LETTRE
Trump, aujourd’hui
La presse mainstream a recours à n’importe quelle ánerie pour bourrer le crane des moutons. Exemple: Le Globe and Mail du 11 nov. 2016, cahier Family and Relationships nous parle d’un enfant de quatre ans - très précoce. Ses parents intellectuels, politiquement corrects, se sentient obliges de lui annoncer, avec beaucoup de ménagements, l’élection de l’abominable Trump. La reaction du bambin conditionné par Papa, est sponatnée: “let’s kill him”. Le Papa jouant les civilizés: “it’s not an option”. Mais si Papa, c’est une option, et tu le sais très bien. Elle a été envisagée sois en sure et n’est certainement pas abandonnée.
A preuve tous les cadavres qui jalonnent la carrière de nombreux politiciens américains. Lyndon Johnson par exemple qui la veille de l’assassinat de Kennedy disait à sa maîtresse, “Demain je serai débarassé des Kennedy”. À Aylmer on ne veut pas tuer Trump mais Didier Périès (page 4, 28 déc.) voudrait bien que quelqu’un l’empêche, avant même qu’il ait commencé! Elle est bonne celle là! Explication Didier S.V.P.
Quand à François (page 5, lettres au rédacteur) après la liste habituelle de injures copiées sur son journal, il prévoit des catastrophes de dimensions planétaires. Personnellement le programme de Trump me plait beaucoup, il veut: 1. S’entendre avec Poutin et éviter ainsi une troisième guerre voulue par les militaro-industriels, sionistes et autres bauksters qui sponsorisaient Clinton. 2. Rapatrier les GIs dispersés sur la planète. 3. Garder les emplois “at home” et réduire ainsi le chômage. 4. Assainir la swamp de Washington corrompue jusqu’a l’os (assasins, voleurs, pédophiles).
Didier et François ne veulent rien de tout ça.
Je pose deux questions à ces deux grands démocrates. 1. Croyer-vous que la mafia Khazar veulent la paix qui la mettra au chômage? 2. Croyez-vous que les banksters de cette mafia veulent votre prospérité ou bien vos piasses? Enfin François ne confondez pas Napoléeon, Hitler et Stalin avec Neron, Amin dada, Pol Pot, Mao… Lisez l’histoire, la vraie, avant de relayer les menteurs. Je dois être un abominable “fasciste”, non?
Roland Masbov, Aylmer