Cloutier,
Aylmer
8 février 2023
Le MDN exige de François Legault qu’il honore sa parole
Réunis en assemblée générale à Montréal, les membres du Mouvement Démocratie Nouvelle ont adopté un plan d’action qui a pour objectif que la prochaine élection générale de 2026 se déroule sous l’égide d’un nouveau système électoral proportionnel mixte compensatoire. Le MDN vise ainsi à faire reculer le plus rapidement possible le premier ministre François Legault sur sa décision de ne plus réformer notre système démocratique, et ce, contrairement à l’engagement initial qu’il avait pris devant la population québécoise et qu’il a réitéré à de multiples reprises. L’ambition des membres est, à terme, de se doter d’un parlement vraiment représentatif de la volonté citoyenne.
Les membres du MDN n’ont pas manqué au cours de l’assemblée de rappeler que François Legault avait promis par le passé d’achever le projet démocratique initié par René Lévesque en 1968, celui de doter le Québec d’une démocratie où chaque vote compte. Ils constatent que la population est majoritairement en faveur d’une telle réforme et qu’elle se mobilise, notamment chez les jeunes. Le MDN s’est donné le mandat de consolider et d’élargir fortement l’appui populaire en faveur de la réforme du mode de scrutin.
Jean-Benoit Ratté, MDM,
Montréal
8 février 2023
Service d’aide en impôt – Programme des bénévoles?
Administré conjointement par l’Agence du revenu du Canada et Revenu Québec, le http://www.revenuquebec.ca/benevoles Service d’aide en impôt –Programme des bénévoles vise à aider les personnes à faible revenu à remplir leurs déclarations de revenus pour qu’elles obtiennent les prestations et les crédits d’impôt auxquels elles ont droit. Les bénévoles travaillant au service d’aide en impôt reçoivent une formation en ligne qui leur permet de remplir des déclarations de revenus simples. Ils viennent en aide aux personnes qui éprouvent de la difficulté à remplir celles-ci et qui ne peuvent pas recourir à des services professionnels.
Les organismes participants peuvent être admissibles à deux subventions dans le cadre du service d’aide en impôt, l’une offerte par l’ "https://www.canada.ca/fr/agence-revenu/services/impot/particuliers/programme-communautaire-benevoles-matiere-impot/subvention.html" Agence du revenu du Canada (ARC) et l’autre, par "https://www.revenuquebec.ca/fr/juste-pour-tous/vous-aider-a-vous-conformer/service-daide-en-impot-programme-des-benevoles/devenez-un-organisme-communautaire-participant/" Devenez bénévole.-,Subvention offerte aux organismes participant au service d'aide en impôt,-En tant qu'organisme" n _blankRevenu Québec. De plus, l’ARC accorde un montant de 500 $ pour les dépenses de base relatives à l’organisation des séances de préparation de déclarations de revenus.
Pour tous les détails, visitez : "http://www.revenuquebec.ca/benevole" n _blankrevenuquebec.ca/benevoles.
K-P Marchand-Giguère ,Agence du revenu du Canada,
Montréal
8 février 2023
La désinformation a gagné : Amendements sur les armes d’assaut retirés
Les survivants et victimes de tuerie de masse qui militent depuis des décennies pour interdire les armes d’assaut sont sous le choc face au retrait unanime des amendements G-4 et G-46 visant l’interdiction des armes d’assaut par le Comité permanent de la sécurité publique et nationale. Il est clair que la désinformation propagée par les députés conservateurs et le lobby pro armes a gagné.
La seule lueur d’espoir repose dans l’intention exprimée par le ministre de continuer de « travailler avec nos collègues pour élaborer une solution claire » dans ce dossier et la possibilité d’une réintroduction de nouveaux amendements en fonction des consultations supplémentaires qui ont été simultanément votées, notamment dans l’éventualité que ces dernières pourrons clarifier l’impact réel des mesures proposées et de contrer efficacement la désinformation endémique.
Nous attendons avec grand impatience pour entendre la position de l’opposition sur la suite des choses, notamment celle du Bloc québécois. Le gouvernement n’a besoin qu’un seul parti d’opposition pour livrer sur sa promesse d’interdire les armes d’assaut et il serait impensable pour le Bloc de ne pas collaborer en ce sens.
Nathalie Provost, survivante et porte-parole de PolySeSouvient,
Montréal
8 février 2023
Un électorat informé et engagé
Contrairement au Canada, où le Premier ministre n'assiste qu'à deux débats avec les autres chefs de parti, les électeurs danois peuvent regarder 13 débats télévisés. Cela permet aux électeurs de mieux comprendre les politiques proposées par chaque parti.
Les médias danois obtiennent des résultats élevés ou exceptionnels en matière de liberté d'expression, d'indépendance politique et d'intégration sociale.
Une étude réalisée en 2022 sur la façon dont les médias danois ont couvert les élections a conclu que les médias danois accordent un traitement équitable aux préoccupations des élites et du public.
Élection de 2022 au Danemark : chaque électeur a vraiment compté pour le résultat.
Le taux de participation aux élections danoises a été de 84,1 %.
La dernière élection fédérale au Canada ? 62.3%.
Les élections canadiennes sont souvent caractérisées par des discours de peur qui divisent et une politique de "course de chevaux".
Un sondage réalisé immédiatement après la dernière élection a montré que 49% des électeurs canadiens utilisaient leur vote pour arrêter un parti qu'ils n'aiment pas, plutôt que pour élire un parti qu'ils soutiennent.
Au Danemark, les électeurs pouvaient voter pour les partis et les candidats en lesquels ils croyaient, en sachant que leur vote comptait vraiment. 98,46 % des électeurs danois ont déposé un bulletin de vote qui a permis d'élire un député.
Lors des dernières élections fédérales au Canada, la majorité des Canadiens (52 %) ont voté pour des bulletins qui n'ont fait aucune différence.
Anita Nickerson, FairVoteCanada,
Ottawa
8 février 2023
Le premier événement de BougeBouge
Hier avait lieu le premier événement de HYPERLINK "https://www.bougebouge.com/bougebouge/" BougeBouge dans la région de la capitale fédérale en 2023, une course de 5 km à l’intérieur du Centre Rideau et le Centre Shaw à Ottawa. BougeBouge est fier du succès de cette activité qui vise à faire bouger la population et la motiver à prendre de bonnes habitudes sur le plan de l’activité physique. Plus de 200 personnes ont parcouru le circuit.
Saviez-vous que notre course de 5 km à Ottawa était la première activité pour lancer le Bal de Neige? Du 3 au 20 février 2023, profitez de l’hiver pour bouger grâce à plusieurs activités d’hiver amusantes à faire en famille ou entre amis. HYPERLINK "https://www.canada.ca/fr/patrimoine-canadien/campagnes/bal-neige.html" Apprenez-en plus sur la programmation sur le site Web du Bal de Neige 2023. Nous profitons de l’occasion pour inviter les gens à notre prochain événement qui aura lieu en Outaouais. Le 14 mai prochain, c’est le HYPERLINK "https://www.bougebouge.com/boutique/evenements/festival-bougebouge-outaouais-2023/" Festival BougeBouge Outaouais au centre Asticou.
BougeBouge est un organisme d’économie sociale qui rassemble les communautés québécoises autour des principes de la démarche de motivation autodéterminée à la vie active. La mission de notre organisation est de prévenir le décrochage physique chez les adolescents, les jeunes familles et les retraités par le rassemblement des acteurs de vie active dans les communautés.
Kathy Tremblay, BougeBouge,
Gatineau
8 février 2023
Stationnement coin Broad-Thomas
Lors d’évènements au centre-ville, marché le dimanche, messes à la mosquée, la rue Broad est impraticable avec les panneaux centraux de vitesse. La rue devient bloquée et cette situation devient dangereuse pour le public en plus de causer des conflits entres automobilistes. J’ai fait parvenir un e-mail à mon conseiller concernant cette situation, mais je n’ai reçu aucune réponse. La police a déjà été mise au courant de cette situation, mais sans résultat. Ces panneaux de vitesse sont dangereux et devraient être enlevés. Une solution serait de peinturer une indication de vitesse au milieu de la chaussée.
Denis Noel,
Secteur Aylmer
8 février 2023
Des emplois verts pour une transition juste
Il est frustrant mais pas surprenant de voir la première ministre de l'Alberta, Danielle Smith, susciter une nouvelle vague de peur et de colère à propos de l'inévitable transition vers l'énergie propre. Mme Smith veut manifestement motiver sa base en vue des élections du printemps.
Mais peu importe ce que Smith veut croire, l'ère des combustibles fossiles se termine. Entre la dure réalité de la crise climatique et la baisse rapide du coût de l'énergie propre, la transition énergétique va être douloureuse pour les travailleurs de l'énergie, à moins que nous n'ayons mis en place un plan de transition solide.
L'idée d'une transition juste pourrait scandaliser les grandes sociétés pétrolières et leurs alliés, mais la grande majorité des Canadiens sont en avance sur les politiciens dans leur soutien à cette idée. Les sondages montrent que la plupart d'entre nous reconnaissent que l'énergie propre apportera de bons emplois ainsi qu'une électricité moins chère et plus fiable. Les gens ordinaires veulent que notre gouvernement travaille à une transition juste, et non contre elle, afin qu'aucun travailleur ou communauté ne soit laissé pour compte.
(Traduit.)
Tiffany White,
Ottawa
8 février 2023
La sylviculture, un nouveau tourisme ?
La foresterie serait-elle devenue le nouveau "tourisme" ? Non pas que nous nous attendions à ce que les touristes visitent nos scieries mitées, mais le "tourisme accru" pourrait devenir la nouvelle promesse de nos politiciens pour sauver le Québec rural.
Aujourd'hui, le "tourisme" lui-même est futile, parce que chaque juridiction à travers le Canada propose d'"augmenter le tourisme". Comment cela pourrait-il être possible ? Si, comme par magie, on augmentait le nombre de touristes, il y aurait peut-être assez de corps - peu importe que certaines régions aient des attractions touristiques, que d'autres n'en aient pas, et que peu d'entre elles aient l'infrastructure touristique (hôtels et restaurants) pour faire face à toute augmentation. Le Pontiac fait partie de cette catégorie -- manque d'infrastructure -- donc il est malhonnête pour tout candidat politique de promettre de relancer notre région en promettant de "stimuler le tourisme". Bien que la plupart des autres politiciens promettent la même chose à leurs régions !
Pourtant, le Pontiac possède beaucoup de forêts, surtout sur le territoire non organisé de notre MRC. Alors, quel est l'attrait touristique ? Il n'y en a pas ; nous ne proposons pas de tour de la Dumoine en canot-bus !
Mais, si on se souvient bien, il y a eu une énorme conférence sur les changements climatiques tout récemment - les COPS. Il ne fait aucun doute que le changement climatique est grave et qu'il est existentiellement dangereux. Nous devons augmenter nos pièges à carbone, ainsi que réduire les émissions - c'est un appel constant des conférences COPS. Plus d'arbres. Plus de forêts. Les gens peuvent construire des hôtels, mais il est peu probable qu'ils replantent des forêts entières.
Le Pontiac en a déjà, mais elles ont besoin d'être protégées plus qu'exploitées, dans l'optique du COPS. Et c'est là que notre avenir économique pourrait reposer. Nous avons besoin d'un soutien énorme pour planter plus d'arbres et pour protéger ceux que nous avons déjà et qui travaillent pour nous comme puits de carbone. Si chaque arbre compte, il y a de nombreux emplois ici, dans la gestion, l'éclaircissement, la plantation, l'élagage, ainsi que dans l'utilisation du bois.
Entendons nos candidats s'engager à apporter un financement central plus important à notre région pour cette tâche. Protéger et ouvrir nos forêts. Faisons en sorte que le gouvernement fédéral s'engage, au lieu de multiplier les réunions et les discussions. Découvrons si le Pontiac a un lien avec le Québec - en argent pour soutenir l'existence continue de la planète. Mettons la MRC et nos municipalités à bord. Nous pouvons faire du Pontiac une grande arche, parmi tant d'autres, pour l'humanité ; nous avons besoin de financement pour nos arbres. Payons le Pontiac à partir d'un fonds central pour conserver et agrandir notre incroyable forêt -- pour le bénéfice de tous, y compris le nôtre.
Le Journal du Pontiac
22 Janvier 2023
8 février 2023
L'APA : soutien financier
Bien que l'APA peut compter sur le soutien financier de la Ville de Gatineau, elle doit aussi s'assurer d'une part de financement autonome pour réaliser sa mission. Ce financement autonome provient principalement de l'adhésion du public (ses membres), de leurs dons ainsi que de la vente de produits (ex: livres) et services (ex: numérisation), en plus que quelques levées de fonds telle que la Vente de plantes vivaces au printemps.
Le début de l'année est justement la période de renouvellement des adhésions et du recrutement de nouveaux membres. Merci d'appuyer notre organisme dans la protection et la mise en valeur du patrimoine bâti d'Aylmer.
Pour adhérer ou renouveller votre adhésion: https://www.zeffy.com/.../dbc44673-7809-4552-927f...
L'APA,
Gatineau / Aylmer
8 février 2023
La Semaine de sensibilisation à la paperasserie
Dans le cadre de la 14e édition de sa Semaine de sensibilisation à la paperasserie, la FCEI publie un rapport intitulé
Les patients avant la paperasse. Selon celui-ci, les médecins canadiens consacrent collectivement environ 18,5 millions d’heures par année à de la paperasserie et des tâches administratives superflues, soit l’équivalent de 55,6 millions de consultations par année.
L'intégralité du communiqué de presse se trouve on-line.
Maud Larivière, FCEI,
Montréal
8 février 2023
L'augmentation au salaire minimum à 15,25 $
La FCEI souligne que l’annonce faite par le ministre du Travail Jean Boulet prend une approche définitivement plus pragmatique qu’une augmentation drastique qu’aurait été celle à 18 $. Il reste que les PME québécoises qui voient leurs coûts exploser de partout ont besoin d’aide pour atténuer les impacts économiques de cette hausse de 7 %, la plus importante depuis plus de vingt ans. Concrètement, cette augmentation à 15,25 $ représente un coût supplémentaire annuel par employé au salaire minimum de 2 400 $, sans oublier l’effet domino qu’elle engendrera sur la totalité de la masse salariale de l’entreprise.
Maud Larivière, FCEI,
Montréal
8 février 2023
Trois fois bravo aux entreprises locales! Appréciation du personnel du Marché Laflamme.
Je veux souligner combien j’ai apprécié l’attention que j’ai reçue de Micheline du bureau de l’administration et de Lucie Dallaire à la caisse lorsque j’ai subi un malaise à mon arrivée en magasin.
Je devais trouver un endroit pour reprendre mon souffle et me suis assise sur les marches de l’escalier intérieur. Mme. Denise la secrétaire a remarqué mon inconfort. Elle m’a approchée me donna de l ‘eau fraiche. Elle est restée quelques minutes afin de s’assurer que j’étais bien. A ma surprise quelques secondes plus tard Lucie Dallaire est apparue pour me demander si tout allait bien et me rappeler de prendre mon temps. C’était rassurant.
Je salue l’équipe du Marché Laflamme, leur disponibilité et professionnalisme font de cet endroit un lieu unique à Aylmer. J’y retournerai fidèlement et apprécie grandement que nous ayons ici une entreprise qui est fière, avec raison, de son personnel et des produits de qualité qu’elle nous offre à chaque jour.
Mary Alarie,
Aylmer
8 février 2023
Crise de l'inflation
Beaucoup d'entre vous ont assisté à l'événement du mois dernier organisé par la Coalition Transition Écologique La Peche avec les économistes Jim Stanford et Dimitri Lascaris qui s'est concentré sur la crise actuelle de l'inflation. Pour ceux qui l'ont manqué, vous pouvez le voir ici : www.youtube.com/watch?v=MtrJRb9nQBo. Nous avons également rédigé une lettre appelant le gouvernement canadien à s'attaquer à la crise de l'inflation sans nuire aux Canadiens ordinaires. Nous vous invitons à signer et à partager cette lettre avec notre députée Sophie Chatel ainsi qu'avec la ministre des finances Chrystia Freeland et le Premier ministre Justin Trudeau.
Transition écologique La Pêche
La Pêche coalition for a Green New Deal,
Masham
8 février 2023
Réponse à Robert Nelly
En réponse à la lettre de M. Nelly se plaignant des salaires de la fonction publique, bien sûr, ce serait formidable si tout le monde pouvait vivre frugalement mais confortablement sans grever le budget de l'État. Par "tout le monde", on entend tout le monde, pas seulement les fonctionnaires, et surtout les propriétaires de sociétés qui soutirent des millions de notre économie sous forme de "bénéfices". Pour quelle raison sont-ils si spéciaux ? Nelly devrait descendre de son cheval idéologique haut et chancelant et regarder de près la vie réelle - et pas seulement du point de vue de l'Est de l'Ontario rural et isolé ! Ils votent encore pour Harper !
Rene Damasio,
Aylmer
8 février 2023
Merci aux équipes à l’Hôpital de Hull!
Trop souvent, on entend des plaintes contre le service disponible à nos hôpitaux et particulièrement combien de temps on doit attendre pour recevoir de l’aide. On n’entend pas assez souvent à quel point les membres des équipes travaillent fort pour changer les vies des personnes qui ont besoin de soins.
Le 6 janvier, j’avais eu besoin d’aller à l’hôpital à cause de crampes abdominales sévères. Premièrement, j’ai fait une consultation avec un infirmier très bien informé sur la ligne 811, qui m’a recommandé d’aller à l’hôpital en pensant que c’était possiblement une appendicite.
Depuis mon arrivée, l’équipe des urgences était attentive et ils ont fait de leur mieux pour déterminer exactement quel était le problème et comment ils pouvaient soulager ma douleur. Il y avait des délais pendant ce processus, bien sûr, mais j’étais vraiment consciente du fait qu’un travail de qualité prend du temps et qu’ils avaient plusieurs autres patients. À chaque occasion, les médecins et les infirmières me rassuraient de façon encourageante. Cette situation a été répliquée avec les équipes responsables des ultrasons et imagerie par résonance magnétique (IRM). Ensuite, quand l’appendicite a été confirmée, l’équipe chirurgicale m’a prise en charge avec le même niveau de service. La douleur était horrible, mais je me sentais en sécurité en tout temps.
Par la suite, j’ai passé trois jours avec les équipes de l’aile 8 ouest. Le niveau de professionnalisme et de gentillesse que j’ai vu était impressionnant. Chaque fois qu’il y avait un changement d’infirmières, elles se présentaient et me demandaient si j’avais besoin de quelque chose. Les assistants et personnes chargées du nettoyage de l’étage et des chambres étaient aussi sympathiques et rapides dans les moments où j’avais besoin d’aide.
En somme, je dois fortement souligner mon niveau de respect et de soutien pour chaque personne qui m’est venue en aide entre le 6 et le 9 janvier 2023 à l’Hôpital de Hull. Une appendicite menace la vie, et vous avez sauvé la mienne de façon incroyablement chaleureuse.
Merci du fond du cœur et Bonne Année!
Crystal Sissons,
Aylmer
8 février 2023
Tentative d'hameçonnage
De nombreuses tentatives d’hameçonnage ont été signalées dernièrement. Veuillez prendre note que si vous avez reçu un courriel au nom de Cyclo Nord-Sud entre le samedi 28 et ce lundi matin 30 janvier, celui-ci est un courriel frauduleux. Merci de ne pas l'ouvrir.
Votre plus grande vigilance est requise. Si vous avez un doute envoyez un email à info@cyclonordsud.org ou contactez nous au 514-843-0077. Nous sommes désolés pour ce désagrément et avons régler la situation.
L’équipe de Cyclo Nord-Sud,
Montréal
8 février 2023
Le Grand dénombrement des oiseaux de février
La 26e édition annuelle du Grand dénombrement des oiseaux de février (GDOF) aura lieu du vendredi 17 au lundi 20 février 2023. Les fervents des oiseaux et de la nature de tous les coins du monde seront unis dans le but de dénombrer le plus d’espèces possible tout au long de ces quatre jours. Combinées à celles d’autres inventaires d’oiseaux, les données du GDOF contribuent à brosser un portrait le plus précis possible de la situation de l’avifaune, à savoir quelles populations sont en déclin, en croissance ou stables face à la perte d’habitats, aux changements climatiques et à d’autres menaces.
Le GDOF est un programme conjoint du HYPERLINK "http://www.birds.cornell.edu/?__hstc=64079792.4479916c23e058b29962855de923053c.1479135369302.1484680468437.1484684686412.45&__hssc=64079792.4.1484684686412&__hsfp=1106922304" n _blankCornell Lab of Ornithology, de la HYPERLINK "http://www.audubon.org/ National Audubon Society et https://www.oiseauxcanada.org/ Oiseaux Canada.
Chaque personne ou groupe qui participe au GDOF compte les oiseaux pendant au moins 15 minutes et fait la saisie des observations à chaque site, que ce soit depuis le domicile, un parc des environs ou une aire de nature sauvage. Les données sont entrées en ligne sur le site Web du GDOF ou au moyen de l’application mobile Merlin Bird ID (en français) ou sur le site Web d’eBird (en français), lequel propulse le GDOF et est la plus importante base de données d’observations d’oiseaux du monde. Les personnes de tous les niveaux d’habileté sont bienvenues. Et il y a une autre raison de compter les oiseaux: ça fait du bien!
Le site Web du GDOF présente des outils et de l’information à l’intention des nouveaux et anciens participants. Nous vous invitons également à assister à un webinaire spécial gratuit (en anglais), qui sera présenté le 15 février (heure à déterminer) en direct sur Facebook. Pour y assister, il vous suffit de vous inscrire.
Andrew Coughlan, Birds Canada,
Port Rowan, ON
Le président du club de bridge de Gatineau, Romain Jacques, invite la population à s’initier au jeu de cartes en 2023! Malgré la popularité du jeu dans le passé, le bridge est maintenant en voie de disparition à Gatineau. C’est pourquoi les clubs de bridge lancent une campagne d’initiation pour encourager les Gatinoises et les Gatinois à découvrir ce jeu prestigieux qui rassemble des joueurs de tous âges et de tous niveaux.
Jouer au bridge vous permet de sortir pour des rencontres sociales et intergénérationnelles, de vous faire de nouveaux amis, d'exercer vos cellules grises et votre mémoire, tout en pratiquant un jeu connu mondialement! D’ailleurs, selon Bill Gates et Warren Buffet, le bridge est l'un des meilleurs moyens de développer son intelligence et sa mémoire.
Jouer au bridge à Gatineau : Des parties sont offertes dans le secteur Hull au Centre communautaire Tétreau du Parc Moussette (361 boul. Lucerne) les mardis et mercredis à 12h00. Pour les débutants qui souhaitent s'initier au bridge, des cours de 9 semaines sont proposés : n'hésitez pas à nous rejoindre.
Les clubs de bridge de l'Outaouais, Club Louise Zicat et le Club du Parc, affiliés à l’American Contract Bridge League (ACBL), existent depuis plus de vingt ans et opèrent à titre d'organismes à but non lucratif.
Pascale de Montigny Gauthier, Les clubs de bridge de l'Outaouais
Gatineau
L’utilisation des cartes de crédit monte en flèche depuis la pandémie. S'il est essentiel pour maintenir la clientèle des PME et faire croître l'entreprise, il s’avère tout de même très coûteux. Selon un nouveau sondage de la FCEI, près des trois quarts (74 %) des PME disent vouloir que ces frais soient réduits à 1 % maximum du montant total de la vente. Pour ce faire, les taux d’interchange devraient être fixés à 0,7 % ou moins, soit la moitié du taux moyen actuel de 1,4 %.
C’est pourquoi la FCEI demande au gouvernement fédéral de s’entendre avec l’industrie des paiements pour mettre en œuvre les mesures promises dans l’Énoncé économique de l’automne afin de réduire les frais des transactions par carte de crédit.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
Les courtiers immobiliers de la Chambre immobilière de l’Outaouais sont très fiers de remettre la somme de 10 000$ aux maisons d’hébergement de l’Outaouais pour femmes victimes de violence conjugale et leurs enfants. Cet objectif a été atteint principalement en faisant la vente de deux produits conçus exclusivement pour cette campagne par Collection Zétak soit: un sac multifonctionnel communément appelé « fourre-tout », et une pochette corporative.
Les fonds amassés seront partagés entre les 8 maisons de la région et pourront servir à répondre à des besoins ponctuels des femmes et des enfants, tels que les besoins en lien avec leurs démarches, leur nouveau logement, les déménagements, le transport, les vêtements pour les enfants, etc. Les 8 maisons sont : Maison Unies-Vers-femmes, Gatineau – Le Centre Mechtilde, Hull – L’autre chez-soi, Aylmer – Maison Libère-Elles, Chelsea – Maison hébergement Pour Elles des Deux Vallées, Buckingham – Halte-Femme, Haute-Gatineau à Maniwaki – L’EntourElle, Fort-Coulonge –Maison Ingrid, Cantley.
Chantal Legault, CIO
Gatineau
Monsieur Insulté, "abomination" n'est pas un texte mais un poème Haiku. Vous dites qu'accuser les Québécois d'être racistes est hors de propos. Je ne suis pas d'accord. Quand un organisme ( gouvernement ou... ) modifie stratégiquement la Charte des droits et libertés pour opprimer les gens d'une certaine langue ou religion : je considère que c'est du racisme.
J'ai été marié à une irlandaise (anglophone) aimante pendant 37 ans et j'ai été témoin à maintes reprises du comportement irrespectueux des fonctionnaires québécois envers ma femme ; "elle va attendre la maudite anglaise". J'ai donc commencé à parler anglais à ces fonctionnaires. J'ai reçu exactement le même traitement. Si je communiquais en français, il n'y avait pas de commentaires abusifs.
Quant à l'anonymat. J'ai été assez sage pour me souvenir de la haine que les Québécois ont pour les anglais et votre propre réponse agressive confirme cette sagesse. Pourquoi mon identité est-elle si importante pour vous ? Si le chapeau s'adapte...
Vous reprochez à ce journal d'avoir publié mon poème ; à ma connaissance, le Québec n'a pas encore limité la liberté d'expression. Se pourrait-il que si vous étiez Premier ministre, un tel poème serait interdit ?
(Traduit / Bulletin d'Aylmer)
J.R.F.
Pontiac
Le truc? Faites une demande au conseil de ville. Ils accepteront sans problème. Voyez ce qu ils font avec la maison Samuel-Stewart. Une horreur de mur vitré derrière les pierres majestueuses. Qui a défendu ce projet? Ou plutôt qui n 'a pas défendu cette maison
Dan Aubut
Aylmer
Les lettres à l'éditeur du Bulletin d'Aylmer sont lues par environ 50 000 personnes (faites correspondre les médias sociaux !) qui vivent dans votre communauté et partagent vos préoccupations. Quelques directives pour s'assurer que votre lettre sera publiée :
Toutes les lettres doivent être signées avec un numéro de téléphone (non publié).
N'importe quelle langue est acceptable... mais soyez clair, civil et convaincant, pas grossier.
Soyez court et concis : TOUTES les lettres sont révisées pour des raisons de grammaire, de ponctuation, d'orthographe, etc. et de longueur. Attendez-vous à ce que votre lettre soit révisée.
Nous recevons de nombreuses lettres et l'espace est compté : ne vous répétez pas et n'ajoutez pas de commentaires inutiles.
Les lettres sont des opinions personnelles ; elles ne sont pas des articles d'actualité, ni des commentaires de ce journal. Nous acceptons les réponses à des lettres antérieures.
Nous n'acceptons pas les lettres faisant l'éloge ou la critique des entreprises locales. Nous n'acceptons pas les attaques personnelles, ni les articles promotionnels pour des candidats ou des partis politiques.
Le rédacteur en chef
Après une année 2022-2023 riche en dépôt de projets, c’est l’heure du bilan pour Loisir sport Outaouais : plus de 916 000$ ont été octroyépar l’organisme, à travers 6 programmes de subventions régionaux. Ce financement a permis de soutenir 120 projets en activité physique, plein air, loisir de la personne handicapée et sport, déposés par des organismes scolaires, municipaux et à but non-lucratifs.
Les différents programmes d’aides financières sont rendus possibles grâce au ministère de l’Éducation du Québec. Le ministre responsable de l’Outaouais, Mathieu Lacombe, se réjouis du bilan régional « Nous trouvions important d’investir un montant conséquent en loisir, sport et plein air cette année, pour stimuler la relance des programmations. Les projets qui ont été soutenus en Outaouais favorisent l’accessibilité à la pratique de d’activités variées, qui nous rapproche de ce qui était offert avant la pandémie et donne le souffle nécessaire pour s’ajuster aux besoins de la population ».
Valentine Proux-Pohardy, Loisir sport Outaouais
Gatineau
Administré conjointement par l’Agence du revenu du Canada et Revenu Québec, le Service d’aide en impôt – Programme des bénévoles vise à aider les personnes à faible revenu à remplir leurs déclarations de revenus pour qu’elles obtiennent les prestations et les crédits d’impôt auxquels elles ont droit. Les bénévoles travaillant au service d’aide en impôt reçoivent une formation en ligne qui leur permet de remplir des déclarations de revenus simples. Ils viennent en aide aux personnes qui éprouvent de la difficulté à remplir celles-ci et qui ne peuvent pas recourir à des services professionnels.
Les organismes participants peuvent être admissibles à deux subventions dans le cadre du service d’aide en impôt, l’une offerte par l’Agence du revenu du Canada (ARC) et l’autre, par Revenu Québec. De plus, l’ARC accorde un montant de 500 $ pour les dépenses de base relatives à l’organisation des séances de préparation de déclarations de revenus.
L’an dernier, plus de 3 070 bénévoles répartis dans 520 organismes ont aidé plus de 165 000 personnes, partout au Québec, à remplir leurs déclarations de revenus du Canada et du Québec. Il s’agit donc de plus de 327 000 déclarations remplies et transmises à l’ARC et à Revenu Québec, et plus de 460 millions de dollars en remboursements, en crédits d’impôt et en prestations fédérales et provinciales qui ont pu être obtenus par les utilisateurs du service. Pour tous les détails, visitez : revenuquebec.ca/benevoles.
K-P Marchand-Giguère ,Agence du revenu du Canada
Montréal
Heureusement que des conseillères et conseillers municipaux de Gatineau croient que le principe de précaution doit s'appliquer quand il y a un doute. C’est ce que de nombreux citoyen.es de notre ville ont pu constater lors de la dernière session du conseil le 14 février dernier. Quelques uns.es de nos élu.e.s ont affirmé qu’ils appuieront le 21 mars prochain une résolution présentée par leur collègue Anik DesMarais pour que cesse l'épandage de Bti (un pesticide) dans 7 districts de notre ville.
Des secteurs humides de ces districts sont soumis à des épandages à grande échelle depuis 1996 et bien que des citoyens puissent demander que leur terrain soit exclu de ces traitements, ils sont quand même tenus de payer… à même leurs taxes. Les frais d’épandage sont en effet ajoutés aux comptes des citoyens dans les districts concernés : Pointe Gatineau, Carrefour de l’Hôpital, Du Versant, Bellevue, Lac Beauchamp, Rivière Blanche, Masson-Angers.
Parce que ce Bti est fabriqué à partir d’une bactérie, il est qualifié de biologique mais la désinformation va dans tous les sens autour de sa toxicité. On ne compte plus les études qui démontrent que ces arrosages affectent tous les niveaux de la chaine alimentaire dans les milieux humides. Pour ne donner qu’un exemple : avez-vous un souvenir de la dernière fois où vous avez vu une hirondelle ? Les spores du Bti persistent dans l’environnement et plusieurs espèces en sont victimes, directement ou indirectement, et non seulement les insectes piqueurs…mais un important sous-groupe d’insectes ; aussi, on ne connait toujours pas les impacts de tous ces additifs qui constituent plus de 80% de ce pesticide. Bref, avec tant de doutes, nous avons confiance que nos conseillers et conseillères suivront l’exemple des autres villes d’avant-garde, pro-environnement au Québec et qu’ils et elles voteront pour le principe de précaution et contre l’épandage de Bti lors de session du 21 mars prochain à Buckingham.
Robert Nadeau
Esther Cyr
Gatineau (sect. Aylmer)
Suivi de la lettre de J.R.F. de Pontiac, je suis d’accord avec ce monsieur. Le gouvernement Legault exige que tous ceux/celles qui travaillent au sein du gouvernment puissent passer un test français oral ainsi qu’écrit et que si ces résultats n’équivalent pas 75% ils/elles ne sont pas embauchés. Par contre, nous écoutons les nouvelles à TVA et les anglicismes sont de rigueur, i.e, "stocker, leader, manager, stopper, leadership, player, feeling, party, coach, mon scoop", etc. Les deux langues officielles Canadiennes doivent être respectées oui, au Québec, comme dans les autres provinces. Les anglophones Québécois doivent avoir autant de droits que les francophones.
KRC
Gatineau
L’équipe du Carrefour jeunesse emploi de l’Outaouais vous invite à participer à la 22e édition du plus gros événement de recrutement de la région : Le Rendez-vous de l’emploi qui se tiendra le mardi 7 mars prochain de 13 h à 18 h. Pour cette édition, près de 50 employeurs et des centaines de chercheurs d’emploi seront au rendez-vous.
Voilà pour vous une belle occasion pour discuter avec les employeurs sur les défis de la rareté de main-d’œuvre ou encore ce que recherchent les chercheurs d’emplois en 2023.
Véronique Bernier, CJEO
Gatineau
En 2020, les dépenses de fonctionnement des municipalités québécoises en matière de culture totalisent 956 M$, en baisse de 6,0 % par rapport à 2018.
Ces dépenses comptent pour 4,3 % de l’ensemble des dépenses de fonctionnement des municipalités et représentent une contribution de 112,49 $ par habitant. Environ trois quarts des dépenses municipales en culture sont consacrés aux services rendus à la population (731 M$). C’est ce que révèle le bulletin Les dépenses en culture des municipalités en 2020, publié par l’Observatoire de la culture et des communications de l’Institut de la statistique du Québec.
Les dépenses servant à payer les salaires et avantages sociaux du personnel relevant du service municipal responsable de la culture sont relativement stables (326 M$; – 0,6 % par rapport à 2018), alors que les dépenses d’autres catégories comme les cachets d’artistes et honoraires et l’entretien des immeubles et autres services municipaux, grandement affectées par la pandémie, ont diminué de 35,3 % et de 17 % respectivement.
La part des dépenses financées par les taxes et les impôts fonciers perçus par les municipalités a augmenté pour atteindre 86 % des dépenses en services culturels rendus en 2020 (82 % en 2018). Cette hausse s’explique par une baisse des autres sources de financement, notamment des revenus de la vente de biens et services (– 67 %), en contexte de pandémie.
Comme par le passé, trois domaines se partagent l’essentiel (83 %) des dépenses en culture des municipalités : les bibliothèques (343 M$, – 1,3 %), les arts et lettres (139 M$, – 10,4 %), et le patrimoine, l’art public et le design (122 M$, + 5,2 %).
Parmi les sept groupes de taille de municipalités étudiés, on trouve la dépense par habitant la plus élevée dans le groupe de municipalités de 500 000 habitants et plus, qui est constitué de Montréal et de Québec (181,56 $ par habitant), et dans le groupe des municipalités de 100 000 à 199 999 habitants, qui est constitué de Lévis, de Saguenay, de Sherbrooke, de Terrebonne et de Trois-Rivières (110,54 $ par habitant). Les plus petites municipalités, celles de moins de 5 000 habitants, ont la dépense par habitant la plus faible (43,06 $ par habitant).
Institut de la statistique du Québec
Québec, Qc
379
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Les lettres sont des opinions personnelles ; elles ne sont pas des articles d'actualité, ni des commentaires de ce journal. Nous acceptons les réponses à des lettres antérieures.
Nous n'acceptons pas les lettres faisant l'éloge ou la critique des entreprises locales. Nous n'acceptons pas les attaques personnelles, ni les articles promotionnels pour des candidats ou des partis politiques.
Le rédacteur en chef
Administré conjointement par l’Agence du revenu du Canada et Revenu Québec, le Service d’aide en impôt – Programme des bénévoles vise à aider les personnes à faible revenu à remplir leurs déclarations de revenus pour qu’elles obtiennent les prestations et les crédits d’impôt auxquels elles ont droit. Les bénévoles travaillant au service d’aide en impôt reçoivent une formation en ligne qui leur permet de remplir des déclarations de revenus simples. Ils viennent en aide aux personnes qui éprouvent de la difficulté à remplir celles-ci et qui ne peuvent pas recourir à des services professionnels.
Les organismes participants peuvent être admissibles à deux subventions dans le cadre du service d’aide en impôt, l’une offerte par l’Agence du revenu du Canada (ARC) et l’autre, par Revenu Québec. De plus, l’ARC accorde un montant de 500 $ pour les dépenses de base relatives à l’organisation des séances de préparation de déclarations de revenus.
L’an dernier, plus de 3 070 bénévoles répartis dans 520 organismes ont aidé plus de 165 000 personnes, partout au Québec, à remplir leurs déclarations de revenus du Canada et du Québec. Il s’agit donc de plus de 327 000 déclarations remplies et transmises à l’ARC et à Revenu Québec, et plus de 460 millions de dollars en remboursements, en crédits d’impôt et en prestations fédérales et provinciales qui ont pu être obtenus par les utilisateurs du service. Pour tous les détails, visitez : revenuquebec.ca/benevoles.
K-P Marchand-Giguère ,Agence du revenu du Canada
Montréal
La Ville de Gatineau doit entreprendre rapidement un virage énergétique si elle veut atteindre les objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre (GES) fixés par son Plan climat pour 2030. Les discussions qui ont eu lieu le 16 février à l’Université du Québec en Outaouais (UQO) étaient claires à ce sujet. Un panel d’experts réunis par l’UQO et la Commission de l’environnement et de la lutte aux changements climatiques débattait de l’utilisation des carburants fossiles pour le chauffage de nos maisons et commerces.
Le panel « Transition écologique à Gatineau : Vers une décarbonation des bâtiments » a permis d’identifier les lignes d’action suivantes.
Le professeur Jérôme Dupras, de l’UQO, propose d’aller plus loin que la carboneutralité. Selon lui, il faut viser la carbonégativité pour limiter le réchauffement climatique mondial à 1,5 degré C. Pour y arriver, il faudra obligatoirement accélérer l’adoption de technologies sobres en carbone. M. Dupras parle aussi de renouer avec la nature. Les écosystèmes de nos quartiers sont plus efficaces que la technologie pour stocker du carbone atmosphérique, réguler les pluies et la fraîcheur et assurer une biodiversité abondante et diversifiée. C’est pourquoi il faut favoriser l’intégration des solutions naturelles aux changements climatiques.
Des experts, dont M. Benoit Delage du CREDDO recommandent d’identifier les opportunités qu’offre l’Outaouais par une consultation sur l’avenir énergétique de la région pour planifier et prioriser des stratégies communes et les contraintes réglementaires à implanter en vue de réduire notre consommation énergétique de carbone fossile. La rénovation des bâtiments et leur conversion aux énergies renouvelables, l’interdiction de construire de nouvelles unités dépendantes du chauffage au gaz naturel et une tarification modulée pour une gestion plus serrée de notre consommation d’énergie pendant les fortes demandes sont autant de solutions proposées par les panélistes. Les kilowatts-heure d’énergie qu’on économise ainsi pourront servir à compenser les réductions non atteintes dans les secteurs où il est plus difficile d’obtenir de gains à court terme.
Des villes comme Gatineau ont déjà les capacités opérationnelles et réglementaires pour rendre leurs quartiers plus compacts, protéger les milieux naturels, soutenir le transport collectif et légiférer pour atteindre leurs cibles de réduction de GES. Cette décarbonation, mentionne l’un des panélistes, doit comprendre le rehaussement des exigences d’efficacité énergétique, l’augmentation de la production d’énergie renouvelable qui alimente commerces et maisons, et une combinaison des différents types de production d’énergie pour qu’ils se complètent de façon optimale. Des villes donnent déjà l’exemple. Montréal exige pour les nouvelles constructions un seuil de performance de zéro émission nette d’ici 2025, et l’atteinte du même seuil pour tous les bâtiments montréalais d’ici 2040.
Gatineau s’est engagée sur la voie de la transition écologique ainsi que sur la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre par la mise en œuvre de son plan climat et d’autres plans qui y sont liés (foresterie urbaine, milieux humides et hydriques, biodiversité, gestion de l’eau et des matières résiduelles). Pour passer des aspirations à la réalité, la transition vers l’usage d’énergies renouvelables est un chantier complexe qui exigera volonté d’agir, ténacité, coopération et concentration à l’échelle municipale entre les élus, l’administration et de nombreux acteurs du milieu. À nous de créer une ville qui intègre cette vision.
Quelle approche Gatineau choisira-t-elle pour répondre à ses objectifs de réduction des GES de son plan climat, dans le bâtiment comme ailleurs ?
Anik Des Marais, conseillère de la ville ( et vice-présidente de la Commission de l’environnement et de la lutte aux changements climatiques )
Daniel Rosset
Gatineau
En novembre 2022, le produit intérieur brut (PIB) réel du Québec aux prix de base a augmenté de 0,2 %, à la suite d’une hausse de 0,6 % en octobre. C’est ce que nous apprend la publication https://statistique.quebec.ca/fr/document/produit-interieur-brut-par-industrie-au-quebec/publication/produit-interieur-brut-par-industrie-au-quebec-novembre-2022" Produit intérieur brut par industrie au Québec, novembre 2022 diffusée aujourd’hui par l’Institut de la statistique du Québec.
Le niveau d’activité des industries de services a crû de 0,3 % en novembre, à la suite d’une hausse de 0,6 % en octobre. Le commerce de gros (+ 1,5 %), les soins de santé et l’assistance sociale (+ 0,7 %) et le transport et l’entreposage (+ 1,4 %) sont les secteurs ayant le plus contribué à la hausse en novembre, tandis que le commerce de détail s’est replié de 0,9 %.
Le niveau de production des industries de biens a diminué de 0,1 % en novembre, après une hausse de 0,9 % en octobre. En novembre, l’extraction minière, l’exploitation en carrière, et l’extraction de pétrole et de gaz (– 4,2 %) ainsi que l’agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse (– 2,5 %) ont connu les baisses les plus importantes, alors que la fabrication a enregistré une hausse notable de 1,0 %.
La croissance du PIB réel du secteur de la fabrication en novembre provient des hausses observées dans 15 de ses 19 sous-secteurs, dont la fabrication de matériel de transport (+ 1,8 %) et la fabrication de boissons et de produits du tabac (+ 4,3 %).
Pour les onze premiers mois de l’année 2022, le PIB réel du Québec est de 3,0 % supérieur à celui des mêmes mois de 2021. Les principaux secteurs ayant contribué à cette hausse sont les services professionnels, scientifiques et techniques (+ 5,6 %), le transport et l’entreposage (+ 10,8 %), les services d’hébergement et de restauration (+ 22,7 %), la fabrication (+ 2,8 %) ainsi que les services d’enseignement (+ 5,5 %).
Institut de la statistique du Québec
Québec
Vous reconnaîtrez peut-être mon nom aux nombreux documents anti-tramway que j'ai rédigés. Ce que j'ai à dire ce soir est de la plus haute importance et est bénéfique pour le tramway.
Il semble y avoir un entêtement à ce que le tramway pour Aylmer passe sur le pont du Portage. Le pont du Portage est à pleine capacité. Pourquoi pas un nouveau pont dédié au transport en commun. Ce nouveau pont relie le Musée national de la guerre à la station Taché-UQO. Il offre un accès direct des deux côtés de la rivière entre les Olympiques de Gatineau et les Sénateurs d'Ottawa au futur aréna des plaines LeBreton. Même pour le tramway, ce serait bénéfique. Un pont dédié aux transports en commun est facile à convaincre la population. Il n'est pas nécessaire d'avoir une structure haute. Le pont est petit et ne nécessite que deux voix. Le fond de la rivière est rocheux et peu profond. Celui-ci est facile à construire. Il peut être transformé en un chef-d'œuvre.
Le phénomène bien connu du "http://www.bv.transports.gouv.qc.ca/mono/1122171.pdf" trafic induit" est que lorsque vous agrandissez ou ajoutez une infrastructure routière, peu de temps après, elle est à nouveau pleine. Ceci est positif pour le pont proposé puisqu'il s'agit d'un pont utilisé strictement pour le transport en commun.
Selon la théorie du "http://www.bv.transports.gouv.qc.ca/mono/1122171.pdf" trafic induit, il y aura une augmentation de l'utilisation de la nouvelle structure de transport en commun au point qu'elle sera pleine avant longtemps. Vous devez savourer cet avantage. Plus pratique, ce pont épargne de précieuses minutes à tous les usagers se dirigeant vers le centre-ville d'Ottawa. Tout le monde d'Aylmer à Buckingham y a accès.
Ce pont est en ligne droite avec le Rapibus existant et peut faire partie du projet structurant du réseau de transport en commun de Gatineau.
Ce pont réduit considérablement le trafic de transit sur tout le réseau de lignes réservées aux autobus du centre-ville de Hull et sur le pont du Portage.
Des plaines LeBreton à la rue Sussex, on ajoute un tunnel en tranchée couverte.
Quel est votre avis ?
André Simonson
Aylmer
Lettres de janvier
16 janvier 2023
L’équipe de Loisir sport Outaouais est heureuse de vous annoncer que la saison 2023 du Défi château de neige est officiellement lancée dans la région de l’Outaouais !
Ainsi, jusqu’au 13 mars prochain, la région de l’Outaouais convie la population à profiter des plaisirs hivernaux par la construction d’un château de neige. Nul besoin de construire un chef-d’oeuvre ! L’objectif premier du défi, présenté par Carpe Diem Aventures en Outaouais, est de bouger dehors et de s’amuser tout en s’adonnant à un grand classique de l’hiver québécois. Les participants courent ainsi la chance de gagner de fabuleux prix de participation.
Pour participer, il suffit de construire un château de neige à l’endroit de votre choix, dans le respect des mesures sanitaires en vigueur et des consignes de sécurité du défi, de l’immortaliser en photo ainsi que de partager celle-ci en l’inscrivant sur le site Internet du Défi à l’adresse http://www.defichateaudeneige.ca www.defichateaudeneige.ca.
Valentine Proulx-Pohardy, Loisir sport Outaouais
Gatineau / Buckingham
16 janvier 2023
Demande en contestation constitutionnelle ...
Demande en contestation constitutionnelle de la Loi sur la protection de la jeunesse pour une protection accrue des enfants victimes de violence familiale et conjugale/contrôle coercitif : Présentement, la Loi sur la protection de la jeunesse ne protège pas adéquatement les enfants exposés directement ou indirectement à la violence conjugale, qui prend souvent la forme de contrôle coercitif post-séparation. Bon nombre de ces enfants et leurs parents victimes de violence conjugale/contrôle coercitif sont revictimisés lors de leur passage dans le système de la protection de la jeunesse puisque les intervenants de la DPJ ne sont pas en mesure de distinguer la violence conjugale et le contrôle coercitif des conflits de séparation. Cette réalité ne peut plus perdurer dans une société de droit qui est censée garantir et protéger les droits à l’intégrité physique et psychologique de ces personnes en situation de grande vulnérabilité.
Me Andreea Popescu,
Montréal
16 janvier 2023
Le gouvernement devra aide les municipalités
À la suite du dépôt de la mise à jour économique et financière, la Fédération québécoise des municipalités (FQM) constate l’absence de mesures pour venir en aide aux municipalités. Bien que nos demandes aient été transmises au ministre des Finances, M. Éric Girard, celles-ci n’ont pas été intégrées au Bouclier anti-inflation du gouvernement.
On comprend que le gouvernement souhaite amoindrir l’impact de la hausse du coût de la vie sur la population. Cependant, à titre de porte-parole des régions, nous souhaitons rappeler les importantes répercussions de l’inflation sur les municipalités du Québec. Sans aide, nos populations seront, notamment, confrontées à des augmentations de taxes. Il va sans dire que le gouvernement devra mettre en place de fortes mesures lors du budget 2023-2024 pour que les municipalités puissent continuer d’offrir des services de qualité aux citoyens.
Jacques Demers, FQM
Le préfet de la MRC de Memphrémagog
16 janvier 2023
RPA : le soutien aux aînés
À la suite de la récente décision rendue par le Tribunal administratif du logement en faveur des locataires d'une résidence lavalloise, la Fédération des Centres d’assistance et d’accompagnement aux plaintes (FCAAP) tient à souligner le courage de ces résidents qui ont pu bénéficier du soutien de l’organisme Dira-Laval pour exercer leurs droits et ainsi obtenir satisfaction, malgré la complexité des procédures et le déséquilibre des forces en présence.
Depuis plus de trois ans, les CAAP du Québec offrent le service CAAP sur le bail, qui vise à informer, aider et accompagner les locataires vivant en résidences privées pour aînés (RPA) dans toute difficulté en lien avec leur bail. Actuellement, ces organismes accompagnent plus d’une vingtaine de dossiers de demandes conjointes dans lesquels les résidents demandent au tribunal de leur consentir une compensation pour les services non rendus durant la pandémie.
De nombreux outils d’information, dont plusieurs capsules vidéo et des fiches, sont également disponibles sur la page web de la Fédération : https://u12097671.ct.sendgrid.net/ls/
Pierre Trahan, FCAAP
Québec
16 janvier 2023
Guignolée des médias
Depuis une trentaine d’années que la Guignolée des médias existe en Outaouais et en cela nous désirons féliciter et remercier tous les médias de la région pour leur support financier auprès des huit organismes à qui ils viennent en aide!
Gérard Émond, Centre alimentaire,
Aylmer
16 janvier 2023
Le pire de la Loi 96
La nouvelle se fait jour : les pires attentes sur la Loi 96 se réalisent. Nous avions prédit que lorsque le projet de loi serait adopté en juin, l’OQLF aurait carte blanche pour agir comme il l’entendait en soumettant la société québécoise à cette loi mesquine, et c’est ce qui est en train de se produire : Les parents et les élèves sont en désarroi en essayant d’obtenir des certificats d'admissibilité à l'anglais auprès des conseils scolaires à cause des nouvelles exigences du CEGEP. À Gatineau une entreprise qui embauche ses employés par l’entremise de quatre sociétés québécoises distinctes a reçu un avis de non-conformité parce que le représentant de l’OQLF a dénombré 26 employés sur place. L’OQLF a accédé aux ordinateurs sur place, a examiné la langue de correspondance. Des avertissements et des avis sont émis aux propriétaires d’entreprise lorsqu’ils émettent des factures en anglais.
En l’absence totale de solutions politiques, le seul recours est d’amener le tout devant les tribunaux. Le Comité spécial prépare donc une série de dossiers juridiques pour contrer la Loi 96 dans sept domaines clés : des Canadiens inadmissibles aux services offerts en anglais et des résidents permanents non admissibles dorénavant à l’obtention de messages en anglais de la part du gouvernement québécois.
Pour combattre cette loi, il nous faut de l’argent. La façon la plus simple pour contribuer est d’aller sur le site Go Fund Me à "https://protegermesdroits.us6.list-manage.com/track/click?u=7a2fb2420a15c27a634558fa9&id=89100c0b43&e=a60c8d17a9"
info@protegermesdroits.ca pour faire un don privé.
Andrew Caddell, Comité spécial sur la politique linguistique,
Kirkland, Quebec
16 janvier 2023
Les municipalités et les MRC sont essentielles aux projets d’énergie renouvelable
La Fédération québécoise des municipalités (FQM) partage la volonté du ministre de l’Économie d’ajuster la démarche d’appel d’offres d’énergie éolienne en cours afin d’assurer un développement optimal de l’ensemble des régions du Québec.
Dans le passé, les régions ont vu les ressources énergétiques de leur territoire être développées et exploitées par des entreprises privées sans bénéficier des retombées à long terme. Dorénavant, pour s’assurer de mettre en service rapidement de nouveaux projets énergétiques, les communautés devront être impliquées en tant que réelles partenaires dans tous les projets énergétiques. Le gouvernement doit inclure dans cette nouvelle démarche d’appel d’offres que tout projet d’énergie éolienne comprenne une participation des communautés locales et régionales.
Le succès de la filière énergétique québécoise et son acceptabilité sociale passent inévitablement par la participation du milieu dans l’ensemble des projets énergétiques renouvelables, que ce soit par appel d’offres ou contrat de gré à gré. Le monde municipal doit être un acteur principal de ce type de développement.
Marie-Ève Dion, FQM
Québec, Quebec
16 janvier 2023
L'aide pour les municipalités?
À la suite du dépôt de la mise à jour économique et financière, la Fédération québécoise des municipalités (FQM) constate l’absence de mesures pour venir en aide aux municipalités. Bien que nos demandes aient été transmises au ministre des Finances, M. Éric Girard, celles-ci n’ont pas été intégrées au Bouclier anti-inflation du gouvernement.
On comprend que le gouvernement souhaite amoindrir l’impact de la hausse du coût de la vie sur la population. Cependant, à titre de porte-parole des régions, nous souhaitons rappeler les importantes répercussions de l’inflation sur les municipalités du Québec. Sans aide, nos populations seront, notamment, confrontées à des augmentations de taxes. Il va sans dire que le gouvernement devra mettre en place de fortes mesures lors du budget 2023-2024 pour que les municipalités puissent continuer d’offrir des services de qualité aux citoyens.
Jacques Demers, président de la FQM
Québec, Qc
24 janvier 2023
Le passage du flambeau
Selon un nouveau HYPERLINK "https://link.mediaoutreach.meltwater.com/ls/click?upn=rWhfMMIZ3nNBQUEeSKM1cholloOBPrT2Ztm4rG6TiAyyvnxmg7ykZxXg2Qb7BfAIGniN4XN1SBeqS17eNhYqCTRAgB-2F6z6L9NLLIIr9hV1qDzc15TeaDBZjK3ZfmYrjTDkFyenSn1JG7Izat7vc4u6UcQZL7J-2Fwb-2B3aPE3WMQ7JV-2BRUjEZ64mCd93-2BBe-2F-2BQUz7Re_Y-2BXF-2B1WmAx-2BUgxyvqmxyyhla9i9L0DPgxKHjzX5fRYSqYSMCkZ6mF3quFhXFVLWHyLHfusJncjZ5rzjOMn0tJBSh6fYY5lEbZIyjWyZWwHj9AqZ11gvEJ03Q0dIf4Z4mHKcVTSIOrTZtXk-2BBmTeBj1p1NuGQimqwMyP13Vm4P0B76fmpFnx-2FkJM-2BnTq7Tu4fXaO1YTJrIYvKaI2PL-2BWe32QaiK0TLZFq6uG8oRh3OCp-2FTP9gRaJ7HnP35XpMCTsM2Ktatwd5z9ChPFA6T60LGUQlNfrHKGkZrmXWgvZFeVrgELjpXMKKgEn-2FJBRqjqcntiucC12HRezuOGvl3mdOLsaCHMkyc6RZ7mJNXw4FaFkpOMonB05rXn-2FVFVPcyZUlYE1ySxP6gMFjj-2B4Yo-2BGMzg-3D-3D" de la FCEI, plus de 2 000 milliards de dollars (2 T$) en actifs commerciaux pourraient changer de mains puisque les trois quarts (76 %) des propriétaires de PME comptent passer le flambeau d’ici 10 ans.
La retraite est la principale raison invoquée par les chefs d’entreprise pour céder leur entreprise (75 %). Cependant pour 22 %, c’est en raison de l’épuisement, et pour 21 %, c’est pour prendre du recul face à leurs responsabilités. Toutefois, seulement 1 propriétaire d’entreprise sur 10 (9 %) a prévu un plan de relève formel écrit.
Maud Larivière, FCEI,
Montréal
24 janvier 2023
Déclin marqué de la population d’orignaux
Lors de la conférence des Nations unies sur la biodiversité (COP15) qui s’est tenue en décembre, les peuples autochtones nous ont rappelé leur longue histoire de gestion durable d’écosystèmes divers et abondants, comme c’est le cas du peuple Anishnabe du Réserve faunique de La Vérendrye.
Au cours des 15 dernières années, la communauté a constaté un déclin marqué de la population d’orignaux. Une étude réalisée par le gouvernement québécois montre que le nombre d’orignaux dans le parc a chuté de https://canadians.us19.list-manage.com/track/click?u=fb9e08a9113c74c2263f5d4e2&id=39be4dbdbe&e=4cef51d000 35 % au cours des 12 dernières années. Le gouvernement n’a pas pour autant pris les mesures nécessaires pour y remédier. En réaction à ce déclin d’une population autrefois stable, les communautés Anishnabe du parc et des environs se sont réunies et ont mis sur pied le https://canadians.us19.list-manage.com/track/click?
u=fb9e08a9113c74c2263f5d4e2&id=6080a848b5&e=4cef51d000 Comité Anishnabe de l’orignal en 2021. Ils comptent sur l’orignal pour se nourrir sainement, se vêtir et leurs cérémoniaux. Ce dernier a réalisé l’étude la plus complète à ce jour sur la population d’orignaux de la région. Le rapport pointe du doigt la chasse sportive, l’exploitation forestière et le changement climatique comme étant les causes de l’effondrement de la population.
Ce déclin de la population d’orignaux soulève un certain nombre de questions, à savoir quelles forces économiques, politiques et sociales y ont contribué? Qu’allons-nous faire maintenant? https://canadians.us19.list-manage.com/track/click?u=fb9e08a9113c74c2263f5d4e2&id=70e876d209&e=4cef51d000 Cette analyse explore le rôle que la foresterie, l’exploitation minière, la chasse sportive et la gestion des ressources par les gouvernements coloniaux ont joué sur cet écosystème, sur les orignaux et sur les gens qui y vivent depuis des millénaires.
Vi Bui, https://canadians.us19.list-manage.com/track/click?u=fb9e08a9113c74c2263f5d4e2&id=5635e162ea&e=4cef51d000
Le Conseil des Canadiens,
Ottawa
24 janvier 2023
Les Métallos réclament une loi anti-briseurs de grève
Alors que la pénurie de main-d’œuvre et l’inflation font rage au Québec, le Syndicat des Métallos négocie pour améliorer les conditions de travail des membres à travers le Québec. Les entreprises font des profits comme jamais, le coût de la vie grimpe, à nous de se mobiliser pour que les travailleuses et travailleurs aient leur juste part.
Les délégués du Syndicat ont aussi convenu de se préoccuper davantage de la transition juste sur le plan environnemental. On savait que les usines où il y avait des investissements allaient durer longtemps… Aujourd’hui, la même logique vaut pour l’environnement. On doit s’impliquer pour inciter nos employeurs à investir dans la performance énergétique, pour une transition just.
Les délégués ont appris que leurs efforts pour une législation afin de protéger les retraites en cas de faillite ont porté fruit : un projet de loi en ce sens a été adopté unanimement par les députés à la Chambre des communes. C’est une belle victoire métallo. La prochaine cible, c’est une loi anti-briseurs de grève au fédéral. On met le cap là-dessus! Ce n’est pas normal que les lois canadiennes n’interdisent pas les travailleurs de remplacement, il en va de la paix industrielle et de l’intégrité du processus de négociation.
Clairandrée Cauchy, Syndicat des Métallos (FTQ),
Montréal
24 janvier 2023
Proposition visant à atténuer la pénurie de médecins de famille
Des patients sont récemment décédés de façon inattendue dans des services d'urgence au Nouveau-Brunswick et en Ontario. Le CHEO a ouvert une deuxième unité de soins intensifs. En raison de l'épuisement, de l'épuisement professionnel et des mauvaises conditions de travail, de nombreux travailleurs de la santé ont démissionné, obligeant les services d'urgence de tout le Canada à fermer temporairement. Environ cinq millions de Canadiens n'ont pas de médecin de famille, mais seulement des cliniques sans rendez-vous. Il n'est pas étonnant que les soins de santé aient dépassé l'inflation en tant que principal problème national, selon le sondage Nanos.
Le premier ministre du Manitoba a réitéré sa demande à Ottawa d'augmenter le Transfert canadien en matière de santé de 22 % à 35 %. Mais le ministre fédéral de la Santé, Jean-Yves Duclos, refuse (de parler d'argent supplémentaire tant que les provinces ne garantissent pas son utilisation). Il veut qu'elles se concentrent sur le recrutement et le maintien en poste des professionnels - ce qui n'est pas suffisant selon les premiers ministres.
Que peut-on faire ? Les inscriptions dans les écoles de médecine et de soins infirmiers sont en hausse. La Colombie-Britannique triple le nombre de places pour l'obtention du permis d'exercice des médecins formés à l'étranger ; d'autres provinces accélèrent le traitement des diplômés étrangers en soins infirmiers et en médecine. L'Association médicale canadienne propose un permis d'exercice de la médecine transférable à l'échelle nationale. D'autres proposent également des soins en équipe avec des salaires et des avantages sociaux pour les médecins.
Nous avons besoin d'incitatifs pour garder les médecins plus âgés au travail, par exemple en réduisant les frais annuels de licence. Plus de 15-16% de nos médecins de famille et spécialistes ont 65 ans ou plus.
Les médecins peuvent s'absenter du travail pendant des semaines, voire des mois, en raison d'une crise cardiaque, d'une infection grave comme le COVID-19, de la résection de tumeurs, d'une chirurgie de la prostate ou d'une chirurgie cardiaque, d'une dépression, d'une arthroplastie du genou ou de la hanche, etc. Cela peut aboutir à la retraite. L'assurance invalidité privée est généralement impossible à obtenir après 65 ans.
Toutes les provinces offrent des avantages différents, comme les congés médicaux. Les jeunes médecins sont mobiles et attirés par ces avantages. Des licences médicales transférables à l'échelle nationale feraient pression sur toutes les provinces pour qu'elles offrent des avantages tels que l'invalidité à court terme aux médecins plus âgés.
Je propose donc que le Québec et toutes les provinces offrent ce qui suit :
Les médecins et chirurgiens praticiens couverts, âgés de 65 à 80 ans, sans délai : Les médecins recevraient 70 à 80 % de leurs facturations mensuelles moyennes pendant 60, ou de préférence 90 jours.
Le fait qu'Ottawa subventionne directement un tel programme serait un exemple de transferts ciblés en matière de santé qui devrait convenir à Duclos et être bien accueilli par la plupart des provinces. Pourtant, en revendiquant la "compétence provinciale exclusive", le Québec pourrait protester contre ces "conditions liées" aux fonds fédéraux. Ottawa pourrait alors payer les médecins directement ! Rappelons que le Programme fédéral de santé intérimaire paie directement les médecins qui traitent les réfugiés, ou qui traitent les prisonniers fédéraux, et, jusqu'en 2013, les membres de la GRC.
Une couverture d'invalidité à court terme permettrait de maintenir les médecins plus âgés au travail, même à temps partiel. Par exemple, 80 % des patients des services d'urgence pourraient être pris en charge par des médecins de famille, ce qui allégerait le fardeau de ces établissements surpeuplés et en sous-effectif.
(Traduit)
Charles S. Shaver, MD,
Ottawa
24 janvier 2023
Interdiction des feux de bois en période de smog
On est rendu là ! Après des décennies de sensibilisation aux dangers provenant de la fumée de combustion du bois, et ce particulièrement en période de smog; il est temps de passer à l’interdiction et la coercition (amendes). Il est temps qu’une minorité arrête d’enfumer une majorité, en particulier nos jeunes enfants.
Montréal a interdit le chauffage au bois, en tout temps. Québec, Kirkland, Ste-Julie, St-Lambert, Vaudreuil-Dorion, Beaconsfield, Montroyal, Baie d’Urfée, etc ont interdit le chauffage au bois en période de smog.
Élus de Gatineau, c’est votre tour de protéger vos concitoyens.
Eric Beaudoin,
Gatineau
Lettres de décembre
On entre dans la froidure de l'hiver, mais on aura toujours la poésie pour nos tenir le coeur au chaud!
Notre chaleureux Guy Perreaul animera cette joute amicale et Josette Noreau brisera la glace en tant que sacrifiée. Défileront ensuite sur la patinoire Marie-Pier Bouladier, La Chamane, Victor Denoncourt, Randy Kelly, Myriam Legault-Beauregard, Simon R M, Annie St-Jean et Danièle Vallée. Pour la veillée, ils seront notre première accumulation, non pas de neige, mais de magie littéraire et de poésie!
Le slam est une compétition amicale qui favorise l’interaction avec le public, un art de la parole qui se répand au-delà des barrières générationnelles et culturelles. SlamOutaouais représente la Ligue québécoise de slam (LiQS) en Outaouais et offre des spectacles de haut calibre depuis 2007.
Avec notre slamattitude, on vous fera fondre, c'est certain!
On lance le chapeau, jamais la serviette. Parce que les nombres d’équipes augmente à la compétition nationale et le nombre de joute également, vos slameurs favoris ont besoin de votre aide pour s’y rendre et y rester. Avec nos mots et nos yeux qui pétillent, on tend notre chapeau virtuel vers votre générosité et votre amour de la poésie. HYPERLINK "https://ymlpcl7.net/4cc52wwanaewheyavayhjalahu/click.php" n _blankhttps://gofund.me/4b41f619
Nous remercions notre chateau fort, À la Dérive, pour l’épopée qu’on s’apprête à slamer. Merci à l'AAAO de sa collaboration et de son soutien.
Annie St-Jean, slammestre SlamOutaouais
Gatineau
Les citoyen·ne·s de l’Outaouais sont confronté à une crise du logement qui a des impact majeur sur leur vie. Afin d’en savoir plus sur les enjeux liés à cette crise, l’Association de circonscription NPD Pontiac a invité des expert·e·s dans le domaine pour une éclairante discussion.
L'événement prendra la forme d'une table ronde sur le droit au logement et sur la réalité de la crise actuelle dans Pontiac, Gatineau et les MRC environnantes. Ce sera l'occasion de réunir des militants de longue date du droit au logement tels que Jenny Kwan, députée néo-démocrate de Vancouver et porte-parole en matière de logement, Céline Brault, ancienne présidente de la Chelsea Housing Corporation, François Roy, coordonnateur de la association de défense des droits « Logemen'Occupe » ainsi que Latonya Ludford gestionnaire du Canada Project à The Shift.
L'événement est ouvert au public et comprendra une période de questions. Il sera également bilingue. Date : 14 janvier 2023 à 14h ; Université du Québec en Outaouais (Local D0443, Pavillon Alexandre-Taché)
Catherine Emond-Provencher, NPD Pontiac
Gatineau
J’ai bien aimé les éditoriaux de l’édition du 7 décembre 2022. Celui de Didier Périès « Réinventons nos villes », abordant la question de la densification urbaine et celle de l’environnement. J’aime bien la conclusion : « Restaurons, rénovons, adaptons… ». Un article assez « densifié » et riche sur le plan du contenu. Bravo, Monsieur Piérès!
Celui de Ian Barrett « Electric Car Charging Stations » a été également très éclairant sur les besoins pratiques en matière de bornes de recharge pour les véhicules électriques. Des suggestions importantes pour l’avenir du transport électrique. Merci Monsieur Barrett.
André Pinard
Gatineau
Le Syndicat canadien de la fonction publique qui représente les travailleurs du secteur Énergie, de même que Équiterre, Greenpeace, Nature Québec, le Regroupement des organismes environnementaux en énergie et le Regroupement vigilance hydrocarbures Québec dévoilent les résultats troublants d’une nouvelle étude qui révèle qu’il pourrait en coûter jusqu’à 32% plus cher d’adhérer au nouveau programme biénergie électricité-gaz actuellement proposé par Hydro-Québec et Énergir plutôt que de se chauffer à l’électricité.
L’étude, réalisée par Écohabitation, conclut que, pour les nouveaux bâtiments résidentiels unifamiliaux, la biénergie électricité-gaz coûte 32% de plus qu’avec l’électricité au tarif Flex D d’Hydro-Québec, en utilisant un système de chauffage central avec accumulateur de chaleur et une thermopompe. Ces équipements permettent de décarboner les bâtiments tout en gérant efficacement les pointes de demande hivernale d’électricité, un enjeu pour Hydro-Québec.
De plus, l’étude mentionne qu’il coûte jusqu’à deux fois plus cher de se chauffer au gaz comparativement à un système de chauffage électrique central avec accumulateur de chaleur et thermopompe à climat froid.
Non seulement il y a des alternatives moins polluantes que le gaz et qui n’émettent aucun gaz à effet de serre, mais elles sont plus économiques pour le consommateur(trice). Il est inacceptable qu’Hydro-Québec fasse la promotion de la biénergie alors qu'elle connaît et maîtrise ces meilleures technologies. L’avantage concurrentiel de l’électricité pourrait d’ailleurs encore augmenter dans l’avenir puisque le prix du gaz naturel a doublé depuis le début de 2022.
À la lumière de ces nouvelles révélations, nous demandons au gouvernement de retirer son soutien à la biénergie dans les bâtiments et de choisir une vraie solution gagnante pour le Québec.
Les Groupes rappellent que cette entente, approuvée par la Régie de l’énergie, prévoit notamment qu’Hydro-Québec augmente ses tarifs d’électricité pour compenser les pertes de revenus d’Énergir. À elle seule, cette compensation coûterait à terme 2,4 milliards de dollars aux clients d’Hydro-Québec.
Jean-Pierre Finet, ROEE, Patrick Bonin, Greenpeace Canada, Mathilde Condrain-Morel, Équiterre, Gabriel Marquis, Nature Québec, Emmanuel Patola, SCFP-Québec, et Jacques Rousseau, Regroupement vigilance hydrocarbures Québec
Montréal
L’Institut de la statistique du Québec publie la mise à jour de l’empreinte carbone des ménages au Québec -- pour l’année 2018. Celle-ci s’élève à au moins 70 420 kilotonnes d’équivalent CO2 (Kt éq. CO2), ce qui équivaut à 8,4 tonnes par habitant. Il s’agit d’une hausse de 6 % par rapport à l’empreinte carbone révisée pour l’année 2017 (64 474 Kt éq. CO2 ou 8,0 tonnes par habitant).
L’empreinte carbone des ménages correspond aux émissions de gaz à effet de serre (GES) produites pour répondre aux besoins de consommation des ménages, qu’elles aient été générées par les ménages eux-mêmes ou par les secteurs d’activité économique qui leur fournissent les biens et les services demandés.
L’empreinte carbone mesure les émissions occasionnées par la consommation des ménages au Québec (40 618 Kt éq. CO2 en 2018), ailleurs au Canada (11 903 Kt éq. CO2) et ailleurs sur la planète (17 899 Kt CO2).
Pour en savoir plus : HYPERLINK "mailto:cid@stat.gouv.qc.ca"cid@stat.gouv.qc.ca
L’Institut de la statistique du Québec
Québec, Qc
Le Syndicat canadien de la fonction publique qui représente les travailleurs du secteur Énergie, de même que Équiterre, Greenpeace, Nature Québec, le Regroupement des organismes environnementaux en énergie et le Regroupement vigilance hydrocarbures Québec dévoilent les résultats troublants d’une nouvelle étude qui révèle qu’il pourrait en coûter jusqu’à 32% plus cher d’adhérer au nouveau programme biénergie électricité-gaz actuellement proposé par Hydro-Québec et Énergir plutôt que de se chauffer à l’électricité.
L’étude, réalisée par Écohabitation, conclut que, pour les nouveaux bâtiments résidentiels unifamiliaux, la biénergie électricité-gaz coûte 32% de plus qu’avec l’électricité au tarif Flex D d’Hydro-Québec, en utilisant un système de chauffage central avec accumulateur de chaleur et une thermopompe. Ces équipements permettent de décarboner les bâtiments tout en gérant efficacement les pointes de demande hivernale d’électricité, un enjeu pour Hydro-Québec.
De plus, l’étude mentionne qu’il coûte jusqu’à deux fois plus cher de se chauffer au gaz comparativement à un système de chauffage électrique central avec accumulateur de chaleur et thermopompe à climat froid.
Non seulement il y a des alternatives moins polluantes que le gaz et qui n’émettent aucun gaz à effet de serre, mais elles sont plus économiques pour le consommateur(trice). Il est inacceptable qu’Hydro-Québec fasse la promotion de la biénergie alors qu'elle connaît et maîtrise ces meilleures technologies. L’avantage concurrentiel de l’électricité pourrait d’ailleurs encore augmenter dans l’avenir puisque le prix du gaz naturel a doublé depuis le début de 2022.
À la lumière de ces nouvelles révélations, nous demandons au gouvernement de retirer son soutien à la biénergie dans les bâtiments et de choisir une vraie solution gagnante pour le Québec.
Les Groupes rappellent que cette entente, approuvée par la Régie de l’énergie, prévoit notamment qu’Hydro-Québec augmente ses tarifs d’électricité pour compenser les pertes de revenus d’Énergir. À elle seule, cette compensation coûterait à terme 2,4 milliards de dollars aux clients d’Hydro-Québec.
Jean-Pierre Finet, ROEE, Patrick Bonin, Greenpeace Canada, Mathilde Condrain-Morel, Équiterre, Gabriel Marquis, Nature Québec, Emmanuel Patola, SCFP-Québec, et Jacques Rousseau, Regroupement vigilance hydrocarbures Québec
Montréal
Plus de 5 000 Canadien.ne.s et une coalition de groupes environnementaux, dont fait partie la Fondation David Suzuki, HYPERLINK
"https://link.mediaoutreach.meltwater.com/ls/click?upn=J-2FGQ-2FTjCUwWdVFKLsVn5TBhBd6fy7OWLrH0Fdk23k9q6pvjmCDcCgWM9BwPbYFWry6PQ9nZn7cJDleotrdufCKmPPndnS-2BMpAjGD7fIVCtsCOhhNSp6EwEnV-2FOMWqx1d_4Rg_Y-2BXF-2B1WmAx-2BUgxyvqmxyyhla9i9L0DPgxKHjzX5fRYSqYSMCkZ6mF3quFhXFVLWH8iQOahAUpPzHruquScvxEmNh04I8Pq1T8lo6aZuAPnN2vbR-2FHf-2Be5FsGoMKJIRCiP1F-2F5ZgMSH625nd36rhCoyYPwlqDcB4i7onOwJxxfmv-2BnBk323KPgS8CMYPdh8GAWijDsr2Vqf4wV6yWb9I-2FnkyvuoffGkX1-2BvUMKzuJmD8d31CgDlPK5NfWtbg-2Bxy9NfbU9Op2qIGv5o4-2FhtIjHMPd6nVo7Ni-2F8C5NGHvNTseCSXWQCqR3WxLsQJpa-2FP5EBxWKA4lSUg9cXwgqzQb7hImrjyS9qDbXPIuCgiZp4tId-2BPek46BySrH-2FIVjxxj8Ep"
n _blankdemandent au gouvernement fédéral d’agir, après plus de six ans d'attente, pour enfin protéger les papillons monarques.
Les pesticides, les changements climatiques et la perte d'habitats naturels ont engendré une situation désastreuse pour les deux populations nord-américaines de monarques. La population occidentale a diminué de plus de 95 % depuis les années 1980. La population orientale a diminué de plus de 70 % au cours des trois dernières décennies.
Ces groupes demandent une protection immédiate des monarques et une stratégie nationale pour réduire l'utilisation des pesticides. L'utilisation excessive du glyphosate a fait disparaître l'asclépiade (la plante hôte du papillon monarque) d'une grande partie de la flore, ce qui a contribué au déclin des monarques. D'autres produits chimiques, comme les pesticides néonicotinoïdes, peuvent être particulièrement toxiques pour les insectes comme les abeilles et les papillons, et ont été interdits dans d'autres pays. Enfin, un autre facteur est le rayonnement des communications sans fil, qui peut affecter la navigation pendant la migration.
Le déclin des papillons monarques et l'incapacité du Canada à les protéger mettent en lumière les enjeux des négociations de la COP15 en vue d'un nouveau cadre mondial axé sur l'arrêt et l'inversion de la perte de la biodiversité. La protection des monarques en tant qu'espèce menacée et la
HYPERLINK "https://link.mediaoutreach.meltwater.com/ls/click?upn=J-2FGQ-2FTjCUwWdVFKLsVn5TL1zOUfb-2F24voc7EX9Ek-2F7-2Fm8mgmcf7LesGANGuLTgitfsCOeqrHMX9pf-2FU75v2-2FCnJALs4rti9j-2BXrRoc-2FJ2fs-3DaW6O_Y-2BXF-2B1WmAx-2BUgxyvqmxyyhla9i9L0DPgxKHjzX5fRYSqYSMCkZ6mF3quFhXFVLWH8iQOahAUpPzHruquScvxEmNh04I8Pq1T8lo6aZuAPnN2vbR-2FHf-2Be5FsGoMKJIRCiP1F-2F5ZgMSH625nd36rhCoyYPwlqDcB4i7onOwJxxfmv-2BnBk323KPgS8CMYPdh8GAWijDsr2Vqf4wV6yWb9I-2Fnt50Pdm8TumVPNvhvj48qclolU5kGrLR-2F4UwQqd44RJmZ9cWTQob-2BlM6qxO6h1OwEsQ2tsQ1eG1sQc1kx2EB4wY9jD0cH7awkWnxTQ4FDOu5CfwK8HhObuxIzo173eZl8iCcvdo5wjBs99moBnu7j64ztz4D09h2zBKoBkAtI1SX"
n _blankréduction des pesticides doivent être incluses dans les engagements du Canada.
Stephanie O'Neill, Fondation David Suzuki
Montréal
Le "nouveau" Parti conservateur du Québec, lors des élections provinciales du 3 octobre, a proposé un système de santé à deux niveaux pour le Québec, privé et public. Le candidat du PCQ dans le Pontiac a déclaré aux médias locaux qu'il était favorable à la privatisation de l'hôpital de Shawville et, vraisemblablement, d'autres petits établissements ruraux. Il est passé de zéro à la troisième place dans cette circonscription, la privatisation n'est donc pas une spéculation futile. Il y a beaucoup d'électeurs qui accepteraient, voire accueilleraient favorablement, une alternative privée -- oui, du système public très efficace du Québec, même s'il souffre d'une terrible sur-bureaucratisation.
S'agit-il simplement d'une frustration qui tend vers n'importe quelle alternative, même si elle est peu judicieuse ? Plus la propagande pro-privatisation de l'Ontario et des États-Unis.
Oui, notre système de santé est toujours en crise et absorbe une part importante du budget de notre province. Il y a beaucoup de problèmes, mais nous ne devrions pas ignorer les rapports positifs et les éloges de ceux qui ont été servis par notre système public. L'argument de la privatisation est que si certains peuvent se permettre de payer leurs propres soins, pourquoi ne pas les laisser faire ?
Si seulement la vie était aussi simple ! "Les laisser se débrouiller" signifie en fait démanteler ce qui reste encore de notre système de soins de santé admiré dans le monde entier. "Laisser les riches se payer eux-mêmes" existe déjà : n'importe qui peut s'envoler vers les États-Unis pour y recevoir des soins. Pourquoi ne pas en rester là et continuer à améliorer le système qui nous sert tous plus ou moins bien ? Nous préférerions les soins de santé du Mexique, ou ceux de la Turquie ? Non, dans l'ensemble, notre système fonctionne presque aussi bien qu'on pourrait l'espérer. D'énormes problèmes de bureaucratie l'entravent, tandis que les établissements privés siphonnent déjà nos infirmières et nos techniciens.
Les soins de santé ne sont pas la même chose que fournir de nouvelles voitures. Ou des produits d'épicerie. Les soins de santé concernent des êtres humains, complexes, pleins de plaintes, de craintes, de souhaits grandioses et d'attentes démesurées. Servir le public de manière aussi intime, dans des conditions de vie et de mort, ne peut qu'entraîner des problèmes et des lacunes. Les soins de santé ne sont pas un achat unique pour le consommateur - étant donné la fragilité des êtres humains, des soins de suivi sont nécessaires, il y a de nouveaux traitements et de nouvelles idées ..... Ne devrions-nous pas nous attendre à ce qu'une hernie soit plus problématique que l'achat d'une voiture ? J'ai entendu beaucoup plus d'éloges que de plaintes sur nos médecins, nos infirmières et nos hôpitaux. Des améliorations sont toujours possibles, des trébuchements choquants (comme le racisme) probables.
Il y a un côté plus sombre à la privatisation : l'insistance des grandes entreprises sur le fait qu'elles peuvent fournir des résultats en matière de santé mieux et plus rapidement que le système public (sans comparaison des coûts). Il y a du profit à faire avec les soins de santé. Il suffit de regarder au sud de la frontière. Ils insistent sur le fait que nous refusons au capitalisme (notre religion officieuse) un centre de profit très lucratif.
Les critiques, même au sein des systèmes privatisés, soulignent que les sociétés échouent en fait dans des domaines importants de la prestation des soins. La recherche, par exemple. La recherche va bien, si les investisseurs de Wall Street peuvent faire de gros profits avec un remède ou un traitement. Mais si ce n'est pas le cas, les maladies ne sont pas traitées - Big Pharma refuse de faire des recherches sérieuses sur la résistance croissante des antibiotiques, par exemple. Il n'y a pas d'argent à gagner ! La privatisation tolère cela.
La privatisation de la santé crée également des zones entières de maladies non traitées (les pauvres) et de vastes bassins d'infection qui, inévitablement, évolueront encore et se répandront.
Les entreprises veulent également que nous financions le système public en même temps que leur vache à lait privée - afin que nous, le public, puissions rechercher et payer pour les problèmes que le système privé refuse de traiter, ne leur laissant que des "centres de profit". De toute évidence, considérer le public comme stupide va de pair avec la vente de la privatisation.
Pourtant, les Canadiens comprennent que nos impôts servent à aider tout le monde et pas seulement à fournir une soupape de sécurité aux riches qui peuvent s'envoler pour des traitements. Et les profits des entreprises sont en fait une forme d'imposition -- d'où viennent les profits ? De nos portefeuilles. Avec la privatisation, nous paierions deux fois des impôts !
La privatisation fracture également une société, élargit les divisions économiques et géographiques existantes, dressant les groupes, les classes et les régions les uns contre les autres. Les zones rurales, les petites villes, les villages éloignés ? Désolé... allez à Montréal. La privatisation repose entièrement sur une mentalité de loi du jungle, renforçant la sanctification de l'"individualisme" par les entreprises au détriment de la famille et de la communauté. La "libre entreprise" n'est pas libre du tout, elle repose sur une politique de "l'acheteur averti" et encourage la corruption et les pots-de-vin, en s'attaquant aux personnes malades, âgées et handicapées.
J'ose ajouter que presque toutes les innovations des entreprises reposent en fin de compte sur le financement de la collectivité, sur les allégements fiscaux et les incitations, sur l'aide du gouvernement et des fondations.
Beaucoup de choses peuvent sembler bonnes de loin, mais il faut arrêter la propagande constante ... les soi-disant avantages de laisser les entreprises faire de l'argent sur notre santé et notre bien-être sont une recette pour la division, la souffrance et l'augmentation de la pauvreté. Pourquoi voudrions-nous une quelconque privatisation ? ( Traduit )
Fred Ryan
West Quebec Post
La Mobilisation Citoyenne pour une Réforme du Scrutin (MCRS), conjointement avec le Mouvement Démocratie Nouvelle, la Coalition pour une Réforme Électorale Maintenant, la Fédération étudiante collégiale du Québec et l’Union étudiante du Québec, ont annoncé la tenue de la « Manifestation pour une réforme du mode de scrutin : prenons notre démocratie en main! ».
La manifestation sera la première de nombreuses actions menées par le MCRS dans les prochaines semaines et prochains mois.
Le MCRS est une mobilisation citoyenne ayant pour but de mobiliser la population afin de mettre en place un mode de scrutin proportionnel mixte à compensation nationale et distribution régionale.
Maël Ferland-P
Alors que le Québec est en voie de rater ses cibles en matière de lutte aux changements climatiques, il est impératif de décarboniser le secteur industriel, deuxième émetteur de gaz à effet de serre de la province. C’est la conclusion à laquelle parvient l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) dans une HYPERLINK "https://iris-recherche.us4.list-manage.com/track/click?u=d77a17eb97fce0bc47ca1edce&id=b3ac6b8e62&e=9c512dd977" n _blankétude qui met en évidence le déséquilibre entre l’empreinte carbone des industries les plus polluantes et leur contribution à l’économie québécoise.
Au Québec, malgré le recours massif à l’hydroélectricité, certaines entreprises ont une empreinte carbone élevée en raison des procédés industriels au cœur de leurs processus de production. À elles seules, dix entreprises québécoises étaient responsables de près de la moitié des émissions attribuables au secteur industriel en 2019. Ces industries doivent être impliquées dans la lutte aux changements climatiques pour que la province soit en mesure de respecter sa cible de réduction des émissions de GES de 37,5% d’ici 2030. Pour limiter le réchauffement planétaire, miser sur l’électrification des transports ne suffit pas. Les grands pollueurs au Québec doivent redoubler d’efforts pour réduire leur empreinte environnementale.
Les entreprises les plus polluantes du secteur industriel, soit celles qui rejettent plus de 50 000 tonnes d’équivalent de CO2 par année, ont un impact environnemental disproportionné par rapport aux bénéfices économiques qu’elles rapportent à la province. En effet, les 72 établissements industriels parmi les plus polluants sont responsables de 22% des GES de l’ensemble du Québec, alors qu’ils génèrent moins de 1% des emplois.
De plus, l’ensemble des actionnaires des dix entreprises responsables de la moitié des émissions du secteur industriel sont situés à l’étranger, nuisant ainsi à la rétention de la richesse créée dans la province. Non seulement une poignée d’établissements industriels alourdissent d’année en année le bilan carbone du Québec, mais le bénéfice économique qu’en tire la population québécoise est somme toute limité.
Camille L. Thuot, IRIS
Montréal
de congés de maladie COVID-19 de 10 jours pour l’ensemble des travailleurs ne pouvant pas faire de télétravail. Avant d’arriver à une décision, il est nécessaire de réaliser une étude d’impact réglementaire et de consulter les propriétaires d’entreprise. Il faut prendre en considération le fait que les PME québécoises sont déjà très affaiblies. Il faut absolument éviter de leur imposer davantage de mesures gouvernementales qui leur ajouteraient des coûts supplémentaires.
Maud Larivière, FCEI
Montréal
I was interested to read Bob McDougall's letter (Nov. 23) regarding feeling he was misled by Councilor Steven Boivin.
I turned to M. Boivin for insight and support about yet another monstrous build in Wychwood for which no permits were acquired until after they cut mature trees down and started construction. I also asked him to ensure all building by-laws were being adhered to, as I was led to believe there are height restrictions and lot/building ratios in place.
All communication with the Councilor has been less than satisfactory, with no conclusion as of yet. Meanwhile, the developer has completed the monster home in record time. What is the point of an urban planning tool or the hard work of the Les Amis de Wychwood to maintain the neighbourhood's trees and architectural harmony, if all can be so easily waived or simply ignored?
To make matters more time-consuming and complicated, as an anglophone, I am not entitled to any communication regarding the rules and regulations of the city in English, yet I pay my taxes like everyone else. Poor service all around.
Suzanne Krantz
Aylmer
Lettres de novembre
Au moment de dresser le bilan de sa saison 2022, la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) souligne que les forêts québécoises ont été largement épargnées par le feu cette année. Seulement 242, 9 hectares (ha) ont été affectés par le feu en Zone de protection intensive (ZPI). Il s’agit de l’une des plus petites superficies brûlées depuis que des données statistiquement comparables sont disponibles. Ainsi, depuis 1984, seules les années 2004 (258,4 ha) et 2008 (132,7 ha) peuvent se comparer à la dernière saison.
Les 389 feux de forêt survenus dans la ZPI au cours de la dernière saison sont également bien en deçà de la moyenne annuelle des dix dernières années, qui se situe à 472 incendies. Pour ce qui est de la Zone nordique, où la SOPFEU ne combat que les feux menaçant des communautés ou des infrastructures stratégiques, 18 incendies ont embrasé la forêt au cours de la saison.
Du 30 avril au 14 mai, pas moins de 212 incendies ont pris naissance, ce qui correspond à 55 % de tous les feux répertoriés au cours de la saison entière. Le temps anormalement sec dès le début du jour et des températures élevées ont fait en sorte que le danger d’incendie variait d’élevé à extrême durant cette période. Pour éviter d’autres éclosions de feux, une interdiction de faire des feux à ciel ouvert a été mise en vigueur pour une durée de 9 jours. La séquence de sécheresse a cependant pris fin au milieu du mois en raison des conditions météo favorables, caractérisées par le passage de plusieurs systèmes dépressionnaires qui ont perduré, de façon régulière, tout au long de l’été.
Ainsi, les mois de juin et de juillet ont été marqués par des quantités de pluie au-dessus des normales de saison. Il n’y a pas eu d’assèchement de la végétation. En juin, le Québec a même enregistré une séquence de 15 jours sans feu de foudre ni feu actif, ce qui est particulièrement rare en cette période de l’année. Au total, seulement dix feux ont été comptabilisés en juin, constituant le record.
Le mois de juillet a été marqué par une quantité inférieure d’incendie avec un total de 44 feux, alors que la moyenne des dix dernières années se situe à 94. Cependant, la fin de la saison a ramené un nombre d’incendies correspondant davantage à la moyenne pour les mois d’août (49 incendies pour une moyenne de 58), septembre (22 incendies pour une moyenne de 21) et octobre (10 incendies à ce jour pour une moyenne de 12).
En raison de la saison calme, la SOPFEU a pu venir en aide, dès la fin juillet, à l’Alberta qui était aux prises avec plusieurs feux de forêt. Soixante pompiers forestiers accompagnés par près d’une dizaine de spécialistes ont prêté main-forte à leurs homologues albertains. Au début août, deux avions-citernes et un avion d’aéropointage, ainsi que leurs équipages ont été dépêché à Terre-Neuve-et-Labrador. Quelques semaines plus tard, 20 pompiers sont venus en aide à l’État de New York.
A la suite du passage de l’ouragan Fiona à la fin septembre, quarante pompiers forestiers et trois spécialistes se rendre à Truro, en Nouvelle-Écosse. Leur mission consistait à disposer des nombreux arbres endommagés par l’ouragan.
Au cours de la dernière saison, 73 incendies sont attribuables à des mégots de cigarette, 66 incendies ont comme origine un feu de camp mal éteint et 82 feux de forêt ont été causés par un brûlage de rebut. Globalement, 94 % des incendies cette année sont imputables à l’activité humaine. Malgré ces statistiques, la SOPFEU rappelle que depuis 1984, une diminution moyenne de 11 incendies de cause humaine par année a été observée, ce qui démontre bien l’efficacité des efforts de prévention déployés par la SOPFEU, les services incendie municipaux et différents partenaires.
Stéphane Caron, SOPFEU
Messines
Le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, était devant l’Assemblée nationale pour dénoncer le gonflement du Conseil des ministres de Monsieur Legault.
La dette publique est à son plus haut et la hausse des taux d’intérêt fait augmenter la facture de son refinancement. En cette période inflationniste, les contribuables actuels et futurs devront, par l’entremise des taxes et impôts, éponger les dépenses excessives du gouvernement.
La réduction de la taille du Conseil des ministres est symbolique, mais l’urgence de réduire la taille de l’État est bien réelle. Le régime minceur du gouvernement doit commencer avec le Conseil des ministres, celui-ci est présentement composé de 26 ministres, mais plusieurs ministères sont dédoublés inutilement et pourraient être regroupés.
Cédric Lapointe, Parti conservateur du Québec
Québec
Vivre en Ville félicite les membres du nouveau conseil des ministres et offre au gouvernement son entière collaboration afin de relever les défis auxquels font face les collectivités québécoises. Alors que ce gouvernement devra piloter le Québec dans les transitions nécessaires, notamment face à l'urgence climatique, Vivre en Ville salue l'engagement de François Legault à faire de l'environnement sa priorité, après l'éducation.
Au cours de l'été, Vivre en Ville a transmis aux partis politiques une https://newsletters.yapla.com/stats/tracker/t/t7NmrYuyQBs65l8mrfPwD36/c/xlsmdyRa20WXdoffj4x2bMt0 série de propositions identifiant trois priorités afin de propulser la transition vers des collectivités viables, partout au Québec. Plus précisément: 1)
Adopter un plan de mise en œuvre rigoureux de la Politique nationale de l'architecture et de l'aménagement du territoire, notamment par la création d'un fonds en aménagement et urbanisme durables; 2) Mettre en place un ensemble de solutions afin d'assurer une offre pérenne d'habitations abordables et durables; 3) Investir massivement dans les infrastructures de mobilité collective et active.
Samuel Pagé-Plouffe, Vivre en Ville
Québec
Avec les pressions importantes liées à l’augmentation des coûts et à la pénurie de main-d’œuvre, la situation est précaire pour les PME québécoises. Tous les ordres de gouvernement ont un rôle à jouer pour aider nos PME, dont les municipalités qui vont adopter leur budget d’ici la fin de l’année.
À cette fin, la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) a envoyé une lettre aux 1 100 municipalités du Québec, demandant qu’on limite au maximum l’augmentation des taxes foncières commerciales et qu’on priorise la réduction du fardeau administratif.
Benjamin Rousse, FCEI
Montréal
Lettres d'octobre
Alors que les parents attendent de savoir dans quel programme ou école seront admis leurs enfants, une nouvelle https://iris-recherche.us4.list-manage.com/track/click?u=d77a17eb97fce0bc47ca1edce&id=b2e866f63d&e=9c512dd977 étude de l’IRIS révèle que le système d’éducation québécois demeure hautement inégalitaire et ce, en dépit des efforts pour réduire l’exode des élèves vers le système privé. En effet, en 2021, près de la moitié (44%) des élèves du secondaire étaient retiré·e·s des classes ordinaires du réseau public pour être inscrit·e·s à l’école privée ou dans un programme particulier. Au vu du développement qu'il a connu dans les dernières années, le phénomène de l'école à trois vitesses devrait préoccuper le ou la prochaine ministre de l'Éducation.
Au cours des vingt dernières années, le nombre d’élèves qui fréquentent les écoles primaires et secondaires privées a bondi de près de 20% au Québec. Durant la même période, l’effectif des écoles publiques a diminué de 4%. En finançant environ 60% du coût des services éducatifs des écoles privées, le gouvernement du Québec encourage la migration des personnes issues de milieux aisés vers le privé et contribue à séparer les élèves du système scolaire québécois en fonction de leur statut socio-économique et de leurs performances scolaires. En plus de reproduire les inégalités déjà existantes, ce phénomène entraîne un transfert des ressources vers le privé et contribue à la détérioration des services offerts dans le réseau public..
--------- Un système d’éducation qui renforce les inégalités régionales
En raison d’une présence plus grande des écoles privées dans les marchés les plus rentables pour elles, la proportion d’élèves inscrit·e·s dans le réseau privé est beaucoup plus importante dans les centres urbains. Ainsi, au secondaire, cette proportion atteint 34 % à Montréal et 24 % dans la région de la Capitale-Nationale, alors qu’elle n’est que de 5 % sur la Côte-Nord et au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Par ailleurs, aucun·e élève du primaire ou du secondaire ne fréquente le réseau privé dans les régions de l’Abitibi-Témiscamingue, du Nord-du-Québec et de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.
-------- Programmes particuliers : une forme d’élitisme au sein du réseau public
Alors que les programmes particuliers ont été créés pour retenir les élèves dans les écoles publiques et augmenter leur attrait, leur place au sein du réseau public a augmenté au cours des dernières années. En 2021, près du quart (23%) des élèves du secondaire étaient retirés des « classes ordinaires » pour être inscrit·e·s dans les programmes particuliers du secteur public comme Sport-études, Arts-études ou Éducation internationale, une proportion qui est en hausse de 50% depuis 20 ans. https://iris-recherche.us4.list-manage.com/track/click?u=d77a17eb97fce0bc47ca1edce&id=de9c427991&e=9c512dd977
L’étude montre pourtant que ces programmes reconduisent des inégalités au sein même des écoles publiques puisqu’ils sont très souvent réservés aux élèves les plus privilégié·e·s et les plus performant·e·s. En effet, plusieurs de ces programmes spécialisés imposent la sélection des élèves par le biais de tests d’admission, et 76% d’entre eux exigent une contribution parentale, qui est en moyenne de 1 220 $ par an et qui peut parfois atteindre 14 000 $.
En participant ainsi à l’“écrémage” des classes ordinaires, qui accueillent en plus forte proportion les élèves issu·e·s des milieux défavorisés ou ayant des difficultés d’apprentissage, le réseau public contribue pleinement à la reproduction des inégalités. Il est donc impératif de repenser en profondeur l’organisation et le financement des services scolaires pour mettre fin à l’école à trois vitesses et à aux pratiques de sélection des élèves du primaire et du secondaire .
Anne Plourde, IRIS
Montréal
Le 19 novembre, le Parti vert élira un nouveau chef. Six candidates et candidats sont en lice pour diriger le parti, dont deux qui se présentent selon un modèle de co-direction. Si la réforme électorale a toujours figuré dans les programmes électoraux des Verts et revêt une importance cruciale pour de nombreux membres du parti, nous savons tous à quel point la direction d'un parti est importante !
Quand : Dimanche 6 novembre, 13 h, heure de l'Est
Inscrivez-vous ici : https://secure.fairvote.ca/en/index.php?q=civicrm/mailing/url&u=231824&qid=23112405
https://us02web.zoom.us/webinar/register/WN_X2ZE0MHZRC6W24BWvGnfGQ
Quelles sont les plus grandes menaces et les plus grands défis de la démocratie ? Quelle serait la priorité de la représentation proportionnelle si les Verts détenaient la balance du pouvoir ? Quelles stratégies les candidats proposent-ils pour faire pression ? Quelles autres réformes ou initiatives démocratiques les candidats estiment-ils essentielles pour une démocratie plus forte ?
Chaque candidat aura le temps de se présenter et de répondre aux questions qui lui ont été envoyées par Fair Vote Canada. Pendant la deuxième partie, nous aurons une séance de questions-réponses où nous leur poserons vos questions. Nous répondrons à autant de questions que possible. Toutes les personnes qui soutiennent la RP sont invitées à participer à cet événement. Il n'est pas nécessaire d'être membre ou sympathisant du Parti Vert. Anita
Nickerson, Représentation équitable au Canada
Ottawa
Mon nom est Lise Lortie, je suis responsable du club des tricoteuses de l'Initial.
Je voudrais remercier madame Sophie Demers pour l'article qu'elle a écrit dans votre journal au sujet de notre exposition de tricots . Toutes les créations ont été offertes au Centre de pédiatrie sociale de la région. Merci de nous avoir permis de faire connaître le talent de nos grand-mamans
Lise Lortie
Aylmer
Appuyée par quatre autres associations et organisations du secteur d’Aylmer, l’APA s’oppose à la subdivision du Castel blanc (43 rue Principale). Le Castel blanc est un ensemble patrimonial composé d’une magnifique maison blanche de style néo queen-Anne et d’un grand jardin témoignant du courant pittoresque à Aylmer au 19e siècle.
La subdivision par le promoteur vise à permettre la destruction du jardin pour construire un nouvel édifice. Or l’APA fait valoir que le jardin est inséparable de la maison et comporte donc une grande valeur patrimoniale. Sa destruction serait une catastrophe patrimoniale en raison de son état exceptionnelle de conservation, son rôle au sein de l’ensemble patrimonial pittoresque et de son immense contribution à qualité de vie de la population.
Pour consulter le texte intégral de la communication envoyée au élues et aux élus, voir https://drive.google.com/file/d/1tC8Ne6fif3r9PaI2J0lDDY5GUdDCuEdq/view?usp=sharing&fbclid=IwAR0OctLW5cTcQtORQQ7mN6T29FX1n6lyRCv3b_GCmGaq5xHzo-U3xyPKggU
https://drive.google.com/.../1tC8Ne6fif3r9PaI2J0l.../view...
L'APA,
Aylmer
Par la présente, je réclame votre collaboration et j’en appelle à votre sens démocratique pour permettre au Parti conservateur du Québec de s’asseoir à la table des négociations qui auront lieu en amont des travaux parlementaires.
Lors des élections générales québécoises du 3 octobre 2022, le Parti conservateur du Québec a recueilli 530 786 votes, soit près de 13% des suffrages exprimés. Comme vous le savez, malgré cette volonté indéniable des Québécois à nous donner une voix, nous avons fait élire aucun député à l’Assemblée nationale du Québec.
Depuis l’annonce des résultats, bien des voix dans l’espace public se sont levées pour déplorer cette distorsion électorale historique. Pendant ces dernières années, le Parti conservateur du Québec a été une lueur d’espoir pour plusieurs, nous nous sommes portés garants de faire entrer un mouvement d’insatisfaction à l’intérieur des murs de la « Maison du peuple ». Aujourd’hui, nous avons le devoir de nous élever au-dessus de la mêlée pour maintenir la confiance du public envers les institutions québécoises.
Étant donné la nature de la situation, il vous incombe d’écouter la voix de centaines de milliers de Québécois et de ne pas minimiser les effets désastreux sur le taux de participation électorale qu’engendrerait la marginalisation de ma formation politique. Il serait absurde que la discussion sur le fait de savoir si des droits seront octroyés ou non au Parti conservateur du Québec se fasse sans que nous puissions intervenir, sans que nous puissions même être présents. et d’acquiescer à ma demande de faire partie des négociations des prochaines semaines.
Éric Duhaime
Chef du Parti conservateur du Québec
C'est une occasion rare pour les Canadiens de décider de l'avenir de leur hiérarchie politique. Veulent-ils continuer à être "gouvernés" depuis l'Angleterre ou veulent-ils que leur chef d'État soit un Canadien ? J'opte pour un Canadien.
D'abord, il s'agit d'institutions, pas de personnalités. ... pas de Charles. Il s'agit de figures de proue de la démocratie canadienne.
Un roi britannique comme chef d'État ne reflète plus la démocratie canadienne, notre État indépendant ou notre diversité ethnique. Comment les nouveaux citoyens peuvent-ils comprendre le Canada s'ils doivent prêter serment d'allégeance à quelqu'un d'Angleterre ? L'utilisation du monarque britannique comme chef d'État empêche le développement de l'identité canadienne. Comme le rapportait l'Association du Barreau canadien (1979), "... si nous voulons promouvoir la confiance, la fierté et le sentiment d'appartenance, le chef d'État devrait être un Canadien".
Nous avons besoin de figures de proue canadiennes qui représenteront les attributs bilingues et multiculturels du pays, seront des modèles pour notre jeunesse et projetteront les valeurs canadiennes sur la scène internationale.
Le monarque britannique devrait rester le chef titulaire du Commonwealth - dont le Canada resterait un membre important. La famille royale pourrait continuer à être invitée à visiter le Canada.
Le gouverneur général devrait devenir notre chef d'État. Ce beau titre descriptif fait partie de la tradition canadienne. Tous les droits de la Couronne au Canada, tant dans la Constitution écrite que par convention, seraient transférés au gouverneur général, ce qui éviterait un débat débilitant sur leur définition.
Il est politiquement utile de maintenir une institution distincte du "chef d'État", qui se distingue du poste de premier ministre en tant que "chef du gouvernement". Le chef d'État remplit également d'autres fonctions, telles que : nommer un nouveau premier ministre en période d'ambiguïté politique ; soulager le premier ministre de nombreuses fonctions cérémonielles ; agir à la fois comme une "présence humiliante" et une caisse de résonance pour le premier ministre ; et rappeler aux citoyens qu'il existe un État qui persiste même s'ils n'aiment pas le parti au pouvoir. Il serait avantageux d'avoir un mandat relativement long, disons cinq ans, renouvelable une fois. L'expérience, la reconnaissance et la sagesse seront importantes.
Les nouveaux gouverneurs généraux ne devraient pas être élus, afin d'éviter les doubles emplois et les conflits entre les fonctions de gouverneur général et de premier ministre.
Comme l'a suggéré un journal, les Officiers de l'Ordre du Canada pourraient faire office de comité de nomination pour une courte liste de candidats. Une nomination provenant de l'Ordre ajouterait du prestige, de la légitimité et du mérite au poste. La liste des candidats de l'Ordre du Canada devrait être soumise à un " collège électoral " - un groupe électoral conjoint fédéral-provincial formé de députés et de membres des assemblées législatives provinciales. L'éventuel gouverneur général devrait être ratifié par les deux tiers de ce groupe pour obtenir un certain degré d'approbation de tous les partis.
Ce nouveau régime, une "démocratie constitutionnelle" plutôt qu'une "république", soulignerait notre tradition d'équilibrer la protection constitutionnelle de "la paix, l'ordre et le bon gouvernement" avec la démocratie populaire "par le peuple".
Ce changement de régime exigera qu'on en soigne les détails -- un processus d'apprentissage national. Les dirigeants canadiens devraient discuter de ces possibilités entre eux. Ni leurs politiques ni leurs idéologies ne sont en danger. Comme je le fais ici, pas de "politicaillerie".
La modification de notre Constitution serait trop longue, trop complexe -- et acariâtre. Mais il n'est pas nécessaire qu'il en soit ainsi. Nos dirigeants politiques pourraient demander à un organisme neutre - disons la Royal Society - de fournir les noms d'une commission d'experts chargée d'examiner cette question, puis accepter de mettre en œuvre ses recommandations. Je le répète : il n'est pas nécessaire de politiser cette question.
En fin de compte, nous serions bel et bien un gouvernement pour et par les Canadiens.
(abrégé sur demande du Ottawa Citizen, traduit)
John E. Trent (ret)
Chelsea
Lundi a marqué le début de la Semaine de la PME et la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) célèbre les 1,2 million de dirigeants de PME et les millions de travailleurs autonomes qui apportent une contribution inestimable au Canada.
Toutefois, les entrepreneurs canadiens traversent une période difficile : dettes pandémiques, des ventes plus faibles qu’à la normale, des pénuries de main-d’œuvre et de la forte hausse des coûts d’exploitation. En effet, 56 % des PME au pays n’ont pas encore retrouvé leurs revenus normaux. Les propriétaires de PME doivent également rembourser les dettes accumulées pendant la pandémie, lesquelles totalisent en moyenne 144 000 $. Le magasinage des Fêtes, qui permet à bon nombre de PME de rester à flot, pourrait également subir un ralentissement https://link.mediaoutreach.meltwater.com/ls/click?upn=rWhfMMIZ3nNBQUEeSKM1cholloOBPrT2Ztm4rG6TiAyMjVHQUn4mWWuEe5VU9GAozuZSSAPI1Wj0pCo3lRzqsZXWTRkKlz4kS60QHJ3i6Fo-2BG3H4JOMo6PRF3hHd22LRztQRRtN8H4xn20evIYYITrHSD3aI-2BcFjoMksKB-2FyAa3rn4jZ7rohk4qN8DQgCqgkhc-2BhEmdTmWY78bR4v6GiXg-3D-3D7LC-_Y-2BXF-2B1WmAx-2BUgxyvqmxyyhla9i9L0DPgxKHjzX5fRYSqYSMCkZ6mF3quFhXFVLWHyLHfusJncjZ5rzjOMn0tJBSh6fYY5lEbZIyjWyZWwHj9AqZ11gvEJ03Q0dIf4Z4my8YZvf-2FWe38EKH2s-2FCar77lEAKOGmtmbyR-2B0y7KBSdVYpuug11Eyg3eprza63j-2BrspoPKxXBQgqgd5iE0TJ0dfs18H3i1fxDiWWKz319f07-2B9GfXdkPM1zYAynHOp2WLoly9P5u-2FwlTKVaYJ7aGz9z0EnGbNQ9zNsT2gMEf4FaDgOFo38I-2Fzs6QbuyJYzosUChzSin-2FfDO9vH5SsiSnQJ4NqpAc1mxIidvS1-2FfL1ayBYEo475smmRsbSUJS0HSbalKvor2jPCfFng-2BpVl7pqJQ-3D-3D
selon un rapport récent de la FCEI.
Les consommateurs peuvent appuyer les PME en privilégiant les petites entreprises locales au lieu des grandes multinationales, notamment en payant comptant ou par carte Interac plutôt que par carte de crédit qui coûte cher aux commerçants.
Benjamin Rousse FCEI
Montréal
La Coalition pour l’histoire, organisme qui se consacre à promouvoir l'enseignement de l'histoire au niveau du primaire jusqu’à l’université, dévoile sa toute nouvelle plateforme dont les recommandations visent à permettre aux jeunes Québécois de toutes origines d’acquérir une meilleure connaissance de l’histoire du Québec, du Canada et du monde.
Parmi les propositions au cœur de la nouvelle plateforme, soulignons la volonté de la Coalition de voir un cours d’histoire sur le Québec contemporain ajouté à la formation générale collégiale, l’enrichissement de la formation disciplinaire des futurs enseignants ainsi que l’élargissement de l’accès à des postes d’enseignement pour les diplômés universitaires en histoire et géographie.
La Coalition pour l’histoire recommande également de confier au nouveau cours Culture et citoyenneté québécoise la responsabilité d’évaluer la compétence « éducation à la citoyenneté »; la création de quatre chaires d’histoire du Québec dans nos universités; la création par la SODEC d’un programme de financement particulier visant à soutenir financièrement le cinéma et les séries historiques portant sur le Québec en fiction et en documentaire; l’adoption d’une véritable politique de commémorations nationales et historiques; ainsi que la préservation et la mise en valeur des archives québécoises.
La Coalition pour l’histoire regroupe la Fondation Lionel-Groulx, l’Action nationale, l’Association des professeures et des professeurs d’histoire des collèges du Québec (APHCQ), la Fédération Histoire Québec, la Fondation Maurice-Séguin, le Mouvement national des Québécoises et Québécois (MNQ), la Société historique de Québec (SHQ), la Société historique de Montréal (SHM), la Société des professeurs d’histoire du Québec (SPHQ), la Société du patrimoine politique du Québec (SOPPOQ), et la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJBM). Olga Goulet Doyon, Coalition pour l’histoire
Montréal
Je félicite le gouvernement de même que l'ensemble des député·e·s qui nous représenteront à l'Assemblée nationale. L'équipe de Vivre en Ville est prête à mettre l'épaule à la roue. Qu'il s'agisse d'aménagement du territoire, d'habitation ou de mobilité, le temps n'est plus au statu quo, ni aux tergiversations. Le gouvernement doit maintenant avoir le courage d'agir.
Au courant de l'été, Vivre en Ville a transmis une série de HYPERLINK "https://newsletters.yapla.com/stats/tracker/t/tGfR1LwjqbXnGdDywSNJSi/c/xlsmdyRa20WXdoffj4x2bMt0" n _blankpropositions prioritaires aux partis politiques qui identifient trois grands chantiers afin de propulser l'émergence de collectivités viables partout au Québec.
Plus précisément:
Adopter un plan de mise en œuvre rigoureux de la Politique nationale de l'architecture et de l'aménagement du territoire (PNAAT), notamment par la création d'un fonds en aménagement et urbanisme durables;
Mettre en place un ensemble de solutions afin d'assurer une offre pérenne d'habitations abordables et durables
Investir massivement dans les infrastructures de mobilité collective et active.
La Coalition avenir Québec, le Parti libéral du Québec, Québec solidaire et le Parti Québécois y ont tous répondu. Chacun des partis s'etais montré favorable à la Politique nationale de l'architecture et de l'aménagement du territoire ( HYPERLINK "https://newsletters.yapla.com/stats/tracker/t/tH6OVibTsxiokMalUG37vw/c/xlsmdyRa20WXdoffj4x2bMt0" n _blankPNAAT), pour laquelle un plan de mise en œuvre ambitieux est prévu à l'hiver 2023.
Samuel Pagé-Plouffe, Vivre en Ville Montréal / Gatineau
Aux lendemains de l’éclatante victoire de la Coalition avenir Québec (CAQ), la Fédération des OSBL d’habitation de l’Outaouais souhaite féliciter l’ensemble des élus et des candidats pour leur campagne. Nous désirons également soulever des préoccupations, qui existaient avant le déclenchement des élections, face à la crise du logement.
D’abord, ce sujet d’actualité qui préoccupe grandement la population, a été complètement éclipsé des discours publics du premier ministre Legault. Aussi, les experts du développement de l’habitation sociale et communautaire ont été mis de côté en amont du lancement du Programme d’habitation abordable Québec (PHAQ), qui vient remplacer un outil qui avait fait ses preuves au cours des 40 dernières années, soit le programme AccèsLogis, dont l’indexation n’a pas suivi les coûts réels et qui s’est alourdi au fil du temps.
Les nouveaux paramètres imposés par le PHAQ nous portent à croire que la crise du logement perdurera au-delà du mandat de la CAQ. Il nous paraît insensé de prétendre que les promoteurs immobiliers privés, avec leur logique spéculative, seront en mesure d’équilibrer le marché locatif. Les personnes fragilisées sont certainement mieux desservies avec le logement social et communautaire, qui a comme seule finalité de répondre à leurs besoins. Un meilleur encadrement du secteur immobilier privé s’impose, à notre sens. De plus, le fait de donner plus de responsabilités aux municipalités peut être un danger si ces dernières ne sont pas suffisamment outillées pour accompagner les développeurs.
Il faut rapidement mettre la main sur les fonds fédéraux, mais les grands programmes de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) sont difficilement accessibles, en raison de la loi M-30, qui limite l’intervention du fédéral en matière de financement. Le logement est une compétence provinciale et nous assistons ici à une chasse-gardée du dossier.
Il est nécessaire d’évaluer les retombées sociales et économiques de la loi M-30, qui freine le développement immobilier. Nous avons négligé la base de la société. Les délais sur les ententes d’utilisation des sommes ne permettent pas de consolider rapidement des projets pour les personnes dont les besoins sont criants.
Les décideurs publics doivent se pencher sur les obstacles rencontrés par les organismes communautaires, notamment la sécurisation des terrains. Il est beaucoup plus facile pour les promoteurs privés, qui ont plus de moyens à leur disposition, de mettre la main sur ces espaces. Nous sommes d’avis que les organismes communautaires devraient avoir le premier droit de regard lorsque les terrains sont vacants ou adéquats. Aussi, avec l’explosion du coût de la vie, la notion d’abordabilité proposée par la CAQ nous semble désuète. Les gens ne devraient pas avoir à choisir entre se loger et se nourrir.
Nous désirons travailler ensemble pour réparer un Québec qui souffre depuis trop longtemps de l’insuffisance de logements adaptés à la réalité globale des individus.
Fédération des OSBL d’habitation de l’Outaouais Gatineau
La Ville est fière de s'inscrire en tant que partenaire clé des célébrations du centenaire de naissance de Jean Paul Riopelle, organisées à travers le pays par la Fondation Jean Paul Riopelle. Pour l'occasion, la Ville lance plusieurs événements pour commémorer l'artiste, dont une exposition majeure à la Galerie Montcalm. Elle invite également ses citoyens et ses citoyennes à prendre part au centenaire en participant aux diverses activités qui se dérouleront sur son territoire.
- Une exposition d'envergure à la Galerie Montcalm :
- La Galerie Montcalm accueillera entre ses murs l'exposition Empreintes de l'artiste Jean Paul Riopelle, du 18 mai au 23 août 2023.
- Les visiteurs pourront suivre l'évolution du travail de ce grand créateur d'images inspiré de la nature, des saisons, de la pêche et de la chasse. Feuilles III, L'Orignal rouge, Les Mouches à Marier et Échassiers sont parmi les chefs-d'oeuvre de l'exposition.
- Les visiteurs pourront admirer une cinquantaine d'estampes originales qui ont été réalisées entre 1967 et 1990.
- Cette exposition a été conçue par le commissaire Michel V. Cheff et son accès sera gratuit.
- La collection permanente d'oeuvres d'art de la Ville de Gatineau recèle plusieurs trésors, dont 98 estampes de Riopelle. Parmi celles-ci, 72 sont désignées « biens culturels canadiens d'importance nationale ».
- Autres événements organisés par la Ville de Gatineau
- Plusieurs activités d'animation et de médiation culturelle auront lieu au cours de l'année 2022-2023 pour marquer le centenaire. Les bibliothèques de la Ville de Gatineau y participeront aussi.
- La Ville a déjà organisé des activités pour permettre à la population de s'approprier le travail de Riopelle lors des Journées de la culture 2022, soit l'heure du conte et l'atelier découverte pour les enfants.
- Restez à l'affût, car d'autres activités seront dévoilées sur le site Web de la Ville dans le courant de l'année.
Jean Boileau, Service des communications
Ville de Gatineau
Le 31 octobre prochain, plusieurs enfants se déguiseront et cogneront à votre porte pour réclamer des friandises. Bien que l’Halloween est une festivité amusante pour les enfants (et même les moins jeunes!), certains costumes et décorations peuvent représenter un danger, notamment en prenantfeu.
Les conseils suivants peuvent vous aider à diminuer les risques :
Choisissez le bon costume -- Choisissez des costumes et des accessoires moins susceptibles de s’enflammer, tels que ceux en nylon ou en polyester épais; sélectionnez des costumes aux couleurs vives que les automobilistes peuvent voir facilement. Ajoutez-y des bandes réfléchissantes pour les rendre encore plus visibles; prenez des costumes qui sont bien ajustés et qui peuvent être portés par‑dessus des vêtements chauds afin de protéger votre enfant par temps froid et humide.
Évitez les dangers de la décoration -- Faites preuve de vigilance constante pour détecter les risques d'incendie et prévenir les blessures : bougies, chandelles, citrouilles illuminées, briquets et allumettes représentent tous des risques d'incendie. À leur place, utilisez des lampes de poche ou des bougies à piles, gardez toujours les bougies, les chandelles, les allumettes, les briquets et autres items représentant un risque d’incendiehors de la portée des enfants ; Vérifiez les décorations lumineuses d'intérieur et d'extérieur pour vous assurer qu'il n'y a pas de douilles brisées ou craquées, de fils effilochés ou dénudés ni de connexions mal ajustées. Ne surchargez pas les rallonges ; assurez-vous aussi que les décorations lumineuses sont certifiées par un organisme reconnu comme l'Association canadienne de normalisation (CSA) ou les Laboratoires des assureurs du Canada (ULC).
Enfin, n’oubliez pas de toujours examiner les friandises et les jouets rapportés à la maison avant de les donner à vos enfants.
Maganga Lumbu, Agence de la santé publique du Canada - région du Québec
Montréal
Cette année, la Semaine de prévention des incendies se déroulera du 9 au 15 octobre. Pour l'occasion, le Service de sécurité incendie de Gatineau (SSIG) a mis de l'avant des activités pendant plus d'un mois sur le thème « Le premier responsable, c'est toi! ».
Jusqu'au 15 octobre, les citoyennes et citoyens sont invités à participer à un rallye sur la prévention. Rappelons que le rallye est accessible dans les parcs Central et Gilles-Maisonneuve.
Consultez le gatineau.ca pour connaitre toutes les autres activités en cours et à venir.
Service des communications Ville de Gatineau
Les petites entreprises doivent depuis longtemps faire face à des frais de traitement de carte de crédit élevés. À la suite du règlement du recours collectif contre des cartes de crédit, ils auront bientôt la possibilité de facturer ces frais supplémentaires sur certaines transactions par carte de crédit.
Un nouveau sondage de la FCEI a révélé que près d'une petite entreprise sur cinq (19 %) a l'intention de facture des frais supplémentaires, tandis que plus d'un tiers (40 %) ne sont pas encore sûrs de le faire. Alors que cette nouvelle pratique s’applique pour l’ensemble des provinces, ce ne sera pas possible pour les PME du Québec en raison de la Loi sur la protection du consommateur.
La FCEI continue de demander au gouvernement fédéral de tenir sa promesse électorale de 2021 visant à réduire davantage les frais de traitement par carte de crédit pour les petites entreprises. Les petites entreprises du Québec devraient également avoir droit de facturer des frais supplémentaires.
Aïsha Laperrière, FCEI
Québec, Qc
Au cours des 20 dernières années, le taux d’activité des Québécois de 55 à 69 ans n’a cessé de croître au Québec. Ce sont les femmes qui ont enregistré la croissance la plus élevée; elles ont de ce fait réduit leur écart avec les hommes de façon marquée. Les femmes sont aussi plus susceptibles que les hommes de prendre leur retraite plus tôt dans leur vie.
Par ailleurs, la taille de la population active des 15-69 ans au Québec est désormais, toutes proportions gardées, plus élevée qu’en Ontario. C’est ce que nous apprend l’analyse intitulée "https://statistique.quebec.ca/fr/document/participation-travailleurs-ages-marche-travail-intentions-egard-age-retraite" Participation au marché du travail des travailleurs plus âgés au Québec et intentions à l’égard de l’âge de la retraite diffusée aujourd’hui par l’Institut de la statistique du Québec.
Entre 2001 et 2021, le taux d’activité des 55-59 ans, est passé de 55,1 % à 77,6 % et celui des 60-64 ans, de 29,6 % à 53,6 %. En 2021, le taux d’activité des 55 à 59 ans se fixe à 73 % chez les femmes et à 82 % chez les hommes. L’écart entre les femmes et les hommes dans ce groupe est passé d’environ 23 points en 2001 à moins de 10 points en 2021. Chez les 60-64 ans, le taux d’activité en 2021 est de 46 % chez les femmes et de 62 % chez les hommes. L’écart dans ce groupe est ainsi passé de 24 à 16 points de pourcentage.
L’Institut de la statistique du Québec
Québec, Qc
L’Institut de la statistique du Québec diffuse Un HYPERLINK "https://statistique.quebec.ca/fr/document/postes-vacants-au-quebec/publication/postes-vacants-2e-trimestre-2022" n _blankportrait des postes vacants non désaisonnalisés au Québec au deuxième trimestre 2022. On y apprend qu’il y a environ 252 000 postes vacants au Québec.
Par rapport au même trimestre en 2021, ce nombre est en croissance d’environ 60 000 (31 %). Des comparaisons entre les régions, les provinces et selon le domaine professionnel ou l’industrie sont présentées. Des données sur la rémunération offerte dans les postes vacants font également partie de ce portrait.
L’Institut de la statistique du Québec
Québec
Nous pourrions avoir un long débat, peut-être civilisé, sur le changement de nom des rues et autres monuments d'Aylmer. Les noms des espaces publics doivent refléter la nature et la diversité de toute communauté et chaque citoyen a le droit d'exprimer respectueusement son (ou sa) opinion sur le sujet. Ce n'est que du bon sens.
Malheureusement, la lettre de M. Stéphane Hepworth a jeté dans le débat des mots comme "génocide culturel" et "guerres nationalistes" d'Europe de l'Est.
Pour se protéger, je présume, il a utilisé les mots "génocide culturel" dans une phrase interrogative. De cette façon, il peut plaider qu'il n'a pas dit que le changement de nom des rues était l'équivalent d'un "génocide culturel", il peut dire qu'il a simplement soulevé la question. Ce serait une porte de sortie très facile. Comme on dit souvent en français : Poser la question, c'est y répondre. Les mots tels que ceux utilisés par M. Hepworth n'ont pas leur place dans ce débat. ( Traduit )
Alain Cossette
Aylmer
Les réseaux de transport en commun québécois sont actuellement aux prises avec un sous-financement important causé notamment par une baisse importante de l’achalandage suite à la pandémie. Pour l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), par exemple, cette diminution entraînera un manque à gagner annuel de 150 à 200 millions de dollars si le réseau ne parvient pas à recouvrer sa fréquentation d’avant 2020. En matière de transport interrégional, les recettes des sociétés canadiennes de transport ont quant à elles diminué de près de la moitié entre 2019 et 2020. Actuellement, le modèle de financement des réseaux de transports collectifs s’appuie en partie sur le principe d’utilisateur-payeur. Or, les contributions actuelles des usagers et des usagères ne suffisent pas à financer l’ensemble des coûts de ces réseaux, ce qui nuit à la qualité des services en plus de favoriser des hausses importantes de tarifs. Les recettes fiscales issues de l’utilisation du transport en commun augmentent cinq fois plus rapidement que celles issues de l’usage du réseau routier, comme les frais d'immatriculation et les taxes sur l’essence. Il faut corriger le déséquilibre entre la contribution des automobilistes et celle des personnes qui utilisent les transports en commun si l’on veut réduire la facture que celles-ci assument..
-------- Trois mesures d'écofiscalité pour encourager la mobilité durable< Plusieurs mesures peuvent être mises en place pour combler le manque à gagner actuel des budgets de fonctionnement des réseaux de transport en commun. Il serait possible, par exemple, de dédier une partie des recettes de la TVQ sur le carburant au transport collectif, d’augmenter la contribution au transport en commun des camions légers, comme les VUS, ou bien de hausser la taxe sur les véhicules dits de luxe. En consacrant les revenus de l’ecofiscalité à un fonds dédié au transport en commun, le gouvernement incitera les Québécois et Québécoises à faire des choix écologiques en matière de mobilité..
L’implantation de mesures d’écofiscalité en matière de mobilité permettrait au gouvernement d’accroître de 1,2 milliard de dollars le financement annuel du transport en commun au Québec : cette somme représente une augmentation de près de 50% sur dix ans du budget qui aurait été alloué au transport en commun si le nouveau Plan québécois des infrastructures (PQI) promis par la CAQ venait à être réalisé.
Camille L. Thuot, l’IRIS
Montréal
pas dit son dernier mot, mais des experts sur la biodiversité prédisent que les pandémies se multiplieront et deviendront davantage mortelles dans les prochaines décennies. Dans un rapport publié en octobre 2020, la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques dénombre entre 631 000 et 827 000 pathogènes pouvant potentiellement infecter les humains dans le règne animal sous forme de pandémies, en raison des activités humaines. Selon ce même rapport, les origines des pandémies sont les mêmes que celles qui causent la destruction des écosystèmes et les changements climatiques, soit l’exploitation insoutenable des ressources naturelles, la production et la consommation effrénée, puis les émissions croissantes de gaz à effet de serre. Les scientifiques estiment que plus de cinq nouvelles maladies infectieuses émergent chaque année et le risque de pandémies augmente considérablement.
Les changements climatiques ne représentent pas qu’une simple menace obscure à l’horizon, ou une épée de Damoclès suspendue au-dessus de nos têtes. Nous sommes plongé.e.s au cœur même de la tempête qui fait rage à travers le globe. Les feux de forêt et les phénomènes météorologiques se multiplient, les records de chaleur sont fracassés chaque année, l’extinction menace les papillons monarques et les abeilles parmi une panoplie d’autres espèces vivantes, la présence de contaminants dans l’environnement pollue notre air, nos nappes d’eau et les sols, puis réduit l’espérance de vie, les océans s’acidifient, la fonte des glaces s'accélère, la destruction massive des forêts libère une quantité monstre de carbone emmagasinée dans les arbres déracinés et brûlés, puis nous avons épuisé les ressources annuelles que la planète peut régénérer (et/ou absorber les déchets produits) ce 28 juillet 2022. Bref, la sixième extinction de masse est bel et bien entamée, mais, contrairement aux cinq précédentes, celle-ci est entièrement provoquée par les activités humaine.
Par ailleurs, il est quasi-impossible de s’émanciper du système économique capitaliste auquel nous sommes assujettis. Malgré le développement de politiques vertes au sein des compagnies et des gouvernements, les milliardaires exploitent et arrachent les ressources naturelles à la terre et aux peuples qui y vivent, produisent des biens de consommation destinés à la désuétude, émettent une quantité monstrueuse de gaz à effet de serre par leurs activités de production et s’enrichissent continuellement, tandis que le commun des mortels boit sa limonade avec une paille de carton dans l’espoir de sauver les tortues tout en maintenant la tête à peine hors de l’eau. Quoique réduire la consommation et la production de plastique est de toute évidence idéal, ces gestes individuels ne suffisent malheureusement pas pour freiner les perturbations climatiques et ses conséquences sur la biodiversité considérant l'aggravation de la crise.
C’est pourque je vous invite à rejoindre les membres de Climat GO ainsi que les sympathisants dans la rue pour réclamer la justice climatique et le passage vers une société solidaire en harmonie avec la nature et fondée sur le bien-être des populations qui la composent. Nos revendications principales sont les suivantes : 1) Bannir les énergies fossiles d’ici 2030, autant en termes de production, de transformation, d’exportation que d’importation et 2) Taxer massivement la richesse et réinvestir massivement dans le filet social, afin d’assurer des conditions de vie décentes pour toutes et tous.
Myriam X.
Étudiante et membre de Climat GO