LETTRE
L'ABC du «patchage» de trous
Au cours de la dernière année, j’ai bien dû vous écrire et faire une bonne dizaine de requête à la Ville au sujet de la condition du chemin Vanier entre le chemin d’Aylmer et le boulevard Lucerne. La route est dégueulasse, c’est pathétique, il faut faire des zigs zags pour éviter les trous et crevasses. Oh oui, je dois admettre que la Ville se déplace pour faire du «patchage»… mais diantre où vos employés municipaux ont-ils appris à travailler, certainement pas à l’école du gros bon sens!
Prenez le tronçon entre le 206 et le 212 Vanier, il y a certainement une cinquantaine de trous à remplir; et bien quand ils se déplacent pour faire le travail, on s’attendrait que les gars remplissent tous les trous. Ou une bonne majorité de trous. Et bien non ! Quoi, non ? Non! Ils en font quelques-uns et laisse les autres vides. C’est à croire qu’on se garde une petite réserve de travail pour plus tard ? Et les gens qui supervisent ce travail, ils sont où? Sur Vanier, c’est un véritable chemin de Damas, il ne manque juste quelques rebelles qui se tirent dessus pour agrémenter les cratères. La situation est à peu près équivalente entre le 142 et le 162, chemin Vanier.
Et de grâce, que la Ville dise pas que c’est à cause de l’hiver qu’on vient de connaître car la situation est la même depuis plus de cinq ans. Vous avez juste à aller faire un tour sur Google Map et les trous y étaient bien avant l’hiver !
Maintenant, j’espère bien que quelqu’un donnera une bonne dose de coups de pied au cul aux gars responsables du «patchage» ou qu’au minimum, on leur expliquera comment patcher un trou, à moins que l’on doivent leur expliquer c’est quoi un trou ?
Martin Maisonneuve
Aylmer