LETTRE
Le 5 novembre prochain, ça doit changer!
L’édition du 14 août 2017 du Journal Le Droit vient de démontrer clairement l’échec de l’administration Pedneaud-Jobin. La juge Patsy Bouthillette de la Cour du Québec a rendu une décision le 2 août dernier dans laquelle elle dit que les méthodes de la ville pour régler un conflit avec un entrepreneur sont « loufoques ».
Cette tendance lourde de Pedneaud-Jobin de judiciariser les dossiers illustre son incapacité à travailler en équipe. Ce cas n’est malheureusement pas unique, l’Ombudsman de Gatineau s’est récemment dit préoccupé par l’augmentation de la judiciarisation des dossiers municipaux.
L’article relate même que l’administration Pedneaud-Jobin possédait un rapport d’expert sur la dispute et qu’elle a refusé de le partager avec l’entrepreneur afin de faire avancer le dossier. Ce manque de transparence et le manque de collaboration nuisent directement à la confiance des entrepreneurs envers la ville.
La directrice générale de l’Association de la construction affirme que ses membres ont été nombreux à vivre des confrontations avec la ville, au point où plusieurs ne souhaitent plus soumissionner sur des contrats publics offerts par la municipalité. Pedneaud-Jobin aura au cours des quatre dernières années pris des décisions pour salir la réputation de citoyens de notre communauté en demandant des enquêtes qui se sont toutes révélées non fondées.
Rappelons-nous que cet individu a eu l’odieux d’envoyer sous enquête à l’UPAC certain de nos entrepreneurs dont l’atteinte à leur réputation a laissé des marques personnelles permanentes. L’entrepreneur qui aujourd’hui nous présente le Cirque du Soleil a été aussi dénigré publiquement par Pedneaud-Jobin, et mon collègue au conseil municipal, Marc Carrière, a lui aussi vu son intégrité mise en doute par Pedneaud-Jobin.
Fini le salissage de réputation, le manque de transparence et de collaboration. Le 5 novembre prochain, ça doit changer!
Denis Tassé
Candidat à la mairie de Gatineau