LETTRE
Lettre ouverte : le cas du chemin Vanier
Dans le cas du chemin Vanier, ce n’est pas un nouveau problème : le dernier asphaltage de la route remonte à plus de 50 ans ! 50 ans pour une artère qui devrait être une rue locale mais que la ville s’entête à traiter comme une artère majeure en y laissant transiter une tonne de circulation (camions, autobus) sans pour autant y avoir les infrastructure adaptées. En fait, la ville fait des économies de bout de chandelle sur le dos des résidents !
Pour ce qui est de l’étude d’impact (!), elle était due pour septembre 2014. Oui, Septembre 2014. Un an et demi plus tard, toujours rien. Ici, je me pose de sérieuses questions sur le sérieux de la ville. Ce contrat a été donné à qui ? Et comment se fait-il que rien de concret avance ? Quoi, la ville n’arrive pas à faire res-pecter les contrats ? À moins que ce soit une «job» à l’interne et qu’un pousseux crayon prenne son temps pour justifier sa «job» ? En tout cas, il y a quelqu’un en quelque part qui devrait être redevable pour ce délai et à la ville de Gatineau, on met pas ses culottes!
Finalement, pour les nids-de-poule, je ris, c’est pitoyable... La ville est passée hier, les travaillers en ont bouché 20-30 près de l’école Rapides-Deschênes et pour le reste, rien. Dans ces conditions, j’invite les citoyens qui ont des bris mécaniques à la suspension à poursuivre la ville; il ne sera pas difficile de prouver qu’il y a eu imprudence, négligence ou faute de la part de l’autorité sur le territoire où est situé le nid-de-poule à l’origine du ou des bris. Il ne sera pas non plus difficile de démontrer que le mauvais état de la chaussée a été porté à l’attention de la ville... Cette dernière a été négligente dans les moyens entrepris pour pallier à la situation.
Martin Maisonneuve, Aylmer